Un rêve
Récit érotique écrit par Kiteuf35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un rêve
Un rêve
Cette année-là, la France était dans un hiver particulièrement froid, des périodes de neige étaient fréquentes, même dans ma région qui n’a pas la réputation de s’enneiger. Ce jour précisément ma femme me dit de ne pas retourner au travail après ma coupure de l’après-midi, mais je n’écoute que ma conscience professionnelle et retourne dans mon restaurent, j’ai une vingtaine de kilomètres entre mon domicile et mon job, l’aller se passe bien, vent, pluie rien de bien méchant, j’arrive au resto et après une heure t’attente je vois les premiers flocons, je décide de rentrer voyant la soirée morte. Le temps de ranger deux trois choses je sors de l’établissement et je suis sous un déluge de neige, je prends ma voiture et part sur la route avec prudence, arrivé sur la quatre voie je m’aperçois que je ne peux plus avancer impossible de faire marche arrière, je ne suis pas le seule à avoir la brillante idée de sortir par un temps pareille. Coincée, j’envoie des s m s pour prévenir ma famille de la situation et décide de rester dans la voiture sur le bas-côté, quelques minutes plus tard le téléphone sonne, je réponds « salut c’est Justine ma sœur m’a dit que tu étais coincé dans ta voiture, je le suis aussi à mon travail, si tu le peux rejoint moi je suis seule tous mes collègues on réussit à rentrer chez eux. » je réponds à ma belle-sœur que je suis à côté et qu’il me faut au moins dix minutes pour la rejoindre par ce temps. Je me prépare chaudement et part pour l’aventure en plein blizzard. Il ne m’a pas fallu dix minutes pour arriver jusqu’à l’entreprise de Justine mais une demi-heure, je suis arrivé complètement tremper, geler, mes doigts me brulaient par le froid, mes pieds étaient congelés, me voyant débarquer en retard Justine était dans un état de stress et d’inquiétude qu’elle me lança en ouvrant la porte « j’étais morte d’inquiétude, que s’est-il passé ? » je ne pouvais pas répondre, je claquais des dents, elle me prit par la taille et m’invita à la suivre, nous sommes arrivés dans une salle de repos où il y avait tout le confort, Justine me déshabillait en me disant que je pouvais pas reste avec mes vêtements humides, je n’avais même pas la force de répondre, parvenu en caleçons, elle m’allongeât sur la banquette qui faisait office de lit puis me recouvrit. Je n’arrivais pas à me réchauffer alors Justine se clisse sous la couverture et se coule à moi, elle est chaude je colle mon visage sur son dos pour sa chaleur et épouse son corps, je la sers dans mes bras et la chaleur augmente plus vite, je ne grelotte plus, je lui dis que je vais mieux elle répond qu’il vaut mieux rester ainsi encore un peu, je respire dans ces cheveux mon souffle se renforce et sans que je m’en aperçoive j’ai une demi-gaule alors j’essaie de me retirer, Justine insiste pour rester encore dans cette position sous prétexte que je ne suis pas si chaud que ça. La situation devient délicate je sens mon organe gonfler et plus je ne veux pas qu’il enfle puis il augmente de volume et lorsque je suis au maximum j’ai peur que ma voisine la sente, je recule donc de quelques centimètres, elle me rappelle à l’ordre « que fais-tu, colles-toi à moi tu vas te refroidir » je lui réplique que je ne pouvais plus, elle rétorque « si sait pour ta bite qui gonfle entre mes fesses cela ne me dérange pas, puisque ma sœur ne tarit pas déloge sur ton pénis je vais pouvoir vérifier ». Justine se recule pour me coller de nouveau, je suis accolé au mur je ne peux éviter qu’elle remue du cul pour replacer mon membre dur entre ses fesses, je ne dis rien, je la ressers dans mes bras et accentue la force pour qu’elle sente bien à travers de son pantalon de toile mon engin, je lui susurre à l’oreille « en tout bien tout honneur ». D’un bon elle se retourne, nos visages sont très proches elle me regarde dans les yeux et dit « tu sais où tu peux te le mettre ton honneur. » Un silence « mais ta bite tu vas me la mettre ok. »Je ne sais que dire, quoi faire, je suis sous la surprise, je la savais chiante et chaude comme une salope mais je suis son beau-frère, je balbutie que je ne veux pas car j’aime ma femme, rien à voir me dit-elle, c’est purement sexuel et elle clisse sa main dans mon sous-vêtement agrippant ma verge, elle la caresse, la masturbe, me touche les couilles, son corsage laisse deviner une poitrine ronde bien former et de belle taille, Justine me dit que je peux l’ouvrir, je n’ose pas, , j’en ai très envie mais m’y refuse, alors elle me monte dessus en amazone et en déboutonne son vêtement me masse la bite avec son sexe à travers ses habits, elle ouvre son chemisier, elle a des dessous très sexe et sa poitrine est très volumineuse, ronde, elle retire sont soutien-gorge, ses seins restent en position, ils sont magnifiques, je ne plus caché mon envie de la caresser, Justine le voit et elle me prend les mains, les posent sur elle, je bande fort, dur, elle se penche et d’un geste vire son pantalon, sexe contre sexe seul nos sous-vêtements nous séparent et la petite salope se tortille, je sens son sexe humide, il y a un début de pénétration à travers les tissus fins, c’est alors qu’elle descend le long de mon corps en le léchant pour arriver à hauteur de mon caleçon, j’ai un sursaut de conscience et lui dit que je ne pas, elle me répond que c’est trop tard, effectivement c’est trop tard elle là ma queue dans la bouche, elle me branle en me suçant à grande vitesse; j’ai l’impression qu’elle va me bouffer la bite, d’un coup elle remonte sur moi en amazone son boxer a disparu, Justine attrape mon braque maar et se l’introduit directe dans son vagin ce qui fait lâcher un cri de plaisir. Maintenant elle bouge son bassin en faisant des ronds, la sauvageonne me serre les pectoraux, je sens qu’elle va jouir, elle va de plus en plus vite, des râles sortent de sa gorge qu’elle a profonde, elle crie, elle jouit, sans s’arrêter, ralentie et se met en position levrette, pas besoin de mots je comprends ce qu’elle veut lorsque je voie son anus dilaté, je lui introduis en une seule fois, elle gémit et reprend son mouvement du bassin, on dirait un cul africain qui danse, mes mains lui serrent les hanches, nous baisons énergiquement, les aller-retour se vont sur toute la longueur de mon sexe, je change d’orifice et reprends les coups de reins puissants, elle gémit, souffle se caresse les clitos, je sens que je vais jouir alors je me retire, je me mets en position debout le long du lit improvisé, Justine s’assoie au bord et met ma bite dans sa bouche. Elle prend mes couilles et les caresse en me suçant, Justine travaille bien tellement bien que je sens la sauce qui monte, je lui prends les cheveux et accompagne les mouvements d’aller-retour, je vais jouir et au même moment j’ai un frisson dans le dos, je frémis et je me réveille dans ma voiture je bande comme un taureau et je suis dégouté mais au moins les chasses neige sont là, je peux rentrer, je vais prendre ma femme comme un fou.
Cette année-là, la France était dans un hiver particulièrement froid, des périodes de neige étaient fréquentes, même dans ma région qui n’a pas la réputation de s’enneiger. Ce jour précisément ma femme me dit de ne pas retourner au travail après ma coupure de l’après-midi, mais je n’écoute que ma conscience professionnelle et retourne dans mon restaurent, j’ai une vingtaine de kilomètres entre mon domicile et mon job, l’aller se passe bien, vent, pluie rien de bien méchant, j’arrive au resto et après une heure t’attente je vois les premiers flocons, je décide de rentrer voyant la soirée morte. Le temps de ranger deux trois choses je sors de l’établissement et je suis sous un déluge de neige, je prends ma voiture et part sur la route avec prudence, arrivé sur la quatre voie je m’aperçois que je ne peux plus avancer impossible de faire marche arrière, je ne suis pas le seule à avoir la brillante idée de sortir par un temps pareille. Coincée, j’envoie des s m s pour prévenir ma famille de la situation et décide de rester dans la voiture sur le bas-côté, quelques minutes plus tard le téléphone sonne, je réponds « salut c’est Justine ma sœur m’a dit que tu étais coincé dans ta voiture, je le suis aussi à mon travail, si tu le peux rejoint moi je suis seule tous mes collègues on réussit à rentrer chez eux. » je réponds à ma belle-sœur que je suis à côté et qu’il me faut au moins dix minutes pour la rejoindre par ce temps. Je me prépare chaudement et part pour l’aventure en plein blizzard. Il ne m’a pas fallu dix minutes pour arriver jusqu’à l’entreprise de Justine mais une demi-heure, je suis arrivé complètement tremper, geler, mes doigts me brulaient par le froid, mes pieds étaient congelés, me voyant débarquer en retard Justine était dans un état de stress et d’inquiétude qu’elle me lança en ouvrant la porte « j’étais morte d’inquiétude, que s’est-il passé ? » je ne pouvais pas répondre, je claquais des dents, elle me prit par la taille et m’invita à la suivre, nous sommes arrivés dans une salle de repos où il y avait tout le confort, Justine me déshabillait en me disant que je pouvais pas reste avec mes vêtements humides, je n’avais même pas la force de répondre, parvenu en caleçons, elle m’allongeât sur la banquette qui faisait office de lit puis me recouvrit. Je n’arrivais pas à me réchauffer alors Justine se clisse sous la couverture et se coule à moi, elle est chaude je colle mon visage sur son dos pour sa chaleur et épouse son corps, je la sers dans mes bras et la chaleur augmente plus vite, je ne grelotte plus, je lui dis que je vais mieux elle répond qu’il vaut mieux rester ainsi encore un peu, je respire dans ces cheveux mon souffle se renforce et sans que je m’en aperçoive j’ai une demi-gaule alors j’essaie de me retirer, Justine insiste pour rester encore dans cette position sous prétexte que je ne suis pas si chaud que ça. La situation devient délicate je sens mon organe gonfler et plus je ne veux pas qu’il enfle puis il augmente de volume et lorsque je suis au maximum j’ai peur que ma voisine la sente, je recule donc de quelques centimètres, elle me rappelle à l’ordre « que fais-tu, colles-toi à moi tu vas te refroidir » je lui réplique que je ne pouvais plus, elle rétorque « si sait pour ta bite qui gonfle entre mes fesses cela ne me dérange pas, puisque ma sœur ne tarit pas déloge sur ton pénis je vais pouvoir vérifier ». Justine se recule pour me coller de nouveau, je suis accolé au mur je ne peux éviter qu’elle remue du cul pour replacer mon membre dur entre ses fesses, je ne dis rien, je la ressers dans mes bras et accentue la force pour qu’elle sente bien à travers de son pantalon de toile mon engin, je lui susurre à l’oreille « en tout bien tout honneur ». D’un bon elle se retourne, nos visages sont très proches elle me regarde dans les yeux et dit « tu sais où tu peux te le mettre ton honneur. » Un silence « mais ta bite tu vas me la mettre ok. »Je ne sais que dire, quoi faire, je suis sous la surprise, je la savais chiante et chaude comme une salope mais je suis son beau-frère, je balbutie que je ne veux pas car j’aime ma femme, rien à voir me dit-elle, c’est purement sexuel et elle clisse sa main dans mon sous-vêtement agrippant ma verge, elle la caresse, la masturbe, me touche les couilles, son corsage laisse deviner une poitrine ronde bien former et de belle taille, Justine me dit que je peux l’ouvrir, je n’ose pas, , j’en ai très envie mais m’y refuse, alors elle me monte dessus en amazone et en déboutonne son vêtement me masse la bite avec son sexe à travers ses habits, elle ouvre son chemisier, elle a des dessous très sexe et sa poitrine est très volumineuse, ronde, elle retire sont soutien-gorge, ses seins restent en position, ils sont magnifiques, je ne plus caché mon envie de la caresser, Justine le voit et elle me prend les mains, les posent sur elle, je bande fort, dur, elle se penche et d’un geste vire son pantalon, sexe contre sexe seul nos sous-vêtements nous séparent et la petite salope se tortille, je sens son sexe humide, il y a un début de pénétration à travers les tissus fins, c’est alors qu’elle descend le long de mon corps en le léchant pour arriver à hauteur de mon caleçon, j’ai un sursaut de conscience et lui dit que je ne pas, elle me répond que c’est trop tard, effectivement c’est trop tard elle là ma queue dans la bouche, elle me branle en me suçant à grande vitesse; j’ai l’impression qu’elle va me bouffer la bite, d’un coup elle remonte sur moi en amazone son boxer a disparu, Justine attrape mon braque maar et se l’introduit directe dans son vagin ce qui fait lâcher un cri de plaisir. Maintenant elle bouge son bassin en faisant des ronds, la sauvageonne me serre les pectoraux, je sens qu’elle va jouir, elle va de plus en plus vite, des râles sortent de sa gorge qu’elle a profonde, elle crie, elle jouit, sans s’arrêter, ralentie et se met en position levrette, pas besoin de mots je comprends ce qu’elle veut lorsque je voie son anus dilaté, je lui introduis en une seule fois, elle gémit et reprend son mouvement du bassin, on dirait un cul africain qui danse, mes mains lui serrent les hanches, nous baisons énergiquement, les aller-retour se vont sur toute la longueur de mon sexe, je change d’orifice et reprends les coups de reins puissants, elle gémit, souffle se caresse les clitos, je sens que je vais jouir alors je me retire, je me mets en position debout le long du lit improvisé, Justine s’assoie au bord et met ma bite dans sa bouche. Elle prend mes couilles et les caresse en me suçant, Justine travaille bien tellement bien que je sens la sauce qui monte, je lui prends les cheveux et accompagne les mouvements d’aller-retour, je vais jouir et au même moment j’ai un frisson dans le dos, je frémis et je me réveille dans ma voiture je bande comme un taureau et je suis dégouté mais au moins les chasses neige sont là, je peux rentrer, je vais prendre ma femme comme un fou.
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