Promesse
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Promesse
Je vous pose la question, à vous cher lecteur. Vous qui savez que mon mari me laisse libre de rencontrer des hommes. Oui ! Cela peut vous sembler étrange mais c’est ainsi et je ne vais sûrement pas m’en plaindre, mon homme revendique mon droit à la liberté sexuelle, à ma liberté. Mieux encore ! Il m’encourage à aller à la rencontre d’homme susceptible de me plaire.
Alors je vous le demande : Dois-je accepter l’invitation de cet homme ? Bel homme au demeurant, charmant et gentil. Je le croise assez souvent dans l’exercice de son travail, lors de mes tournées de patients, car il exerce le même métier que moi qui suis, vous le savez, infirmière libérale.
Bastien, c’est son prénom, il a repris contact avec moi sur le groupe WhatsApp de l’association professionnelle à l’occasion de la nouvelle année pour me souhaiter ses bons vœux. Je lui ai répondu en message privé sur Messenger, par politesse évidemment, mais aussi pour lui demander de me confier les siens.
C’était une question bateau évidemment, hardie que je me suis amusée à lui poser. Je me doutais bien qu’il allait en profiter pour tenter un rapprochement galant. Je ne me suis pas trompé et je vous livre sa réponse à mon message.
« Bonsoir Sabine et merci pour ta réponse. On a l’occasion de se croiser quelques fois dans notre belle cité arlésienne mais nous n’avons jamais le temps de nous parler plus de quelques secondes. Alors je te confie que mon plus grand souhait pour cette année qui commence, c’est de t’avoir en face de moi et pouvoir contempler ton sourire ensorceleur et tes courbes harmonieuses. Je te propose de nous rejoindre un de ces soir autour d’un verre. »
Je vous ai poser la question, mais j’ai la vague idée que vous m’auriez encouragés à accepter de rencontrer ce Casanova. Et en effet, mon histoire se serait rapidement terminée si je n’avais pas étanché ma curiosité féminine.
Donc oui ! Je l’ai rejoint un soir vers 20h à l’Irish Pub, une brasserie à la mode dans le centre-ville, qui a l’originalité de proposer trois salles superposées. Bastien m’attendait dans la salle la plus élevée, meublée de tables basses assorties de petits fauteuils club en tête à tête. Nous étions seuls, un éclairage tamisé et une musique douce contrastait avec les clips assourdissant des salles d’en dessous.
Il faisait beau ce jour-là, mais dehors un froid vif avait remplacé le soleil disparu. J’ai grimpé les escaliers deux à deux et c’est un peu essoufflée que je lui ai claqué trois bises sur les joues. Je me suis vite débarrassée de mon écharpe et de mon manteau et c’est en tailleur pantalon que je me suis assise en face de lui.
Tu es très élégante m’a-t-il complimenté avec un large sourire, tout en fixant l’embrasure de ma veste qui laissait facilement apparaître la broderie de mon bustier
échancré. En me penchant vers lui pour attraper la flûte de champagne qu’on venait de nous apporter, il ne perdait pas une miette de l’exhibition que je lui offrais.
Je dois vous avouer que ma décision de céder à ses avances était acquise dès lors que j’acceptais son invitation à venir ici.
Ça n’a pas été bien long, au prétexte de me faire une confidence à l’oreille, nos joues se sont frôlées, il a retenu mon visage d’un geste doux et nos lèvres se sont touchées furtivement d’abord, avant de se rejoindre de nouveau pour un baiser gourmand. L’envie d’un contact plus charnel nous titillait mais l’endroit n’était pas propice à l’expression de notre faim de caresses.
Puis Bastien s’est levé de son fauteuil, j’en ai fait autant, il est venu se coller contre moi, il m’a prise dans ses bras en me plaquant habilement contre le mur capitonné. Une cloison partielle faisait obstacle à l’escalier si bien que j’ai toléré les mains curieuses de mon courtisan qui s’aventuraient sous mon bustier à la rencontre de ma poitrine.
Celle qui n’a jamais connu ce plaisir fulgurant de la transgression, d’une initiative prohibée mais délicieuse ne comprendra pas pourquoi j’ai toléré, j’ai même encouragé mon charmeur à me débarrasser de ma veste et à enfoncer sa tête entre mes seins au risque de nous exposer à l’hostilité de clients égarés.
Il a dégrafé mon soutien-gorge. Je me suis cambré quand sa langue faisait rouler le bout de mes tétons tendus pendant que ses mains curieuses se faufilaient sur mes fesses guidées par le feu de mon entrejambe.
Je vous confesse que je me suis agenouillée, frémissante et humide, en portant à ma bouche le sexe bandé que je venais de libérer d’une main leste. Ce plaisir de sentir cette verge gonflée qui coulissait facilement jusque dans ma gorge se conjuguait exactement avec celui qui imprimait fermement un rythme soutenu, en tenant ma nuque contre son pubis. J’ai avalé sans aversion et sans hésitation la semence de mon sémillant cavalier avant de me rabibocher pour le suivre vers un lieu où nos corps pourront s’accoupler avec aisance.
La suite de cette aventure, je vous promets de la partager avec vous dès que je l’aurai vécue. Aussi étrange que cela puisse vous paraître, les mots que vous lisez ont été couché sur une feuille blanche avant que ne se réalisent véritablement ces moments extraordinaires.
Mais la réalité a rattrapé la fiction comme s’il s’agissait d’une prédiction, et la suite de ce récit sera la transcription précise de ma passionnante confession. Je vous l’ai promis !
Alors je vous le demande : Dois-je accepter l’invitation de cet homme ? Bel homme au demeurant, charmant et gentil. Je le croise assez souvent dans l’exercice de son travail, lors de mes tournées de patients, car il exerce le même métier que moi qui suis, vous le savez, infirmière libérale.
Bastien, c’est son prénom, il a repris contact avec moi sur le groupe WhatsApp de l’association professionnelle à l’occasion de la nouvelle année pour me souhaiter ses bons vœux. Je lui ai répondu en message privé sur Messenger, par politesse évidemment, mais aussi pour lui demander de me confier les siens.
C’était une question bateau évidemment, hardie que je me suis amusée à lui poser. Je me doutais bien qu’il allait en profiter pour tenter un rapprochement galant. Je ne me suis pas trompé et je vous livre sa réponse à mon message.
« Bonsoir Sabine et merci pour ta réponse. On a l’occasion de se croiser quelques fois dans notre belle cité arlésienne mais nous n’avons jamais le temps de nous parler plus de quelques secondes. Alors je te confie que mon plus grand souhait pour cette année qui commence, c’est de t’avoir en face de moi et pouvoir contempler ton sourire ensorceleur et tes courbes harmonieuses. Je te propose de nous rejoindre un de ces soir autour d’un verre. »
Je vous ai poser la question, mais j’ai la vague idée que vous m’auriez encouragés à accepter de rencontrer ce Casanova. Et en effet, mon histoire se serait rapidement terminée si je n’avais pas étanché ma curiosité féminine.
Donc oui ! Je l’ai rejoint un soir vers 20h à l’Irish Pub, une brasserie à la mode dans le centre-ville, qui a l’originalité de proposer trois salles superposées. Bastien m’attendait dans la salle la plus élevée, meublée de tables basses assorties de petits fauteuils club en tête à tête. Nous étions seuls, un éclairage tamisé et une musique douce contrastait avec les clips assourdissant des salles d’en dessous.
Il faisait beau ce jour-là, mais dehors un froid vif avait remplacé le soleil disparu. J’ai grimpé les escaliers deux à deux et c’est un peu essoufflée que je lui ai claqué trois bises sur les joues. Je me suis vite débarrassée de mon écharpe et de mon manteau et c’est en tailleur pantalon que je me suis assise en face de lui.
Tu es très élégante m’a-t-il complimenté avec un large sourire, tout en fixant l’embrasure de ma veste qui laissait facilement apparaître la broderie de mon bustier
échancré. En me penchant vers lui pour attraper la flûte de champagne qu’on venait de nous apporter, il ne perdait pas une miette de l’exhibition que je lui offrais.
Je dois vous avouer que ma décision de céder à ses avances était acquise dès lors que j’acceptais son invitation à venir ici.
Ça n’a pas été bien long, au prétexte de me faire une confidence à l’oreille, nos joues se sont frôlées, il a retenu mon visage d’un geste doux et nos lèvres se sont touchées furtivement d’abord, avant de se rejoindre de nouveau pour un baiser gourmand. L’envie d’un contact plus charnel nous titillait mais l’endroit n’était pas propice à l’expression de notre faim de caresses.
Puis Bastien s’est levé de son fauteuil, j’en ai fait autant, il est venu se coller contre moi, il m’a prise dans ses bras en me plaquant habilement contre le mur capitonné. Une cloison partielle faisait obstacle à l’escalier si bien que j’ai toléré les mains curieuses de mon courtisan qui s’aventuraient sous mon bustier à la rencontre de ma poitrine.
Celle qui n’a jamais connu ce plaisir fulgurant de la transgression, d’une initiative prohibée mais délicieuse ne comprendra pas pourquoi j’ai toléré, j’ai même encouragé mon charmeur à me débarrasser de ma veste et à enfoncer sa tête entre mes seins au risque de nous exposer à l’hostilité de clients égarés.
Il a dégrafé mon soutien-gorge. Je me suis cambré quand sa langue faisait rouler le bout de mes tétons tendus pendant que ses mains curieuses se faufilaient sur mes fesses guidées par le feu de mon entrejambe.
Je vous confesse que je me suis agenouillée, frémissante et humide, en portant à ma bouche le sexe bandé que je venais de libérer d’une main leste. Ce plaisir de sentir cette verge gonflée qui coulissait facilement jusque dans ma gorge se conjuguait exactement avec celui qui imprimait fermement un rythme soutenu, en tenant ma nuque contre son pubis. J’ai avalé sans aversion et sans hésitation la semence de mon sémillant cavalier avant de me rabibocher pour le suivre vers un lieu où nos corps pourront s’accoupler avec aisance.
La suite de cette aventure, je vous promets de la partager avec vous dès que je l’aurai vécue. Aussi étrange que cela puisse vous paraître, les mots que vous lisez ont été couché sur une feuille blanche avant que ne se réalisent véritablement ces moments extraordinaires.
Mais la réalité a rattrapé la fiction comme s’il s’agissait d’une prédiction, et la suite de ce récit sera la transcription précise de ma passionnante confession. Je vous l’ai promis !
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