Dana, la mégère apprivoisée

- Par l'auteur HDS Stan23JR -
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Récit libertin : Dana, la mégère apprivoisée Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Dana, la mégère apprivoisée
D comme Dana, la mégère apprivoisée
27 mars 2022 (restaurant au Bon Morbier, Arcueil)

Nous venions de sortir du Parc des princes avec Franck et Rob, Paris venait de l’emporter sur le Stade Rennais.

Il faudrait qu’il passe un coup de fil demain à Clément (le mari de Salma) pour le chambrer le Breton.

Un bon 3 - 1 avec des buts de Neymar, Mbappé et Messi, cela ne rattraperait pas l’élimination (encore) en Champion’s League mais le club allait pas tarder à récupérer son bien, le dixième titre de champion de France de l’Histoire du club.

La suite de la soirée : un petit trajet en voiture d’environ 25 minutes pour se rendre à Arcueil, là où se trouvaient leurs repères : le restaurant au Bon Morbier.

C’est le restaurant de leur ami Fabien alias Mcqueen, il y avait tous mis des billes, tous les gars, mais aussi Stella, Béa et Salma.

On était tous fier de s’y retrouver quand tout le monde était à Paris, on y avait fêté les 34 ans de Stella, quelle soirée mémorable avec beaucoup de trous noirs, mais d’après les copains, il avait une pêche d’enfer.

La genèse du restaurant vient d’un moment particulièrement triste, il y a 6 ans au moment de l’enterrement de la grand - mère de Fab, c’était très dur pour lui, elle l’avait pratiquement élevé, ses parents qui étaient médecin urgentistes et infirmière enchaînait les gardes.

La famille était originaire de la montagne jurassienne du côté de Champagnole et mamie Clotilde : une cuisinière hors - pair avait tout appris à Fabien.

Pour lui rendre hommage, Fabien avait décidé de réaliser le rêve de sa grand-mère : ouvrir son propre restaurant et proposé de la cuisine traditionnelle jurassienne.
À ce moment-là, Mcqueen était responsable des ventes dans un grand groupe agro-alimentaire, mais son métier ne le passionnait plus.

Tout le groupe l’a poussé à réaliser ce rêve en y injectant nos propres fonds, c’est Clément (à cet instant, il sortait depuis quelques mois avec Salma.) qui a trouvé un local commercial à Arcueil ; il était cadre supérieur dans un grand groupe immobilier.

Stella a participé à la déco, Robbie et Franck, qui possédaient un entregent assez fourni, se sont chargés de faire accélérer les démarches administratives, Béa et lui s’était chargé d’organiser quelques repas d’affaires sur place afin de faire connaître le restaurant.

Le reste tient à la magie de la cuisine de Fabien et de sa cheffe en second qui deviendrait bientôt sa future femme Agnès.
Que ce soit la boîte chaude avec le Mont d’Or et la saucisse de Morteau ou la fondue au Compté sans parler du Rossini de Cabillaud aux asperges fraîches et bien évidemment les pommes de terre au Morbier et aux lards ; tout était tellement bon et savoureux.

Bon, il devait travailler deux fois plus à la salle après un passage chez Fab et Agnès, mais pour rien au monde, il n’échangerait sa place.

Fabien était un super patron, dure dans le travail, il demandait de ses employés un maximum d’implication, le chef pouvait s’écharper comme pas possible avec certains d’entre eux durant le service et partager une bière à la fin.
Il n’hésitait pas à prendre des étudiants en extra, Fab savait d’où il venait et il voulait donner sa chance à tous.

Agnès et lui s’étaient notamment battus bec et ongles pour conserver Babacar, son apprenti commis de cuisine malien sous le coup d’une OTQF, ils avaient enchaîné les rendez - vous avec les autorités compétentes jusqu’à obtenir gain de cause.

Cal et ces deux acolytes arrivèrent au restaurant vers 23 h 15, la fameuse Porsche 718 Boxter (bien sûr de couleur rouge) de Fabien était bien là, elle avait remplacé la Ford Mustang 1966 que Mcqueen avait eu durant des années.

Fabien avait vraiment bien fait les choses, le restaurant est divisé en plusieurs parties : à l’entrée, se trouvait le bar avec notamment les écrans plats d’où on pouvait suivre les matchs de ligue 1 et attendre que notre table soit prête dans des petits canapés, cela donnait un côté très Lounge.
Pour la partie centrale, se trouvait le restaurant en lui - même, le côté astucieux résidait dans le fait que chaque table était séparée par une sorte de paravent, créant artificiellement un effet plus intimiste.
Et enfin plus en arrière, se trouvait les quelques box pour des clients particuliers (comme nous par exemple) ou pour quelques repas d’affaires.

La déco conçue par Stella était très classe mais gardée quand même un petit côté rustique lié au style du restaurant.

En entrant dans le restaurant, l’atmosphère était inhabituelle, plus électrique et plus tendue.
Ils tombèrent sur Fabien qui tentait tant bien que mal de réconforter une de ces serveuses (ce devait être Jessica), elle était au bord de la crise de nerf.

Quand la serveuse fut enfin calmée, il lui dit de rejoindre le vestiaire et de prendre sa fin de soirée ; au regard perplexe de Robbie, Fabien nous expliqua le corps du problème.

- Désolé les gars pour ce qui s’est passés, Jessica a encore eu droit aux foudres de la drageonne, ça fait déjà 3 fois cette semaine et là elle en peu plus la pauvre petite.

- Quoi encore t’as encore foutu Agnès enceinte et tu ne nous as rien dit, le petit cachottier commença à le charrier, Franck.

- Ah ! Ah, très drôle, je saurai m’en souvenir, d’autant que t’es le prochain puisque monsieur se mari bientôt, pour Cal, c’est déjà fait et que notre éternel Rob va finir par désespérer sa mère à prendre son temps.

- Oui, petit Francky deviendra grand, maintenant qu’Astrid a réussi à lui mettre le grappin dessus persifla Rob, au moins une maman de moins qui arrêteras de se bouffer les ongles en se demandant pourquoi ses fistons adorés la déteste autant en refusant de lui faire des petits enfants, termina - t - il avec une voix de vieille mégère.

- Ne m'en parle pas, on en est à peine à planifier les détails du mariage que ma mère et ma belle - mère discutent déjà des prénoms de bébés, je vous jure, j’en peux plus, bon revenons à Mcqueen, donc c’est Agnès qui terrorise les serveuses ?

- Non même pas, attendez elle était quand même pas si terrible enceinte ma belle Agnès quand même !

Tout en se regardant tous les 3, on lui répondit en cœur : si !

- Ah ouais, je devais tellement être sur mon nuage avec l’arrivée future de mon petit Arthur, ce petit bonhomme est notre bénédiction malgré le Covid, les restrictions sanitaires et les fermetures administratives.

Puis il enchaîna :

- la drageonne, c’est une des clientes du restaurant, elle est canadienne, je crois du Québec au vu de son accent.
Madame est en France une fois par mois pour affaire et elle mange toujours systématiquement quatre soirs dans mon resto, j’en suis bien content, c’est une cliente fidèle, mais qu’est-ce qu’elle est casse - pied, toujours à râler, j’en suis à me demander si c’est moi le Français ou si c’est elle.

Une fois partie, il était lancé :

- Une fois, c’est la viande qui n'est pas assez crue, une fois, c’est le fromage qui coule pas assez, une autre fois, c’est le vin qui manquait de classe sans compter ces remarques à peine voilées sur le physique de mes employés et puis forcément avec Jessica ça fait logiquement un peu mouche.

Jessica avait un tout petit de poids par-ci par-là, mais cela faisait son charme, Cal n'aurait certainement pas dis non si elle voulait nettoyer plus en profondeur le vin qu’elle avait accidentellement fait couler sur son pantalon.

- Madame de… À essoré tous mes serveurs et serveuses, Jessica, c’était la dernière qui voulait bien la servir. Je crois que demain soir, c’est moi qui vais devoir m’y coller.

- Pourquoi tu ne la vire tout simplement pas du restaurant lui proposa Robbie

- Croyez-moi, j’aimerai bien, mais c’est l’une des pontes d’un grand groupe pharmaceutique canadien : Klein, Lambert et Grondin et il se trouve que j’ai obtenu l’organisation du dîner qui va suivre leur séminaire sur Paris.
KLG privatise tout le restaurant et ça représente un sacré paquet de blé et je ne peux pas me permettre de tout envoyer valser.
Je vais demander à mes équipes de serrer les dents pour encore six semaines, dans l’intervalle elle ne reviendra plus qu’une fois, je pense.

- Bon, reprit Cal, elle s’appelle comment la mégère mal baisée, histoire que je vois ce que je peux trouver sur elle et donc si j’en crois ton raisonnement, elle revient demain soir, c’est bien ça ? Je vais passer au resto demain histoire de la remettre à sa place.
Puis voyant la tête que commençait à faire Fab :

- Promis t’inquiète pas, je ne te ferai pas perdre ton contrat, au pire, je lui enverrai Béa.

- Oui, je pense que Béa est bien pire mais bon c’est toi le mieux placer pour répondre à cette question comme tu es son employé, en tout cas la cliente s’appelle Dana Fortin mais bon vous êtes là pour manger je présume les gars, ce match a dû vous ouvrir l’appétit ? Vous n'avez pas abusé des hot-dogs, j’espère ? Allez, venez je vous est fait préparer votre box, Agnès et moi, on vous rejoins dès la fin du service.

Après cette bonne soirée, en rentrant, il pianota directement sur les différents réseaux sociaux pour la trouver cette Dana.

Plutôt pas mal la drageonne, une bonne plastique en tout cas, sur son LinkedIn il apprit qu’elle occupait un poste de directrice de communication et de l’événementiel chez KLG.

Ses cheveux étaient d’un noir corbeau très prononcé, la québécoise les avaient jusqu’au milieu du dos et portait une frange au milieu du front, côté accessoire elle était très souvent affublée d’une paire de lunettes siglée Cartier avec une face en acétate noir et des branches couleurs or.

Cal la découvrit avec quelques stars du showbiz et pas mal de sportifs célèbres canadiens sur son Instagram et sur son Facebook : ici une photo avec Justin Bieber ou une autre avec le couple Ryan Gosling et Eva Mendes, la une photo en tenue de hockey avec la légende du hockey canadien Wayne Gretsky.
Et enfin des photos avec les pilotes ou anciens pilotes de Formule 1 Lance Stroll et Jacques Villeneuve.

Les photos en bikinis sur un yacht au large de Dubrovnik lui avaient montré une femme fier de son physique et qui savait en jouer, mais aussi une femme qui avait une forte inclinaison pour le luxe.

Un nom dans sa liste de contact sur LinkedIn attira son attention : Pierre - Emile Levesque, c’était leur ancien directeur général adjoint pour l’Amérique du Nord, il est parti il y a environ deux ans chez KLG pour prendre un poste de directeur d’agence à Montréal.

Notre beau brun bien curieux vérifia le décalage horaire, il était encore 18 h sur la côte atlantique, Cal pouvait lui passer un coup de fil.

Pierre - Émile lui répondit après trois tonalités, ils échangèrent des nouvelles, mais P - E avait toujours été très vif d’esprit et devina que son interlocuteur avait un autre but que l’appel de courtoisie.

- Dis-moi mon cher Cal, que puis - je pour toi ? Tu n’as probablement pas appelé pour savoir comment s’est passé notre dernier Conseil d’Administration.

- Bien, je me rends mon cher Pierre - Émile, tu as toujours été trop perspicace ; j’aurai voulu quelques renseignements sur quelqu’un de ton agence : Dana Fortin, elle est bien de ton agence non ?

- Je vois que tu es toujours bien informé, qu’est-ce que Dana a encore fait pour que tu cherches à vouloir des informations sur elle.

- Disons qu’elle fait des misères dans le restaurant d’un ami et j’aimerai quelque chose qui me permettrait d’avoir un moyen de pression sur elle.

- L’ami en question, ce ne serait pas Fabien Marconnet et le restaurant ce ne serait pas « Au bon morbier » a Arcueil.

- Si

- Je connais bien le restaurant, Béa me l’a fait découvrir il y a quelque temps, j’adore ! Elle me rappelle un peu la cuisine de chez nous, ce serait un plaisir de te filer un coup de main et puis j’aimerais bien lui enlever son air prétentieux à Dana.

Il percevait chez Pierre - Émile, une envie vorace presque perverse de vouloir se venger, il ne savait pas ce qu’elle lui avait fait, mais il semblait vouloir l’aviliser.

Le Canadien lui donna quelques informations dont une qui serait vraisemblablement cruciale contre le léviathan.

S'est armées de ces informations utiles qu’il se rendit au restaurant le lendemain soir, Cal avait joué à fond la carte sur de lui en sortant le costume trois pièces rouge bordeaux de chez Dolce & Gabbana, il ne mit pas de cravate et laissa ouvert deux boutons.

- Chère Madame, vous allez vite ravaler vos insultes, car si moi vous ne me connaissez pas, vous devez connaître la créatrice de mode Stella Barbieri qui est aussi une des propriétaires.

Au nom de famille de Stella, Dana se mit à blanchir, il était temps de lâcher le coup de grâce, le mystérieux brun réserva son effet quelques secondes sous le regard amusé de Fabien qui savourait sa vengeance.

- Et vous savez à qui d’autres appartient à ce restaurant ? Béatrice Dumarais lui asséna - t-il comme une bombe après quelques instants, vous vous ne pouvez pas la connaître personnellement, enchaîna - t - il avec toute sa condescendance.

- Par contre vos supérieurs : David Klein, Annabelle Planchet-Lambert et Émelyne Grondin la connaissent bien, vous pensiez avoir le bras long, j’ai le bras encore plus long que vous, je sais que vous ne vouliez pas de ce restaurant pour la réception du séminaire d’entreprise, laissez moi deviner, vous avez poussé pour « Chez Antoine » dans le 8e arrondissement et vous avez perdu ; Cal avait utilisé à foison l’information donnée par P-E.

Elle semblait au bord de l’évanouissement, il est temps de jouer cartes sur table.

- Je vais être clair et je ne vais pas me répéter, je vais prévenir Béatrice de votre attitude scandaleuse dans notre établissement qui préviendra à son tour vos supérieurs, en attendant, je ne veux plus entendre de votre part la moindre remarque déplacée, la moindre récrimination ni soupçon d’attaque sur le travail ou le physique de notre chef et de ses employés, j’espère avoir été clair, l’ai-je été ?

Tout en avalant difficilement sa salive, elle répondit :

- Oui ! Monsieur Lienard très clair, sans plus une seule assurance dans la voix.

- Bien, je vous souhaite une excellente soirée dans notre établissement, termina - t - il avant de sortir suivi de Fabien.

Ils explosèrent de rire en entrant dans la cuisine et encore plus quand ils racontèrent la scène à Agnès et aux employés qui se trouvait en cuisine à ce moment-là, dont une Jessica particulièrement jubilative.

La fin du repas fut particulièrement bonne, le repas semblait encore plus savoureux que d’habitude, les employés semblaient au petit soin pour lui, dont une Jessica qui lui mettait son décolleté sous le nez à chaque fois qu’elle le servait.

C’est donc d’humeur tout à fait joviale qu’il sortit du restaurant vers 22 h 30, elle était là la drageonne : dans la ruelle à côté du restaurant, en train de tirer nerveusement sur sa cigarette, il allait tourner son chemin quand il aperçut la jarretelle bleue d’un bas dépassant au-dessus d’une bande de peau, son sang ne fit qu’un tour ou plutôt alla se loger plus bas, il se décida donc à approcher.

- J’espère quand même ne pas avoir être trop dur et que vous aurez plaisir à revenir chez nous par la suite, démarra-t-il

Elle sursauta à l’entente de sa voix, mais lui répondit un peu plus sur d’elle.

- Non non ! Vous ne faisiez que défendre vos employés, c’est tout à votre honneur ! Je suis vraiment désolé pour mon attitude, j’ai conscience d’avoir dépassé les bornes, mais je tiens à mon poste et je ne voudrais pas le perdre enchaîna - t - elle, il n’y aurait pas - il pas moyen de trouver un arrangement poursuivit - elle d’une voix suave et avec un regard conquérant.

Oh ma jolie, tu veux jouer, on va jouer, mais selon mes règles, sans lui laisser le temps, il avança de quelques pas la faisant reculer contre le mur.

- Vous êtes une dominatrice, je le sais, mais pas aujourd’hui, pas avec moi, vous voulez jouer ou pas ? Je veux l’entendre et distinctement.

Une nouvelle fois, elle était désarçonnée par la tournure de la situation.

Alors en battant fortement des paupières, elle lui répondit :

- Si c’est ce que monsieur veut !

Un demi - sourire fugace se dessina sur ses traits à lui avant qu’il ne lui attrape le poignet et la retourne et la plaque violemment contre le mur de briques.

Sans attendre, il passa sa main droite sous sa jupe de tailleur, si elle voulait le coût du viol pour s’en sortir, c’était râpé, madame était trempé sous la culotte, cela lui faciliterait la tâche.

Il lui enfonça deux doigts bien à plat dans la chatte, tout en mettant sa main gauche devant sa bouche pour pas qu’elle rameute tout le quartier, il se mit donc à la pistonnée à fond, sa main parvenait à peine à retenir ces cris, il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, personne à l’horizon, il ne se ferait pas embarqué pour exhibitionnisme.

Bon elle criait pas mal pour juste deux doigts, on va voir comment elle va crier pour sa queue.
Calvin la sortit donc et l’obligea à bien mettre ses deux mains en opposition contre le mur, lui écarta les chevilles et toujours avec une main devant sa bouche, il lui enfonça sa pine bien à fond.

Sans lui demander si elle était à l’aise, notre beau brun se mit à la ramoner à fond, il appuya fortement sur le haut de son dos afin que Dana se cambre plus, il ressortait presque entièrement pour lui remettre des coups toujours plus violents.

La femme aux cheveux corbeau semblait proche du point de non-retour, alors Cal s’arrêta sans prévenir et ressortit avant de ranger son matériel dans son falzar.

- Si tu veux la suite, il va falloir me suivre lui lança - t - il en se dirigeant vers son emplacement de parking sans même se retourner.

Au bruit de talon, Calvin sut qu’elle avait mordu à l’hameçon, il arriva à hauteur de son Aston Martin où Dana tomba littéralement en pâmoison devant son véhicule.

Ils s’engagèrent sur l’Avenue du Dr Durand pour sortir d’Arcueil et se dirigèrent vers le Nord, après quelques minutes, il se débraguetta et lui fit comprendre ce qu’il voulait.

- Suce-moi ! Fais-moi du bien, mais ne me fais pas jouir ! Je ne veux pas finir dans le décor.

Elle ne perdit pas de temps et tout en restant attachée, se pencha et emboucha son membre à qui elle donna un traitement de choc.

Elle le branla tout doucement de sa main droite et lui lécha le méat d’où perler un mélange de liquide séminal et de sa mouille à elle.
Dana l’engloutit jusqu’à la garde comme une avaleuse de sabre, elle fit ensuite tourner à fond sa langue autour de son membre, dans le même temps elle accélérait crescendo le rythme de sa main sur sa bite.

Lui ne restait pas inactif, tout en suivant la route, il passa sa main sous sa jupe, qu’il releva légèrement pour admirer les motifs de son porte - jarretelle bleue puis il commença à taquiner son trou interdit avec son auriculaire, il fit des cercles concentriques toujours plus appuyés et à chaque fois elle accélérait le rythme de sa pipe, prouvant qu’elle était bien réceptif.

Mais déjà, ils arrivaient à destination, en relevant la tête, la brune fut surprise de voir qu’ils étaient devant un parc et pas devant chez lui.

- On est au Parc Montsouris, tu es Paris ! Je me dois donc de te faire découvrir les beaux endroits de notre belle ville, répondit - il a son regard interrogatif.

Ils s’engagèrent dans le parc qui était encore ouvert à cette heure-ci, il n’y avait personne, seul le vigile les avais suivis du regard à leurs entrées.

Arrivé à l’ombre d’un pont, Cal lui demanda de se mettre à genoux dans l’herbe et lui fourra sa queue dans la bouche, il lui bourra la bouche.
Dana ferma les yeux pour savourer la saveur de son membre, mais lui restait aux aguets du moindre bruit et justement un bruit très léger sur sa gauche attira son attention : c’était le vigile qui les observait à environ 50 m.
Tout en continuant de se faire sucer, il lui adressa un clin d’œil lui faisant comprendre qu’il avait une bonne idée derrière la tête.

C’était un véritable colosse noir d’au moins deux mètres et d’à peu près 130 kg de muscle, l’homme portait l’uniforme noir de la société de sécurité avec son micro au niveau de la poitrine comme le porte les policiers.

Il avisa un banc à quelques mètres, tira Dana vers celui-ci et après avoir enfilé une capote, l’invita à s’asseoir sur son membre, ce qu’elle fit sans hésitation en poussant un soupir de contentement et se mit à onduler du bassin.

Il lui attrapa les fesses et la fit montée et descendre un peu plus vite, en profita pour l’effeuiller un peu plus, d’abord sa veste de tailleur puis son chemisier pour atteindre son soutien - gorge de couleur bleu marine, celui ci avait une bande fine en résille à l’entre sein et recouvrait bien son 90B, le modèle était assurément le modèle Sapphire de chez Chantal Thomass, le string et le porte - jarretelle était de la même référence, ce dernier avait la bande en résilles entourant les deux traits plus fins au niveau du ventre.

Elle criait la franchement sous ces coups de boutoir et heureusement qu’il ne se trouvait pas à côté de l’entrée du parc, cela plaisait énormément à notre vigile qui avait sorti sa bite de son pantalon, la même Franck ne rivalisait pas, c’était un vrai python, déjà a plus de vingt centimètres au moins, même pas en bandaison complète et au moins six centimètres de diamètre.

Cal voulait donner une leçon à Dana à mépriser le petit personnel et là, elle allait en prendre pour son grade, notre héros commença à lui insérer son auriculaire entre les fesses, c’était le signe pour le vigile, ce dernier s’approcha à pas feutrés et fit le tour du banc pour mettre son énorme mandrin sous les yeux de la drageonne.

Celle-ci fut surprise quelques secondes, mais se ressaisit vite et en prit son parti : la brune emboucha ce qu’elle La femme au cheveux corbeau semblait proche du point de non retour, alors Cal s’arrêta sans prévenir et ressortit avant de ranger son matériel dans son falzar.

- Si tu veux la suite, il va falloir me suivre lui lança - t - il en se dirigeant vers son emplacement de parking sans même se retourner.

Au bruit de talon, Calvin sut qu’elle avait mordu à l’hameçon, il arriva à hauteur de son Aston Martin où Dana tomba littéralement en pâmoisons devant son véhicule.

Ils s’engagèrent sur l’Avenue du Dr Durand pour sortir d’Arcueil et se dirigèrent vers le Nord, après quelques minutes il se débraguetta et lui fit comprendre ce qu’il voulait.

- Suce moi ! Fais moi du bien mais ne me fais pas jouir ! Je ne veux pas finir dans le décor.

Elle ne perdit pas de temps et tout en restant attachée, se pencha et emboucha son membre à qui elle donna un traitement de choc.

Elle le branla tout doucement de sa main droite et lui lécha le méat d’où perlé un mélange de liquide séminal et de sa mouille à elle.
Dana l’engloutit jusqu’à la garde comme une avaleuse de sabre, elle fit ensuite tourner à fond sa langue autour de son membre, dans le même temps elle accélérait crescendo le rythme de sa main sur sa bite.

Lui ne restait pas inactif, tout en suivant la route, il passa sa main sous sa jupe, qu’il releva légèrement pour admirer les motifs de son porte - jarretelle bleu puis il commença à taquiner son trou interdit avec son auriculaire, il fit des cercles concentriques toujours plus appuyés et à chaque fois elle accélérait le rythme de sa pipe, prouvant qu’elle était bien réceptif.

Mais déjà ils arrivaient à destination, en relevant la tête la brune fut surprise de voir qu’ils étaient devant un parc et pas devant chez lui.

- On est au Parc Montsouris, tu es Paris ! Je me dois donc de te faire découvrir les beaux endroits de notre belle ville, répondit - il a son regard interrogatif.

Ils s’engagèrent dans le parc qui était encore ouvert à cet heure-ci, il n’y avait personne à cet heure - ci, seul le vigile les avais suivis du regard à leurs entrées.

Arrivé a l’ombre d’un pont, Cal lui demanda de se mettre à genou dans l’herbe et lui fourra sa queue dans la bouche, il lui bourra la bouche.
Dana ferma les yeux pour savourer la saveur de son membre mais lui restait aux aguets du moindre bruit et justement un bruit très léger sur sa gauche attira son attention : c’était le vigile qui les observait à environ 50 m.
Tout en continuant de se faire sucer, il lui adressa un clin d’œil lui faisant comprendre qu’il avait une bonne idée derrière la tête.

C’était un véritable colosse noir d’au moins deux mètres et d’à peu près 130 kg de muscle, l’homme portait l’uniforme noir de la société de sécurité avec son micro au niveau de la poitrine comme le porte les policiers.

Il avisa un banc à quelques mètres, tira Dana vers celui-ci et après avoir enfilé une capote, l’invita à s’asseoir sur son membre, ce qu’elle fit sans hésitation en poussant un soupir de contentement et se mit à onduler du bassin.

Il lui attrapa les fesses et la fit montée et descendre un peu plus vite, en profita pour l’effeuiller un peu plus, d’abord sa veste de tailleur puis son chemisier pour atteindre son soutien - gorge de couleur bleu marine, celui ci avait une bande fine en résille à l’entre sein et recouvrait bien son 90B, le modèle était assurément le modèle Sapphire de chez Chantal Thomass, le string et le porte - jarretelle était de la même référence, ce dernier avait la bande en résilles entourant les deux traits plus fins au niveau du ventre.

Elle criait la franchement sous ces coups de boutoir et heureusement qu’il ne se trouvait pas à côté de l’entrée du parc, cela plaisait énormément à notre vigile qui avait sorti sa bite de son pantalon, la même Franck ne rivalisait pas, c’était un vrai python, déjà a plus de vingt centimètres au moins, même pas en bandaison complète et au moins six centimètres de diamètre.

Cal voulait donner une leçon à Dana à mépriser le petit personnel et la elle allait en prendre pour son grade, notre héros commença à lui insérer son auriculaire entre les fesses, c’était le signe pour le vigile, ce dernier s’approcha a pas feutrés et fit le tour du banc pour mettre son énorme mandrin sous les yeux de la drageonne.

Celle ci fut surprise quelques secondes mais se ressaisit vite et en pris son parti : la brune emboucha ce qu’elle pu de l’énorme pieu qui manqua de lui décrocher la mâchoire à chaque aller retour tandis que Cal la martyrisait toujours plus fort et cette fois ses doigts y aller franchement dans son cul.

Au bout de quelques instants, ils l’installèrent à genoux entre eux deux pour qu’elle les suce à tour de rôle, passant de Cal a Souleymane (c’était écrit sur son badge.).

Dana avait de la bave qui dégoulinait jusqu’entre les seins, ceux-ci étaient désormais libres comme l’air, la mégère tenta même une fellation extrêmement hardcore en les suçant en même temps, c’était totalement hallucinant : leurs deux bites déformées littéralement sa bouche.

C’était parfait pour les photos et les vidéos que Cal prenait depuis quelques minutes, il finit même par serrer la main de Souleymane pendant que Dana continuer à les pomper.

Souley plaça la brune à quatre pattes sur le banc et commença à lui faire une feuille de rose à genou derrière elle pendant qu’elle continuait à sucer Cal, la Canadienne y mettait encore plus d’application depuis que le vigile la léchait.

Elle eut plus de mal à continuer quand le vigile se mit à la baiser par-derrière, il poussait tellement fort que sa tête était projeté en avant sur la queue de Cal qu’elle suçotait.

- Hmmm, comme ça, va - y plus fort mon salaud, fuck me, fuck, strong, more strong, vas - y plus fort déchire moi la chatte, tu vas me la mettre bien profond, c’est si bon !!!

- Tu l’aimes ma grosse pine, petite blanche, t’as une bonne chatte, je vais bien te la dilater, quand j’en aurai fini avec toi, ce sera une passoire, tu vas mouiller en permanence, oui ! Prends ça ! Et sa aussi ! Déclama Souleymane en ponctuant ses phrases de gros coup violent.

- OUIII ! Qu’est - ce quelle bonne, tu m’écartes bien, j’en veux plus, more, MORE !!!!

Ce mélange de Français et d’Anglais était un peu déroutant par moment, mais les coups de boutoir du vigile n’aider pas Dana à sucer.

Cal reprit alors les choses en main en lui prenant la tête à deux mains et enfonça sa bite le plus loin possible, la forçant à plusieurs gorges profondes : c’était jouissif de sentir son nez touchait son pubis.

- Ferme la salope ! On ne parle pas la bouche pleine, va - y bave bien sur la queue, oui comme ça ! Lèche-la bien !

Encore plusieurs minutes de cette configuration puis ils changèrent de position, la Québécoise s’empalant sur l’énorme bite du noir, Cal dut s’y reprendre à plusieurs fois, mais il parvint finalement à l’enculer, elle était totalement prise.

Notre sodomite sentait l’énorme queue du Black remuait dans sa chatte en dessous, ils bougeaient en cadence pour lui donner un max de plaisir et elle gueulait maintenant franchement même si cela n’avait pas l’air de réveiller tout le quartier encore.

Et puis l’impensable est arrivé : la queue de Cal glissa par inadvertance de son trou du cul à sa chatte et d’un coup, elle se retrouva embarquée dans un double vaginal.

Les deux gars prirent leurs parties et se mirent donc à la pistonner avec force, mais en faisant attention de ne pas la déchirer non plus.

Elle parvint la première à l’orgasme, sa mouille avait littéralement trempé le banc, mais eux n’avaient pas encore joui alors ils changèrent de position, Cal la laissa s’empaler en amazone inversée sur l’énorme mandrin de Souley avant de commencer à rentrer sa queue dans son con.

Il ne fallu pas plus de 5 minutes pour que les gars arrivent à la jouissance, ils la mirent assis entre eux deux et commencèrent à s’astiquer férocement au-dessus d’elle, ce fut un véritable torrent de foutre qui s’abattit sur elle : dans les cheveux, sur le visage, les joues, la bouche.

Elle nettoya consciencieusement le sperme restant sur la queue de Cal, puis se mit à suçoter le gland de Souleymane qui n’avait pas encore totalement dégonflé et qui semblait même reprendre de la vigueur.

Cal se dit qu’il allait laisser le vigile s’amusait encore un peu.

- Je vous la confie mon cher monsieur, elle est toute à vous, essayez juste de pas trop l’abîmer et de la déposer à son hôtel quand vous en aurez fini avec elle.

- Merci, monsieur, lui répondit-il, pour ce bon moment, on va encore bien s’amuser, pas vrai ma petite chienne ?

Elle hocha la tête, les yeux pétillants tout en essayant de rentrer le plus possible la queue entre ses lèvres.

À ce spectacle, la queue de Calvin commença un peu à regonfler, mais il avait d’autres projets en tête, tourna les talons, mais après 200 mètres, il entendit des gémissements pas vraiment étouffé, eh bien dis donc elle était bien tombé avec Souleymane.

Il reprit la voiture et repartit à Arcueil pour arriver avant la fin du service, ne perdit pas de temps en palabre avec Jessica et cela fit mouche directement.

Il ne regretta pas ce second round, surtout quand il sodomisa Jessica sur le capot de la Vanquish tout en se disant que Dana devait sûrement être en train de subir le même sort et puis la vue des gros seins de Jessica s’écrasant sur le capot était extatique, il la baisa bien et lui gicla au visage pendant qu’elle se trouvait à genoux entre les deux phares ouverts.

La suite de l’histoire, c’est Pierre - Émile qui lui raconta : Le directeur d’agence avait convoqué la drageonne à son retour à Montréal et lui avait mis sous le nez les photos et la vidéo de ces exploits parisiens que Cal lui avait envoyé.

Dix minutes plus tard, P-E lui faisait le cul avec vue sur le fleuve Saint - Laurent.

Il en a fait sa soumise et la baisait avec des amis(e)s dans des partouzes endiablés.

C’est lors de l’une de celles - ci à Montréal, que Cal re baisa Dana, entre deux coups de bite, elle lui raconta qu'après l’avoir encore niqué dans le parc, Souleymane l’avait ramené chez lui pour se faire la petite blanche jusqu’au petit matin.

Mais pas rassasiée pendant que le vigile dormait, Dana avait vidé les couilles du frangin Bamba que Souleymane hébergeait durant ces études sur Paris : l’étudiant de 19 ans était partie en cour complètement essorée.

Les avis des lecteurs

Cal est un terrible macho mais il est des circonstances où on apprécie!



Texte coquin : Dana, la mégère apprivoisée
Histoire sexe : Une rose rouge
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