Naîve
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Naîve
Dix neuf ans, pas moche, bien foutue, mais tellement naïve que j’en ai honte.
Il est beau. Un vrai prince charmant avec le sourire qui va avec. Beau parleur, je bois ses paroles et bien sur je crois tout ce qu’il me dit.
- Chérie, je suis désolé, mais je dois travailler toute la nuit.
- Hoo ! Mon pauvre chéri ! Bon courage !
- Chérie, je dois partir huit jours en formation.
- Hoo ! Mon pauvre chéri, j’espère que je ne te manquerais pas de trop ! Moi, je vais me morfondre !
- Chérie, je suis de garde ce soir.
- Bon ! J’irais seule au cinéma.
Pauvre idiote que je suis.
C’est son oncle Fernand qui, hier, m’a ouvert les yeux.
- Mais cesse de croire ce petit con de Michel ! Il te mène en bateau ! Ce n’est pas parce que c’est mon neveu que ce n’est pas une petite ordure ! Ca fait combien de temps que tu fréquente ce crétin ? Hein ? Deux ? Trois ans ? Et bien je vais surement te faire de la peine, mais ca fait trois ans que tu es cocue et recocue ma jolie ! Des preuves ? Tu veux des preuves ? Ok ! Ou est-il en ce moment ? Au boulot ? En déplacement ? Mon cul oui ! Viens avec moi !
Il m’a agrippé par l’avant bras et m’a poussé dans sa voiture.
Sans un mot, nous avons roulé une heure, avant de nous arrêter devant une boite de nuit.
LA MAIN DOUCE
- C’est une boite échangiste. C’est MA boite échangiste. Et oui ! Qui n’a pas ses petits secrets de nos jours ?
Je n’aurais jamais imaginé l’oncle Fernand, patron de boite coquine. Ca m’a fait tout drôle.
C’est un type simple, de soixante sept ans. Veuf, il vit dans un petit studio sans prétention. Pour moi, c’était un homme simple, retraité, sans histoire et très gentil. Je n’ai jamais cherché à en savoir plus.
Je l’aime beaucoup et ca me suffit.
Ho bien sur, j’ai souvent remarqué qu’il me reluquait parfois de façon étrange, surtout lorsque je porte des jupes un peu courtes. Mais tout ceci n’est pas bien grave.
- Salut Ben ! Michel est là ?
L’armoire à glace qui se dressait devant la porte, lui répondit de sa voix grave.
- Oui patron ! Ca fait déjà deux bonnes heures. Il boit comme un trou, j’espère qu’il ne fera pas de scandale comme la dernière fois.
- T’inquiète pas, s’il en fait tu le fou dehors et tu l’interdit de séjour. Ok ?
- Bien patron.
Tandis qu’oncle Fernand poussait la porte de la boite, mes jambes se sont mises à trembler et je ne pouvais plus bouger.
- Alors, Virginie ! Tu viens ?
- Heu…non ! C’est inutile ! Ce n’est pas mon Michel ! Il n’est pas là, il est au bureau !
- Hummm ! Cesse de m’énerver, et ramène tes fesses ici et plus vite que ca !
Il m’a fait sursauter. Jusqu’ici je ne l’avais jamais vu énervé.
Les larmes aux yeux, je l’ai rejoint et nous sommes entrés.
Apres un petit couloir, juste éclairé par des néons mauves, nous avons débouchés sur une espèce de balcon qui surplombait une grande pièce à l’éclairage tamisé, trois mètres plus bas.
C’était comme un grand salon géant, très moderne, orné de banquettes en similicuir rouge, d’un petit bar et de tables basses éparpillées un peut partout.
Des couples et des hommes seuls déambulaient, plus ou moins habillés, s’embrassant, dansant, se câlinant ou forniquant un peu partout. Bref ! C’était une grande partouze géante et apparemment sans tabou.
- Là ! Regarde !
Du doigt, il m’indiqua un fauteuil dans la pénombre d’un recoin de la salle.
Michel, nu, y était confortablement installé. Une femme mure d’une cinquantaine d’années, également nue, était assise sur ses genoux et lui dévorait la bouche. Il faisait courir ses mains sur ce corps marqué par la vie et les accouchements, et semblait en retirer un plaisir énorme, au vu de son dard dressé entre les cuisses de la dame.
J’ai senti mon cœur se serrer et des larmes gonfler sous mes paupières.
Je suis sortie de la boite en courant et je me suis refugiée dans la voiture d’oncle Fernand, effondrée par ce que je venais de voir.
- Je ne pouvais plus le laisser se foutre de toi, comme ca. Je suis désolé de t’avoir fait de la peine, mais c’était un mal nécessaire. Je t’aime beaucoup Virginie. Je veux te protéger des requins qui pourraient profiter de ta gentillesse et entre autre de ce salop de Michel.
Il me prit dans ses bras et j’ai pleuré sur son épaule pendant au moins une heure. Il caressait mes cheveux, cherchait à apaiser ma peine en me donnant de petits bisous.
- Chuttt. Calme-toi. Ca va aller ma jolie. Ca va aller.
- Vous pouvez m’héberger quelques jours ? Aidez-moi à récupérer mes affaires chez lui. Vous voulez bien ?
J’ai jeté un dernier coup d’œil à l’appartement de Michel et j’ai déposé mon double de clefs sur la table basse, près d’un petit mot griffonné à la hâte.
« Je sais tout. Tu ne cesse de me mentir. Je suis très déçue. Je ne veux plus te revoir. Ne me cherche pas. Virginie. »
Mes parents nous ont quittés dans un accident de voiture, il y a tout juste un an.
Je n’ai plus de famille. Alors, lorsque Michel m’a présenté son oncle, je me suis prise d’affection pour ce vieux bonhomme et c’est comme ci c’était mon véritable tonton.
Je n’ai plus que lui. Mon oncle Fernand.
C’est un brave homme, plein d’attention. Il cuisine comme un dieu et je dois faire attention pour ne pas devenir énorme comme une baleine. Il m’a fait de la place dans son placard ainsi que dans la salle de bain. Et pour finir, malgré mes protestations énergiques, je monopolise son lit.
- Je n’ai pas d’heure. Je vais te réveiller sans arrêt. Tu seras mieux. Tu sais, mon canapé et moi on se connait bien et on s’aime beaucoup.
C’est ainsi que je me retrouve vivant avec mon tonton d’adoption, dans ce tout petit appartement.
Encore étudiante, je n’ai pas trop le choix.
Le dimanche, j’ai droit à mon petit déjeuner au lit. Il tapote à ma porte et vient déposer un plateau bien garni sur mes jambes. Il s’assied sur le lit et il me regarde manger. Nous discutons de tout et de rien. Nous rions beaucoup aussi.
C’est un moment privilégié.
Nous sommes début juillet. Enfin des vacances.
Fernand m’a proposé de m’offrir un séjour au bord de la mer.
- Tu es toute pâlichonne. Je te verrais bien avec une peau bronzée comme du pain d’épice. Tu serais à croquer !
J’ai refusé. Pas question de profiter de sa bonté.
- Alors, pour compenser, ce sera un plateau tout les matins !
Et il tient parole.
Chaque matin mes croissants, mon chocolat et mon jus d’oranges me sont servit au lit.
Il est heureux que je sois là. Ca se voit. Et ce matin, je ne sais pas pourquoi, j’ai ressenti le besoin de lui dire.
- Oui, bien sur ! Tu sais depuis le décès de mon épouse, je ne reçois pas grand monde. En plus un peu de jeunesse dans ma vie, ne peut pas me nuire. Non ?
- Tant que je ne vous dérange pas… Mais pour vous remercier, je suis prête à vous rendre n’importe quel service. Surtout n’hésitez pas à me demander. J’ai tellement envie de vous faire plaisir. Je le peux, non ?
Il prend mon plateau et le dépose sur une chaise toute proche.
Machinalement, je remonte un peu le drap sur mon ventre. Pur reflexe.
Il plonge ses yeux clairs dans les miens et pose le plat de sa main, là, juste ou je viens de relaisser tomber le drap.
Sa main chauffe mon ventre. Ce geste, pourtant amical venant d’un vieux monsieur, me trouble énormément.
- Bien sur que tu peux me faire plaisir. Ce n’est pas bien compliqué, tu sais ?
Il se lève, ramasse le plateau et disparait dans le couloir.
Qu’est ce qu’il a voulu dire par « tu peux me faire plaisir. Ce n’est pas bien compliqué » ?
Je sens encore la chaleur de sa main. Mince ! Je suis vraiment troublée.
Bon, allez ! Ca suffit comme ca ! Je suis parano ou quoi ? Je crois que j’ai besoin de prendre l’air.
Bizarrement, le lendemain matin, je redoute son arrivé. Comme pour me protéger, je fais semblant de dormir.
- Virginie, tu dors ? Il est dix heures ma puce !
Il n’insiste pas, pose le plateau et sort de la chambre.
Je suis rassurée. Rassurée, mais pourtant, j’aurais aimé qu’il tente un truc. Je ne sais pas, moi ? Qu’il me touche, me secoue gentiment, qu’il effleure ma joue ou qu’il…
Mais je ne vais pas bien du tout moi ! Je suis dingue ou quoi ?
Le lendemain matin, rien. Je ne vois rien venir. Pas de bruit provenant de la cuisine, pas de musique. Le silence total dans l’appartement.
Qu’est ce qui se passe ?
Inquiète, je me lève et me dirige vers le salon
- Tonton Fernand ? Vous êtes là ?
Il est couché dans son canapé, mais réveillé. Inquiète, je me penche et pose ma main sur son front.
- Ca ne va pas ? Vous êtes malade ?
- Non ma puce, ca va ! Je réfléchissais juste.
- Ben oui, mais j’attendais mon déjeuner, moi ! Hihi !
Je lui fais un gros bisou et il me promet de me l’apporter demain.
Je vais à la salle de bain pour me laver les dents. Lorsque je me rince la bouche, j’écarte mes cheveux pour ne pas les mouiller et je me penche pour prendre l’eau au robinet.
Machinalement, je me regarde dans la glace.
Je porte une petite combinaison noire, pour la nuit. Elle n’a rien de spéciale, sinon ses bretelles fines. Mais je viens de voir quelque chose dans le miroir.
Si je me penche, elle baille et je vois mes seins dans leurs totalités. Pas très grave, me direz-vous, sauf si…
Quand je parlais à mon oncle tout à l’heure, j’étais penchée au dessus de lui. Je comprends mieux pourquoi il s’est mit à rougir d’un coup. C’est malin !
Le lendemain matin, comme promit, il m’apporte mon plateau. Nous discutons tandis que je mange.
Une fois que j’ai eu fini, il retire le plateau et réitère son geste de l’avant-veille.
Seulement, cette fois, je n’ai pas eu le temps de relever le drap et sa main se pose directement sur ma nuisette.
Ca me provoque un long frisson le long de la colonne vertébrale et il me semble que mes cheveux se dressent sur ma tête.
- Bon ! Je te laisse te lever.
Il se penche et me donne un baiser sur le front, mais, sans retirer sa main. Je sens son pouce me caresser furtivement. Puis, juste avant de se relever, il plonge de nouveau son regard dans le mien. Il appuit légèrement sa main et masse deux ou trois fois mon ventre doucement.
Je ne suis plus si sur que ce geste soit juste amical. Peut être devrais je lui en parler, aborder le sujet ?
Mais si je me trompe, je risque de le gêner et de passer pour une fille tordue d’esprit.
Tordue, je le suis surement, pour mettre en œuvre un plan pour en avoir le cœur net.
Il fait très chaud et j’ai installé un ventilateur dans ma chambre.
Je dors au dessus des draps et je porte une toute petite nuisette, très légère et très décolletée.
En ne portant pas de culotte, j’ai bien l’impression d’en faire trop, mais tant pis ! J’ai besoin de savoir.
C’est là que le ventilo rentre en action. Il est placé dans un coin de ma chambre et pivote doucement. A chaque fois que son souffle vient caresser mon corps, ma nuisette se soulève et dévoile mon cul, nu.
Voilà ! Mon plan est prêt. Reste plus qu’à faire semblant de dormir, en espérant qu’il ne remarquera pas ma respiration, plus rapide.
Lorsque j’entends gratter à la porte, mon cœur s’emballe.
Puis, elle s’ouvre.
- Valérie ! Ton petit déjeuner est prêt ! Tu dors ?
Ne pas bouger, ne pas trembler.
Une fois, deux fois, trois fois, que je sens ma nuisette se soulever par le souffle de l’hélice.
Rien, pas un bruit, mais je sais qu’il est encore là.
Putain ! De le savoir en train de me mater, commence sérieusement à m’exciter.
Bravo Valérie ! Ce n’est pas très sérieux tout ca !
Je décide de bouger un peu. De chien de fusil, je me tourne presque sur le dos.
Merde ! L’air soufflé s’engouffre sous la nuisette et la remonte sur mon ventre.
Ben là, au moins, il a tout le loisir de mater mon minou rasé.
Soudain, je l’entends marcher. Il va dans le fond de la chambre et éteint le ventilo. Puis, les pas reviennent vers le lit. Je sens son parfum plus présent. Je suis sur qu’il est penché sur moi.
- Valérie ? Tu dors ?
Comme seule réponse, je m’allonge complètement sur le dos, offerte.
Je me rends bien compte que je joue avec le feu, mais c’est une ardeur intérieure et inconnue qui me contrôle.
Je sais que je mouille. Je suis sur qu’il le voit.
Pour preuve, ce doigt qui effleure ma fente, sans doute pour recueillir un peu de mon nectar.
Je n’en peux plus et je ne sais pas quoi faire. Ouvrir les yeux ? Le tirer à moi ? Lui demander de me baiser, là, tout de suite, comme une chienne ?
Mais je n’ai pas le loisir de choisir. La porte de ma chambre se referme.
J’enrage.
Mon envie de ses mains sur mon corps s’amplifie de jour en jour. Je veux sentir sa peau contre la mienne, son sexe dans mon ventre, sa sève me souiller.
Je me sens devenir folle. Folle de cet homme. Folle de désir pour lui. Je le veux.
C’est vendredi soir et comme tout les vendredis il a invité quatre amis pour jouer au poker.
Ils sont installés autour de la table et les cartes s’abattent depuis plus d’une heure déjà.
Moi, je regarde la télévision et les alimente en bière et chips.
Alors que je nettoie quelques assiettes à la cuisine, je capte une conversation.
- Dis dont, Fernand ! Elle est bonne la petite !
- Arrête tes conneries René ! Elle a dix neuf ans ! Tu ne vas pas te taper une gamine, non ? Elle pourrait être ta petite fille !
- Ben, j’suis désolé, mais elle me dirait oui, je ne dirais pas non ! Haha !
C’est donc ca ? C’est mon âge qui le freine ?
Je comprends alors que si je le veux, je dois le mettre devant le fait accompli.
Je file dans ma chambre et je me change. Je mets une nuisette en satin, largement décolletée et très courte. Je passe mon peignoir, sans le fermer et je reviens dans la salle. Là, je vais m’asseoir directement sur les genoux d’Albert.
- Bon ! Qui c’est qui gagne ? Je vais me coucher. Le gagnant aura le droit de me border. Hihi !
Oncle Fernand me lance un regard réprobateur. D’autant plus que c’est son ami Gérard qui gagne.
C’est un type de l’âge de mon oncle. Il n’est vraiment pas beau et… con. Il est arrogant et prétentieux. Il connait tout et a tout vécu.
Je pensais que c’était mon oncle qui gagnait, comme toujours. Sinon, je n’aurais jamais lancé l’idée.
En tout cas, ca amuse bien les hommes.
- Bravo Gégé ! C’est toi qui borde la petite !
- Ouai ! Chante-lui une berceuse ! Haha !
- Lui dis pas ca, il va lui chanter une chanson paillarde ! Héhéhé !
- Hé ! C’est border, pas peloter ! Haha ! Vieux pervers !
Gérard se lève, fier, et me suit dans ma chambre.
Je n’ai pas de culotte et malgré mes précautions, lorsque je me glisse dans mes draps, le type s’en aperçoit.
Tandis que j’entends mon oncle dire au revoir à ses amis, Gégé s’excite tout seul.
- T’as bien fait de m’choisir. J’suis de loin le mieux monté de tous ces cons. Tu vas voir, j’vais t’faire du bien, moi !
Le connard se penche sur moi et pose une de ses mains sur mes seins et essaye de m’embrasser.
Je détourne le visage et tente de retirer sa main. Mais l’homme est fort.
- Non ! Arrêtez ! Laissez-moi ! Je n’veux pas ! Non !
Soudain, la porte de ma chambre s’ouvre et l’oncle Fernand se jette sur son ami.
- Qu’est ce que tu fous, Gégé ! T’es fou ou quoi ? Dégage ! Sors de chez moi !
Il le jette dehors et revient dans ma chambre. Il s’assoit sur mon lit et passe sa main dans mes cheveux.
- Ca va Valérie ? Il ne t’a pas fait de mal ?
Je prends sa main et la pose sur mon ventre. Je le guide pour qu’il le masse un instant, puis, je la glisse sous les draps, entre mes cuisses.
- Heuu, Val… ? Qu’est ce que tu fais ?
- Allons tonton ! Ne me dites pas que vous n’en avez pas envie ! En tout cas, moi, si !
Il pousse un long soupir en fermant les yeux et ses doigts glissent sur mon abricot détrempé.
- Ho Valérie ! Il y a si longtemps que… Hummmm ! Comme elle est chaude, douce !
- Venez ! Venez près de moi.
Oncle Fernand retire ses chaussures et son maillot et vient se glisser sous les draps, tout contre moi. Sans doute a-t-il gardé son pantalon par pudeur.
Son torse, bien que légèrement fripé, a encore les restes d’une musculature qui autrefois devait affoler les femmes.
Il glisse une jambe entre les miennes et, contre ma cuisse, je sens une bosse dans son pantalon.
Humm ! Tonton est encore vert !
Il a glissé sa main sous ma nuisette et caresse mes seins avec gourmandise.
Ses yeux, dans les miens, me renvoient toute l’émotion qui est en lui.
Il est attendrissant.
Je glisse une main dans ses cheveux.
- Embrassez-moi, tonton ! Embrassez-moi !
Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes. Sa bouche s’amuse, les mordant l’une après l’autre. Puis, juste avant d’en prendre possession, sa langue glisse sur mes lèvres avec une douceur infinie, puis s’enfonce à la recherche de la mienne.
Jamais je n’ai reçu si tendre baiser.
Je l’étreins et emprisonne sa jambe des miennes.
Mon plaisir et mon envie sont au paroxysme. Là ou l’on commence à faire des choses inavouables ensuite.
J’ondule mon bassin et me frotte, telle une chienne en chaleur, à son pantalon de velours.
Lui aussi profite de cet instant. Ses caresses, ses baisers sont moins doux, plus virils, et il pousse les plaintes significatives du plaisir masculin.
- Hummm ! Ouiiii ! Ho ouiii ! Hummmm !
D’un coup de rein, je le couche sur le dos et l’enfourche.
Ma nuisette traverse la chambre et je m’occupe de la braguette du pantalon de tonton.
Tandis qu’il est tout à ses caresses, j’extrais d’un slip kangourou, une magnifique verge, aussi droite et aussi fière que celle d’un ado.
A genoux au dessus de celle-ci, je l’utilise pour me caresser les grandes lèvres et la frotte à mon clito près à exploser.
Puis, lentement et très progressivement, je me laisse posséder par la tige de chair.
Je chevauche mon oncle, ondulant du bassin de plus en plus fort.
Il broie ma poitrine, palpe mes fesses, dévore ma bouche. Ses violents coups de reins me provoquent de grosses décharges lorsque son gland entre en contact avec mon utérus.
C’est moi qui jouis la première.
- Hoooo ouiiiii ! Tontooon ! Ne t’arrête pas ! Hummmm ! Oui, encoreee ! Ouiiii comme caaa ! Hooooo ! Hummmmouiiiiii !
- Humm Vallll ! Tiens ma belle ! Hummm ! Prends ca et ca ! T’aime ca te faire baiser, hein ! Salope ! Hummmmm !
- Ho ouiiii ! C’est boooon ! C’est bon de sentir une grosse bite ! Ouiiii ! J’aime caaa ! Hummmm !
- Haaa salope ! Tu me fais jouiiiir ! Hummmmm ! Hargggggg !
Je sens mon ventre être éclaboussé de son miel chaud.
- Haaaa ! Ouiiii ! Jouiiiiiis, ouiiii ! Je…. Je viens aussiiiii ! Hummmmm ! Ouiiii !
Je reste de longue minute, écroulée, ramassée sur lui, son pénis encore en moi, comme pour retarder le moment ou tout s’arrête.
Puis, je me laisse glisser de coté.
-Vous restez ? Vous restez dormir avec moi ?
Mais il ne répond pas. Il se lève et sort de ma chambre, nu, ses affaires dans les bras…sans un mot, sans doute un peu honteux, ou surprit par mon attitude.
Je me masturbe un bon moment encore, profitant de son foutre en moi. J’aime le bruit de ma chatte souillée, de son odeur aussi. Plusieurs fois, je porte mes doigts à ma bouche. Plusieurs fois, je les lèche.
Puis, progressivement, le sommeil me rattrape et je m’endors, mes doigts encore en moi.
Le lendemain matin, mon oncle m’apporte mon petit déjeuner comme si rien ne c’était passé. Je dirais même qu’il est très guilleret.
Je m’assois dans le lit pour recevoir le plateau.
Je suis toujours nue et mes seins ne sont pas cachés. Il ne semble même pas y prêter attention. Pour un peu, ca me vexerais.
Puis une fois fini, il ramasse mon plateau et sort de la pièce.
Peut être n’a-t-il pas envi de reparler de ce qui c’est passé et de ne changer en rien notre façon de vivre l’un avec l’autre.
La journée se passe bien et le soir même il reçoit ses amis pour un poker. A ma grande surprise, Gérard est là.
Plusieurs fois dans la soirée, je l’ai surpris à me dévorer des yeux. A un moment ou ses amis avaient les yeux plongés dans leurs jeux, il a fait frétiller sa langue avec un regard lubrique.
M’est venu alors l’envie insensée d’exciter ce type. Je voulais le rendre fou, alors qu’il ne pouvait me toucher.
Je suis allée prendre une douche et comme l’autre fois, je suis revenue en peignoir, mais cette fois fermé, car nue dessous. Mes cheveux mouillés coulaient encore et je me suis sentie sexy devant le regard médusés des joueurs.
Debout derrière Gégé, je secoue ma tête pour l’éclabousser.
- Désolée, les gars ! Mais ce soir, personne ne me bordera !
Ils rient et s’esclaffent de mécontentement, sauf Gégé. Puis, surpris, ils restent bouches ouvertes lorsque je m’assois sur les cuisses de mon oncle. Il est d’ailleurs le premier étonné de ma conduite mais ne dit rien.
Je suis bien installée. Bien calée, de coté, mes pieds ne touchent plus terre. J’ai passé un bras autour de son cou et posé ma tête dans le creux de son épaule.
Je me fais chatte.
Il n’a pas d’autre choix que de passer son bras autour de ma taille, pour pouvoir tenir ses cartes.
Ses amis restent médusés. Quand à lui, la surprise passée, il semble plutôt fier.
La partie reprend et mon oncle commence à gagner. A gagner beaucoup.
- Pffff ! C’est la poulette qui te porte chance ou quoi ?
- Je ne savais pas qu’on pouvait venir avec ses portes bonheurs ! Haha !
Plus ils le charrient, plus il gagne. C’est amusant.
L’ambiance est au beau fixe, jusqu’au moment ou le gros con de Gégé ouvre la bouche.
- Putain ! Si tu baisais aussi bien que tu joue, la gamine serait large comme un garage à bites ! Haha !
Je dois retenir mon oncle pour qu’il ne lui vole pas dans les plumes. Mais, un autre se charge de tout.
André, le plus jeune, peut être cinquante ans, jette ses cartes et balance une baigne à Gégé.
Il tombe au sol comme une grosse merde.
- Lève-toi espèce de sale type ! Excuse-toi ! Valérie n’est pas ta copine de comptoir connard ! Tu pourrais être respectueux !
Il se lève en se tenant la mâchoire et s’approche de moi. Il se penche un peu et…
- T’as senti que j’en avais une grosse. Hein chérie ? T’as eu peur que je t’encule ?
Cette fois, ils se lèvent tous et foutent une correction à Gégé.
J’ignore comment, mais il se retrouve attaché à un radiateur et bâillonné.
Nous sommes tous debout. La table a été poussée, les verres renversés, les cartes éparpillées.
- Voilà ! Il a fini de t’insulter. A toi de choisir sa punition. Tes désirs seront des ordres !
Encore un peu ébranlée, je commence à nettoyer les dégâts
- Le punir ne m’apportera rien. Je suis plutôt peace and love. Mais qu’est ce que je peux faire pour vous remercier ?
Un peu surprise par le silence qu’a provoqué ma phrase, je me retourne.
Les hommes sont toujours debout et me regardent de la tête aux pieds.
Un long frisson me parcourt.
Je regarde mon oncle, interrogative. Il s’est rassit. Il me regarde, me sourit et lève les mains d’une manière qui voudrait dire : « D’après toi ? ».
J’ai peur de comprendre, mais quand mon regard croise celui d’André, je n’ai plus de doute.
Il aimerait que je paie de mon corps, c’est limpide.
Je prends les deux bouts de ma ceinture et je les tends aux deux hommes qui encadrent André.
Ils les tirent doucement. Le nœud se défait. Lorsqu’ils lâchent ma ceinture, mon peignoir s’ouvre dévoilant mon corps nu aux cinq hommes.
Gégé hurle derrière son bâillon. Sans comprendre ce qu’il dit, je sais très bien qu’il déverse toutes les injures qu’il connait.
André, visiblement très ému, s’approche de moi et fait glisser le peignoir sur mes épaules. Il tombe au sol et me voilà prête à rendre hommage à mon preux chevalier.
Je me mets à genoux et défait sa braguette. A la bosse qui déforme déjà son pantalon, je sais que ma bouche sera d’un grand réconfort.
Son gland turgescent m’apparait enfin et lorsqu’il glisse entre mes lèvres, André pousse un long soupir de satisfaction.
Mon oncle est resté assit. Les deux autres hommes se régalent du spectacle en se masturbant. Gégé, lui, continu de vociférer. Je me relève avant qu’il ne jouisse.
Je regarde mon oncle, interrogative une fois de plus. Il comprend, capte mon hésitation. Alors d’un léger signe de tête, il me dit « oui ».
Je pose mes fesses sur le bord de la table et j’écarte les jambes. Je porte une main à mon antre et je me masturbe en regardant les trois hommes, qui en font tout autant.
Puis mon chevalier André s’approche et me couche sur la table. Il pose mes chevilles sur ses épaules, puis place son gland face à ma grotte détrempée.
Un coup de rein plus tard, l’invasion de mon ventre est une réalité.
Les deux mains sur mes seins, il le pilonne sans complaisance. Et je le vois à son regard, c’est avec regret qu’il explose, trop tôt, en longs jets bouillant dans celui-ci.
Mes chevilles passent d’André à Gustave. Grand type, sec et barbu.
Son membre est plus court mais plus large aussi.
Lorsqu’il plonge dans le jus de son ami, il ne peut s’empêcher de jubiler.
- Ho putain ! C’que c’est bon ! C’que t’es belle fillette ! Hummmm ! Ho ouiiiii ! C’est trop bonnnn !
Il s’enfonce lentement en moi et me baise gentiment, jusqu’à sa délivrance.
Je trouve ces instants divins, emplis de respect et d’affection. J’ai déjà jouis plusieurs fois, lorsque mes chevilles découvrent le confort des épaules de René.
Certes ce n’est pas le plus beau avec ses cent cinquante kilos, mais c’est certainement le plus gentil et le mieux monté.
Intimidé il s’excuse.
- Je suis désolé, mais vous êtes si belle ! Je vous désire tant !
- Chuttttt ! Viens ! Viens vite ! Prends-moi, maintenant !
Si bien membré qu’il repousse les semences des deux autres, aussi loin qu’il le peut, provocants des sons pas forcement doux à l’oreille, mais qui reflètent bien l’état intérieur de mon vagin.
Je m’offre deux beaux orgasmes avant que mon utérus soit copieusement arrosé, une fois de plus.
Je me redresse, essoufflée, en sueur. Mes jambes sont molles et tremblent un peu.
Je souris à mon oncle. Il me le rend.
Mais les trois hommes semblent ne pas vouloir en rester là.
Ils me retournent et me plient sur la table, les bras bien haut pour que je m’agrippe à l’autre extrémité de la table.
Du foutre est prélevé de ma chatte, pour graisser ma pastille brune. Ils y crachent, aussi.
Qui donc a récupéré si vite qu’il veuille me sodomiser.
Je ne peux le voir, mais la queue qui glisse entre mes hémisphères est dure comme de l’acier. Puis, le gland se positionne et par petites poussées, progressivement, le dard pénètre mes chairs. Je respire, me détends pour faciliter le passage, pour limiter la douleur, puis soudain !
Les couilles viennent violement frapper mon vagin déjà endolori par les précédentes pénétrations. Le membre c’est enfoncé aussi loin qu’il le pouvait, me provoquant une douleur comparable à un déchirement.
Puis ma sodomie commence, longue, puissante, violente. Le type enserre ma nuque de sa poigne d’homme, m’empêchant ainsi de me débattre ou de me dégager. Le bord de la table frappe le haut de mes cuisses à chaque coup de buttoir.
Je ne suis pas bien, fatiguée, mais j’ai promis de les récompenser, alors je résiste.
Enfin, le mouvement ralenti et je sens le monstre palpiter en moi. Il va cracher son venin. Mais soudain, c’est une furie qui se déchaine en moi. Je suis en enfer. Des claques sur mes fesses rajoutent à la douleur.
- J’te l’avais pas dis que j’t’enculerai ? Hummmmm ! Salope ! Hachhhhh ! J’t’avais pas menti ! Elle est grosse ! Hein ? Ho, putaiiin ! Tu m’fais jouir ! J’vais remplir ton cul de morue ! Tiennnnnns ! Prends ca ! Et ca ! Hargggggg !
La voix de Gégé résonne à mes oreilles comme un claquement de fouet.
Je parviens à tourner la tête. Les trois hommes le regardent abuser de mon cul, sans bouger. Mon oncle, lui, préfère ne pas regarder du tout. Je ne comprends rien.
Il se vide longuement et me libère sans manquer de m’assener une dernière claque puissante sur les fesses.
Mes jambes ne me tiennent plus, je m’écroule au sol comme un vieux chiffon sale.
Ils se détournent tous de moi et je les vois prendre congé de mon oncle Fernand.
Gégé : - Hummm ! Merci ! J’ai bien aimé son cul ! Il est bien serré !
André : - Si tu as d’autre nièce de ce genre, fais nous signe !
René : - Putain ! J’aurais préféré passer le premier, mais elle était meilleure que l’autre.
Gustave : - C’est une bonne salope ! Garde là celle la ! Allez salut et merci !
Je suis médusée et je baigne non seulement dans le foutre froid, mais également dans l’incompréhension la plus totale. Vexée, les larmes aux yeux, je me relève péniblement et réenfile mon peignoir.
Je m’écroule sur une chaise et interroge mon oncle.
- Je ne comprends rien ! Il faut m’expliquer là ! C’est quoi ca ?
- Il est tard. Je vais me coucher. Je t’expliquerais tout demain matin.
Il sort de la salle, me laissant plantée là, seule et sans explication.
Je prends une douche qui normalement se voudrait réparatrice et je me couche, angoissée.
J’ai bien du mal à m’endormir, mais finalement le sommeil m’emporte jusqu’au petit matin.
- Valérie ? Réveille-toi, il est midi déjà ! Je t’ai laissé dormir. J’ai bien fais, non ?
Je fais un bond dans mon lit.
Il est là, près de mon lit, l’air de rien, son plateau dans les mains. Il affiche un grand sourire, comme si rien ne c’était passé.
Je m’assois pour lui permettre de poser le plateau. Je n’ai aucun risque de lui dévoiler quoi que ce soit aujourd’hui. J’ai enfilé un pyjama.
- Vous allez m’expliquer, enfin !
- Je suis navré de ce qui est arrivé, Valérie.
- Je ne compte pas me contenter de ca !
- Bon, et bien voilà ! Nous nous retrouvons souvent pour jouer aux cartes, et, une fois par mois, on se cotise pour s’offrir une pute. Nous inventons des scenarios pour rigoler. Tu sais, Gégé n’a pas été vraiment frappé.
- Heuu ! Moi, j’ai vraiment été enculée, tonton !
- Je suis désolé ! C’est vrais qu’au début il a déconné, mais les autres se sont prit au jeu et….voilà !
- Vous auriez pu intervenir, non ?
- Oui, certainement, mais quand je t’ai vu tendre les bouts de ta ceinture… de plus avec ce qui c’était passé entre nous… j’ai pensé que…
- Que j’étais une pute ?
- Non, je n’ai pas dis ca, Valérie. Juste que tu aimais le sexe, au-delà de mes espérances. Je suis profondément désolé et je te demande pardon.
Je reste seule un long, très long moment au lit.
Je repense à cette soirée, à ce qui c’est passé. Mon oncle Fernand a raison. Mon comportement ne pouvait que prêter à confusion.
Je me sens curieusement troublée. Je plonge une main dans le pantalon de mon pyjama.
Je suis une véritable fontaine.
Le souvenir de ce qui s’est passé, m’excite étrangement.
Je rejoins mon oncle dans la salle. Il est écroulé dans le canapé, la tête enfoncée dans les épaules, triste.
- Ne faite pas cette tête là ! Je vous propose de tourner la page.
- Humm ! Tu prends ca bien à la légère tout à coup !
- Et bien en fait…
Je m’assois à califourchon sur ses jambes et je déboutonne ma veste de pyjama.
- … je dois me rendre à l’évidence, tonton. Ca m’a plu.
Je prends mes deux seins dans mes mains et les écrase l’un contre l’autre. Il n’en faudra pas plus pour déclencher une partie de jambes en l’air de deux heures.
Depuis deux jours, tonton dort dans mon lit et nos nuits sont courtes.
Mais ce matin…
- J’ai réfléchi ! Ce soir tu viens avec moi à « La main douce » !
- Ho ! Vous croyez ?
- Ne me dis pas que tu es contre une petite soirée ? Maintenant je connais ton potentiel. Tu as ta place là-bas. Tu vas les rendre fou !
- Je ne suis pas sur du tout que ce soit ma place.
- Ce n’est pas ton avis que je te demande, mais de me faire confiance.
Il m’accompagne dans la chambre et choisi lui-même ce que je dois porter.
Je ne suis pas trop d’accord sur son choix, mais je ne dis rien.
Je passe le kilt rouge et un tee-shirt moulant tout aussi voyant, qu’il a jeté sur le lit.
- Enfile ces cuissardes, sans rien d’autre. Pas de bas, pas de string, pas de soutif. Tu n’as pas besoin de tout ca, je t’assure.
La route jusqu’à la boite, m’a sembler très rapide.
C’est le cœur battant, les jambes flageolantes que je suis mon oncle dans le corridor mauve.
Arrivés devant l’escalier qui permet d’atteindre la salle un peu plus bas, il me prend la main.
- Je ne suis pas sur d’être prête pour ce genres de choses.
- Si tu n’essaye pas, tu ne le sauras jamais. Arrête tes enfantillages et suis-moi !
Je descends prudemment pour ne pas tomber du haut de mes douze centimètres de talons.
Il me conduit à une petite table ronde. Contre le mur un petit canapé rouge, deux place et de l’autre coté un pouf, tout aussi rouge. Nous nous installons dans le canapé.
- Considère les gens qui t’entourent comme étant tes amis. Ils sont tous là pour la même raison. Il n’y a pas de crainte à avoir. Je vais te chercher une coupe de champagne. En attendant, imprègne-toi de l’endroit et de son ambiance. Tu es ici chez toi !
Il n’est pas parti depuis une minute, qu’une ravissante jeune femme rousse, vient se poser près de moi.
- Bonsoir ! Vous permettez ? Je m’appelle Sophie. Je ne vous importune pas j’espère ?
- Heuu ! Je suis avec mon oncle, il va revenir.
- Humm ! Un oncle et sa nièce ? Mais qui est donc ce polisson ?
- Il est là-bas, au bar.
- Qui ? Lui ? Monsieur Fernand ? Tu es Virginie ?
- Il vous a parlé de moi ?
- Evidement ! Il ne parle que de toi et de ta beauté. Je dois dire qu’il avait raison. Il t’a enfin décidé à venir nous rejoindre ?
- Je n’ai pas eu trop le choix, mais je suis venue observer dans un premier temps.
Elle s’est collée à moi et a passé un bras autour de mes épaules.
Elle porte une robe noire très transparente. Je peux distinguer un string et un porte-jarretelle. Ses longues jambes gainées de bas de soie à coutures et une paire d’escarpin vernis finissent de l’habiller.
- Tu es vraiment charmante. Tu me plais beaucoup, petit ange.
Elle se rapproche de plus en plus. Je suis certaine qu’elle va essayée de m’embrasser. Je ne suis pas très à l’aise, mais heureusement, mon oncle revient.
- Ha ! Et bien je vois que vous avez fait connaissance ! C’est très bien ca !
- Je suis désolée, mon oncle, mais je voudrais rentrer.
- Tu n’es qu’une petite idiote ! Rentre si tu veux ! Finalement, je me suis trompé sur ton compte. Tu ne vaux rien ! Pas étonnant que Michel est été voir ailleurs !
Il tourne les talons et se dirige vers un petit groupe qui s’agite autour d’une fille.
C’est comme une gifle. Ses paroles me blessent terriblement.
Puisque c’est comme ca, je vais lui prouver qu’il se trompe sur mon compte.
Je me retourne vers Sophie, prends son visage dans mes mains et je l’embrasse à pleine bouche, fougueusement.
La jeune femme, évidement ravie, m’enlace et commence à me caresser.
Sa main glisse rapidement sous mon kilt et ses longs doigts prennent rapidement d’assaut mon antre humide.
Je glisse la fermeture éclair dans son dos et fais glisser sa robe sur ses épaules. Je découvre ses seins magnifiques. Ses pointes sont déjà dressées, semblant attendre mes caresses.
Elle délaisse un instant mon minou, pour me débarrasser de mon tee-shirt.
Nos seins entrent en contact et je jouis une première fois.
- Hummm ! Tu semble sensible ! J’aime ca ! Retire ta jupe.
Je me retrouve nue la première. Je sens des regards sur moi, même sans les voir vraiment.
Bizarrement, je n’en suis pas gênée, mais très excitée.
J’aide Sophie à quitter sa robe à son tour, sans lâcher ses lèvres.
Doucement, elle m’allonge sur le canapé et se couche sur moi. Elle est d’une douceur extrême et d’une tendresse immense.
Ses doigts courent dans ma chevelure, s’égarent sur mon visage, visitent ma bouche et réclament ma langue.
Mes mains caressent son dos, ses fesses d’une extrême fermeté.
Je me sens bien.
Sa toison fournie caresse mon coquillage lisse et me provoque une multitude de mini jouissances.
Les yeux fermés, je me concentre sur tout ce que je ressens. C’est le bonheur total.
Puis sa bouche quitte la mienne et commence un long périple qui commence par une glissade dans mon cou.
Puis, elle s’attarde un long moment sur mes seins et plus particulièrement sur mes tétons, qu’elle fait rouler entre ses lèvres, avant de les aspirer et les titiller de sa langue.
La longue descente continu, jusqu’à mon ventre. Celui-ci se rétracte à chacun de ses baisers, me provoquant de longs frissons.
Puis enfin, après avoir franchi le mont de venus, sa bouche plonge entre mes cuisses.
C’est une explosion instantanée, un feu d’artifice, une expérience incomparable. Le contact de sa langue sur mon clito gonflé, me fait perdre tout mes moyens. Je jouis si fort que je me relâche totalement, expulsant un jet puissant sur son visage.
Je suis prise de honte et je dois être rouge coquelicot.
Mais elle ne semble pas gênée du tout et continue à fouiller ma chatte détrempée, de sa langue agile et experte.
Lorsqu’elle revient titiller mon bouton rose et que je l’inonde de nouveau, j’ouvre les yeux, pour m’excuser.
La surprise est grande.
Quatre hommes, nus, se masturbent frénétiquement en nous regardant.
Sophie, elle, semble aux anges. Elle exulte tout en me dévorant
- Hummm ! Ho ouiii ! Donne-moi tout ! Donne-moi ton jus ! Hummmm ! Tu es fantastique ! Humm ! Encoreeee !
J’ignore encore ce qui m’arrive, c’est la première fois. Il me semble bien avoir lu un article sur les femmes fontaine, mais j’étais loin d’imaginer que je pouvais en être une. Ca me fait vraiment bizarre.
Et ces hommes qui tendent leurs mains, pour me caresser.
Il me semble perdre pied. Je suis sur un navire qui tangue, prêt à se retourner.
Entre deux fortes jouissances très arrosées, un bref instant, j’aperçois oncle Fernand, au bar, avec un homme. Il me regarde.
La petite idiote qui ne vaut rien, est en train de lui donner une leçon. Cette simple pensée me fait jouir de nouveau.
Un jet de foutre atteint mon visage et mon cou.
Avide de sexe, je récupère d’un doigt, tout ce qu’il est possible de récupérer, et je le porte immédiatement à ma bouche.
Puis, Sophie s’écarte et s’éloigne, me laissant aux mains des hommes.
L’un d’eux, se couche sur moi et me pénètre d’un coup, tandis qu’un autre dépose son gland sur ma bouche, que je m’empresse de faire glisser entre mes lèvres.
Je ne suis plus moi-même. Je joue le « lâcher prise » et on pourrait bien faire ce que l’on veut de moi.
Finalement, c’est bien ce qui se passe un peu.
Je suis prise plusieurs fois, dans tout les sens, dans tous mes orifices.
Je suis un peu bousculée, par un groupe d’homme de plus en plus important.
La fatigue me gagne et il semble que ca se voit, car les mâles calment le jeu et se finissent sur mon corps et mon visage en de nombreuses giclées chaudes et grasses.
Dans un ultime sursaut d’envie de plaisir, je caresse mon corps et mes joues, étalant la crème blanchâtre, jusqu’à la rendre plus collante encore, plus grumeleuse.
Je crois bien que je m’assoupie sur le canapé, éclaboussé de ma mouille qui n’a cessé de gicler.
Finalement, tout pourrait très bien se terminer si, dans mon demi-sommeil, je n’entendais pas une conversation des plus déroutante.
- Voilà, Michel ! Je t’en ai fait une bonne pute. Elle est complètement sous l’emprise du sexe. Si tu t’y prends bien, tu en feras ce que tu veux.
- Merci tonton, c’est trop cool ! Et elle ne s’est doutée de rien ? Même chez toi avec le plan poker ?
- Bien trop naïve pour ca ! Haha ! Allez, viens. Il reste à trouver comment la faire revenir dans tes filets.
Naïve ? Vous avez dit naïve ?
Il est beau. Un vrai prince charmant avec le sourire qui va avec. Beau parleur, je bois ses paroles et bien sur je crois tout ce qu’il me dit.
- Chérie, je suis désolé, mais je dois travailler toute la nuit.
- Hoo ! Mon pauvre chéri ! Bon courage !
- Chérie, je dois partir huit jours en formation.
- Hoo ! Mon pauvre chéri, j’espère que je ne te manquerais pas de trop ! Moi, je vais me morfondre !
- Chérie, je suis de garde ce soir.
- Bon ! J’irais seule au cinéma.
Pauvre idiote que je suis.
C’est son oncle Fernand qui, hier, m’a ouvert les yeux.
- Mais cesse de croire ce petit con de Michel ! Il te mène en bateau ! Ce n’est pas parce que c’est mon neveu que ce n’est pas une petite ordure ! Ca fait combien de temps que tu fréquente ce crétin ? Hein ? Deux ? Trois ans ? Et bien je vais surement te faire de la peine, mais ca fait trois ans que tu es cocue et recocue ma jolie ! Des preuves ? Tu veux des preuves ? Ok ! Ou est-il en ce moment ? Au boulot ? En déplacement ? Mon cul oui ! Viens avec moi !
Il m’a agrippé par l’avant bras et m’a poussé dans sa voiture.
Sans un mot, nous avons roulé une heure, avant de nous arrêter devant une boite de nuit.
LA MAIN DOUCE
- C’est une boite échangiste. C’est MA boite échangiste. Et oui ! Qui n’a pas ses petits secrets de nos jours ?
Je n’aurais jamais imaginé l’oncle Fernand, patron de boite coquine. Ca m’a fait tout drôle.
C’est un type simple, de soixante sept ans. Veuf, il vit dans un petit studio sans prétention. Pour moi, c’était un homme simple, retraité, sans histoire et très gentil. Je n’ai jamais cherché à en savoir plus.
Je l’aime beaucoup et ca me suffit.
Ho bien sur, j’ai souvent remarqué qu’il me reluquait parfois de façon étrange, surtout lorsque je porte des jupes un peu courtes. Mais tout ceci n’est pas bien grave.
- Salut Ben ! Michel est là ?
L’armoire à glace qui se dressait devant la porte, lui répondit de sa voix grave.
- Oui patron ! Ca fait déjà deux bonnes heures. Il boit comme un trou, j’espère qu’il ne fera pas de scandale comme la dernière fois.
- T’inquiète pas, s’il en fait tu le fou dehors et tu l’interdit de séjour. Ok ?
- Bien patron.
Tandis qu’oncle Fernand poussait la porte de la boite, mes jambes se sont mises à trembler et je ne pouvais plus bouger.
- Alors, Virginie ! Tu viens ?
- Heu…non ! C’est inutile ! Ce n’est pas mon Michel ! Il n’est pas là, il est au bureau !
- Hummm ! Cesse de m’énerver, et ramène tes fesses ici et plus vite que ca !
Il m’a fait sursauter. Jusqu’ici je ne l’avais jamais vu énervé.
Les larmes aux yeux, je l’ai rejoint et nous sommes entrés.
Apres un petit couloir, juste éclairé par des néons mauves, nous avons débouchés sur une espèce de balcon qui surplombait une grande pièce à l’éclairage tamisé, trois mètres plus bas.
C’était comme un grand salon géant, très moderne, orné de banquettes en similicuir rouge, d’un petit bar et de tables basses éparpillées un peut partout.
Des couples et des hommes seuls déambulaient, plus ou moins habillés, s’embrassant, dansant, se câlinant ou forniquant un peu partout. Bref ! C’était une grande partouze géante et apparemment sans tabou.
- Là ! Regarde !
Du doigt, il m’indiqua un fauteuil dans la pénombre d’un recoin de la salle.
Michel, nu, y était confortablement installé. Une femme mure d’une cinquantaine d’années, également nue, était assise sur ses genoux et lui dévorait la bouche. Il faisait courir ses mains sur ce corps marqué par la vie et les accouchements, et semblait en retirer un plaisir énorme, au vu de son dard dressé entre les cuisses de la dame.
J’ai senti mon cœur se serrer et des larmes gonfler sous mes paupières.
Je suis sortie de la boite en courant et je me suis refugiée dans la voiture d’oncle Fernand, effondrée par ce que je venais de voir.
- Je ne pouvais plus le laisser se foutre de toi, comme ca. Je suis désolé de t’avoir fait de la peine, mais c’était un mal nécessaire. Je t’aime beaucoup Virginie. Je veux te protéger des requins qui pourraient profiter de ta gentillesse et entre autre de ce salop de Michel.
Il me prit dans ses bras et j’ai pleuré sur son épaule pendant au moins une heure. Il caressait mes cheveux, cherchait à apaiser ma peine en me donnant de petits bisous.
- Chuttt. Calme-toi. Ca va aller ma jolie. Ca va aller.
- Vous pouvez m’héberger quelques jours ? Aidez-moi à récupérer mes affaires chez lui. Vous voulez bien ?
J’ai jeté un dernier coup d’œil à l’appartement de Michel et j’ai déposé mon double de clefs sur la table basse, près d’un petit mot griffonné à la hâte.
« Je sais tout. Tu ne cesse de me mentir. Je suis très déçue. Je ne veux plus te revoir. Ne me cherche pas. Virginie. »
Mes parents nous ont quittés dans un accident de voiture, il y a tout juste un an.
Je n’ai plus de famille. Alors, lorsque Michel m’a présenté son oncle, je me suis prise d’affection pour ce vieux bonhomme et c’est comme ci c’était mon véritable tonton.
Je n’ai plus que lui. Mon oncle Fernand.
C’est un brave homme, plein d’attention. Il cuisine comme un dieu et je dois faire attention pour ne pas devenir énorme comme une baleine. Il m’a fait de la place dans son placard ainsi que dans la salle de bain. Et pour finir, malgré mes protestations énergiques, je monopolise son lit.
- Je n’ai pas d’heure. Je vais te réveiller sans arrêt. Tu seras mieux. Tu sais, mon canapé et moi on se connait bien et on s’aime beaucoup.
C’est ainsi que je me retrouve vivant avec mon tonton d’adoption, dans ce tout petit appartement.
Encore étudiante, je n’ai pas trop le choix.
Le dimanche, j’ai droit à mon petit déjeuner au lit. Il tapote à ma porte et vient déposer un plateau bien garni sur mes jambes. Il s’assied sur le lit et il me regarde manger. Nous discutons de tout et de rien. Nous rions beaucoup aussi.
C’est un moment privilégié.
Nous sommes début juillet. Enfin des vacances.
Fernand m’a proposé de m’offrir un séjour au bord de la mer.
- Tu es toute pâlichonne. Je te verrais bien avec une peau bronzée comme du pain d’épice. Tu serais à croquer !
J’ai refusé. Pas question de profiter de sa bonté.
- Alors, pour compenser, ce sera un plateau tout les matins !
Et il tient parole.
Chaque matin mes croissants, mon chocolat et mon jus d’oranges me sont servit au lit.
Il est heureux que je sois là. Ca se voit. Et ce matin, je ne sais pas pourquoi, j’ai ressenti le besoin de lui dire.
- Oui, bien sur ! Tu sais depuis le décès de mon épouse, je ne reçois pas grand monde. En plus un peu de jeunesse dans ma vie, ne peut pas me nuire. Non ?
- Tant que je ne vous dérange pas… Mais pour vous remercier, je suis prête à vous rendre n’importe quel service. Surtout n’hésitez pas à me demander. J’ai tellement envie de vous faire plaisir. Je le peux, non ?
Il prend mon plateau et le dépose sur une chaise toute proche.
Machinalement, je remonte un peu le drap sur mon ventre. Pur reflexe.
Il plonge ses yeux clairs dans les miens et pose le plat de sa main, là, juste ou je viens de relaisser tomber le drap.
Sa main chauffe mon ventre. Ce geste, pourtant amical venant d’un vieux monsieur, me trouble énormément.
- Bien sur que tu peux me faire plaisir. Ce n’est pas bien compliqué, tu sais ?
Il se lève, ramasse le plateau et disparait dans le couloir.
Qu’est ce qu’il a voulu dire par « tu peux me faire plaisir. Ce n’est pas bien compliqué » ?
Je sens encore la chaleur de sa main. Mince ! Je suis vraiment troublée.
Bon, allez ! Ca suffit comme ca ! Je suis parano ou quoi ? Je crois que j’ai besoin de prendre l’air.
Bizarrement, le lendemain matin, je redoute son arrivé. Comme pour me protéger, je fais semblant de dormir.
- Virginie, tu dors ? Il est dix heures ma puce !
Il n’insiste pas, pose le plateau et sort de la chambre.
Je suis rassurée. Rassurée, mais pourtant, j’aurais aimé qu’il tente un truc. Je ne sais pas, moi ? Qu’il me touche, me secoue gentiment, qu’il effleure ma joue ou qu’il…
Mais je ne vais pas bien du tout moi ! Je suis dingue ou quoi ?
Le lendemain matin, rien. Je ne vois rien venir. Pas de bruit provenant de la cuisine, pas de musique. Le silence total dans l’appartement.
Qu’est ce qui se passe ?
Inquiète, je me lève et me dirige vers le salon
- Tonton Fernand ? Vous êtes là ?
Il est couché dans son canapé, mais réveillé. Inquiète, je me penche et pose ma main sur son front.
- Ca ne va pas ? Vous êtes malade ?
- Non ma puce, ca va ! Je réfléchissais juste.
- Ben oui, mais j’attendais mon déjeuner, moi ! Hihi !
Je lui fais un gros bisou et il me promet de me l’apporter demain.
Je vais à la salle de bain pour me laver les dents. Lorsque je me rince la bouche, j’écarte mes cheveux pour ne pas les mouiller et je me penche pour prendre l’eau au robinet.
Machinalement, je me regarde dans la glace.
Je porte une petite combinaison noire, pour la nuit. Elle n’a rien de spéciale, sinon ses bretelles fines. Mais je viens de voir quelque chose dans le miroir.
Si je me penche, elle baille et je vois mes seins dans leurs totalités. Pas très grave, me direz-vous, sauf si…
Quand je parlais à mon oncle tout à l’heure, j’étais penchée au dessus de lui. Je comprends mieux pourquoi il s’est mit à rougir d’un coup. C’est malin !
Le lendemain matin, comme promit, il m’apporte mon plateau. Nous discutons tandis que je mange.
Une fois que j’ai eu fini, il retire le plateau et réitère son geste de l’avant-veille.
Seulement, cette fois, je n’ai pas eu le temps de relever le drap et sa main se pose directement sur ma nuisette.
Ca me provoque un long frisson le long de la colonne vertébrale et il me semble que mes cheveux se dressent sur ma tête.
- Bon ! Je te laisse te lever.
Il se penche et me donne un baiser sur le front, mais, sans retirer sa main. Je sens son pouce me caresser furtivement. Puis, juste avant de se relever, il plonge de nouveau son regard dans le mien. Il appuit légèrement sa main et masse deux ou trois fois mon ventre doucement.
Je ne suis plus si sur que ce geste soit juste amical. Peut être devrais je lui en parler, aborder le sujet ?
Mais si je me trompe, je risque de le gêner et de passer pour une fille tordue d’esprit.
Tordue, je le suis surement, pour mettre en œuvre un plan pour en avoir le cœur net.
Il fait très chaud et j’ai installé un ventilateur dans ma chambre.
Je dors au dessus des draps et je porte une toute petite nuisette, très légère et très décolletée.
En ne portant pas de culotte, j’ai bien l’impression d’en faire trop, mais tant pis ! J’ai besoin de savoir.
C’est là que le ventilo rentre en action. Il est placé dans un coin de ma chambre et pivote doucement. A chaque fois que son souffle vient caresser mon corps, ma nuisette se soulève et dévoile mon cul, nu.
Voilà ! Mon plan est prêt. Reste plus qu’à faire semblant de dormir, en espérant qu’il ne remarquera pas ma respiration, plus rapide.
Lorsque j’entends gratter à la porte, mon cœur s’emballe.
Puis, elle s’ouvre.
- Valérie ! Ton petit déjeuner est prêt ! Tu dors ?
Ne pas bouger, ne pas trembler.
Une fois, deux fois, trois fois, que je sens ma nuisette se soulever par le souffle de l’hélice.
Rien, pas un bruit, mais je sais qu’il est encore là.
Putain ! De le savoir en train de me mater, commence sérieusement à m’exciter.
Bravo Valérie ! Ce n’est pas très sérieux tout ca !
Je décide de bouger un peu. De chien de fusil, je me tourne presque sur le dos.
Merde ! L’air soufflé s’engouffre sous la nuisette et la remonte sur mon ventre.
Ben là, au moins, il a tout le loisir de mater mon minou rasé.
Soudain, je l’entends marcher. Il va dans le fond de la chambre et éteint le ventilo. Puis, les pas reviennent vers le lit. Je sens son parfum plus présent. Je suis sur qu’il est penché sur moi.
- Valérie ? Tu dors ?
Comme seule réponse, je m’allonge complètement sur le dos, offerte.
Je me rends bien compte que je joue avec le feu, mais c’est une ardeur intérieure et inconnue qui me contrôle.
Je sais que je mouille. Je suis sur qu’il le voit.
Pour preuve, ce doigt qui effleure ma fente, sans doute pour recueillir un peu de mon nectar.
Je n’en peux plus et je ne sais pas quoi faire. Ouvrir les yeux ? Le tirer à moi ? Lui demander de me baiser, là, tout de suite, comme une chienne ?
Mais je n’ai pas le loisir de choisir. La porte de ma chambre se referme.
J’enrage.
Mon envie de ses mains sur mon corps s’amplifie de jour en jour. Je veux sentir sa peau contre la mienne, son sexe dans mon ventre, sa sève me souiller.
Je me sens devenir folle. Folle de cet homme. Folle de désir pour lui. Je le veux.
C’est vendredi soir et comme tout les vendredis il a invité quatre amis pour jouer au poker.
Ils sont installés autour de la table et les cartes s’abattent depuis plus d’une heure déjà.
Moi, je regarde la télévision et les alimente en bière et chips.
Alors que je nettoie quelques assiettes à la cuisine, je capte une conversation.
- Dis dont, Fernand ! Elle est bonne la petite !
- Arrête tes conneries René ! Elle a dix neuf ans ! Tu ne vas pas te taper une gamine, non ? Elle pourrait être ta petite fille !
- Ben, j’suis désolé, mais elle me dirait oui, je ne dirais pas non ! Haha !
C’est donc ca ? C’est mon âge qui le freine ?
Je comprends alors que si je le veux, je dois le mettre devant le fait accompli.
Je file dans ma chambre et je me change. Je mets une nuisette en satin, largement décolletée et très courte. Je passe mon peignoir, sans le fermer et je reviens dans la salle. Là, je vais m’asseoir directement sur les genoux d’Albert.
- Bon ! Qui c’est qui gagne ? Je vais me coucher. Le gagnant aura le droit de me border. Hihi !
Oncle Fernand me lance un regard réprobateur. D’autant plus que c’est son ami Gérard qui gagne.
C’est un type de l’âge de mon oncle. Il n’est vraiment pas beau et… con. Il est arrogant et prétentieux. Il connait tout et a tout vécu.
Je pensais que c’était mon oncle qui gagnait, comme toujours. Sinon, je n’aurais jamais lancé l’idée.
En tout cas, ca amuse bien les hommes.
- Bravo Gégé ! C’est toi qui borde la petite !
- Ouai ! Chante-lui une berceuse ! Haha !
- Lui dis pas ca, il va lui chanter une chanson paillarde ! Héhéhé !
- Hé ! C’est border, pas peloter ! Haha ! Vieux pervers !
Gérard se lève, fier, et me suit dans ma chambre.
Je n’ai pas de culotte et malgré mes précautions, lorsque je me glisse dans mes draps, le type s’en aperçoit.
Tandis que j’entends mon oncle dire au revoir à ses amis, Gégé s’excite tout seul.
- T’as bien fait de m’choisir. J’suis de loin le mieux monté de tous ces cons. Tu vas voir, j’vais t’faire du bien, moi !
Le connard se penche sur moi et pose une de ses mains sur mes seins et essaye de m’embrasser.
Je détourne le visage et tente de retirer sa main. Mais l’homme est fort.
- Non ! Arrêtez ! Laissez-moi ! Je n’veux pas ! Non !
Soudain, la porte de ma chambre s’ouvre et l’oncle Fernand se jette sur son ami.
- Qu’est ce que tu fous, Gégé ! T’es fou ou quoi ? Dégage ! Sors de chez moi !
Il le jette dehors et revient dans ma chambre. Il s’assoit sur mon lit et passe sa main dans mes cheveux.
- Ca va Valérie ? Il ne t’a pas fait de mal ?
Je prends sa main et la pose sur mon ventre. Je le guide pour qu’il le masse un instant, puis, je la glisse sous les draps, entre mes cuisses.
- Heuu, Val… ? Qu’est ce que tu fais ?
- Allons tonton ! Ne me dites pas que vous n’en avez pas envie ! En tout cas, moi, si !
Il pousse un long soupir en fermant les yeux et ses doigts glissent sur mon abricot détrempé.
- Ho Valérie ! Il y a si longtemps que… Hummmm ! Comme elle est chaude, douce !
- Venez ! Venez près de moi.
Oncle Fernand retire ses chaussures et son maillot et vient se glisser sous les draps, tout contre moi. Sans doute a-t-il gardé son pantalon par pudeur.
Son torse, bien que légèrement fripé, a encore les restes d’une musculature qui autrefois devait affoler les femmes.
Il glisse une jambe entre les miennes et, contre ma cuisse, je sens une bosse dans son pantalon.
Humm ! Tonton est encore vert !
Il a glissé sa main sous ma nuisette et caresse mes seins avec gourmandise.
Ses yeux, dans les miens, me renvoient toute l’émotion qui est en lui.
Il est attendrissant.
Je glisse une main dans ses cheveux.
- Embrassez-moi, tonton ! Embrassez-moi !
Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes. Sa bouche s’amuse, les mordant l’une après l’autre. Puis, juste avant d’en prendre possession, sa langue glisse sur mes lèvres avec une douceur infinie, puis s’enfonce à la recherche de la mienne.
Jamais je n’ai reçu si tendre baiser.
Je l’étreins et emprisonne sa jambe des miennes.
Mon plaisir et mon envie sont au paroxysme. Là ou l’on commence à faire des choses inavouables ensuite.
J’ondule mon bassin et me frotte, telle une chienne en chaleur, à son pantalon de velours.
Lui aussi profite de cet instant. Ses caresses, ses baisers sont moins doux, plus virils, et il pousse les plaintes significatives du plaisir masculin.
- Hummm ! Ouiiii ! Ho ouiii ! Hummmm !
D’un coup de rein, je le couche sur le dos et l’enfourche.
Ma nuisette traverse la chambre et je m’occupe de la braguette du pantalon de tonton.
Tandis qu’il est tout à ses caresses, j’extrais d’un slip kangourou, une magnifique verge, aussi droite et aussi fière que celle d’un ado.
A genoux au dessus de celle-ci, je l’utilise pour me caresser les grandes lèvres et la frotte à mon clito près à exploser.
Puis, lentement et très progressivement, je me laisse posséder par la tige de chair.
Je chevauche mon oncle, ondulant du bassin de plus en plus fort.
Il broie ma poitrine, palpe mes fesses, dévore ma bouche. Ses violents coups de reins me provoquent de grosses décharges lorsque son gland entre en contact avec mon utérus.
C’est moi qui jouis la première.
- Hoooo ouiiiii ! Tontooon ! Ne t’arrête pas ! Hummmm ! Oui, encoreee ! Ouiiii comme caaa ! Hooooo ! Hummmmouiiiiii !
- Humm Vallll ! Tiens ma belle ! Hummm ! Prends ca et ca ! T’aime ca te faire baiser, hein ! Salope ! Hummmmm !
- Ho ouiiii ! C’est boooon ! C’est bon de sentir une grosse bite ! Ouiiii ! J’aime caaa ! Hummmm !
- Haaa salope ! Tu me fais jouiiiir ! Hummmmm ! Hargggggg !
Je sens mon ventre être éclaboussé de son miel chaud.
- Haaaa ! Ouiiii ! Jouiiiiiis, ouiiii ! Je…. Je viens aussiiiii ! Hummmmm ! Ouiiii !
Je reste de longue minute, écroulée, ramassée sur lui, son pénis encore en moi, comme pour retarder le moment ou tout s’arrête.
Puis, je me laisse glisser de coté.
-Vous restez ? Vous restez dormir avec moi ?
Mais il ne répond pas. Il se lève et sort de ma chambre, nu, ses affaires dans les bras…sans un mot, sans doute un peu honteux, ou surprit par mon attitude.
Je me masturbe un bon moment encore, profitant de son foutre en moi. J’aime le bruit de ma chatte souillée, de son odeur aussi. Plusieurs fois, je porte mes doigts à ma bouche. Plusieurs fois, je les lèche.
Puis, progressivement, le sommeil me rattrape et je m’endors, mes doigts encore en moi.
Le lendemain matin, mon oncle m’apporte mon petit déjeuner comme si rien ne c’était passé. Je dirais même qu’il est très guilleret.
Je m’assois dans le lit pour recevoir le plateau.
Je suis toujours nue et mes seins ne sont pas cachés. Il ne semble même pas y prêter attention. Pour un peu, ca me vexerais.
Puis une fois fini, il ramasse mon plateau et sort de la pièce.
Peut être n’a-t-il pas envi de reparler de ce qui c’est passé et de ne changer en rien notre façon de vivre l’un avec l’autre.
La journée se passe bien et le soir même il reçoit ses amis pour un poker. A ma grande surprise, Gérard est là.
Plusieurs fois dans la soirée, je l’ai surpris à me dévorer des yeux. A un moment ou ses amis avaient les yeux plongés dans leurs jeux, il a fait frétiller sa langue avec un regard lubrique.
M’est venu alors l’envie insensée d’exciter ce type. Je voulais le rendre fou, alors qu’il ne pouvait me toucher.
Je suis allée prendre une douche et comme l’autre fois, je suis revenue en peignoir, mais cette fois fermé, car nue dessous. Mes cheveux mouillés coulaient encore et je me suis sentie sexy devant le regard médusés des joueurs.
Debout derrière Gégé, je secoue ma tête pour l’éclabousser.
- Désolée, les gars ! Mais ce soir, personne ne me bordera !
Ils rient et s’esclaffent de mécontentement, sauf Gégé. Puis, surpris, ils restent bouches ouvertes lorsque je m’assois sur les cuisses de mon oncle. Il est d’ailleurs le premier étonné de ma conduite mais ne dit rien.
Je suis bien installée. Bien calée, de coté, mes pieds ne touchent plus terre. J’ai passé un bras autour de son cou et posé ma tête dans le creux de son épaule.
Je me fais chatte.
Il n’a pas d’autre choix que de passer son bras autour de ma taille, pour pouvoir tenir ses cartes.
Ses amis restent médusés. Quand à lui, la surprise passée, il semble plutôt fier.
La partie reprend et mon oncle commence à gagner. A gagner beaucoup.
- Pffff ! C’est la poulette qui te porte chance ou quoi ?
- Je ne savais pas qu’on pouvait venir avec ses portes bonheurs ! Haha !
Plus ils le charrient, plus il gagne. C’est amusant.
L’ambiance est au beau fixe, jusqu’au moment ou le gros con de Gégé ouvre la bouche.
- Putain ! Si tu baisais aussi bien que tu joue, la gamine serait large comme un garage à bites ! Haha !
Je dois retenir mon oncle pour qu’il ne lui vole pas dans les plumes. Mais, un autre se charge de tout.
André, le plus jeune, peut être cinquante ans, jette ses cartes et balance une baigne à Gégé.
Il tombe au sol comme une grosse merde.
- Lève-toi espèce de sale type ! Excuse-toi ! Valérie n’est pas ta copine de comptoir connard ! Tu pourrais être respectueux !
Il se lève en se tenant la mâchoire et s’approche de moi. Il se penche un peu et…
- T’as senti que j’en avais une grosse. Hein chérie ? T’as eu peur que je t’encule ?
Cette fois, ils se lèvent tous et foutent une correction à Gégé.
J’ignore comment, mais il se retrouve attaché à un radiateur et bâillonné.
Nous sommes tous debout. La table a été poussée, les verres renversés, les cartes éparpillées.
- Voilà ! Il a fini de t’insulter. A toi de choisir sa punition. Tes désirs seront des ordres !
Encore un peu ébranlée, je commence à nettoyer les dégâts
- Le punir ne m’apportera rien. Je suis plutôt peace and love. Mais qu’est ce que je peux faire pour vous remercier ?
Un peu surprise par le silence qu’a provoqué ma phrase, je me retourne.
Les hommes sont toujours debout et me regardent de la tête aux pieds.
Un long frisson me parcourt.
Je regarde mon oncle, interrogative. Il s’est rassit. Il me regarde, me sourit et lève les mains d’une manière qui voudrait dire : « D’après toi ? ».
J’ai peur de comprendre, mais quand mon regard croise celui d’André, je n’ai plus de doute.
Il aimerait que je paie de mon corps, c’est limpide.
Je prends les deux bouts de ma ceinture et je les tends aux deux hommes qui encadrent André.
Ils les tirent doucement. Le nœud se défait. Lorsqu’ils lâchent ma ceinture, mon peignoir s’ouvre dévoilant mon corps nu aux cinq hommes.
Gégé hurle derrière son bâillon. Sans comprendre ce qu’il dit, je sais très bien qu’il déverse toutes les injures qu’il connait.
André, visiblement très ému, s’approche de moi et fait glisser le peignoir sur mes épaules. Il tombe au sol et me voilà prête à rendre hommage à mon preux chevalier.
Je me mets à genoux et défait sa braguette. A la bosse qui déforme déjà son pantalon, je sais que ma bouche sera d’un grand réconfort.
Son gland turgescent m’apparait enfin et lorsqu’il glisse entre mes lèvres, André pousse un long soupir de satisfaction.
Mon oncle est resté assit. Les deux autres hommes se régalent du spectacle en se masturbant. Gégé, lui, continu de vociférer. Je me relève avant qu’il ne jouisse.
Je regarde mon oncle, interrogative une fois de plus. Il comprend, capte mon hésitation. Alors d’un léger signe de tête, il me dit « oui ».
Je pose mes fesses sur le bord de la table et j’écarte les jambes. Je porte une main à mon antre et je me masturbe en regardant les trois hommes, qui en font tout autant.
Puis mon chevalier André s’approche et me couche sur la table. Il pose mes chevilles sur ses épaules, puis place son gland face à ma grotte détrempée.
Un coup de rein plus tard, l’invasion de mon ventre est une réalité.
Les deux mains sur mes seins, il le pilonne sans complaisance. Et je le vois à son regard, c’est avec regret qu’il explose, trop tôt, en longs jets bouillant dans celui-ci.
Mes chevilles passent d’André à Gustave. Grand type, sec et barbu.
Son membre est plus court mais plus large aussi.
Lorsqu’il plonge dans le jus de son ami, il ne peut s’empêcher de jubiler.
- Ho putain ! C’que c’est bon ! C’que t’es belle fillette ! Hummmm ! Ho ouiiiii ! C’est trop bonnnn !
Il s’enfonce lentement en moi et me baise gentiment, jusqu’à sa délivrance.
Je trouve ces instants divins, emplis de respect et d’affection. J’ai déjà jouis plusieurs fois, lorsque mes chevilles découvrent le confort des épaules de René.
Certes ce n’est pas le plus beau avec ses cent cinquante kilos, mais c’est certainement le plus gentil et le mieux monté.
Intimidé il s’excuse.
- Je suis désolé, mais vous êtes si belle ! Je vous désire tant !
- Chuttttt ! Viens ! Viens vite ! Prends-moi, maintenant !
Si bien membré qu’il repousse les semences des deux autres, aussi loin qu’il le peut, provocants des sons pas forcement doux à l’oreille, mais qui reflètent bien l’état intérieur de mon vagin.
Je m’offre deux beaux orgasmes avant que mon utérus soit copieusement arrosé, une fois de plus.
Je me redresse, essoufflée, en sueur. Mes jambes sont molles et tremblent un peu.
Je souris à mon oncle. Il me le rend.
Mais les trois hommes semblent ne pas vouloir en rester là.
Ils me retournent et me plient sur la table, les bras bien haut pour que je m’agrippe à l’autre extrémité de la table.
Du foutre est prélevé de ma chatte, pour graisser ma pastille brune. Ils y crachent, aussi.
Qui donc a récupéré si vite qu’il veuille me sodomiser.
Je ne peux le voir, mais la queue qui glisse entre mes hémisphères est dure comme de l’acier. Puis, le gland se positionne et par petites poussées, progressivement, le dard pénètre mes chairs. Je respire, me détends pour faciliter le passage, pour limiter la douleur, puis soudain !
Les couilles viennent violement frapper mon vagin déjà endolori par les précédentes pénétrations. Le membre c’est enfoncé aussi loin qu’il le pouvait, me provoquant une douleur comparable à un déchirement.
Puis ma sodomie commence, longue, puissante, violente. Le type enserre ma nuque de sa poigne d’homme, m’empêchant ainsi de me débattre ou de me dégager. Le bord de la table frappe le haut de mes cuisses à chaque coup de buttoir.
Je ne suis pas bien, fatiguée, mais j’ai promis de les récompenser, alors je résiste.
Enfin, le mouvement ralenti et je sens le monstre palpiter en moi. Il va cracher son venin. Mais soudain, c’est une furie qui se déchaine en moi. Je suis en enfer. Des claques sur mes fesses rajoutent à la douleur.
- J’te l’avais pas dis que j’t’enculerai ? Hummmmm ! Salope ! Hachhhhh ! J’t’avais pas menti ! Elle est grosse ! Hein ? Ho, putaiiin ! Tu m’fais jouir ! J’vais remplir ton cul de morue ! Tiennnnnns ! Prends ca ! Et ca ! Hargggggg !
La voix de Gégé résonne à mes oreilles comme un claquement de fouet.
Je parviens à tourner la tête. Les trois hommes le regardent abuser de mon cul, sans bouger. Mon oncle, lui, préfère ne pas regarder du tout. Je ne comprends rien.
Il se vide longuement et me libère sans manquer de m’assener une dernière claque puissante sur les fesses.
Mes jambes ne me tiennent plus, je m’écroule au sol comme un vieux chiffon sale.
Ils se détournent tous de moi et je les vois prendre congé de mon oncle Fernand.
Gégé : - Hummm ! Merci ! J’ai bien aimé son cul ! Il est bien serré !
André : - Si tu as d’autre nièce de ce genre, fais nous signe !
René : - Putain ! J’aurais préféré passer le premier, mais elle était meilleure que l’autre.
Gustave : - C’est une bonne salope ! Garde là celle la ! Allez salut et merci !
Je suis médusée et je baigne non seulement dans le foutre froid, mais également dans l’incompréhension la plus totale. Vexée, les larmes aux yeux, je me relève péniblement et réenfile mon peignoir.
Je m’écroule sur une chaise et interroge mon oncle.
- Je ne comprends rien ! Il faut m’expliquer là ! C’est quoi ca ?
- Il est tard. Je vais me coucher. Je t’expliquerais tout demain matin.
Il sort de la salle, me laissant plantée là, seule et sans explication.
Je prends une douche qui normalement se voudrait réparatrice et je me couche, angoissée.
J’ai bien du mal à m’endormir, mais finalement le sommeil m’emporte jusqu’au petit matin.
- Valérie ? Réveille-toi, il est midi déjà ! Je t’ai laissé dormir. J’ai bien fais, non ?
Je fais un bond dans mon lit.
Il est là, près de mon lit, l’air de rien, son plateau dans les mains. Il affiche un grand sourire, comme si rien ne c’était passé.
Je m’assois pour lui permettre de poser le plateau. Je n’ai aucun risque de lui dévoiler quoi que ce soit aujourd’hui. J’ai enfilé un pyjama.
- Vous allez m’expliquer, enfin !
- Je suis navré de ce qui est arrivé, Valérie.
- Je ne compte pas me contenter de ca !
- Bon, et bien voilà ! Nous nous retrouvons souvent pour jouer aux cartes, et, une fois par mois, on se cotise pour s’offrir une pute. Nous inventons des scenarios pour rigoler. Tu sais, Gégé n’a pas été vraiment frappé.
- Heuu ! Moi, j’ai vraiment été enculée, tonton !
- Je suis désolé ! C’est vrais qu’au début il a déconné, mais les autres se sont prit au jeu et….voilà !
- Vous auriez pu intervenir, non ?
- Oui, certainement, mais quand je t’ai vu tendre les bouts de ta ceinture… de plus avec ce qui c’était passé entre nous… j’ai pensé que…
- Que j’étais une pute ?
- Non, je n’ai pas dis ca, Valérie. Juste que tu aimais le sexe, au-delà de mes espérances. Je suis profondément désolé et je te demande pardon.
Je reste seule un long, très long moment au lit.
Je repense à cette soirée, à ce qui c’est passé. Mon oncle Fernand a raison. Mon comportement ne pouvait que prêter à confusion.
Je me sens curieusement troublée. Je plonge une main dans le pantalon de mon pyjama.
Je suis une véritable fontaine.
Le souvenir de ce qui s’est passé, m’excite étrangement.
Je rejoins mon oncle dans la salle. Il est écroulé dans le canapé, la tête enfoncée dans les épaules, triste.
- Ne faite pas cette tête là ! Je vous propose de tourner la page.
- Humm ! Tu prends ca bien à la légère tout à coup !
- Et bien en fait…
Je m’assois à califourchon sur ses jambes et je déboutonne ma veste de pyjama.
- … je dois me rendre à l’évidence, tonton. Ca m’a plu.
Je prends mes deux seins dans mes mains et les écrase l’un contre l’autre. Il n’en faudra pas plus pour déclencher une partie de jambes en l’air de deux heures.
Depuis deux jours, tonton dort dans mon lit et nos nuits sont courtes.
Mais ce matin…
- J’ai réfléchi ! Ce soir tu viens avec moi à « La main douce » !
- Ho ! Vous croyez ?
- Ne me dis pas que tu es contre une petite soirée ? Maintenant je connais ton potentiel. Tu as ta place là-bas. Tu vas les rendre fou !
- Je ne suis pas sur du tout que ce soit ma place.
- Ce n’est pas ton avis que je te demande, mais de me faire confiance.
Il m’accompagne dans la chambre et choisi lui-même ce que je dois porter.
Je ne suis pas trop d’accord sur son choix, mais je ne dis rien.
Je passe le kilt rouge et un tee-shirt moulant tout aussi voyant, qu’il a jeté sur le lit.
- Enfile ces cuissardes, sans rien d’autre. Pas de bas, pas de string, pas de soutif. Tu n’as pas besoin de tout ca, je t’assure.
La route jusqu’à la boite, m’a sembler très rapide.
C’est le cœur battant, les jambes flageolantes que je suis mon oncle dans le corridor mauve.
Arrivés devant l’escalier qui permet d’atteindre la salle un peu plus bas, il me prend la main.
- Je ne suis pas sur d’être prête pour ce genres de choses.
- Si tu n’essaye pas, tu ne le sauras jamais. Arrête tes enfantillages et suis-moi !
Je descends prudemment pour ne pas tomber du haut de mes douze centimètres de talons.
Il me conduit à une petite table ronde. Contre le mur un petit canapé rouge, deux place et de l’autre coté un pouf, tout aussi rouge. Nous nous installons dans le canapé.
- Considère les gens qui t’entourent comme étant tes amis. Ils sont tous là pour la même raison. Il n’y a pas de crainte à avoir. Je vais te chercher une coupe de champagne. En attendant, imprègne-toi de l’endroit et de son ambiance. Tu es ici chez toi !
Il n’est pas parti depuis une minute, qu’une ravissante jeune femme rousse, vient se poser près de moi.
- Bonsoir ! Vous permettez ? Je m’appelle Sophie. Je ne vous importune pas j’espère ?
- Heuu ! Je suis avec mon oncle, il va revenir.
- Humm ! Un oncle et sa nièce ? Mais qui est donc ce polisson ?
- Il est là-bas, au bar.
- Qui ? Lui ? Monsieur Fernand ? Tu es Virginie ?
- Il vous a parlé de moi ?
- Evidement ! Il ne parle que de toi et de ta beauté. Je dois dire qu’il avait raison. Il t’a enfin décidé à venir nous rejoindre ?
- Je n’ai pas eu trop le choix, mais je suis venue observer dans un premier temps.
Elle s’est collée à moi et a passé un bras autour de mes épaules.
Elle porte une robe noire très transparente. Je peux distinguer un string et un porte-jarretelle. Ses longues jambes gainées de bas de soie à coutures et une paire d’escarpin vernis finissent de l’habiller.
- Tu es vraiment charmante. Tu me plais beaucoup, petit ange.
Elle se rapproche de plus en plus. Je suis certaine qu’elle va essayée de m’embrasser. Je ne suis pas très à l’aise, mais heureusement, mon oncle revient.
- Ha ! Et bien je vois que vous avez fait connaissance ! C’est très bien ca !
- Je suis désolée, mon oncle, mais je voudrais rentrer.
- Tu n’es qu’une petite idiote ! Rentre si tu veux ! Finalement, je me suis trompé sur ton compte. Tu ne vaux rien ! Pas étonnant que Michel est été voir ailleurs !
Il tourne les talons et se dirige vers un petit groupe qui s’agite autour d’une fille.
C’est comme une gifle. Ses paroles me blessent terriblement.
Puisque c’est comme ca, je vais lui prouver qu’il se trompe sur mon compte.
Je me retourne vers Sophie, prends son visage dans mes mains et je l’embrasse à pleine bouche, fougueusement.
La jeune femme, évidement ravie, m’enlace et commence à me caresser.
Sa main glisse rapidement sous mon kilt et ses longs doigts prennent rapidement d’assaut mon antre humide.
Je glisse la fermeture éclair dans son dos et fais glisser sa robe sur ses épaules. Je découvre ses seins magnifiques. Ses pointes sont déjà dressées, semblant attendre mes caresses.
Elle délaisse un instant mon minou, pour me débarrasser de mon tee-shirt.
Nos seins entrent en contact et je jouis une première fois.
- Hummm ! Tu semble sensible ! J’aime ca ! Retire ta jupe.
Je me retrouve nue la première. Je sens des regards sur moi, même sans les voir vraiment.
Bizarrement, je n’en suis pas gênée, mais très excitée.
J’aide Sophie à quitter sa robe à son tour, sans lâcher ses lèvres.
Doucement, elle m’allonge sur le canapé et se couche sur moi. Elle est d’une douceur extrême et d’une tendresse immense.
Ses doigts courent dans ma chevelure, s’égarent sur mon visage, visitent ma bouche et réclament ma langue.
Mes mains caressent son dos, ses fesses d’une extrême fermeté.
Je me sens bien.
Sa toison fournie caresse mon coquillage lisse et me provoque une multitude de mini jouissances.
Les yeux fermés, je me concentre sur tout ce que je ressens. C’est le bonheur total.
Puis sa bouche quitte la mienne et commence un long périple qui commence par une glissade dans mon cou.
Puis, elle s’attarde un long moment sur mes seins et plus particulièrement sur mes tétons, qu’elle fait rouler entre ses lèvres, avant de les aspirer et les titiller de sa langue.
La longue descente continu, jusqu’à mon ventre. Celui-ci se rétracte à chacun de ses baisers, me provoquant de longs frissons.
Puis enfin, après avoir franchi le mont de venus, sa bouche plonge entre mes cuisses.
C’est une explosion instantanée, un feu d’artifice, une expérience incomparable. Le contact de sa langue sur mon clito gonflé, me fait perdre tout mes moyens. Je jouis si fort que je me relâche totalement, expulsant un jet puissant sur son visage.
Je suis prise de honte et je dois être rouge coquelicot.
Mais elle ne semble pas gênée du tout et continue à fouiller ma chatte détrempée, de sa langue agile et experte.
Lorsqu’elle revient titiller mon bouton rose et que je l’inonde de nouveau, j’ouvre les yeux, pour m’excuser.
La surprise est grande.
Quatre hommes, nus, se masturbent frénétiquement en nous regardant.
Sophie, elle, semble aux anges. Elle exulte tout en me dévorant
- Hummm ! Ho ouiii ! Donne-moi tout ! Donne-moi ton jus ! Hummmm ! Tu es fantastique ! Humm ! Encoreeee !
J’ignore encore ce qui m’arrive, c’est la première fois. Il me semble bien avoir lu un article sur les femmes fontaine, mais j’étais loin d’imaginer que je pouvais en être une. Ca me fait vraiment bizarre.
Et ces hommes qui tendent leurs mains, pour me caresser.
Il me semble perdre pied. Je suis sur un navire qui tangue, prêt à se retourner.
Entre deux fortes jouissances très arrosées, un bref instant, j’aperçois oncle Fernand, au bar, avec un homme. Il me regarde.
La petite idiote qui ne vaut rien, est en train de lui donner une leçon. Cette simple pensée me fait jouir de nouveau.
Un jet de foutre atteint mon visage et mon cou.
Avide de sexe, je récupère d’un doigt, tout ce qu’il est possible de récupérer, et je le porte immédiatement à ma bouche.
Puis, Sophie s’écarte et s’éloigne, me laissant aux mains des hommes.
L’un d’eux, se couche sur moi et me pénètre d’un coup, tandis qu’un autre dépose son gland sur ma bouche, que je m’empresse de faire glisser entre mes lèvres.
Je ne suis plus moi-même. Je joue le « lâcher prise » et on pourrait bien faire ce que l’on veut de moi.
Finalement, c’est bien ce qui se passe un peu.
Je suis prise plusieurs fois, dans tout les sens, dans tous mes orifices.
Je suis un peu bousculée, par un groupe d’homme de plus en plus important.
La fatigue me gagne et il semble que ca se voit, car les mâles calment le jeu et se finissent sur mon corps et mon visage en de nombreuses giclées chaudes et grasses.
Dans un ultime sursaut d’envie de plaisir, je caresse mon corps et mes joues, étalant la crème blanchâtre, jusqu’à la rendre plus collante encore, plus grumeleuse.
Je crois bien que je m’assoupie sur le canapé, éclaboussé de ma mouille qui n’a cessé de gicler.
Finalement, tout pourrait très bien se terminer si, dans mon demi-sommeil, je n’entendais pas une conversation des plus déroutante.
- Voilà, Michel ! Je t’en ai fait une bonne pute. Elle est complètement sous l’emprise du sexe. Si tu t’y prends bien, tu en feras ce que tu veux.
- Merci tonton, c’est trop cool ! Et elle ne s’est doutée de rien ? Même chez toi avec le plan poker ?
- Bien trop naïve pour ca ! Haha ! Allez, viens. Il reste à trouver comment la faire revenir dans tes filets.
Naïve ? Vous avez dit naïve ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
delicieuse histoire
j'ai adoré cette histoire, une suite est elle envisagée ? Continue