Laetitia et David Partie 4 : La cage de chasteté
Récit érotique écrit par Jon-Jon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Laetitia et David Partie 4 : La cage de chasteté
Partie 4 Pov Laetitia.
Je me réveillai avec le sourire. Lysa avait dormi à l'une de mes nuisettes. Elle avait bandé toute la nuit.
Ça sera la dernière fois que ton sexe pourra bander. Profite en bien petite sissy, pensais-je.
Elle dormait toujours, rêvait-elle ? Je me levais et je le dirigeais vers les toilettes. Je me vidais ma vessie et je retournai dans ma chambre.
Ma partenaire se réveilla, une main sur son sexe.
— Tu veux te branler ? dis-je avec le sourire.
Il n'avait pas vu, et retira vite sa main.
— Je suis désolé, c'est un réflexe.
— Je peux te laisser trente secondes pour te branler.
— Non, je vais résister, dit-il.
— C'est toi qui vois, dis-je en l’embrassant.
J'ouvrais l'armoire et lui prépara une tenue de sissy. David accepta avec le sourire. J'étais jalouse de ses jambes, elles étaient longues et fines. Le collant sublimait ses jambes.
Était-ce normal d'être attiré sexuelle par des sissys et non par des femmes ?
Je m'habillais d'une tenue sexy, mais chic. Lysa en voyant ma tenue devait forcément bander. Je soulevais sa jupe et je constatais que j’avais raison. Heureusement que le tissu était opaque sinon, on pouvait voir toute son anatomie.
C'était parfait !
Nous allons dans la cuisine pour prendre notre petit déjeuner.
— Ma petite sissy, je vais faire des courses, sois sage. Pas de masturbation.
— Je serais sage.
Je l'embrassais sur la bouche.
— Cela te laisse de te maquiller, coiffer, faire le ménage.
— Tout ça !
— Ne parle pas sur ce ton, une bonne sissy doit faire toutes les activités d'une femme.
— D'accord Léti.
— Entraîne-toi à parler avec une voix féminine.
— D'accord.
Je lui souris. Nous étions seulement le samedi matin et le week-end se déclara tellement épique. Je montais dans mon véhicule. J'allumais mon téléphone, et j'appelais Léa.
— Léa !
Visiblement, ma sœur était en train de se lever.
— Pourquoi tu m'appelles aussi tôt ?
— Je vais des courses en ville, et j'aimerais que tu surveilles Lysa, j'ai peur qu'elle se branle.
— D'accord sœurette.
— On pourra manger ensemble ce midi ?
— Ouais, pourtant pas.
Je raccrochais. Je démarrais le véhicule, et je me dirigeais vers un sex-shop j'avais une idée derrière la tête. Il n’y avait aucune place disponible du coup je devais marcher pendant un long moment. J'entrais dans la boutique spécialisée dans le sexe. L'intérieur était convivial, c'était la première fois que je rentrais dans ce genre de magasin. J'étais vraiment étonné.
Une femme presque aussi jeune que moi vint à ma rencontre. Elle était très belle sa robe dont le décolleté arrivait jusqu'à son nombril. Elle avait ses cheveux attachés. Cette personne me disait quelque chose.
— Salut Léti, dit-elle avec le sourire.
C'était Margaux, une fille de la fac. C'était vraiment curieux de la voir ici.
— Salut Margaux, qu'est-ce que tu fais là ?
— Je travaille pour financer mes études, je ne le cri pas sur les toits, mais je l'aime beaucoup. Et toi ? Que recherches-tu ?
— David a eu la bonne idée de se travestir, quelle joie ! Cela fait un moment que notre couple patauge un peu dans la routine. En bonne sissy, il doit ne plus bander, et j'ai vu sur internet qu'il existe des cages de chasteté, c'est bien ça pour contrer toute érection ?
— Oui tout à fait. Cela t'excite de voir ton mec en sissy ?
— Oui beaucoup.
— Suis-moi, je vais te le rayon des cages de chasteté.
Je la suivais tranquillement regardant au passage les articles dont je ne connais pas la moindre idée. Margaux me présenta quelques modèles.
— Elles sont minuscules ? Même au repose sa queue est bien plus grande.
— Ne t'inquiète pas pour ça, elle rentra. Voici la cage de chasteté pour sissy par excellence.
La vendeuse me donna la minuscule cage de chasteté rose, elle semblait légère et magnifique. Avec ça, il ne pourra plus bander, mais c'est de la magie, pensais-je.
— Du coup je vais la prendre.
— D'accord, mais n’oublie pas qu'il doit vider ses couilles de temps en temps.
— Mais l'intérêt d'une cage s’il doit spermer ?
— Oui, mais là j'ai dit vider ses couilles pas jouir. Tu peux utiliser un vibromasseur pour qu'il éjacule dans sa cage, c'est horrible comme sensation, sinon tu peux le libérer et jouer avec sa queue jusqu'à qu'il éjacule sans le moindre plaisir. L'orgasme ruiné.
— Merci pour ces conseils Margaux. Du coup, je vais prendre un vibromasseur du coup. Et tu me proposes quoi ? J'ai l'impression que tu y connais en relation de domination et de soumission.
— Un œuf connecté, je crois que c'est la chose la plus excitante que je connaisse, tu peux l'utiliser, et c'était super silencieux même pour la dernière vitesse. Ton mec… Ta Sissy pourrait l'utiliser et si elle réussit à te faire jouir elle aura le droit à être libéré. C’est juste quelques idées.
— C'est très excitant en effet, répondis-je, je vais le prendre.
Après avoir payé les articles, je sortis du magasin en disant au revoir à mon amie Margaux. J'allais dans un supermarché pour faire les courses.
Une fois dans le coffre de la voiture bien remplie je rentrais chez moi retrouver ma Sissy d'amour.
Quelques minutes plus tard, j'arrivais devant mon appartement. Une excitation montait rapidement. Il ne pourra plus bander, pensais-je.
Je sonnais à la porte et j'attendais que quelqu'un m'ouvrît. David ne devait pas honte d'ouvrir en étant une sissy. Il m’ouvrit quelques minutes plus tard.
— Tu peux m'aider ?
Lysa prit le sac de course et l'amena dans la cuisine, sa robe virevoltait c'était trop mignon à voir. Léa jouait sur son téléphone, assise sur le canapé. Ma sœur paraissait très gothique avec ses collants résille.
— Léa, tu pourras préparer à manger ? Je dois parler un moment avec Lysa.
— D'accord, sourit-elle.
— Ma Sissy d'amour tu me suis, dis-je de manière autoritaire.
Il baissa mes yeux et vint près de moi, il a cru qu'il avait fait une connerie. Une fois à l'abri des regards dans ma chambre, je lui montrais mes nouveaux accessoires.
— Je suis passé dans un sex-shop, regarde que j'ai trouvé pour toi ?
David sourit en voyant le dispositif de chasteté. Il ne pouvait pas dissimuler son excitation, apparemment.
— Visiblement, elle te plaît ? Déshabille-toi !
Sans dire un mot qui obéit, il enleva son collant délicatement et sa queue de dressait fièrement devant moi.
— Dit donc ! Elle aussi excitée que toi !
— Comment va-t-elle rentrer ?
— Ta queue même excitée est tellement petite !
Ma sissy aimait bien se faire humilié cela se voyait dans son regard. Cela m’excite terriblement.
Je saisis l'objet rose et minuscule et je le plaçais contre la queue de mon mec. Heureusement, sa queue était assez maniable. Voilà, on entendait le clic du cadenas résonnait dans toute la chambre. David remit son collant, mais une chose clochait.
— Dis-moi, pourquoi tu as changé de collant, tu n'étais pas autorisé pourtant.
— Je suis désolé.
— Réponds à ma question, pourquoi tu l'as changé ?
— Je l'ai filé… Il mentait, cela se voyait il n'était pas serein, et il ne regardait pas mes yeux quand il a répondu.
— Il est où ?
— Dans le panier à linge sale, je suis vraiment désolé.
— J'y crois pas tu encore jouir dans ton collant !
Je me réveillai avec le sourire. Lysa avait dormi à l'une de mes nuisettes. Elle avait bandé toute la nuit.
Ça sera la dernière fois que ton sexe pourra bander. Profite en bien petite sissy, pensais-je.
Elle dormait toujours, rêvait-elle ? Je me levais et je le dirigeais vers les toilettes. Je me vidais ma vessie et je retournai dans ma chambre.
Ma partenaire se réveilla, une main sur son sexe.
— Tu veux te branler ? dis-je avec le sourire.
Il n'avait pas vu, et retira vite sa main.
— Je suis désolé, c'est un réflexe.
— Je peux te laisser trente secondes pour te branler.
— Non, je vais résister, dit-il.
— C'est toi qui vois, dis-je en l’embrassant.
J'ouvrais l'armoire et lui prépara une tenue de sissy. David accepta avec le sourire. J'étais jalouse de ses jambes, elles étaient longues et fines. Le collant sublimait ses jambes.
Était-ce normal d'être attiré sexuelle par des sissys et non par des femmes ?
Je m'habillais d'une tenue sexy, mais chic. Lysa en voyant ma tenue devait forcément bander. Je soulevais sa jupe et je constatais que j’avais raison. Heureusement que le tissu était opaque sinon, on pouvait voir toute son anatomie.
C'était parfait !
Nous allons dans la cuisine pour prendre notre petit déjeuner.
— Ma petite sissy, je vais faire des courses, sois sage. Pas de masturbation.
— Je serais sage.
Je l'embrassais sur la bouche.
— Cela te laisse de te maquiller, coiffer, faire le ménage.
— Tout ça !
— Ne parle pas sur ce ton, une bonne sissy doit faire toutes les activités d'une femme.
— D'accord Léti.
— Entraîne-toi à parler avec une voix féminine.
— D'accord.
Je lui souris. Nous étions seulement le samedi matin et le week-end se déclara tellement épique. Je montais dans mon véhicule. J'allumais mon téléphone, et j'appelais Léa.
— Léa !
Visiblement, ma sœur était en train de se lever.
— Pourquoi tu m'appelles aussi tôt ?
— Je vais des courses en ville, et j'aimerais que tu surveilles Lysa, j'ai peur qu'elle se branle.
— D'accord sœurette.
— On pourra manger ensemble ce midi ?
— Ouais, pourtant pas.
Je raccrochais. Je démarrais le véhicule, et je me dirigeais vers un sex-shop j'avais une idée derrière la tête. Il n’y avait aucune place disponible du coup je devais marcher pendant un long moment. J'entrais dans la boutique spécialisée dans le sexe. L'intérieur était convivial, c'était la première fois que je rentrais dans ce genre de magasin. J'étais vraiment étonné.
Une femme presque aussi jeune que moi vint à ma rencontre. Elle était très belle sa robe dont le décolleté arrivait jusqu'à son nombril. Elle avait ses cheveux attachés. Cette personne me disait quelque chose.
— Salut Léti, dit-elle avec le sourire.
C'était Margaux, une fille de la fac. C'était vraiment curieux de la voir ici.
— Salut Margaux, qu'est-ce que tu fais là ?
— Je travaille pour financer mes études, je ne le cri pas sur les toits, mais je l'aime beaucoup. Et toi ? Que recherches-tu ?
— David a eu la bonne idée de se travestir, quelle joie ! Cela fait un moment que notre couple patauge un peu dans la routine. En bonne sissy, il doit ne plus bander, et j'ai vu sur internet qu'il existe des cages de chasteté, c'est bien ça pour contrer toute érection ?
— Oui tout à fait. Cela t'excite de voir ton mec en sissy ?
— Oui beaucoup.
— Suis-moi, je vais te le rayon des cages de chasteté.
Je la suivais tranquillement regardant au passage les articles dont je ne connais pas la moindre idée. Margaux me présenta quelques modèles.
— Elles sont minuscules ? Même au repose sa queue est bien plus grande.
— Ne t'inquiète pas pour ça, elle rentra. Voici la cage de chasteté pour sissy par excellence.
La vendeuse me donna la minuscule cage de chasteté rose, elle semblait légère et magnifique. Avec ça, il ne pourra plus bander, mais c'est de la magie, pensais-je.
— Du coup je vais la prendre.
— D'accord, mais n’oublie pas qu'il doit vider ses couilles de temps en temps.
— Mais l'intérêt d'une cage s’il doit spermer ?
— Oui, mais là j'ai dit vider ses couilles pas jouir. Tu peux utiliser un vibromasseur pour qu'il éjacule dans sa cage, c'est horrible comme sensation, sinon tu peux le libérer et jouer avec sa queue jusqu'à qu'il éjacule sans le moindre plaisir. L'orgasme ruiné.
— Merci pour ces conseils Margaux. Du coup, je vais prendre un vibromasseur du coup. Et tu me proposes quoi ? J'ai l'impression que tu y connais en relation de domination et de soumission.
— Un œuf connecté, je crois que c'est la chose la plus excitante que je connaisse, tu peux l'utiliser, et c'était super silencieux même pour la dernière vitesse. Ton mec… Ta Sissy pourrait l'utiliser et si elle réussit à te faire jouir elle aura le droit à être libéré. C’est juste quelques idées.
— C'est très excitant en effet, répondis-je, je vais le prendre.
Après avoir payé les articles, je sortis du magasin en disant au revoir à mon amie Margaux. J'allais dans un supermarché pour faire les courses.
Une fois dans le coffre de la voiture bien remplie je rentrais chez moi retrouver ma Sissy d'amour.
Quelques minutes plus tard, j'arrivais devant mon appartement. Une excitation montait rapidement. Il ne pourra plus bander, pensais-je.
Je sonnais à la porte et j'attendais que quelqu'un m'ouvrît. David ne devait pas honte d'ouvrir en étant une sissy. Il m’ouvrit quelques minutes plus tard.
— Tu peux m'aider ?
Lysa prit le sac de course et l'amena dans la cuisine, sa robe virevoltait c'était trop mignon à voir. Léa jouait sur son téléphone, assise sur le canapé. Ma sœur paraissait très gothique avec ses collants résille.
— Léa, tu pourras préparer à manger ? Je dois parler un moment avec Lysa.
— D'accord, sourit-elle.
— Ma Sissy d'amour tu me suis, dis-je de manière autoritaire.
Il baissa mes yeux et vint près de moi, il a cru qu'il avait fait une connerie. Une fois à l'abri des regards dans ma chambre, je lui montrais mes nouveaux accessoires.
— Je suis passé dans un sex-shop, regarde que j'ai trouvé pour toi ?
David sourit en voyant le dispositif de chasteté. Il ne pouvait pas dissimuler son excitation, apparemment.
— Visiblement, elle te plaît ? Déshabille-toi !
Sans dire un mot qui obéit, il enleva son collant délicatement et sa queue de dressait fièrement devant moi.
— Dit donc ! Elle aussi excitée que toi !
— Comment va-t-elle rentrer ?
— Ta queue même excitée est tellement petite !
Ma sissy aimait bien se faire humilié cela se voyait dans son regard. Cela m’excite terriblement.
Je saisis l'objet rose et minuscule et je le plaçais contre la queue de mon mec. Heureusement, sa queue était assez maniable. Voilà, on entendait le clic du cadenas résonnait dans toute la chambre. David remit son collant, mais une chose clochait.
— Dis-moi, pourquoi tu as changé de collant, tu n'étais pas autorisé pourtant.
— Je suis désolé.
— Réponds à ma question, pourquoi tu l'as changé ?
— Je l'ai filé… Il mentait, cela se voyait il n'était pas serein, et il ne regardait pas mes yeux quand il a répondu.
— Il est où ?
— Dans le panier à linge sale, je suis vraiment désolé.
— J'y crois pas tu encore jouir dans ton collant !
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