De la photo, à la faute hot.
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2011 dans la catégorie Plus on est
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De la photo, à la faute hot.
Ca pourrait être des retrouvailles tout à fait ordinaires.
Un bon ami qui sort enfin la tête de l’eau, après de longs et douloureux désagréments, m’invite à passer quelques jours chez lui.
Nico souhaite me faire découvrir sa région, mais par-dessus tout, me présenter sa nouvelle muse.
Sa princesse, sa fée, sa sirène… LINE.
Je devrais être serein, pourtant, le doigt qui s’apprête à appuyer sur le bouton de la sonnette, tremble comme une feuille morte. Dans ma poitrine, j’entends les tambours du Bronx et j’ai le souffle court, les jambes molles.
C’est étrange. Une timidité maladive, souci que je croyais régler depuis longtemps, semble avoir refait surface, comme ca, d’un coup.
Serait ce le fait de rencontrer Line ?
Pourtant, nous avons conversé de longues heures ensemble, et je connais ses traits pour avoir vu quelques photos d’elle sur FaceBook. Je peux même dire que nous nous sommes découverts et appréciés, et qu’il est certain que le courant de l’amitié est passé entre nous, sans aucun problèmes.
Alors, pourquoi ? Pourquoi cet émoi ?
J’appuie. Des pas s’approchent et la mine réjouit de Nico apparait dans l’entrebâillement de la porte.
« Haaa ! V’là l’Auvergnat ! Ca va Claude ? »
« Oui ! Et toi ? Mieux dans ta tête ? »
« Devine ? Je revis ! Je suis de nouveau moi-même. C’est magnifique, magique. J’te jure ! Entre vite que je te présente. »
Je fais enfin la connaissance de sa puce. Christelle dit Kiki. Une gamine adorable, pleine de malice et d’espièglerie. Une petite fille qui a bien souffert aussi, pour avoir croisé, tout comme son père, le chemin de gens détestables, méchants et teigneux. Le départ de sa maman pour un monde meilleur, lui aurait pourtant bien suffit.
Et puis il y a Francis. Un grand garçon de treize ans, souriant et très sympathique. Je sais que pour lui aussi, ainsi que pour sa maman, la vie n’a pas toujours été rose.
Kiki, pas du tout intimidée par l’étranger que je suis, me prend la main.
« Viens, je vais te montrer ma deuxième maman ! Elle est dans la cuisine ! »
Elle m’y pousse en hurlant :
« Regarde ! Il est là ! Tonton moutarde est arrivé ! »
Je sais maintenant pourquoi, je tremble tant.
Elle est encore plus belle que sur les photos. J’en étais persuadé.
Son regard est lumineux, son sourire tendre et franc à la fois. Mais lorsqu’enfin elle me parle, je tombe définitivement sous son charme.
« Haa ! Claude ! Je suis si heureuse que tu sois là ! »
Sa voix est douce, sucrée comme du miel.
Je crois bien que je rougis, lorsque ses joues touchent les miennes.
« Heuu ! Moi aussi, Line. J’avais hâte d’arriver. Vraiment ! »
Je distribue mes petits cadeaux. Du vin de la région, des produits du terroir et bien sur la fameuse moutarde de mon village, qui me vaut le surnom de « tonton moutarde ».
Mes retrouvailles avec Nico sont bien arrosées, dès l’apéritif. L’esprit de la soirée est festif. Nous rigolons, racontons des anecdotes sympas sur nos vies respectives. Bien sur, il me raconte en détail leur rencontre et je les écoute avec beaucoup d’attention.
Enfin… Nico surtout. Parce que lorsque Line m’adresse la parole, mon cerveau se met à l’envers et je n’entends plus que le son de sa voix, sans comprendre ce qu’elle me dit.
Elle porte un petit pull bleu, une jupe courte en jeans. Le fait-elle intentionnellement ou pas, mais je sais qu’elle porte des bas.
Il faut dire qu’elle est en face de moi, dans un fauteuil et l’assise très basse de celui-ci, me donne le champ libre jusqu’à au moins mi-cuisse.
La petite bande de peau blanche, tranchant avec le sombre de ses bas et de sa jupe, me transporte dans un monde de fantasmes et d’envies inavouables.
Nico qui me connait bien et connaissant mon gout prononcé pour les jolies femmes, capte mon trouble et ne peut s’empêcher de s’en amuser.
« Elle est belle ma princesse, hein ? Ca te laisse rêveur mon tit n’ourson ? »
« Hein, Heuuu ! Ben oui, elle est mimi, quoi ! »
Nico sait qu’il est facile de me troubler et ne rate jamais une occasion de le faire. Plus taquin que lui, ca n’existe pas.
Quoiqu’il me semble que Line n’est pas en reste.
« Houlà ! Et tu ne m’as pas vu en maillot de bain ! Hihihi ! Je suis craquante ! Hihi ! »
« Ha c’est malin ! Vous n’avez pas honte tout les deux, de jouer avec un pauvre petit vieux, sans défense ? Haha ! »
Ils sont encore très jeunes. La quarantaine ou guère plus, alors que moi, je suis plus proche du sexagénaire que du quinqua.
La soirée se passe bien, dans une bonne humeur dont tout le monde avait besoin.
Line, me prépare un lit douillet sur le canapé et les amoureux vont se coucher.
Bien que très fatigué par le voyage et une soirée bien arrosée, impossible de dormir.
Des bruits confus et indistincts me parviennent de leur chambre, toute proche.
Ho ! Je sens bien qu’ils font tout pour être discret, mais les petits rires, puis les gémissements étouffés qui arrivent jusqu’à mes oreilles, ne me laissent aucun doute sur leur activité du moment.
Eux aussi ont du mal à trouver le sommeil.
Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. Le silence règne dans la maison, et je n’ose pas bouger.
Je reste allongé, rêvassant, profitant des ondes positives qui inondent se foyer.
« Café-croissants ? »
Je sursaute lorsqu’elle passe près de moi. Sa nuisette noire, dissimulant à peine un petit string et ses seins libres, disparait dans la cuisine, laissant flotter un doux parfum.
« Heuuu ! Oui, si tu veux, mais t’embête pas pour moi, surtout ! »
« Mais non ! Saute dans la douche si tu veux ? Ce sera prêt dans un quart d’heure. »
Nico et les enfants se lèvent à leurs tours.
Dans la mâtiné, une amie ou quelqu'un de la famille, passe prendre Kiki et Francis.
« Bon, Claude ! J’espère que tu as ton appareil photo, je te propose une virée. »
Nous passons le début d’après midi à visiter la région. Mais très vite, la chaleur nous écrase un peu.
Line propose une ballade en forêt, pour nous protéger du soleil.
Elle marche devant nous, entre les arbres, à la recherche de belles feuilles mortes, pour la petite.
Elle porte une robe d’été blanche, à fines bretelles et fermée sur le devant par quelques boutons. Le soleil qui parfois perce le feuillage, nous dévoile ses jambes par transparence.
« Alors ? Tu la trouve comment ? »
« Elle est délicieusement délicieuse. Franchement, je t’envie. Je suis très heureux pour vous. Vous faites un couple fantastique. »
Il la prend en photo, alors qu’elle est de profil. Une de ses cuisses, grâce à la robe déboutonnée très haut, est découverte par une petite branche accrochée au tissu. Le soleil, coquin, fait le reste.
Nico, fier de lui, me montre son cliché.
« Hummm ! Regarde ! Elle n’est pas bandante comme ca ? »
« Arrête tes conneries, voyou ! C’est ta princesse, pas la mienne. Ne m’oblige pas à te dire qu’elle me plait ! »
« Haha ! Mais je sais qu’elle te plait ! Tu as bavé toute la soirée ! Haha ! Au fait, nous n’avons pas fait trop de bruit cette nuit, j’espère ? »
« Nicoooo ! »
« Ben quoi ? Tu nous as entendu ou pas ? »
« Bon ! Oui, je vous ai entendu, voilà ! Mais ca ne m’a pas empêché de dormir ! T’es content ? »
« Hahaha ! Tu n’as jamais su mentir, tit n’ourson ! Allez ! J’arrête de te taquiner. »
Nous faisons quelques pas à peine.
« Tu sais hier soir, pendant que je lui faisais l’amour ? Et bien, je lui ai proposé d’aller te chercher. »
« Ca y est ! Tu recommences ! T’es incorrigible ! »
« Tu veux pas savoir ce qu’elle a répondu ? »
« Heuuu, non ! Je ne veux pas savoir ! »
« Tu as peur de la réponse ? »
« Non ! Ce n’est pas ca ! Mais ca me gêne. »
« Et bien elle m’a dit que mes désirs étaient des ordres. Haha ! Ce n’est pas beau, ca ? Si ce n’est pas de l’amour, qu’est ce que c’est ? »
C’est sur, c’est de l’amour. Mais pourquoi me dit-il ca ? Il n’est pas venu me chercher que je sache !
Je sais que Nico aime jouer. Et il sait pertinemment que maintenant, je regarderai Line différemment.
« Hé, les garçons ! Et si vous faisiez un concours photo ? Le gagnant aura le p’tit-déj au lit ! Hihi ! »
« Ok, ma chérie ! Mais tu nous sers de modèle ? »
Elle acquiesce et nous commençons à la shooter dans toutes les positions. Elle joue le jeu et fait sa star. Tantôt, tendre, tantôt fofolle ou encore sexy et provocatrice.
« Chérie ! Appuie toi contre un arbre et du bout de ton index, fait glisser une bretelle sur ton épaule. »
C’est une très bonne idée. Voilà qui fera de charmantes photos. Je propose qu’elle fasse de même avec l’autre. Elle s’exécute et nos appareils travaillent sans relâche ou presque.
Mais Nico veut plus.
« Déboutonne quelques boutons du haut. »
Je me sens rougir une fois de plus.
Line porte sa main à son décolleté. Elle plante son regard dans le mien et me fait un petit sourire fripon.
Je regarde les boutons passer les œillets.
Les tambours du Bronx, dans ma poitrine, me donnent de nouveau un concert gratuit.
Mes trois clichés suivant sont flous, et ce, malgré le système anti vibration de mon appareil.
Ce n’est pas le cas de Nico, qui semble apprécier le sujet.
Un arbre a été abattu non loin de nous. Il lui demande de s’y allonger. Elle fait grise mine, pensant à la blancheur de sa robe, mais finit tout de même par le faire.
Cette fille a un sens artistique très prononcé, ou bien elle dévore des revues de mode.
Bras ballant de chaque cotés du tronc, elle penche sa tête en arrière de façon à s’appuyer sur le haut de son crane. Puis, elle se cambre autant qu’elle peut.
Je pourrais passer un bras sous son dos, sans la toucher.
Pour finir, elle plie une jambe, ramenant son pied à hauteur du genou de l’autre jambe.
Le tissu léger de la robe, glisse le long de sa cuisse et tombe le long du tronc, la dévoilant entièrement.
Un trouble immense m’envahit, lorsque dans mon objectif, apparait le triangle blanc d’un mini string.
Nico, qui lui aussi à le même spectacle, me fait un grand sourire et un clin d’œil. Je le sens très fier de la beauté de sa princesse.
Dans cette position, sa poitrine tend la robe au maximum. Et, ce qui devait arriver…
Deux boutons sautent, laissant ses beaux seins blancs s’échapper du carcan de la robe.
Je tiens ma revanche, car cette fois, c’est elle qui est perturbée et troublée.
« Ne bouge pas, mon amour ! C’est superbe ! »
Et elle ne bouge pas.
Je ne sais plus ou me mettre. Je n’ose même plus photographier.
« Ben alors ? Ho Claude ! Tu baisses les bras ? Tu déclares forfait ? »
« Non, ce n’est pas ca, mais… »
« Allons ! Tu sais ce que c’est qu’une poitrine, non ? »
« Continues, Claude. Photographies moi, encore. S’il te plait. »
La douce voix de Line me réconforte et m’encourage à continuer. Ce que je fais, sous le regard amusé de mon ami.
Stupéfait, je regarde la belle déboutonner entièrement sa robe. Elle semble avoir perdu toute pudeur.
Son corps tout entier se dévoile à moi.
Je me cache derrière mon objectif. Je zoom au maximum et je la caresse au travers de la lentille.
Je trouve sa respiration rapide. Ses seins sont gonflés et ses tétons prêt à exploser. Je descends et glisse dans le creux de son ventre. Puis, remonte le long de sa jambe pliée, regrettant de ne pouvoir apercevoir son mont de venus.
Je prends des clichés par dizaine, sans m’occuper de Nico. Quand soudain, il apparait dans mon œilleton.
Il est penché sur le ventre de Line et l’embrasse, alternant avec de petits coups de langue. D’une main, il malaxe ses seins, tandis que l’autre semble affairé à glisser sous le petit string.
Je fais mon possible pour ne penser qu’à faire de belles photos. Je tourne mon appareil, avance, recule, m’agenouille, avance encore.
Je fixe le visage de Nico glissant vers l’intimité de sa muse. Pour facilité la caresse buccale imminente, elle déplie sa jambe, me permettant d’apercevoir enfin, sa montagne sacrée.
Le string est arraché et une touffe soyeuse le remplace.
Je frémis lorsque sa main se pose sur ma cuisse. Elle s’agrippe à mon pantalon et m’attire vers elle.
Je franchis le pas et me laisse emporter par ce tourbillon magique de l’excitation et du partage.
Je me penche à mon tour et l’embrasse avec passion. N’y tenant plus, je pose, tremblant, une main sur sa poitrine. Elle est chaude, douce moelleuse.
Elle frissonne.
Nico a le visage enfoui entre les cuisses de Line. Elle gémit, pousse de douces plaintes de plaisir.
Jamais, ce matin, je n’aurais imaginé sentir une des mains de la belle, remonter jusqu’à mon entre jambe et ouvrir ma braguette.
Jamais je n’aurais imaginé, que cette même main, brulante, extirperait mon sexe de mon caleçon.
Jamais, au grand jamais, je n’aurais imaginé sentir ce dernier glisser lentement entre les lèvres de cette splendide femme.
Tout n’est que plaisir et volupté.
J’ose une photo de sa langue, frétillant sur mes testicules, ou encore, remontant le long de ma verge dressée.
Elle a les yeux fermés. Sa respiration s’accélère et sa poitrine se soulève de façon régulière.
Soudain, elle délaisse mon membre. L’envie de s’exprimer devenant prioritaire.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! Nico, je vais…! Ouiiiii ! Je jouiiiiiis ! Hooooo ! C’est booooon ! Ouiiiiii ! »
Elle sert mon pénis, me masturbant frénétiquement. A ce rythme là, je ne serais pas long à jouir à mon tour !
Nico, me sauve in extremis.
« Lève-toi, chérie ! »
Elle délaisse mon membre, à mon plus grand regret.
Nico la penche vers le tronc. Il passe derrière elle, pose ses mains sur sa taille et la pénètre profondément.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! C’est trop boooon ! Prends-moi fort, mon amour ! Ouiiiii ! »
Elle garde les yeux fermés, mais ouvre un bras pour m’inviter à retrouver ma place entre ses lèvres.
Chacun à un « bout » de la déesse, nous nous regardons, complice, sans dire un mot, nous excitant de l’image que renvoie l’autre.
Nico craque le premier.
« Rhooo, Line ! Mon amouuuur ! Tiens ! Prends tout, mon cœur ! Hummmm ! Je t’aiiiiime ! Hargggggg ! »
Son visage est crispé, ses coups de butoir plus violent, son bas ventre frappant les fesses offertes.
Les gémissements de Line sont étouffés par ma verge prête à exploser, qui glisse sur sa langue.
Une fois de plus, je suis sauvé par mon ami.
« Viens Claude, prends la, pendant qu’elle me nettoie. »
Je ne me le fais pas dire deux fois et nous échangeons nos places rapidement.
Avant de m’enfoncer à mon tour dans son ventre, je vois ses poils pubiens, luisant du plaisir de mon ami. Le foutre qui s’écoule en long filet de la vulve bouillante, va s’écraser sur l’humus forestier.
Mon gland trouve le passage et s’enfonce dans le mélange visqueux, des deux plaisirs.
Le contact de cette matière grasse et chaude, m’excite au plus haut point et je craque à mon tour, très vite.
J’ai envie de lui crier mon plaisir, envie de l’insulter, d’être grossier. Mais je me contente de serrer ses fesses dans mes mains et de les écarter l’une de l’autre, pour gagner quelques millimètres, dans son antre détrempé.
Elle me nettoie à mon tour, tandis que Nico se prête à un drôle de manège.
Il va d’arbre en arbre, sa ceinture à la main. Il choisit des branches basses et passe sa ceinture par-dessus.
« Ha ! Celle-ci est bien. Viens ma chérie ! Viens là ! Nous allons faire une dernière série de photo. Tu veux bien ? »
« Humm ! À vrais dire, j’y prends gout ! Hihi ! Mais, qu’est ce que tu veux faire avec ta ceinture ? »
Elle s’approche et il l’invite à lever les bras et à se tenir aux extrémités de la lanière de cuir.
« Entoure tes mains avec. Comme si tu étais attachée. Ca va être terrible, ca ! »
Et ca l’est !
Cette femme, attachée au milieu d’une forêt, robe ouverte, les rayons du soleil caressant son corps…C’est de toute beauté.
Nous tournons autour, mitraillant la malheureuse sous tous les angles.
Soudain, un bruit de pas écrasant des branchages, stoppe net notre séance.
C’est Line qui le voit la première.
« Là, juste devant moi ! Je crois qu’il y a quelqu'un ! »
Nous scrutons la pénombre de la forêt et effectivement, nous découvrons un homme, accroupit, qui nous épie.
« Ne bouge pas, mon amour ! Laissons le approcher. Ca peut être intéressant. »
« Intéressant pour qui ? Tu oublies que je suis à poil ? Hihihi ! »
« Pour l’art, ma chérie ! Pour l’art ! Un modèle doit savoir donner de sa personne, pour faire avancer la création ! Claude ? Tu n’es pas de mon avis ? Haha ! »
« Ho ben si ! Tu pense ! »
Nous continuons à photographier et l’homme à s’avancer. Une minute plus tard, il est derrière nous, sexe à la main.
Il faut dire que nous n’avons pas rangé les nôtres. Et comme nous sommes de nouveau en érections, elles ne passent pas inaperçues.
L’homme fait un pas de plus et se place entre nous. Il semble très décontracté et pas du tout gêné. Il se caresse doucement en contemplant le merveilleux tableau que nous offre la belle Line.
C’est un grand type brun d’une trentaine d’années. Il est habillé d’un costume classe, de marque. Il fait des petits gémissements de plaisir, qui nous pousserait plus à rire qu’autre chose.
Puis, il regarde nos sexes tendus et entame la conversation.
« Humm ! Je vois qu’elle vous fait de l’effet aussi ! Elle est à vous ? Vous la prêtez ? Elle est soumise ? C’est une esclave ? »
Nous éclatons de rire.
« Non, non ! Rien de tout ca ! Nous faisons un concours photo ! Hahaha ! »
« Ho ! Je suis confus, mais comme elle est…et que vous êtes… j’ai cru que… »
« Nous joignons l’utile à l’agréable et c’est avec plaisir que nous vous invitons. »
« C’est vrais ? »
Il s’avance, bras en avant, manière zombie.
Il attrape la poitrine de la princesse à pleine mains, comme si c’était la première qu’il touchait. Il s’avance pour l’embrasser, mais la belle détourne le visage et il doit se contenter de son cou.
Il est tout contre elle et je vois son gland à demi disparu dans la toison humide. J’imagine le bout de sa verge, heurter le clito gonflé de Line, le frottant, dessus, dessous, lui procurant autant de petites décharges électriques qui la conduiront à un orgasme grandiose.
Mais elle n’aura pas cette joie.
« Ho ! Je… Je… Hiiichhh ! »
Il arrose copieusement son sexe en longs jets puissants et le foutre libéré coule le long de ses cuisses.
Content de lui, l’homme se rajuste et disparait entre les grands arbres.
« Dis pas merci, surtout ! Gros con ! »
« Te fâche pas chéri ! Ce n’est pas grave ! Viens, je vais te consoler. »
Elle libère ses mains et s’agenouille dans les feuilles mortes.
« Viens Claude, approche ! Ne reste pas dans ton coin ! »
C’est vraiment une princesse.
Elle est douce, chaude, généreuse.
Elle nous suce à tour de rôle et se délecte de notre miel bouillonnant, lorsqu’on me secoue violemment par le bras.
« Hé, Claude ! Debout ! Réveille-toi ! On a une journée chargée, si tu veux visiter la région ! »
Hé merde !
« Ouai ! J’arrive ! Dis dont Nico, je pensais à un truc. Si on faisait un concours photos ? Oui, non ? Ca te dit ? »
Pour un magnifique couple qui reprend le chemin du bonheur.
Je vous aime.
Un bon ami qui sort enfin la tête de l’eau, après de longs et douloureux désagréments, m’invite à passer quelques jours chez lui.
Nico souhaite me faire découvrir sa région, mais par-dessus tout, me présenter sa nouvelle muse.
Sa princesse, sa fée, sa sirène… LINE.
Je devrais être serein, pourtant, le doigt qui s’apprête à appuyer sur le bouton de la sonnette, tremble comme une feuille morte. Dans ma poitrine, j’entends les tambours du Bronx et j’ai le souffle court, les jambes molles.
C’est étrange. Une timidité maladive, souci que je croyais régler depuis longtemps, semble avoir refait surface, comme ca, d’un coup.
Serait ce le fait de rencontrer Line ?
Pourtant, nous avons conversé de longues heures ensemble, et je connais ses traits pour avoir vu quelques photos d’elle sur FaceBook. Je peux même dire que nous nous sommes découverts et appréciés, et qu’il est certain que le courant de l’amitié est passé entre nous, sans aucun problèmes.
Alors, pourquoi ? Pourquoi cet émoi ?
J’appuie. Des pas s’approchent et la mine réjouit de Nico apparait dans l’entrebâillement de la porte.
« Haaa ! V’là l’Auvergnat ! Ca va Claude ? »
« Oui ! Et toi ? Mieux dans ta tête ? »
« Devine ? Je revis ! Je suis de nouveau moi-même. C’est magnifique, magique. J’te jure ! Entre vite que je te présente. »
Je fais enfin la connaissance de sa puce. Christelle dit Kiki. Une gamine adorable, pleine de malice et d’espièglerie. Une petite fille qui a bien souffert aussi, pour avoir croisé, tout comme son père, le chemin de gens détestables, méchants et teigneux. Le départ de sa maman pour un monde meilleur, lui aurait pourtant bien suffit.
Et puis il y a Francis. Un grand garçon de treize ans, souriant et très sympathique. Je sais que pour lui aussi, ainsi que pour sa maman, la vie n’a pas toujours été rose.
Kiki, pas du tout intimidée par l’étranger que je suis, me prend la main.
« Viens, je vais te montrer ma deuxième maman ! Elle est dans la cuisine ! »
Elle m’y pousse en hurlant :
« Regarde ! Il est là ! Tonton moutarde est arrivé ! »
Je sais maintenant pourquoi, je tremble tant.
Elle est encore plus belle que sur les photos. J’en étais persuadé.
Son regard est lumineux, son sourire tendre et franc à la fois. Mais lorsqu’enfin elle me parle, je tombe définitivement sous son charme.
« Haa ! Claude ! Je suis si heureuse que tu sois là ! »
Sa voix est douce, sucrée comme du miel.
Je crois bien que je rougis, lorsque ses joues touchent les miennes.
« Heuu ! Moi aussi, Line. J’avais hâte d’arriver. Vraiment ! »
Je distribue mes petits cadeaux. Du vin de la région, des produits du terroir et bien sur la fameuse moutarde de mon village, qui me vaut le surnom de « tonton moutarde ».
Mes retrouvailles avec Nico sont bien arrosées, dès l’apéritif. L’esprit de la soirée est festif. Nous rigolons, racontons des anecdotes sympas sur nos vies respectives. Bien sur, il me raconte en détail leur rencontre et je les écoute avec beaucoup d’attention.
Enfin… Nico surtout. Parce que lorsque Line m’adresse la parole, mon cerveau se met à l’envers et je n’entends plus que le son de sa voix, sans comprendre ce qu’elle me dit.
Elle porte un petit pull bleu, une jupe courte en jeans. Le fait-elle intentionnellement ou pas, mais je sais qu’elle porte des bas.
Il faut dire qu’elle est en face de moi, dans un fauteuil et l’assise très basse de celui-ci, me donne le champ libre jusqu’à au moins mi-cuisse.
La petite bande de peau blanche, tranchant avec le sombre de ses bas et de sa jupe, me transporte dans un monde de fantasmes et d’envies inavouables.
Nico qui me connait bien et connaissant mon gout prononcé pour les jolies femmes, capte mon trouble et ne peut s’empêcher de s’en amuser.
« Elle est belle ma princesse, hein ? Ca te laisse rêveur mon tit n’ourson ? »
« Hein, Heuuu ! Ben oui, elle est mimi, quoi ! »
Nico sait qu’il est facile de me troubler et ne rate jamais une occasion de le faire. Plus taquin que lui, ca n’existe pas.
Quoiqu’il me semble que Line n’est pas en reste.
« Houlà ! Et tu ne m’as pas vu en maillot de bain ! Hihihi ! Je suis craquante ! Hihi ! »
« Ha c’est malin ! Vous n’avez pas honte tout les deux, de jouer avec un pauvre petit vieux, sans défense ? Haha ! »
Ils sont encore très jeunes. La quarantaine ou guère plus, alors que moi, je suis plus proche du sexagénaire que du quinqua.
La soirée se passe bien, dans une bonne humeur dont tout le monde avait besoin.
Line, me prépare un lit douillet sur le canapé et les amoureux vont se coucher.
Bien que très fatigué par le voyage et une soirée bien arrosée, impossible de dormir.
Des bruits confus et indistincts me parviennent de leur chambre, toute proche.
Ho ! Je sens bien qu’ils font tout pour être discret, mais les petits rires, puis les gémissements étouffés qui arrivent jusqu’à mes oreilles, ne me laissent aucun doute sur leur activité du moment.
Eux aussi ont du mal à trouver le sommeil.
Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. Le silence règne dans la maison, et je n’ose pas bouger.
Je reste allongé, rêvassant, profitant des ondes positives qui inondent se foyer.
« Café-croissants ? »
Je sursaute lorsqu’elle passe près de moi. Sa nuisette noire, dissimulant à peine un petit string et ses seins libres, disparait dans la cuisine, laissant flotter un doux parfum.
« Heuuu ! Oui, si tu veux, mais t’embête pas pour moi, surtout ! »
« Mais non ! Saute dans la douche si tu veux ? Ce sera prêt dans un quart d’heure. »
Nico et les enfants se lèvent à leurs tours.
Dans la mâtiné, une amie ou quelqu'un de la famille, passe prendre Kiki et Francis.
« Bon, Claude ! J’espère que tu as ton appareil photo, je te propose une virée. »
Nous passons le début d’après midi à visiter la région. Mais très vite, la chaleur nous écrase un peu.
Line propose une ballade en forêt, pour nous protéger du soleil.
Elle marche devant nous, entre les arbres, à la recherche de belles feuilles mortes, pour la petite.
Elle porte une robe d’été blanche, à fines bretelles et fermée sur le devant par quelques boutons. Le soleil qui parfois perce le feuillage, nous dévoile ses jambes par transparence.
« Alors ? Tu la trouve comment ? »
« Elle est délicieusement délicieuse. Franchement, je t’envie. Je suis très heureux pour vous. Vous faites un couple fantastique. »
Il la prend en photo, alors qu’elle est de profil. Une de ses cuisses, grâce à la robe déboutonnée très haut, est découverte par une petite branche accrochée au tissu. Le soleil, coquin, fait le reste.
Nico, fier de lui, me montre son cliché.
« Hummm ! Regarde ! Elle n’est pas bandante comme ca ? »
« Arrête tes conneries, voyou ! C’est ta princesse, pas la mienne. Ne m’oblige pas à te dire qu’elle me plait ! »
« Haha ! Mais je sais qu’elle te plait ! Tu as bavé toute la soirée ! Haha ! Au fait, nous n’avons pas fait trop de bruit cette nuit, j’espère ? »
« Nicoooo ! »
« Ben quoi ? Tu nous as entendu ou pas ? »
« Bon ! Oui, je vous ai entendu, voilà ! Mais ca ne m’a pas empêché de dormir ! T’es content ? »
« Hahaha ! Tu n’as jamais su mentir, tit n’ourson ! Allez ! J’arrête de te taquiner. »
Nous faisons quelques pas à peine.
« Tu sais hier soir, pendant que je lui faisais l’amour ? Et bien, je lui ai proposé d’aller te chercher. »
« Ca y est ! Tu recommences ! T’es incorrigible ! »
« Tu veux pas savoir ce qu’elle a répondu ? »
« Heuuu, non ! Je ne veux pas savoir ! »
« Tu as peur de la réponse ? »
« Non ! Ce n’est pas ca ! Mais ca me gêne. »
« Et bien elle m’a dit que mes désirs étaient des ordres. Haha ! Ce n’est pas beau, ca ? Si ce n’est pas de l’amour, qu’est ce que c’est ? »
C’est sur, c’est de l’amour. Mais pourquoi me dit-il ca ? Il n’est pas venu me chercher que je sache !
Je sais que Nico aime jouer. Et il sait pertinemment que maintenant, je regarderai Line différemment.
« Hé, les garçons ! Et si vous faisiez un concours photo ? Le gagnant aura le p’tit-déj au lit ! Hihi ! »
« Ok, ma chérie ! Mais tu nous sers de modèle ? »
Elle acquiesce et nous commençons à la shooter dans toutes les positions. Elle joue le jeu et fait sa star. Tantôt, tendre, tantôt fofolle ou encore sexy et provocatrice.
« Chérie ! Appuie toi contre un arbre et du bout de ton index, fait glisser une bretelle sur ton épaule. »
C’est une très bonne idée. Voilà qui fera de charmantes photos. Je propose qu’elle fasse de même avec l’autre. Elle s’exécute et nos appareils travaillent sans relâche ou presque.
Mais Nico veut plus.
« Déboutonne quelques boutons du haut. »
Je me sens rougir une fois de plus.
Line porte sa main à son décolleté. Elle plante son regard dans le mien et me fait un petit sourire fripon.
Je regarde les boutons passer les œillets.
Les tambours du Bronx, dans ma poitrine, me donnent de nouveau un concert gratuit.
Mes trois clichés suivant sont flous, et ce, malgré le système anti vibration de mon appareil.
Ce n’est pas le cas de Nico, qui semble apprécier le sujet.
Un arbre a été abattu non loin de nous. Il lui demande de s’y allonger. Elle fait grise mine, pensant à la blancheur de sa robe, mais finit tout de même par le faire.
Cette fille a un sens artistique très prononcé, ou bien elle dévore des revues de mode.
Bras ballant de chaque cotés du tronc, elle penche sa tête en arrière de façon à s’appuyer sur le haut de son crane. Puis, elle se cambre autant qu’elle peut.
Je pourrais passer un bras sous son dos, sans la toucher.
Pour finir, elle plie une jambe, ramenant son pied à hauteur du genou de l’autre jambe.
Le tissu léger de la robe, glisse le long de sa cuisse et tombe le long du tronc, la dévoilant entièrement.
Un trouble immense m’envahit, lorsque dans mon objectif, apparait le triangle blanc d’un mini string.
Nico, qui lui aussi à le même spectacle, me fait un grand sourire et un clin d’œil. Je le sens très fier de la beauté de sa princesse.
Dans cette position, sa poitrine tend la robe au maximum. Et, ce qui devait arriver…
Deux boutons sautent, laissant ses beaux seins blancs s’échapper du carcan de la robe.
Je tiens ma revanche, car cette fois, c’est elle qui est perturbée et troublée.
« Ne bouge pas, mon amour ! C’est superbe ! »
Et elle ne bouge pas.
Je ne sais plus ou me mettre. Je n’ose même plus photographier.
« Ben alors ? Ho Claude ! Tu baisses les bras ? Tu déclares forfait ? »
« Non, ce n’est pas ca, mais… »
« Allons ! Tu sais ce que c’est qu’une poitrine, non ? »
« Continues, Claude. Photographies moi, encore. S’il te plait. »
La douce voix de Line me réconforte et m’encourage à continuer. Ce que je fais, sous le regard amusé de mon ami.
Stupéfait, je regarde la belle déboutonner entièrement sa robe. Elle semble avoir perdu toute pudeur.
Son corps tout entier se dévoile à moi.
Je me cache derrière mon objectif. Je zoom au maximum et je la caresse au travers de la lentille.
Je trouve sa respiration rapide. Ses seins sont gonflés et ses tétons prêt à exploser. Je descends et glisse dans le creux de son ventre. Puis, remonte le long de sa jambe pliée, regrettant de ne pouvoir apercevoir son mont de venus.
Je prends des clichés par dizaine, sans m’occuper de Nico. Quand soudain, il apparait dans mon œilleton.
Il est penché sur le ventre de Line et l’embrasse, alternant avec de petits coups de langue. D’une main, il malaxe ses seins, tandis que l’autre semble affairé à glisser sous le petit string.
Je fais mon possible pour ne penser qu’à faire de belles photos. Je tourne mon appareil, avance, recule, m’agenouille, avance encore.
Je fixe le visage de Nico glissant vers l’intimité de sa muse. Pour facilité la caresse buccale imminente, elle déplie sa jambe, me permettant d’apercevoir enfin, sa montagne sacrée.
Le string est arraché et une touffe soyeuse le remplace.
Je frémis lorsque sa main se pose sur ma cuisse. Elle s’agrippe à mon pantalon et m’attire vers elle.
Je franchis le pas et me laisse emporter par ce tourbillon magique de l’excitation et du partage.
Je me penche à mon tour et l’embrasse avec passion. N’y tenant plus, je pose, tremblant, une main sur sa poitrine. Elle est chaude, douce moelleuse.
Elle frissonne.
Nico a le visage enfoui entre les cuisses de Line. Elle gémit, pousse de douces plaintes de plaisir.
Jamais, ce matin, je n’aurais imaginé sentir une des mains de la belle, remonter jusqu’à mon entre jambe et ouvrir ma braguette.
Jamais je n’aurais imaginé, que cette même main, brulante, extirperait mon sexe de mon caleçon.
Jamais, au grand jamais, je n’aurais imaginé sentir ce dernier glisser lentement entre les lèvres de cette splendide femme.
Tout n’est que plaisir et volupté.
J’ose une photo de sa langue, frétillant sur mes testicules, ou encore, remontant le long de ma verge dressée.
Elle a les yeux fermés. Sa respiration s’accélère et sa poitrine se soulève de façon régulière.
Soudain, elle délaisse mon membre. L’envie de s’exprimer devenant prioritaire.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! Nico, je vais…! Ouiiiii ! Je jouiiiiiis ! Hooooo ! C’est booooon ! Ouiiiiii ! »
Elle sert mon pénis, me masturbant frénétiquement. A ce rythme là, je ne serais pas long à jouir à mon tour !
Nico, me sauve in extremis.
« Lève-toi, chérie ! »
Elle délaisse mon membre, à mon plus grand regret.
Nico la penche vers le tronc. Il passe derrière elle, pose ses mains sur sa taille et la pénètre profondément.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! C’est trop boooon ! Prends-moi fort, mon amour ! Ouiiiii ! »
Elle garde les yeux fermés, mais ouvre un bras pour m’inviter à retrouver ma place entre ses lèvres.
Chacun à un « bout » de la déesse, nous nous regardons, complice, sans dire un mot, nous excitant de l’image que renvoie l’autre.
Nico craque le premier.
« Rhooo, Line ! Mon amouuuur ! Tiens ! Prends tout, mon cœur ! Hummmm ! Je t’aiiiiime ! Hargggggg ! »
Son visage est crispé, ses coups de butoir plus violent, son bas ventre frappant les fesses offertes.
Les gémissements de Line sont étouffés par ma verge prête à exploser, qui glisse sur sa langue.
Une fois de plus, je suis sauvé par mon ami.
« Viens Claude, prends la, pendant qu’elle me nettoie. »
Je ne me le fais pas dire deux fois et nous échangeons nos places rapidement.
Avant de m’enfoncer à mon tour dans son ventre, je vois ses poils pubiens, luisant du plaisir de mon ami. Le foutre qui s’écoule en long filet de la vulve bouillante, va s’écraser sur l’humus forestier.
Mon gland trouve le passage et s’enfonce dans le mélange visqueux, des deux plaisirs.
Le contact de cette matière grasse et chaude, m’excite au plus haut point et je craque à mon tour, très vite.
J’ai envie de lui crier mon plaisir, envie de l’insulter, d’être grossier. Mais je me contente de serrer ses fesses dans mes mains et de les écarter l’une de l’autre, pour gagner quelques millimètres, dans son antre détrempé.
Elle me nettoie à mon tour, tandis que Nico se prête à un drôle de manège.
Il va d’arbre en arbre, sa ceinture à la main. Il choisit des branches basses et passe sa ceinture par-dessus.
« Ha ! Celle-ci est bien. Viens ma chérie ! Viens là ! Nous allons faire une dernière série de photo. Tu veux bien ? »
« Humm ! À vrais dire, j’y prends gout ! Hihi ! Mais, qu’est ce que tu veux faire avec ta ceinture ? »
Elle s’approche et il l’invite à lever les bras et à se tenir aux extrémités de la lanière de cuir.
« Entoure tes mains avec. Comme si tu étais attachée. Ca va être terrible, ca ! »
Et ca l’est !
Cette femme, attachée au milieu d’une forêt, robe ouverte, les rayons du soleil caressant son corps…C’est de toute beauté.
Nous tournons autour, mitraillant la malheureuse sous tous les angles.
Soudain, un bruit de pas écrasant des branchages, stoppe net notre séance.
C’est Line qui le voit la première.
« Là, juste devant moi ! Je crois qu’il y a quelqu'un ! »
Nous scrutons la pénombre de la forêt et effectivement, nous découvrons un homme, accroupit, qui nous épie.
« Ne bouge pas, mon amour ! Laissons le approcher. Ca peut être intéressant. »
« Intéressant pour qui ? Tu oublies que je suis à poil ? Hihihi ! »
« Pour l’art, ma chérie ! Pour l’art ! Un modèle doit savoir donner de sa personne, pour faire avancer la création ! Claude ? Tu n’es pas de mon avis ? Haha ! »
« Ho ben si ! Tu pense ! »
Nous continuons à photographier et l’homme à s’avancer. Une minute plus tard, il est derrière nous, sexe à la main.
Il faut dire que nous n’avons pas rangé les nôtres. Et comme nous sommes de nouveau en érections, elles ne passent pas inaperçues.
L’homme fait un pas de plus et se place entre nous. Il semble très décontracté et pas du tout gêné. Il se caresse doucement en contemplant le merveilleux tableau que nous offre la belle Line.
C’est un grand type brun d’une trentaine d’années. Il est habillé d’un costume classe, de marque. Il fait des petits gémissements de plaisir, qui nous pousserait plus à rire qu’autre chose.
Puis, il regarde nos sexes tendus et entame la conversation.
« Humm ! Je vois qu’elle vous fait de l’effet aussi ! Elle est à vous ? Vous la prêtez ? Elle est soumise ? C’est une esclave ? »
Nous éclatons de rire.
« Non, non ! Rien de tout ca ! Nous faisons un concours photo ! Hahaha ! »
« Ho ! Je suis confus, mais comme elle est…et que vous êtes… j’ai cru que… »
« Nous joignons l’utile à l’agréable et c’est avec plaisir que nous vous invitons. »
« C’est vrais ? »
Il s’avance, bras en avant, manière zombie.
Il attrape la poitrine de la princesse à pleine mains, comme si c’était la première qu’il touchait. Il s’avance pour l’embrasser, mais la belle détourne le visage et il doit se contenter de son cou.
Il est tout contre elle et je vois son gland à demi disparu dans la toison humide. J’imagine le bout de sa verge, heurter le clito gonflé de Line, le frottant, dessus, dessous, lui procurant autant de petites décharges électriques qui la conduiront à un orgasme grandiose.
Mais elle n’aura pas cette joie.
« Ho ! Je… Je… Hiiichhh ! »
Il arrose copieusement son sexe en longs jets puissants et le foutre libéré coule le long de ses cuisses.
Content de lui, l’homme se rajuste et disparait entre les grands arbres.
« Dis pas merci, surtout ! Gros con ! »
« Te fâche pas chéri ! Ce n’est pas grave ! Viens, je vais te consoler. »
Elle libère ses mains et s’agenouille dans les feuilles mortes.
« Viens Claude, approche ! Ne reste pas dans ton coin ! »
C’est vraiment une princesse.
Elle est douce, chaude, généreuse.
Elle nous suce à tour de rôle et se délecte de notre miel bouillonnant, lorsqu’on me secoue violemment par le bras.
« Hé, Claude ! Debout ! Réveille-toi ! On a une journée chargée, si tu veux visiter la région ! »
Hé merde !
« Ouai ! J’arrive ! Dis dont Nico, je pensais à un truc. Si on faisait un concours photos ? Oui, non ? Ca te dit ? »
Pour un magnifique couple qui reprend le chemin du bonheur.
Je vous aime.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mouillée...
Bises
E.
Bises
E.
ce sont de beau reve :)