Franck Marie Etc.... - histoire érotique

FRANK, MARIE ETC…
Chapitre 1

Je me baladais dans la rue, lorsque je sentis un regard humide sur mon arrière-train, humide car lorsque nos yeux se croisèrent les siens sentaient le cul ! Un sourire fut ajouté à cela il ne m’en fallait pas plus pour engager la conversation :
- Salut, je m’appelle Frank et toi ?
- Moi, c’est Marie »

Il y eut comme une alchimie entre nous, nous n’avons pas dit grand-chose mais l’instant suivant je la revoie à genoux devant moi, elle me suçait goulûment, faisant des allers retours de haut en bas sur ma bite, me massant le gland avec le fonds de sa gorge ! Elle en prenait un malin plaisir ! Puis pour s’exciter davantage, se caressa le clito de ses doigts agiles .

Marie de toute apparence n’était pas à sa première fellation, vu comme elle agissait je m’étais laissé à penser qu’elle finirait son numéro de suceuse experte en allant jusqu'à recueillir ma semence masculine ; mais la divine en voulais plus. Elle remonta sur mon torse dénudé avec sa langue pour me la fourrer dans la bouche, à ce moment je sentis sa poitrine sur mon corps, alors mon sexe se raidit de plus belle, elle le pris dans sa main pour se le mettre entre les cuisses ; je lui fis comprendre que ce n’était pas le moment et que je lui réservais aussi quelque sensation linguistique .

Une fois ma tête arrivée dans l’antre de ses jambes elle se cambra pour m’ouvrir des horizons de toutes possibilités. Ma langue s’agita sur son clitoris, en fit le tour lentement, rapidement, lentement à nouveau, des grands coups de langue, des pénétrations, des aspirations se succédaient pour lui rendre le bonheur que m’avaient offert quelques instants auparavant. Ses gémissements me confortaient dans ma tâche perverse ; plus elle se manifestait plus je mettais du cœur à l’ouvrage .Son jus de femme coulait le long de mes joues et finissait sur ma gorge, la sulfureuse Marie commença alors un mouvement du bassin, sentant que le moment du plaisir extrême arrivait je me relevais, la retourna et la pénétra d’un seul coup, cette soudaine violence charnelle, lui vit expulser un cri plus fort de plaisir.

Je lui pris les hanches par des mains fermes pour pouvoir guider les ondulations de nos corps et là commença un ballet érotique digne des orgies romaines, mes mains caressaient ses seins, dessinaient des formes impropres sur son dos, glissaient dans ses cheveux dont je m’agrippais pour que Marie revienne en position initiale, des râles sortaient de nos bouches, des HOU ! Sortait de la sienne et encore des MOUI ! Ou bien des ENCORE ; je ralentis le mouvement pour la retourner, là on s’embrassât fougueusement et dans le même instant je lui rentrais mon pénis dans sa chatte humide.

Elle prit mon visage entre ses mains et me murmura «Fait moi jouir ! » J’accélérais le mouvement lorsqu’elle se mit à gémir de plus belle, nous étions dans un état d’excitation intense, tous deux avions chauds, ma tête se blotti dans sa généreuse poitrine, ma langue lui suçait le téton ferme, ses ongles se resserraient sur mon dos, le mouvement s’accéléra, elle demanda à Dieu de lui venir en aide , elle me dit « vient », d’un mouvement rapide et exécutif je me retrouvai assis sur la cuvette des toilettes, Marie à cheval se déhanchait d'avant en arrière, de plus en plus fort et rapidement, mes jambes se tendirent, je me retenais encore pour que nous puissions jouir ensemble, mais cela devenait de plus en plus difficile , quelques mouvements de son bassin, je le lui saisis pour la guider dans une pénétration plus profonde, en ce même moment ma cavalière lançant un « oui » qui me fit lâcher la pression tant attendue, la jouissant fut commune, interprétée par des sons inaudibles, ses doigts se resserraient comme des serres d’aigles, je ressens une douleur, mais mélangé à mon éjaculation elle devint plaisir, les mouvements se ralentirent, l’appréciation du plaisir se continua par une danse des deux corps essoufflés, enfin Marie me regarda avec un sourire de satisfaction, je lui souris à mon tour et nous rimes ensemble comme lorsque nous avions joui.

Elle se retira en me caressant le visage et me dit « je vais sortir la première et je vais commander un verre au bar pour donner le change, tu veux quelque chose. »Je lui répondis « oui, un demi et remet ton string sinon je le garde. » en ouvrant la porte elle me lança un regard coquin « cadeau ». Je ne mis pas longtemps pour la rejoindre, elle avait choisi de s’asseoir à une table, la serveuse nous servis, nous bûmes tous les deux en se regardant dans les yeux, pendant un moment nous ne trouvions rien à nous dire ; enfin Marie engagea la conversation par «si tu veux que l’on se revoie laisse-moi ton numéro, j’en parlerais à ma petite amie Julie » interloqué : « ta petite amie ! »

Fin du chapitre 1.

FRANK, MARIE ETC…

Chapitre 2

Plusieurs jours plus tard, pas de nouvelle de Marie, je finis par croire qu’elle m’avait complètement oublié, mais soudain mon téléphone sonna « oui, allo » une voix que je ne connaissais pas me répondit « je suis bien chez Frank, c’est Julie. » pendant un instant je ne comprenais pas, puis soudain Julie : La petite amie ; « pourrait-t-on se voir » continua la voix, « oui, bien sûr » fini- je par répondre.

La fille très sûre d’elle me donna rendez-vous au bar où Marie et moi avions eu nos ébats sexuels, elle se détailla : je suis l’inverse de Marie, elle est brune je suis blonde, elle est très jolie, moi plus, elle a une poitrine volumineuse, moi une normale, enfin elle aime les mecs, moi pas ! Avec ce petit aperçu je n’étais pas très fier d’y aller, mais je ne suis pas homme à me défiler, alors parer de mes plus beaux atouts je me rendis au rendez-vous. Dans le bar il y avait pas grand monde, mais assez pour que je reste un moment sans bouger à la recherche de ladite Julie.

Une superbe fille s’approcha de moi, ça ne peut pas être elle ai-je pensé.
« Frank »me dit-elle ; alors là sur le cul, une bombe, une méga bombe !
« Oui » fut la seule chose à sortir de ma bouche,
« suis-moi »ajouta- t- elle, je ne me fis pas priez, j’étais prêt à la suivre là où elle le voulait.

Nous arrivâmes à une table au fond du Bar, dans un petit recoin bien discret mais surtout isolé, Julie commanda deux collations alcoolisées et engagea la conversation ;

« Marie n’avait pas menti tu es plutôt beau mec, moi les hommes ça ne me fait ni chaud ni froid, je préfère une belle chatte bien mouillée qu’un gode »

je lui répondis sans y réfléchir « y as-tu déjà goûté au moins.»
« Non, me dit-elle, mais je ne suis pas vierge, je me suis fait mettre ; J’étais allée à une fête avec mon meilleur ami homo et l’alcool aidant nous avons fini par tenter l’expérience, ça n’a pas été très concluant alors je n’aie jamais retenté »

Ce qui est étrange c’est que Julie se confiait à moi d’une façon naturelle, je me demandais ce qu’elle voulait de moi lorsqu’elle reprit son monologue.
« J’aimerais, puisque tu as baisé avec ma meuf, qu’à mon tour tu me baises, ça équilibrera la balance entre Marie et moi, et de toute façon, avoir une nouvelle opinion ce n’est pas si mal. »

Je sentais un piège, je lui demandai si Marie était au parfum de ce qui déroulait, Julie me répondit que non seulement elle était au courant, mais que c’était elle qui en avait eu l’idée. Dans ce cas pourquoi attendre je lui donnai rendez-vous le soir même chez moi à dix neuf heures trente pour dîner, elle accepta volontiers.

L’heure du rencard arriva très vite, on sonna, j’ouvre la porte, ma vision fut monts et merveilles, Julie était superbe, un mannequin était sur le seuil de ma porte ! Je la fis entrer dans le salon, elle retira sa petite veste pour découvrir un dos nu, Julie était vêtue d’une robe de soirée sexe à souhait, pour ma part, j’étais resté dans la simplicité, j’étais en noir comme d’habitude.

La sensuelle demoiselle me demanda si nous passions directement au dessert ! Je la conviai sur le canapé et lui précisa qu’il était plus intéressant de se connaître un peu avant ! Et surtout pour nos rapports que nous allions avoir. Pendant l’apéritif je la caressai dans le dos, elle n’y fit pas d’objection, au contraire elle se mit à faire la même chose sur mes cuisses ou plus précisément dans l’intérieur, nous nous embrassâmes longuement, tout en nous touchant pour briser la glace, nos mains se baladaient sur nos corps avec de la sensualité, je découvris ainsi qu’elle avait mis des bas avec des portes- jarretelles, Julie trouva sous mon jean un boxer rempli d’un barreau de chaise, elle me regarda et me dit «Je te fais de l’effet » « tu m’étonnes, j’ai une bombe lesbienne chez moi qui me veut, rien de tel pour m’exciter. » elle ajouta, Sûrement avec un peu d’appréhension, qu’elle ne savait pas forcément y faire avec un mec, je la rassurai en lui avouant qu’elle était ma première homo !

Je me couchai sur elle en la caressant toujours, elle avait le corps d’une déesse, elle ressemblait à un actrice de cinéma. Nous fîmes une pause pour passer à table. Je lui servis du vin, une entrée et allumais ma chaîne stéréo ou j’avais préparé une sélection de musique romantique tel que Tina Aréna avec le masque de Zorro, éternel Dirty dancing etc.… ; « tu es très fleur bleue. »Me dit-elle « cela fait partie du jeu et pourquoi pas, l’amour n’est-elle pas la chose la plus vrai »

Julie acquiesça d’un sourire et rougi un peu. « Merci, lui dis-je » « merci de quoi ? » me demande-t-elle «de rougir, je pensais que ne tu n'étais venue que pour équilibrer la balance. » « Peut-être me suis-je trompé, toutes ces années » « peut-être nous verrons après le dessert » « A le dessert enfin, j’adore les desserts surtout ce que je n’ai jamais goûté »

Fin du chapitre 2

FRANK, MARIE ETC…

Chapitre 3

Julie se leva, me prit la main pour m’asseoir dans le fauteuil du salon, elle alla vers la chaîne stéréo et introduisit un CDrom, la musique commença avec Julie qui engagea une danse érotique, elle me dit « je vais te montrer le travail que je fais »

Il ne fallait pas être stupide pour comprendre que miss était strip-teaseuse, elle se déhanchait comme une danseuse orientale, la belle passât sa main dans son dos pour faire glisser sa fermeture éclair, et dévoila son magnifique corps , vêtue maintenant d’un simple ensemble de lingerie noire composé d’un soutien-gorge à dentelle, d’un string assorti et de ses fameux porte-jarretelles et pour finir, ces bas s’achevant par ses chaussures à talons .

Je ne bougeais pas, enfin j’avais juste ma bite qui prenait une dimension qui ne laissa pas Julie de marbre, elle s’approcha de moi pour s’agenouiller entre mes jambes, me fit comprendre qu’elle voulait enlever mon pantalon. Lorsqu’elle vit mon sexe je la sentis un peu angoissée, alors pour la détendre je lui tins à peu après ce langage « ne t’inquiète pas, tu prends ma bite dans ta main, tu vas de haut en bas pour la masturbation, tu mets le sucre d’orge dans ta bouche, tu lui donnes des coups de langue, tu aspires, imagines que c’est une friandise que tu adores, enfin tu fais une compilation de tout ça et cela devrait bien se passer. » Julie me sourit et s’exécuta.

Je sens toute suite qu’elle n’était pas experte mais elle travailla avec application et ma foi, elle ne s’en sortait pas si mal ; j’avais connu des hétéros qui était loin de lui arriver à la cheville, je pense que Julie y mettait du cœur, de la volonté et ça donnait le change ; même qu’à un moment je discernais des ondes de plaisir, nonobstant que je ne voulais pas jouir dans sa bouche pour sa première pipe, mais Julie me repris son jouet et me dit « si tu es capable de tirer plusieurs cartouches, j’aimerais que celle-ci me coule au fond de la gorge, il paraît que c’est très bon. »Soit ne soyons pas contrariant, elle reprit son ouvrage avec soin, je la regardais faire et je prenais mon bonheur car j’adore que l’on me finisse dans une bouche pulpeuse.

Je me retins comme à mon habitude, jusqu’à tout lâcher, je lui éjaculais dans sa boîte à sucette, Julie fut surprise par la violence du jet de foutre, et se retira je lui saisis les mains, lui repositionna sur mon braquemart et la supplia de continuer, elle avala la première semence et remit ma bite dans l’entrée de sa bouche en me masturbant en même temps, ha ! Quel plaisir, ha ! Quelle douceur, je gémis, je donnais des petits coups de reins, Julie sentait la jouissance qu’elle m’avait procurée, alors elle mit sa main dans son string et s’aperçut qu’elle mouillait, sa joie se manifesta par un geste : elle me mit ses doigts sous le nez et me dit «regardez je mouille, c’est génial non ? » avant de me les mettre dans la bouche je lui répondis « oui, génial surtout pour la suite de la soirée ! » Je me levais et l’amenais dans ma chambre.

Là, je lui prie de s’allonger, je faisais glisser mes doigts sur son corps paré de ses dessous sombres, je commençais par lui enlever son soutien gorge, Julie se tortillait dans tous les sens, sa poitrine rebondit, elle avait des seins ronds, fermes, magnifiques, je consignais mes investigations, je lui retirais son string, là elle me dévoila son groupe qui était parfaitement taillé, je ne me fis pas prier pour lui bouffer la chatte, elle était bonne et ça me donna plus de force, Julie me prit la tête entre ses mains et me guida, elle gémissait, soufflait, Julie était en train de jouir !je prolongeais mon ouvrage jusqu'à quelle se calme, céans je me mis sur elle et la pénétrais dans la position du missionnaire.

Je lui pris les mains et commençais des allers retours, des coups de reins, je m’appliquais vu les circonstances, me retira, la retourna et la pénétra de nouveau, je glissais ma main sur son ventre pour atteindre son clitoris, Julie me rejoins, nous ondulions comme des serpents, Julie de toute évidence se sentait très bien, je la mis en position levrette, je lui suggérais de continuer sa propre masturbation pendant que je lui mettais profond. Nous prenions un pied d’enfer, Julie manifestait son plaisir par des mots vulgaires « oh ! Putain oh ! Merde alors ! Oh ! Nom de dieu que c’est bon, prend moi, encore, plus fort ! Plus fort ah ! Ah ! M’oui, » houa pour une lesbienne elle prenait plutôt son pied la chienne alors je lui répondis « tu aimes ça ! Hein, ça te plaît une bite ! Hein, » elle répliqua positivement en bougeant son bassin de plus en plus, je ne pouvais plus retenir la sauce, j’accélérai le mouvement, Julie le senti et fis de même, nous avons jouis ensemble dans des cris de plaisirs intenses .nous nous allongeâmes l’un à côté de l’autre et je la questionnais par « alors ! Les mecs. »Elle me fit comme réponse « maintenant lorsque l'on me demandera quelle est ma sexualité je répondrais : je suis Bi »…

FIN