Dans la batiment - histoire érotique

Dans le bâtiment
A cette période je travaillais avec mon père dans son entreprise de bâtiment, dans l’attente de mon départ pour l’armée. Je n’aimais pas franchement ce job mais pour lui faire plaisir, pour dire que je n’avais pas honte de son travaille j’avais cédé à sa demande, je me suis retrouvé à faire de la peinture dans les immeubles en construction. Après quelques querelles avec ses collègues je me suis retrouvé à faire des façades d’immeubles en rénovation. Je me retrouve donc avec une nettoyeuse haute pression sur les balcons, les riverains devaient fermer leurs volets lorsque j’arrivais à leur hauteur pourtant certain ne le faisait pas et avant qu’ils s’aperçoivent que j’étais sur leur balcon j’assistais à leur vie privée. Un matin je me suis retrouvé à participer au départ d’un mari remplacé par un amant peu de temps après ou encore une femme qui vivait nue dans son appartement des situations indiscrètes qui ne manquaient pas de m’exister avec le tuyau de nettoyeur à haute pression entre les cuisses; les vibrations me massaient les couilles comme un vibor masse le vagin d’une femme, les sensations sont très fortes, je bande très dur et quand je sens le plaisir arriver je descends l’échafaudage quatre à quatre et me finis dans le petit bois qui se trouve à l’arrière du bâtiment. Arriver à la moitié du bâtiment je me suis retrouvé sur « le balcon » qu’il ne fallait pas rater, c’est tôt le matin il ne fait pas chaud, je prépare mon matériel je souffle dans mes mains et à travers la fenêtre je vois une superbe fille en nuisette sexy, je fais semblé de ne pas la voire, elle passe d’une pièce à l’autre avec nonchalance je la suis du regard, je fixe son entrejambe avec espoir d’y voir quelque chose, ses seins sont visibles avec ses tétons qui pointent, elle boit un café, je souffle encore dans mes mains pour me réchauffer et là elle me voit, surprise elle court dans sa chambre revenant en robe de chambre plus sobre, elle ouvre la porte de son balcon et me demande ce que je fais là. Je lui donne le nom de mon entreprise et lui dit qu’elle a dû recevoir une lettre qui l’avertissait de notre passage pour le revêtement de leur immeuble. Elle rougit et se souvient de la lettre et pour se faire pardonner m’invite à entrer pour me réchauffer et m’offre un café, pendant qu’elle prépare elle me pose des questions, d’où je viens, pourquoi je fais ce travail, elle m’explique qu’elle est avocate et qu’elle commençait tout juste sa carrière et lorsqu’elle se retourne vers moi sa robe de chambre s’ouvre et laisse son corps recouvert de sa légère nuisette réapparaitre à mes yeux, elle réagit vite en s’excusant, je lui réponds que c’est que du plaisir et que depuis plusieurs semaines j’en avais vu d'autres, elle me demande des détails, je me sens en confiance et lui dit tout ce que j’ai vu, les différentes choses et surtout les trucs sexy, je la sens gêner mais pas choquer, elle se confie en me disant qu’elle n’avait pas eu de relation depuis un bon moment, je pousse jusqu’à lui dire que les situations d’adultère dont j’ai assistez-m ’avait existé grave et là elle demande ce que je fais, je lui réponds cacher que je me masturbe, elle a chaud et retire sa robe de chambre et je voie ses tétons qui pointes, je ne manque pas de lui donner des détails précis et sexy, je ne me prive pas du spectacle, elle est existée, je lui dis que je vais la laisser et reprendre mon travail, l’avocate balbutie ce que je vais faire et je lui réponds que je fais me branler, elle bouffe et me laisse sortir, de retour sur le balcon je me dis que j’ai raté mon approche et essaie de reprendre le travail mais je n’arrive pas à me concentrer, j’ai une demi-gaule qui ne veut pas se ramollir, je jette un coup d’œil dans l’appartement je ne la vois plus, un volet s’ouvre c’est celui de sa chambre mais il n’est pas sur le balcon, il faut que je me penche pour voir la fenêtre mais je ne vois rien, je regarde à nouveau et un miroir de chambre a été déplacer, je regarde dans le miroir et je vois l’avocate sur son lit la main entre ses jambes, elle se caresse, elle se doigte, elle sait que je regarde et elle continue, je bande super fort je n'ai pas envie de descendre l’échafaudage, je me mets la main dans la cote de travail j’y sors ma queue et commence une petite branlette, le fait d’avoir baisser mon pantalon sous ma combi m’existe encore plus, je regarde une fois de plus par la fenêtre de la chambre, elle n’est plus là, je me retourne et je la vois qui me regarde par la fenêtre de la cuisine elle ouvre et fait signe de la rejoindre, pas un mot n’ait dit, j’entre, elle me colle contre le mur et baisse la fermeture éclair de mon habit de travail, elle découvre ma bite raide entre mes doigts que j’avais glissés par la manche, elle les recouvre des siens et me masturbe, elle approche sa bouche de mon pénis à l’enveloppe en entier et commence une pipe d’enfer, je me déshabille en quelques secondes, elle se caresse la chatte, je la colle sur la table et lui bouffe la chatte; ma langue et ses doigts se mêlent sur son clito, elle jouit bruyamment, elle me demande de la prendre, je lui enfile mon engin dans son vagin humide elle lâche encore des sons et me prend la nuque pour me fourrer la langue dans la bouche, elle me mort, gémit, se caresse pendant que je la lime et je sens que je vais jouir, elle le sent aussi et là s’est-elle qui me retourne sur la table et reprend la bite dans sa bouche et qui me pompe, je ne peux retenir plus longtemps mon foutre lui gicle dans sa gorge elle suce sans en prendre une goutte, elle me nettoie l’instrument nickel. Pendant toute la durée du chantier je faisais une petite visite à mon avocat au moins une fois par jour, enfaite s’était pas si mal le bâtiment.