Dans ce palace
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 18 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Ajax ont reçu un total de 176 327 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 357 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Dans ce palace
L'avantage dans ce palace, hors mis le confort et la bienveillance du personnel, c'est d'être parfaitement incognito dans la masse des gens qui le fréquente.
Je veux parler du Hilton de Rome près de l'aéroport Fiumicino et plus particulièrement de sa piscine.
Nous passons mon chéri et moi, la fin d'après midi allongés sur les transats délaissés par les familles et profitons des rayons de soleil encore chaud. Je constate autour de moi que la presque totalité des femmes ont quitté le haut de leurs bikinis, certaines ont aussi abandonnées le bas. J'ai cru comprendre que l'hôtel autorisait le naturisme sur ses plages à partir de 18h.
Ainsi fut fait, je prenais du plaisir à nager nue dans une eau tiède.
A ce stade de mon récit il est nécessaire de vous apporter quelques commentaires personnels concernant mon attitude libidineuse.
Ce qu’il faut savoir c’est que mon chéri adore m’exhiber. Au début, je m’exécutais pour le satisfaire. J’avoue qu’aujourd’hui je m’affiche, je m’expose aux regards des hommes et des femmes avec un plaisir que je partage aussi.
Sous une posture apathique je croisais le regard des hommes qui ne perdaient pas une occasion de se rincer l'œil. Il n'en fallait pas plus, pour m'encourager à m'offrir à leurs vues.
Sur le dos, j'ébauche une position statique, sous savez bien! On appelle ça, la planche que je réussis à stabiliser à l'aide un carré de mousse flottant que placé sous mes reins. Les yeux mi-clos je barbotte ainsi en ouvrant le compas de mes jambes pour afficher ma vulve à qui des soins d'épilation intégrale ont été apportés.
Quelques hommes qui me lorgnaient sont rentrés dans l'eau et m'entourent peu à peu. Je souris à mon chéri curieux du manège de ces hommes, qui pour certains d'entres eux sont pourtant accompagnés.
Ravie d'avoir allumé ces coquins je rejoins sagement mon compagnon dissuadant ainsi mes admirateurs occasionnels.
-Ton prochain défi, déclare mon amoureux polisson, sera de te faire enduire d'huile protectrice par celui de tes galants que tu choisiras.
Aussitôt dit, je pose mon dévolu sur un homme à la peau cuivré qui ne me quittent pas des yeux.
-Si parla francese? J'ai dis, pas très sur de mon accent.
-lei è questa bella donna, me répond l'un d'eux. Je pense que c'est un compliment et décide de m'installer près de lui en lui tendant le flacon d'huile.
-Ti massaggio voi, si tocca, e poi fare l'amore con te.
Les mots MASSAGE et AMOUR suffisent à comprendre les intentions du garçon. Pour l'instant allongée sur le ventre, je le laisse s'occuper de me tartiner, me caresser, me cajoler les épaules, la nuque jusqu'aux chevilles ou à la plante des pieds. C'est divin. Progressivement toutes les parties accessibles de mon anatomie sont abordées. Je succombe à ce plaisir au point de presque m'assoupir pleinement détendue. Parfaitement immobile, je tressaille intérieurement en imaginant une main indiscrète s'immiscer dans le sillon de mes fesses et venir aiguillonner mon petit bouton largement huilé. Des passages répétés sur cet orée délicat suffisent à exalter mes sens autant que mes chairs. Je prends conscience que ce n'est pas un songe et qu'en effet le "bel Giovane" s'est concentré sur l'entrée de mon cul et s'ingénie d'un doigt fouineur à franchir le seuil. Je le sens pénétrer ce passage étroit et me livre totalement. Bien cambré il prend possession de mon fondement.
Je sens le regard d'autres hommes sur moi et consciente de mon indécente position, je retiens à peine mes soupirs d'extase. Ses doigts largement lubrifiés rentrent et sortent sans efforts dans mon rectum et le fouillent gaillardement. Saisie de secousses incontrôlables, c'est un plaisir aussi fulgurant que difficile à décrire qui m'a submergé. Chancelante je rejoins mon chéri qui m'accueille en m'applaudissant.
- Sei fatto per l'amore e il sesso! (Tu es faite pour l'amour et le sexe!) déclame-il haut et fort.
Fin du premier round !
Dans la galerie du palace, je ne résiste pas à quelques emplettes et les bras chargés de sacs je pénètre dans l’assesseur rejoins aussitôt par mon masseur de fortune.
Son sourire charmeur m’accompagne jusqu’au niveau du parking souterrain.
- Io porto i bagagli ! Dit-il en me privant de mes sacs. Il les dépose dans le coffre de mon véhicule et viens m’enlacer de ses bras musclés avant que je ne puisse réagir.
Il parvient à me déséquilibrer et me presse sur le capot de l’Audi.
- Fottermi ! (Baise-moi !) Je lui souffle à l’oreille en remontant mes jambes.
Il écarte l’élastique de mon string et viens me saillir dès son mandrin mis au clair.
Je sens la carrosserie rebondir sous les assauts puissants de l’étalon en rut. Et en quelques charges fougueuses nos corps se soudent dans une contraction considérable, accompagnés de l’éco de nos râles libérateurs.
L’italien disparait dès qu’il réalise que mon amoureux confortablement installé au volant, a été le spectateur privilégié, invisible derrière les vitres sur-teintées.
Fin du second rond !
Fin également de notre séjour dans la ville des sept collines.
Je vous raconterai un jour quelques-unes de mes autres aventures dans la città di Papa, en attendant, nous voila dans la salle d’embarquement où l’activité principale des passagers consiste à se scruter les uns les autres.
Pour agrémenté ce jeu monotone mon chéri me met au défi de retirer ma culote et de l’offrir à un passager. Je lui souris en imaginant quel scenario j’allais employer pour gagner cette partie.
Hésitante, je me lève de mon siège, pour choisir ma proie quand une main se pose sur mon épaule. Je reconnais évidement mon bellâtre bronzé dans une chemise blanche et un jean serré. Je lui prends la main et l’attire un peu à l’écart des regards partiellement protégé par un panneau publicitaire.
-Prende il mio tanga! per favore. Dis-je en rougissant un peu.
Un instant de surprise écoulé, il s’accroupit et passe les mains sous ma robe, à la recherche de la fine étoffe. Apres quelques mouvements chaloupés nous rejoignions mon compagnon réjoui d’une victoire aussi rapide.
-Congratulazioni, signoré. Gardez le string, c’est un cadeau en gage d’estime! décida mon chéri en invitant l’italien à s’assoir prés de moi.
-Je vous avoue que je parle parfaitement votre langue et je vous félicite pour votre audace et la beauté de madame.
-Ce compliment méritera une récompense qu’il faudra accorder pendant le vol à notre galant soupirant. Qu'en dis-tu ma chérie?
Assise en queue d’avion, entre mon chéri et le beau transalpin, j’ai une heure pour concrétiser la petite galanterie promise. Apres avoir obtenu un plaid pour me protéger de la clim je demande à mes voisins de me retirer l’un après l’autre mes vêtements. Mon chéri ouvre le bal en ouvrant d’un seul élan le zip de ma robe qui tombe à mes pieds. Je ne porte à présent plus que mes escarpins et un soutien-gorge de dentelle noir à balconnets puisque ma culotte est dans la poche du rital. Celui-ci s’emploie à défaire l’attache dans mon dos. Je suis nue maintenant.
Finalement l’espace étant trop congru j’invite mon jeune voisin à me suivre dans les toilettes situées juste derrière nous, juste abrité des regards par ce petit carré de couverture. Dès la porte close, il me soulève une jambe pour la reposer sur le petit lavabo. Rapidement son jean dégringole à ces pieds et son sexe bien bandé me pénètre facilement je vous l’accorde, déjà bien chauffée par ce striptease en cabine. De biens amples allés et retours dans mon vagin font monter en moi un plaisir croissant bientôt à la hauteur de notre altitude. Son ardeur me colle contre la paroi dans un battement rythmé que les passagers proche ne peuvent pas ignorer. Je ne cherche pas à amortir ces coups trop grisée par l’ivresse de l’étreinte.
-Tutto va bene ? S’inquiette l’hôtesse de l’autre coté de la porte.
-Yes I do. We fuck ! Lui répond mon polyglotte érectile.
La charge de nos corps accouplés continue, redouble même. C’est le vide sous mes pieds, mon corps explose sous les coups de butoir de la bête en rut que je n’esquive pas. Mon ventre, mon sexe l’aspire, je l’enjoins à venir encore plus puissant, plus vigoureux dans ce coït qui nous amène ensemble (Je vous le donne en mille…) au septième ciel.
Fin du troisième rond !
Je veux parler du Hilton de Rome près de l'aéroport Fiumicino et plus particulièrement de sa piscine.
Nous passons mon chéri et moi, la fin d'après midi allongés sur les transats délaissés par les familles et profitons des rayons de soleil encore chaud. Je constate autour de moi que la presque totalité des femmes ont quitté le haut de leurs bikinis, certaines ont aussi abandonnées le bas. J'ai cru comprendre que l'hôtel autorisait le naturisme sur ses plages à partir de 18h.
Ainsi fut fait, je prenais du plaisir à nager nue dans une eau tiède.
A ce stade de mon récit il est nécessaire de vous apporter quelques commentaires personnels concernant mon attitude libidineuse.
Ce qu’il faut savoir c’est que mon chéri adore m’exhiber. Au début, je m’exécutais pour le satisfaire. J’avoue qu’aujourd’hui je m’affiche, je m’expose aux regards des hommes et des femmes avec un plaisir que je partage aussi.
Sous une posture apathique je croisais le regard des hommes qui ne perdaient pas une occasion de se rincer l'œil. Il n'en fallait pas plus, pour m'encourager à m'offrir à leurs vues.
Sur le dos, j'ébauche une position statique, sous savez bien! On appelle ça, la planche que je réussis à stabiliser à l'aide un carré de mousse flottant que placé sous mes reins. Les yeux mi-clos je barbotte ainsi en ouvrant le compas de mes jambes pour afficher ma vulve à qui des soins d'épilation intégrale ont été apportés.
Quelques hommes qui me lorgnaient sont rentrés dans l'eau et m'entourent peu à peu. Je souris à mon chéri curieux du manège de ces hommes, qui pour certains d'entres eux sont pourtant accompagnés.
Ravie d'avoir allumé ces coquins je rejoins sagement mon compagnon dissuadant ainsi mes admirateurs occasionnels.
-Ton prochain défi, déclare mon amoureux polisson, sera de te faire enduire d'huile protectrice par celui de tes galants que tu choisiras.
Aussitôt dit, je pose mon dévolu sur un homme à la peau cuivré qui ne me quittent pas des yeux.
-Si parla francese? J'ai dis, pas très sur de mon accent.
-lei è questa bella donna, me répond l'un d'eux. Je pense que c'est un compliment et décide de m'installer près de lui en lui tendant le flacon d'huile.
-Ti massaggio voi, si tocca, e poi fare l'amore con te.
Les mots MASSAGE et AMOUR suffisent à comprendre les intentions du garçon. Pour l'instant allongée sur le ventre, je le laisse s'occuper de me tartiner, me caresser, me cajoler les épaules, la nuque jusqu'aux chevilles ou à la plante des pieds. C'est divin. Progressivement toutes les parties accessibles de mon anatomie sont abordées. Je succombe à ce plaisir au point de presque m'assoupir pleinement détendue. Parfaitement immobile, je tressaille intérieurement en imaginant une main indiscrète s'immiscer dans le sillon de mes fesses et venir aiguillonner mon petit bouton largement huilé. Des passages répétés sur cet orée délicat suffisent à exalter mes sens autant que mes chairs. Je prends conscience que ce n'est pas un songe et qu'en effet le "bel Giovane" s'est concentré sur l'entrée de mon cul et s'ingénie d'un doigt fouineur à franchir le seuil. Je le sens pénétrer ce passage étroit et me livre totalement. Bien cambré il prend possession de mon fondement.
Je sens le regard d'autres hommes sur moi et consciente de mon indécente position, je retiens à peine mes soupirs d'extase. Ses doigts largement lubrifiés rentrent et sortent sans efforts dans mon rectum et le fouillent gaillardement. Saisie de secousses incontrôlables, c'est un plaisir aussi fulgurant que difficile à décrire qui m'a submergé. Chancelante je rejoins mon chéri qui m'accueille en m'applaudissant.
- Sei fatto per l'amore e il sesso! (Tu es faite pour l'amour et le sexe!) déclame-il haut et fort.
Fin du premier round !
Dans la galerie du palace, je ne résiste pas à quelques emplettes et les bras chargés de sacs je pénètre dans l’assesseur rejoins aussitôt par mon masseur de fortune.
Son sourire charmeur m’accompagne jusqu’au niveau du parking souterrain.
- Io porto i bagagli ! Dit-il en me privant de mes sacs. Il les dépose dans le coffre de mon véhicule et viens m’enlacer de ses bras musclés avant que je ne puisse réagir.
Il parvient à me déséquilibrer et me presse sur le capot de l’Audi.
- Fottermi ! (Baise-moi !) Je lui souffle à l’oreille en remontant mes jambes.
Il écarte l’élastique de mon string et viens me saillir dès son mandrin mis au clair.
Je sens la carrosserie rebondir sous les assauts puissants de l’étalon en rut. Et en quelques charges fougueuses nos corps se soudent dans une contraction considérable, accompagnés de l’éco de nos râles libérateurs.
L’italien disparait dès qu’il réalise que mon amoureux confortablement installé au volant, a été le spectateur privilégié, invisible derrière les vitres sur-teintées.
Fin du second rond !
Fin également de notre séjour dans la ville des sept collines.
Je vous raconterai un jour quelques-unes de mes autres aventures dans la città di Papa, en attendant, nous voila dans la salle d’embarquement où l’activité principale des passagers consiste à se scruter les uns les autres.
Pour agrémenté ce jeu monotone mon chéri me met au défi de retirer ma culote et de l’offrir à un passager. Je lui souris en imaginant quel scenario j’allais employer pour gagner cette partie.
Hésitante, je me lève de mon siège, pour choisir ma proie quand une main se pose sur mon épaule. Je reconnais évidement mon bellâtre bronzé dans une chemise blanche et un jean serré. Je lui prends la main et l’attire un peu à l’écart des regards partiellement protégé par un panneau publicitaire.
-Prende il mio tanga! per favore. Dis-je en rougissant un peu.
Un instant de surprise écoulé, il s’accroupit et passe les mains sous ma robe, à la recherche de la fine étoffe. Apres quelques mouvements chaloupés nous rejoignions mon compagnon réjoui d’une victoire aussi rapide.
-Congratulazioni, signoré. Gardez le string, c’est un cadeau en gage d’estime! décida mon chéri en invitant l’italien à s’assoir prés de moi.
-Je vous avoue que je parle parfaitement votre langue et je vous félicite pour votre audace et la beauté de madame.
-Ce compliment méritera une récompense qu’il faudra accorder pendant le vol à notre galant soupirant. Qu'en dis-tu ma chérie?
Assise en queue d’avion, entre mon chéri et le beau transalpin, j’ai une heure pour concrétiser la petite galanterie promise. Apres avoir obtenu un plaid pour me protéger de la clim je demande à mes voisins de me retirer l’un après l’autre mes vêtements. Mon chéri ouvre le bal en ouvrant d’un seul élan le zip de ma robe qui tombe à mes pieds. Je ne porte à présent plus que mes escarpins et un soutien-gorge de dentelle noir à balconnets puisque ma culotte est dans la poche du rital. Celui-ci s’emploie à défaire l’attache dans mon dos. Je suis nue maintenant.
Finalement l’espace étant trop congru j’invite mon jeune voisin à me suivre dans les toilettes situées juste derrière nous, juste abrité des regards par ce petit carré de couverture. Dès la porte close, il me soulève une jambe pour la reposer sur le petit lavabo. Rapidement son jean dégringole à ces pieds et son sexe bien bandé me pénètre facilement je vous l’accorde, déjà bien chauffée par ce striptease en cabine. De biens amples allés et retours dans mon vagin font monter en moi un plaisir croissant bientôt à la hauteur de notre altitude. Son ardeur me colle contre la paroi dans un battement rythmé que les passagers proche ne peuvent pas ignorer. Je ne cherche pas à amortir ces coups trop grisée par l’ivresse de l’étreinte.
-Tutto va bene ? S’inquiette l’hôtesse de l’autre coté de la porte.
-Yes I do. We fuck ! Lui répond mon polyglotte érectile.
La charge de nos corps accouplés continue, redouble même. C’est le vide sous mes pieds, mon corps explose sous les coups de butoir de la bête en rut que je n’esquive pas. Mon ventre, mon sexe l’aspire, je l’enjoins à venir encore plus puissant, plus vigoureux dans ce coït qui nous amène ensemble (Je vous le donne en mille…) au septième ciel.
Fin du troisième rond !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ajax
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...