Curiosité dans un refuge partie 2/2

- Par l'auteur HDS Jon-Jon -
Récit érotique écrit par Jon-Jon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Curiosité dans un refuge partie 2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
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Curiosité dans un refuge partie 2/2
Curiosité dans un refuge partie 2/2
Quelques minutes plus tard, les lumières sont éteintes. Je fouille dans mon sac dans le grand des calmes, je sors un petit god vibrant. Il se trouve systématiquement dans ma trousse de toilette, il ressemble à un rouge à lèvres. J'allume le jouet, les vibrations sont silencieuse, je l'approche vers mon sexe impatient d'être caressé. Ma main entrave ma bouche pour camoufler mes gémissements.
Soudain, je sursaute, l'homme qui se trouve à côté de moi change de côté, sa tête dirigée vers moi. Il finit par ronfler.
Tout va bien se passer. Plusieurs personnes ronflent fort. J'enlève sa main de ma bouche ce n'est plus utile. Avec tout ce brouhaha, mes gémissements ne vont pas s'entendre.
Je reprends mes caresses sur mon sexe glabre et humide. Les vibrations sont lentes, mais j'aime bien prendre mon temps surtout dans un dortoir. Des gémissements sortaient de ma bouche et cela ressemblait plus à des cris d'émerveillement qu'à des cris sexuels.
Eleanor change de position toutes les cinq minutes, elle n'arrive peut-être pas à dormir. C'est normal à cause des ronflements. J'augmente la vitesse des vibrations, et je laisse le god dans ma chatte. Je change de position pour imiter les autres.
— Anna, murmura ma sœur.
— Oui, tu n'arrives pas à dormir ?
— Ouais, ça ronfle dans tous les sens.
Je passe ma main devant ma bouche pour camoufler un petit gémissement. Je passe sous mon legging pour éteindre mon jouet, mais le laisse où il est.
— Sœurette, tu m'accompagnes jusqu'aux toilettes ? J'ai peur toute seule.
— D'accord.
Je sors du lit, le sol me glace les pieds, je mets rapidement une paire de chaussettes. Ma sœur a allumé le flash de son téléphone et nous nous dirigeons vers les cabinets. Eleanor entre, moi, j'attends dehors comme si je suis un garde. Je m'amuse à me caresser mon sexe à travers de mon vêtement qui commence à être bien humide. Sans faire exprès, j'active les vibrations. Un petit gémissement s'échappe de ma bouche. Ici, c'est calme, ma sœur pourrait m'entendre. Heureusement qu'elle prend son temps pour faire sa commission.
Quelques minutes plus tard, je me sens très excité et c'est pénible d'étouffer ses gémissements. Mais c'est ça aussi qui est excitant. Eleanor sort du cabinet, et je retire vite la main de mon entrejambe.
— Tu ne tires pas la chasse ?
— Ce sont des toilettes naturelles.
Les vibrations marchent toujours, je ne vais pas prendre le risque de les éteindre. Ma sœur le verrait. Malgré l'obscurité, on voit bien. C'est pour ça qu'au retour, Eleanor n'allume pas son flash.
Une fois sous ma couverture, je peux continuer de me masturber sans faire attention à ma sœur. J'enlève mon legging, il est trempé et je transpire.
— Anna qu'est ce que tu fais ?
— Je me déshabille, je transpire.
— J'hésite à le faire, mais il y a du monde, informa Eleanor.
Soudain, les vibrations augmentent. Mes cuisses ont dû faire pression sans le vouloir, cela arrive, ce genre de bug et c'est très chiante.
Évidemment un gémissement se déclenche à ce moment-là devant ma sœur. Honteuse et excitée.
— Attends... tu me déshabille pour te masturber, dit-elle étonnée.
— Quand je te dis que je ne peux pas passer une jounée sans sexe, tu dois me prendre au sérieux, répondis-je.
— Caresses-toi, petite sœur, ça sera notre secret.
— Je n'en ai pas envie.
— Alors pourquoi tu me regardes comme ça, tu as l'air si jalouse.
Un autre gémissement sort de ma bouche, celui-ci semble être un plus fort.
— Pas si fort, commente ma sœur,
Eleanor enlève ses vêtements, excitée.
— Ok, je n'utilise pas mes doigts, informe ma sœur.
Je donne mon god en forme de rouge à lèvres à ma sœur.
— Désolé, il est un peu humide.
Ma sœur le saisit, et faillit le faire tomber tellement il est mouillé. On se regarde dans les yeux. Je peux contempler son visage fin et beau. Son grain de beauté sur sa joue droite a un charme fou. Ses yeux verts brillent dans l'obscurité. Elle me sourit, elle doit ressentir les premières vibrations.
— Cela t'excite de te masturber au milieu de tout le monde ? Demande je.
— Beaucoup…
— Je veux entendre ton premier gémissement.
Quelques secondes plus tard, Eleanor gémit de manière timide et faible.
— Je n'ai pas entendu, ris-je.
Elle recommence et cette fois-ci, je gémis avec elle. Et je me fous royalement du bruit que je fais. L'homme à côté de moi ronfle toujours aussi bruyamment. Je pince fort mon téton tout en me caressant. Eleanor semble être à l'aise, elle avait même retiré sa couverture. J'hésite à faire pareil, je commence à transpirer sous ma couverture.
— Anna, j'envie d'une chose ?
— Dis toujours sœurette.
— On pousse les lits et on fait l'amour.
— Ce serait chouette, et j'en ai envie, informé je. Mais cela va faire du bruit, non ?
— Écoute le bruit ? il y a des lits qui grincent, des vieux qui ronflent, des jeunes qui se masturbent. Déplacer un lit ne fera pas plus de bruit.
Eleanor se leva, le corps nu, et déplaça le sommier pour le coller au mien. Elle a raison, cela n'a pas fait énormément de bruit. Sa jambe froide parcourt la mienne et me donne des frissons.
Ce n'est pas la première fois qu'on fait l'amour ensemble, mais c'est la première fois qu'on le fait en public. Je caresse ses jambes, de minuscules poils se trouvent sur sa peau. Elle m'attrape assez vite, je n'ai pas le temps d'admirer son corps. Elle m’embrasse longuement. Sa transpiration se melange à la mienne, c’est horrible comme odeur, mais l'excitation prend le dessus. Je me laisse cajoler, ma sœur effleure ma peau avec beaucoup de délicatesse.
— Cela fait si longtemps qu'on n'a pas fait l'amour, cela me manque, informe Eleanor.
— Moi aussi, mais on doit faire cette activité le plus rarement possible, sinon on aura plus de plaisir à le faire.
Quelqu'un se lève, le flash de téléphone s'allume. Eleanor se cache immédiatement sous la couverture. Ma sœur, la coquine, en profitant pour caresser mon sexe glabre et humide. Je reste la plus indifférente possible. La personne passe à quelques mètres de nous. Mon bat de plus en plus vite. Je suis rassurée quand elle sort du dortoir.
— Elea, chuchote je, j'ai eu très peur, elle a pu nous remarquer.
— Il fait noir, ne mens pas tu es excitée comme moi qu'on nous découvre.
— C'est vrai, imagine la honte de papa s'il découvre que ses deux filles ont fait l'amour à quelques mettre de lui.
— Il aura honte, c'est sûr, mais je suis sûr qu'il ne pourra se retenir de bander, dis-je.
La personne revint des toilettes, son flash toujours allumé. Elle entre dans son lit et éteint la lumière. Eleanor sort la tête de la couverture.
— De toute façon, papa a tendance à bander facilement, quand nous étions au lycée, il bandait à chaque fois qu'on mettait des jupes et des collants. Son pantalon ajusté ne pouvait pas camoufler son érection.
— C'était hilarant comme scène en y repassant, commente je.
Ma sœur monte son genou vers mon entrejambe et commence à me caresser.
— On a assez parlé, passons au sexe, j'ai envie que ton orgasme soit mémorable, informe Eleanor.
— Mémorable, répéte je.
Ma sœur étouffe ma voix dans un baiser. Elle frotte sa jambe contre mon entrejambe. Je sentis une certaine frénésie en elle. Elle n'est plus dans la délicatesse. Je gémis un peu fort. Eleanor sourit.
— Ne sois pas timide, Anna. Je te connais très bien, tes gémissements peuvent être plus forts.
Sa main rentre dans mon son sexe, et masturbe mon clitoris. Ma sœur devient une furie, et je dois me soumettre, c'est une évidence. Être soumise à une fille n'est pas un problème. Mes yeux ne quittent pas ceux de ma sœur, il veut m'entendre crier. L'orgasme arrive plus vite que prévu. Ma sœur accélère, sa transpiration coule sur mon corps.
Après un gémissement un peu fort, mon orgasme vient en me faisant perdre la tête. Je ne contrôle plus rien, je crie qu'une seule fois, mais Eleanor a beaucoup apprécié.
— Tu as giclé en plus, et beaucoup, me chuchote ma sœur.
— Cela m'arrive des fois. Je me sens fatiguée. Je vais dormir.
— Tu l'as bien mérité.
Ma sœur déplace de nouveau son lit, et termine de se masturber seule. Malgré le bruit et les draps souillés, je m'endors rapidement.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très excitante...
Cela nous donne des idées pour nos prochaines excursions...

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Texte coquin : Curiosité dans un refuge partie 2/2
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