Partie 6 et fin : Le fin du week-end
Récit érotique écrit par Jon-Jon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Partie 6 et fin : Le fin du week-end
Partie 6 et fin : Le fin du week-endPov de Laetitia
Je m’éveillais tranquillement dans mon lit, quel plaisir de dormir seule, sans quelqu’un à côté. J’avais envoyé David dormir dans la chambre d’ami, je ne voulais pas qu’il se réveille toutes les cinq minutes à cause de sa cage de chasteté. Ma nuisette moulante l’excitait beaucoup trop. Mon réveil indiquait 8h02, j’en profitais pour rester sous la couette. Ma main passa sur mon entre-jambes. Je me caressais pendant un long moment. C'était relaxant les moments solitaires.
J'essuyais ma main trempée contre la couverture. Je m'habillais avec des habits confortable, legging et un pull.
Je découvris David mignonnement habillé en fille, il s’était maquillé et coiffé. Je me sentais un peu honteuse avec mon pyjama.
— Salut Léti, tu es mignonne, sourit Lysa.
— Merci, mais ce n’est pas grand chose, et toi tu as bien dormi ?
— Non, j’ai bandé toute la nuit.
— Tu m’étonnes !
J’ouvrai un placard et je saisis une tasse pour mon thé.
— Tu veux un thé ? demandais-je.
— Oui je veux bien.
J’en pris une autre. J’allume la chaudière.
— Le programme de la journée ? demanda Lysa.
Je lui souris, je n’avais pas un programme bien défini.
— On va courir ce matin, et faire du shopping cette après-midi.
Après avoir rempli la tasse d'eau chaude, je m'assis près de Lysa. Je passais ma main sur sa jambe en nylon. C'était tellement doux !
— Si je n'avais pas cette cage, je banderais immédiatement.
— La moindre chose que je fais, tu bande. Cela devient chiant à longue, souris-je.
— Je ne peux pas résister à ton charme.
Je souris. On mangea tranquillement notre petit déjeuner. Quelques minutes plus tard, je me levais pour faire chercher la tenue de sport pour ma compagne. Un legging, un tee-shirt à manche et une veste devraient suffire pour se protéger du froid. Je retournai auprès de Lysa, et je lui offrit les vêtements. Elle fit les gros yeux en voyant le legging aux motifs très féminins.
— Tu sais sûr que c'est à ma taille ? Demanda David.
— Je ne sais pas, mais c'est un vêtement bien extensible, je ne me fais pas de soucis. Essaye immédiatement.
Sans faire une remarque, Lysa se déshabilla, son sexe badante dans une cage bien trop grande.
— Putain, je n'ai pas remarqué que tu as un sexe aussi minuscule, commentais-je.
Les joues de Lysa commença à rougir, son sexe se cogna contre les parois de la cage en métal. Cela lui excite d'être humilié ? Ma partenaire mit le legging, cela lui moulait les jambes de manière très féminine.
— On devine ma cage, commenta Lysa.
J'inspecte sa tenue, et elle avait raison, mais cela ressemble également à une érection faible.
— T'inquiète personne ne sera aussi prêt pour l'admirer. Par contre, on comtempler ton beau cul.
Mes mains caressaient ses fesses, le vêtement paraisait tellement doux.
Maintenant c'était à mon tour de me changer. Je me déshabillais devant lui pour l'exciter au maximum. Je pris bien mon temps. Son regard était fixé sur mon sexe entièrement entretenu, il n'y avait pas un poil de travers, à vrai dire il n'y en n'avait pas du tout. Je passais une première jambes dans mon legging noir aux rayons violets.
David, ma sissy, n'en rata pas une miette. Visiblement excité, il amena sa main vers son sexe. Dommage, il ne pourra pas satisfaire sa pulsions. Il retira vite sa main.
— Tu es prête, Lysa ? Demandais-je.
— Oui, répondit-elle avec un sourire peu assuré.
Nous sortions de l'appartement en tenue de sport. Et nous commençons à courir dans des rues peu fréquentées. Il y avait un magnifique soleil qui dominait le ciel, mais il faisait bien froid pour un mois de novembre.
Au petit Lysa courrait bizarrement, on avait l'impression qu'elle était gênée. Elle s'était vite habituée. Quelques hommes nous regardaient pendant un long moment. Savait-il que je ne porte rien sous mon legging ? Je n'en sais rien et vu la distance c'était compliqué de savoir.
On tourna vers une rue qui donnait sur un parc, il y avait un plus de monde qui courait. Tous portait un legging, femme comme homme. Qui va courir en short avec cette température ? Les plus fous certainement.
On s'arrêta un instant sur un banc, mon lacet s'était défait.
— Ce n'est pas si mal de courir en legging ? Questionnais-je.
— C'est tellement agréable ! Heureusement que cette cage stoppe toute érection sinon je serais ridicule. On va bientôt rentrer ?
— On a fait la moitié, répondis-je avec le sourire.
On se leva et repartit. Nous courons de manière soutenue cette fois-ci.
— Par contre, repris-je, les hommes qui portent un short par-dessus un legging, c'est vraiment moches.
Lysa sourit en guise de réponse.
— Cela marche aussi pour les femmes, si on voit leur culotte sous leur legging.
— Tu es un peu stricte, non ? Ils sont le droit de porter ce qu'ils veulent.
— Oui, c'est mon avis.
Nous continuions notre périple, on ne va pas tarder à rentrer, ma vessie commençait à se remplir discrètement. On fit demi-tour plus vite que prévu. J'avais horreur de courir avec une envie pressante d'uriner. Comment est-ce possible ? D'habitude cela ne me le fait jamais ! Pensais-je.
Ma vessie paraissait lourde et inconfortable. Dois-je m'arrêter pour pisser dans rue déserte ? Ou me pisser dessus ? La deuxième proposition semblait excitante. Mais j'aurais tellement honte qu'un passant le remarque.
On arriva devant notre immeuble, ma vessie allait exploser d'une seconde à l'autre. Notre voisine sortit.
— Bonjour Laetitia, l'ascenseur ne marche plus, vous pourrez l'appeler un technicien.
— Oui, je le ferais, dis-je avec un sourire gêné.
Dépêches-toi de partir, pensais-je. La voisine s'en alla, et une goutte coula le long de ma jambe. Lysa se retourna vers moi car elle avait entendu le bruit d'un jet d'urine. Je restais immobile, gênée. Je sentais mon leggings se mouiller. Le liquide chaud me faisait un drôle d'effet. C'était interminable, j'avais l'impression que cela durait de longues minutes.
Lysa devait se régaler en me voyant ainsi. Moi à sa place j'aurais pris le même plaisir.
Le leggings collait à ma peau, c'était horrible comme sensation, mais cela me procurait une certaine excitation.
On pénétra dans l'immeuble, et on monta les escaliers, je sentis quelques gouttes ruisseler sur mes cuisses, cette sensation me parut très jouissive !
On entra dans notre appartement.
— Tu l'a fait exprès.
— Quoi donc, répondis-je.
— De te pisser dessus, j'ai l'impression que tu prenais du plaisir.
— Ce n'était pas prévu à la base. De toute façon ce sont des choses qui arrivent pourquoi s'en priver.
Lysa sourit.
— Bon je vais aller me doucher.
On mangea vers onze heures ce jour-là. C'était tôt, mais on pourra faire du shopping en début de l'après midi où il y avait le moins de monde.
Je proposais une tenue tout à fait simple et sobre à Lysa. Une robe très mignonne et des collants opaques bleu marine. C'était toujours jouissif de la voir aussi féminine. David ne se privait pas de montrer sa joie de porter ce type de vêtement.
On entra dans le centre commercial vers midi. Il y avait très peu de monde qui circulait. C'était parfait, on pouvait essayer tous les vêtements qu'on voulait. Lysa essaya tout type d'habit. Avec certains vêtements moulants on devinait sa cage de chasteté.
Elle semblait être en extase quand elle mit un body. Le vêtement lui moulait son torse gracieusement. Lysa mit un collant avec, elle ressemblait à une ballerine ce qui la fit beaucoup rire.
L'après midi tellement vite que je ne vis pas le temps passé.
De retour à la maison, la journée touchait à sa fin. Notre week-end spécial prit fin.
— On pourrait continuer ? Demanda Lysa.
— Je ne sais pas, c'était chouette car c'était nouveau pour moi, mais est-ce j'aimerais ça tout le temps, je ne crois pas. Tu vas redevenir David lundi, ça sera plus simple. Approche, il faut que je t'enlève cette cage.
Lysa fit quelques pas vers moi, et se déshabilla. Son pénis semblait être en érection tellement il était gros dans la cage en métal.
Je pris la clef, et je le libérai, sa queue grossit immédiatement, mais je la laissai tranquille. David allait se branler une fois mon dos tourner.
La FIN
Je m’éveillais tranquillement dans mon lit, quel plaisir de dormir seule, sans quelqu’un à côté. J’avais envoyé David dormir dans la chambre d’ami, je ne voulais pas qu’il se réveille toutes les cinq minutes à cause de sa cage de chasteté. Ma nuisette moulante l’excitait beaucoup trop. Mon réveil indiquait 8h02, j’en profitais pour rester sous la couette. Ma main passa sur mon entre-jambes. Je me caressais pendant un long moment. C'était relaxant les moments solitaires.
J'essuyais ma main trempée contre la couverture. Je m'habillais avec des habits confortable, legging et un pull.
Je découvris David mignonnement habillé en fille, il s’était maquillé et coiffé. Je me sentais un peu honteuse avec mon pyjama.
— Salut Léti, tu es mignonne, sourit Lysa.
— Merci, mais ce n’est pas grand chose, et toi tu as bien dormi ?
— Non, j’ai bandé toute la nuit.
— Tu m’étonnes !
J’ouvrai un placard et je saisis une tasse pour mon thé.
— Tu veux un thé ? demandais-je.
— Oui je veux bien.
J’en pris une autre. J’allume la chaudière.
— Le programme de la journée ? demanda Lysa.
Je lui souris, je n’avais pas un programme bien défini.
— On va courir ce matin, et faire du shopping cette après-midi.
Après avoir rempli la tasse d'eau chaude, je m'assis près de Lysa. Je passais ma main sur sa jambe en nylon. C'était tellement doux !
— Si je n'avais pas cette cage, je banderais immédiatement.
— La moindre chose que je fais, tu bande. Cela devient chiant à longue, souris-je.
— Je ne peux pas résister à ton charme.
Je souris. On mangea tranquillement notre petit déjeuner. Quelques minutes plus tard, je me levais pour faire chercher la tenue de sport pour ma compagne. Un legging, un tee-shirt à manche et une veste devraient suffire pour se protéger du froid. Je retournai auprès de Lysa, et je lui offrit les vêtements. Elle fit les gros yeux en voyant le legging aux motifs très féminins.
— Tu sais sûr que c'est à ma taille ? Demanda David.
— Je ne sais pas, mais c'est un vêtement bien extensible, je ne me fais pas de soucis. Essaye immédiatement.
Sans faire une remarque, Lysa se déshabilla, son sexe badante dans une cage bien trop grande.
— Putain, je n'ai pas remarqué que tu as un sexe aussi minuscule, commentais-je.
Les joues de Lysa commença à rougir, son sexe se cogna contre les parois de la cage en métal. Cela lui excite d'être humilié ? Ma partenaire mit le legging, cela lui moulait les jambes de manière très féminine.
— On devine ma cage, commenta Lysa.
J'inspecte sa tenue, et elle avait raison, mais cela ressemble également à une érection faible.
— T'inquiète personne ne sera aussi prêt pour l'admirer. Par contre, on comtempler ton beau cul.
Mes mains caressaient ses fesses, le vêtement paraisait tellement doux.
Maintenant c'était à mon tour de me changer. Je me déshabillais devant lui pour l'exciter au maximum. Je pris bien mon temps. Son regard était fixé sur mon sexe entièrement entretenu, il n'y avait pas un poil de travers, à vrai dire il n'y en n'avait pas du tout. Je passais une première jambes dans mon legging noir aux rayons violets.
David, ma sissy, n'en rata pas une miette. Visiblement excité, il amena sa main vers son sexe. Dommage, il ne pourra pas satisfaire sa pulsions. Il retira vite sa main.
— Tu es prête, Lysa ? Demandais-je.
— Oui, répondit-elle avec un sourire peu assuré.
Nous sortions de l'appartement en tenue de sport. Et nous commençons à courir dans des rues peu fréquentées. Il y avait un magnifique soleil qui dominait le ciel, mais il faisait bien froid pour un mois de novembre.
Au petit Lysa courrait bizarrement, on avait l'impression qu'elle était gênée. Elle s'était vite habituée. Quelques hommes nous regardaient pendant un long moment. Savait-il que je ne porte rien sous mon legging ? Je n'en sais rien et vu la distance c'était compliqué de savoir.
On tourna vers une rue qui donnait sur un parc, il y avait un plus de monde qui courait. Tous portait un legging, femme comme homme. Qui va courir en short avec cette température ? Les plus fous certainement.
On s'arrêta un instant sur un banc, mon lacet s'était défait.
— Ce n'est pas si mal de courir en legging ? Questionnais-je.
— C'est tellement agréable ! Heureusement que cette cage stoppe toute érection sinon je serais ridicule. On va bientôt rentrer ?
— On a fait la moitié, répondis-je avec le sourire.
On se leva et repartit. Nous courons de manière soutenue cette fois-ci.
— Par contre, repris-je, les hommes qui portent un short par-dessus un legging, c'est vraiment moches.
Lysa sourit en guise de réponse.
— Cela marche aussi pour les femmes, si on voit leur culotte sous leur legging.
— Tu es un peu stricte, non ? Ils sont le droit de porter ce qu'ils veulent.
— Oui, c'est mon avis.
Nous continuions notre périple, on ne va pas tarder à rentrer, ma vessie commençait à se remplir discrètement. On fit demi-tour plus vite que prévu. J'avais horreur de courir avec une envie pressante d'uriner. Comment est-ce possible ? D'habitude cela ne me le fait jamais ! Pensais-je.
Ma vessie paraissait lourde et inconfortable. Dois-je m'arrêter pour pisser dans rue déserte ? Ou me pisser dessus ? La deuxième proposition semblait excitante. Mais j'aurais tellement honte qu'un passant le remarque.
On arriva devant notre immeuble, ma vessie allait exploser d'une seconde à l'autre. Notre voisine sortit.
— Bonjour Laetitia, l'ascenseur ne marche plus, vous pourrez l'appeler un technicien.
— Oui, je le ferais, dis-je avec un sourire gêné.
Dépêches-toi de partir, pensais-je. La voisine s'en alla, et une goutte coula le long de ma jambe. Lysa se retourna vers moi car elle avait entendu le bruit d'un jet d'urine. Je restais immobile, gênée. Je sentais mon leggings se mouiller. Le liquide chaud me faisait un drôle d'effet. C'était interminable, j'avais l'impression que cela durait de longues minutes.
Lysa devait se régaler en me voyant ainsi. Moi à sa place j'aurais pris le même plaisir.
Le leggings collait à ma peau, c'était horrible comme sensation, mais cela me procurait une certaine excitation.
On pénétra dans l'immeuble, et on monta les escaliers, je sentis quelques gouttes ruisseler sur mes cuisses, cette sensation me parut très jouissive !
On entra dans notre appartement.
— Tu l'a fait exprès.
— Quoi donc, répondis-je.
— De te pisser dessus, j'ai l'impression que tu prenais du plaisir.
— Ce n'était pas prévu à la base. De toute façon ce sont des choses qui arrivent pourquoi s'en priver.
Lysa sourit.
— Bon je vais aller me doucher.
On mangea vers onze heures ce jour-là. C'était tôt, mais on pourra faire du shopping en début de l'après midi où il y avait le moins de monde.
Je proposais une tenue tout à fait simple et sobre à Lysa. Une robe très mignonne et des collants opaques bleu marine. C'était toujours jouissif de la voir aussi féminine. David ne se privait pas de montrer sa joie de porter ce type de vêtement.
On entra dans le centre commercial vers midi. Il y avait très peu de monde qui circulait. C'était parfait, on pouvait essayer tous les vêtements qu'on voulait. Lysa essaya tout type d'habit. Avec certains vêtements moulants on devinait sa cage de chasteté.
Elle semblait être en extase quand elle mit un body. Le vêtement lui moulait son torse gracieusement. Lysa mit un collant avec, elle ressemblait à une ballerine ce qui la fit beaucoup rire.
L'après midi tellement vite que je ne vis pas le temps passé.
De retour à la maison, la journée touchait à sa fin. Notre week-end spécial prit fin.
— On pourrait continuer ? Demanda Lysa.
— Je ne sais pas, c'était chouette car c'était nouveau pour moi, mais est-ce j'aimerais ça tout le temps, je ne crois pas. Tu vas redevenir David lundi, ça sera plus simple. Approche, il faut que je t'enlève cette cage.
Lysa fit quelques pas vers moi, et se déshabilla. Son pénis semblait être en érection tellement il était gros dans la cage en métal.
Je pris la clef, et je le libérai, sa queue grossit immédiatement, mais je la laissai tranquille. David allait se branler une fois mon dos tourner.
La FIN
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