Le short en jeans
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Le short en jeans
Vendredi. 22h30
- Line ? Demain soir nous sortons. J’aimerai que tu t’habille comme pour mon anniversaire.
- Avec ma robe noire ?
- Non ! Comme cet après midi que nous avons passé avec Claude, sur la terrasse.
- Ha ! En short ? Tu veux que je mette mon short en jeans ?
- Oui et ton caraco blanc aussi. Oublie ton soutien gorge. Fais-moi plaisir.
Les premiers rayons de soleil de ce mois de septembre, chauffent encore notre petit coin de paradis du Midi-Pyrénées.
C’est très agréable car nous pouvons encore profiter du grand air. Nous arrivons même à manger encore dehors.
Lors de l’anniversaire de Nico, j’avais pris l’initiative d’inviter son grand ami Claude.
Et de cet après midi, je me souviens de tout, très bien.
Nous étions sur la terrasse, tout les trois. Claude prenait des photos du point de vue, lorsque soudain, amusé, il s’intéressa à mon short.
- Humm ! Je tirerais bien sur le lacet ! Hihi !
Je portais un short en jeans, fermé sur le devant par un lacet de cuir passant dans des œillets, façon corset et se terminant par un nœud et une boucle.
- Haha ! Mon pauvre Claude ! Tu n’en verrais pas plus ! Regarde !
Je tire sur le lacet qui se défait et j’écarte le haut de mon short.
- Tu vois ? C’est factice ! Dessous il y a du tissu. Il est toujours aussi serré. Hihi ! Pour l’ouvrir il faut faire sauter ce bouton, là, sur le coté. Hihi !
C’est là que mon amour de Nico a décidé de s’amuser un peu.
Il s’est approché de moi et a fait sauter le bouton.
- Tu vois Claude ? C’est comme ca, et là, après, tu peux faire ce que tu veux ! Comme…ca, par exemple !
Il baissa un peu le haut de mon short, jusqu’à la naissance de mes premiers poils pubien.
- Tiens, Claude ! Prends une photo ! C’est beau non ?
Claude est une personne que j’apprécie beaucoup. J’avais longuement discuté avec lui sur le net, après que Nico nous ait mis en relation.
C’est un homme comme on en rencontre peu. Toujours disponible et à l’écoute, d’une douceur et d’une tendresse à toute épreuve, d’une compréhension sans faille, qui n’hésite pas à montrer ses émotions et à partager ce qu’il ressent. Et je sais que je peux compter sur lui, que je peux tout lui confier, le meilleur comme le pire. Il m’écoute avec intérêt, sans me juger, trouvant toujours un mot, une phrase, une gentillesse réconfortante….
Le petit jeu de Nico m’émoustillait beaucoup et j’ai laissé faire. Claude, prenait des photos, alors que Nico en montrait de plus en plus, jusqu’à dévoiler mon pubis en intégralité.
Le soir même, et malgré ma certitude de ne jamais me faire prendre par deux hommes, nous étions trois dans le lit conjugal.
Samedi. 20h
Nico nous a fait manger en vitesse et me demande d’aller me préparer.
Vu le peu de chose à passer, c’est vite fait.
- Allez ! En voiture !
J’ai beau le questionner, impossible d’avoir la moindre information sur notre destination.
Les panneaux autoroutiers indiquent Montauban, mais nous contournons la ville et filons vers Montech.
- Montech ? C’est quoi ca Montech ?
- Tu n’as pas entendu parler de la voie verte ? J’y suis passé en repérage. C’est super sympa pour une ballade.
- Une ballade ? À cette heure ? Hihi ! Et c’est quoi ca « en repérage » ?
- Haha ! Cesse de stresser, princesse ! Prends plaisir et apprécie cette sortie
- Mouai ! T’as raison. Allez ! Je te laisse me guider.
Nous traversons le village et très vite nous nous retrouvons à l’entrée d’un sous bois.
Il y a un petit parking ou quatre, cinq voitures sont déjà rangées.
- Voilà ! Viens, tu vas voir, c’est super agréable.
Et ca l’est !
Nous empruntons une allée bordée d’arbres. Ca pourrait être calme, mais le bruit des oiseaux allant se coucher, casse un peu l’ambiance de ce havre de paix. Ceci dit, c’est bien sympathique.
Nous croisons quelques promeneurs, qui nous saluent à notre passage. Normal ! Ici, dans ce cadre magnifique, tout appelle à être peace and love.
Et love, je le suis.
Nico est la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma chienne de vie.
Je suis raide dingue de ce bonhomme.
Nous nous tenons par la taille. J’ai glissé mon pouce dans un passant de son jeans.
Lui, caresse ma taille et remonte parfois, jusque sous mon sein.
- Hummm ! Tu m’excite ! Arrête ! Hihi !
- Pourquoi ? J’aime quand t‘es excitée !
- Pfff ! T’es con ! Hihi !
- Moi aussi, je suis excité ! J’ai très envie de ton p’tit cul.
Il passe sa main sur mon cul et fait glisser deux doigts jusqu’entre mes fesses, et applique une pression sur mon anus.
Ce n’est pas que ce geste très subjectif me gêne, mais nous nous apprêtons à croiser un homme.
- Rhooo ! Nico ! Arrête ca tout de suite !
- Ben quoi ? J’aime bien, moi !
Nous reprenons notre ballade. Il fait de plus en plus sombre et quelques réverbères discrets s’allument de ci, de là.
- Tu ne crois pas qu’on devrait rentrer, maintenant ? La nuit tombe.
- Linette aurait elle peur du loup ? Haha !
- Si le loup c’est toi, alors non ! Je n’ai pas peur.
Il m’enlace tendrement et m’embrasse. Je passe mes bras autour de son cou et lui offre ma bouche gourmande.
Collé à moi, je sens son émoi dans son pantalon qui se frotte à moi.
- Hummm ! C’est quoi ca ? Hihi ! Alors ? On rentre ?
- Pas le temps ! Viens là !
Il me pousse en arrière et me colle à un réverbère.
Il m’embrasse de nouveau, en glissant une main sous mon caraco. Ses doigts qui pincent, électrisent mon téton.
- Hummm ! Ne fais pas ca ! Tu sais bien que je n’y résiste pas !
- Justement.
Promptement, il passe derrière moi et s’interpose entre moi et le réverbère.
La bosse, dans son pantalon, a encore grossie. Je la sens tres nettement, contre mon cul.
Ses mains s’égarent de nouveau sous mon haut et jouent avec mes seins.
Puis, elles redescendent sur mon ventre, glisse sur mon short et attrape les deux bout de la lanière de cuir.
- Qu’est ce que tu fais ?
- Tu le vois bien, je défais le nœud !
- Pourquoi ? Ca ne mène nulle part, tu le sais bien, non ?
- Oui, mais le type en face, l’ignore !
Un long frisson me parcourt l’échine et je me sens glacée, d’un coup.
- Ou ca, un type ? Ou ca ?
- Haha ! Détends toi ma princesse ! Il ne va pas te manger ! Là, regarde en face, sur le talus, derrière le gros arbre. Un type se masturbe en nous matant.
- Merde ! Viens, on s’en va !
- Nous partirons quand je l’aurais décidé. En attendant, attrape ca et le lâche pas.
Il passe mes mains derrière mon dos et me fait agripper sa queue qu’il vient de sortir.
-Nicoooo ! Tu sais bien que je n’aime pas !
- Ha oui ? Rappelle-toi la soirée avec Claude. Qu’as tu promis ? Qu’as-tu dis ?
- Je ne sais plus, moi !
- Tu as promis d’être notre salope et de faire ce que nous voudrions avec toi.
- J’ai dis ca, moi ?
Je me souviens très bien l’avoir dis et même de l’avoir pensé. Mais entre le fantasme et la réalité, le fossé est grand.
Je sais aussi qu’il peut se fâcher pour un truc comme ca. Alors, je décide de le laisser jouer encore un peu, avec ce pauvre homme.
Il pose de nouveau ses mains sur mon short et tire sur la cordelette.
L’homme encouragé, ne se cache plus et se tient près de l’arbre, bite à la main et se masturbant sans aucune gène.
Nico défait le bouton d’une main et laisse glisser l’autre dans mon short, sur ma toison.
Lorsque son doigt effleure mon bouton, je me plie en deux
- Nico ! Non pas ca ! S’il te plait !
Il n’est pas s’en ignorer que quelques massages de mon clito, peuvent me provoquer un orgasme puissant. Alors, il se contente de glisser ses doigts dans mes poils, tandis que son autre main remonte sous le caraco.
- Nico ! Regarde ! Il descend le talus !
- Ha oui ! Il va surement venir jusqu’à nous.
Venir jusqu’à nous, ne veut pas dire qu’il va me sauter dessus. De toute façon, Nico l’en empêcherait.
Je veux rester honnête avec moi, alors, je ne me cache pas que tout ceci m’excite beaucoup, même si je suis morte de trouille.
Nico, tout en me caressant, fait descendre encore un peu mon short. La moitié de ma toison est maintenant certainement visible.
La nuit est quasiment tombée et l’éclairage est faible. J’avoue que cette lumière tamisée me convient parfaitement.
L’homme est à dix mètres.
Il traverse le chemin.
Il est à cinq mètres. Trois
L’homme s’arrête à une longueur de bras.
Je peux distinguer ses traits, entendre sa respiration rapide et les petits souffles que laisse échapper sa bouche.
Il est de ma taille, brun, la quarantaine passé. Pas un monstre de beauté, mais il a de très beaux yeux et…il sent bon !
Nico, tout en me pinçant un téton, d’un mouvement du poignet, dévoile un de mes seins.
La fraicheur qui glisse sur ma pointe, me la fait bander un peu plus, d’un coup.
- Hummm ! Joli ! Madame est sensible, dirait-on !
- C’est rien de le dire ! Regarde ca !
Le traitre frotte mon bouton rose énergiquement. L’effet ne se fait pas attendre et je sens mon short se mouiller.
- Horchh ! Non ! Nicooo ! Non !
Mais la femme fontaine que je suis, se libère d’une grande quantité de liqueur féminine.
Nico profite de mon orgasme pour descendre encore mon short, à mi-cuisse.
Le type a désormais tout le loisir de contempler mon vagin détrempé qui luit à la lumière du vieux réverbère.
Mes mains dans le dos, tiennent toujours le membre de mon homme.
Je peux maintenant, le frotter à loisir contre ma raie, et augmenter inconsciemment, mon envie de sexe.
Nico, le ressent sans doute, car…
- Penche toi comme une bonne chienne, que je t’encule !
Bien incapable de résister à si gentille proposition, je me courbe.
Mon short me gêne, alors, par quelques mouvements de jambes, je parviens à le faire glisser sur mes cuisses et il tombe à terre
Le sexe de l’homme est à peine à dix centimètres. Je peux sentir son odeur de male en rut.
Mes jambes libérées, je les écarte un peu.
Nico m’agrippe par les hanches et se glisse dans mon fondement, en m’arrachant une longue plainte de plaisir.
- Hummm ! Ho ouiii ! Encule-moi bien ! Prends-moi bien à fond ! Hummmm !
Chaque choc de ses couilles, sur mon vagin et mon clito, me provoquent un mini orgasme. Je sens mon liquide me couler sur les cuisses, jusqu’aux genoux.
Ces même chocs me rapprochent aussi du gland écarlate qui glisse entre les doigts de l’homme.
Je ne sais plus qui commande de ma tête ou de mon corps et dans cette frénésie sexuelle, je n’écoute plus que mes envies.
Sans hésiter, je tends la main et attrape le membre chaud.
- Donne ! Donne-moi !
L’homme fait un pas et glisse sa virilité entre mes lèvres.
- Hummm ! Oui, salope de Line ! Suce le bien, putain ! T’aime ca la bite, hein ? T’aime ca ! Réponds morue !
Il accompagne sa question par une claque sur mon cul.
- Aille ! Oui, mon amour ! J’aime ca ! J’aime ca !
- Alors pompe le bien, le salop ! Fait le jouir et bois tout !
Jouir. Ce simple mot me provoque un orgasme.
J’enchaine les jets de mouille. Je sens le liquide glisser entre mes pieds et mes semelles de cuir.
- Tu sais ce que tu es ? Dis-moi ce que tu es !
- Je suis ta salope, ta morue et tu peux, Hooooo, m’utiliser comme bon te semble ! Hummm !
- Hummm ! Oui, c’est ca ! Et Claude ? Tu es quoi pour Claude ?
- Je suis sa morue aussi. Hummm ! Lui aussi, peut faire ce qu’il veut de moi ! Hoooo !
Le type se lâche un peu.
- Putain ! Ferme ta gueule et fini moi, salope !
Je reprends l’homme en bouche et m’applique à ce que je fais.
Nico craque et s’active frénétiquement dans mon cul, comme un malade.
- Harchhh ! Je vais te remplir salope ! Harchhh ! Hummm ! Ouiiiiii ! Harggg !
Mon cul et ma gorge reçoivent la première giclée dans la même seconde.
La sensation de n’être plus qu’un récipient est délicieuse et je jouis une nouvelle fois.
Tandis que le sexe de l’homme se ramolli sur ma langue, bavant ses dernières gouttes de foutre, un filet s’échappe le la commissure de mes lèvres. Presque machinalement, je l’empêche de tomber en plaçant ma main dessous. Lorsque l’homme libère ma bouche, je m’empresse de lécher ma main.
Nico se retire lentement. Je ne peux retenir quelques pets, preuve de ma jouissance anale.
Les mains sur les genoux, je cherche un nouveau souffle.
Je m’apprête à remonter mon short, lorsque Nico passe devant moi et d’un geste brusque retire mon caraco.
- Hé ! Qu’est ce que tu fais ? Ca ne va pas, non !
- Fais ce que je te dis ! Retire tes pieds de ton short.
Il le ramasse et va poser mes affaires sur un banc tout proche.
- Il a raison ! Vous êtes très belle ! C’est dommage de vous cacher !
Honteuse, je suis restée ramassée sur moi-même, pour cacher ma totale nudité.
Nico, revient vers moi.
- Redresse-toi ! Sois fière d’être une salope !
Il me relève et remet mes mains dans mon dos, pour le plus grand plaisir de l’homme.
Il s’approche et me caresse.
Il palpe mes seins et étire mes tétons, puis presse mon cul. Lorsque sa main effleure ma fente, je sens mon ventre se contracter et ma respiration se bloquer.
Il fait ce que je redoutais. D’un doigt, il branle frénétiquement mon petit bouton rose.
La réaction est immédiate et j’inonde ses doigts.
Cela semble lui plaire et il s’introduit en moi, me branlant des deux mains. Les jets se succèdent à une fréquence rapide et régulière.
Soudain !
- Nico ! Nico ! Vite, donne-moi mes affaires !
Deux hommes s’approchent de notre petit groupe.
- Panique pas chérie ! Tu sais, ils ne veulent que ton bien. Pas vrais les gars ?
- Bien sur ! On est là pour donner du plaisir et faire jouir la p’tite dame !
Nico me maintient les mains dans le dos. Je lui en veux un peu de m’humilier de la sorte. Mais je savais qu’en acceptant de vivre avec lui, que ma vie sexuelle serait très active. Même si je ne voyais pas ca comme ca.
Je suis tout d’abord très surprise, du plaisir qui ressort des caresses de ces trois hommes.
Je me détends et fini par jouir vraiment.
- Suce-les ! Mais garde tes mains derrière.
Je m’accroupie et laisse les queues venir à ma bouche. Je les suce à tour de rôle et je m’excite à les entendre râler de plaisir.
- On peut la baiser, ta femelle ?
- Lève-toi, Line. Ces gentils messieurs veulent t’utiliser. Viens là et lève ton genou.
Je vis une drôle d’expérience. Dans un autre contexte je serais révoltée de l’entendre parler ainsi. Mais là, je ne sais pas, c’est différent.
J’ai du mal à réaliser que je suis nue au bord d’un chemin, face à trois hommes et que je lève une jambe pour m’offrir à eux.
L’un d’eux s’approche de moi et m’enlace d’un bras, tandis qu’il glisse l’autre derrière le genou de ma jambe levée. Son sexe est sorti et glisse sur ma fente me déclenchant un grand frisson.
- Tu la sens ma queue ? Tu la veux ? Tu la veux dans ton ventre ?
Sa voix est chaude et troublante. Je tombe dans ses filets.
Pour seule réponse, je creuse mes reins, penche ma tête en arrière et l’appuie sur le poteau du réverbère. Je la penche un peu, à la recherche de Nico.
Et là, surprise !
Il est accroupi et suce le deuxième homme.
Je suis envahie par une excitation démesurée. Je craque !
- Ho merde ! Oui ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hummmm !
Je me cramponne au poteau et avance mon bassin. Je m’offre.
Sa queue glisse sans effort en moi. C’est juste délicieux.
- Hummm ! Ho ouiii ! Regarde Nico comme il me baise bien ! Hummm ! Hoooo !
J’aperçois l’autre type jouir sur le visage de mon homme. S’en est trop. Je jouis comme une folle.
- Ho ouiiii ! Hooo ! C’est trop bon ! Ouii ! Plus fort ! Plus fort ! Haaaa ! Ouiiiiiiii ! Hummmmm !
Je me sens inonder les couilles de mon partenaire. Tant pis pour son pantalon, mais je me vide d’un coup.
Il vient à son tour.
- Tiensss ! Salooope ! Hummmm ! T’es bonne toi ma chérie ! T’aime ca la bite, hein ? T’aime ca ? Hummmm ! Putainnnnnn ! Hooooo ouaiiiiiiiii !
Sa liqueur chaude me remplit en deux ou trois fois.
Puis, il se retire, me donne deux petites tapes sur la joue et s’en va en me faisant un beau sourire.
Epuisée, je me laisse glisser contre le poteau.
Nico me rejoint et me fait nettoyer son visage avec ma langue.
- Allez ! Viens.
Nous retournons à la voiture. Il me fait marcher devant lui, nue.
Lorsque nous y arrivons, trois hommes m’encadrent et me matent en se branlant.
Nico me redonne mes affaires.
Nous rentrons.
Sans un mot, nous allons nous coucher.
Il me refait l’amour comme un dieu.
La nuit sera courte.
Pour Line et Nico, mes deux amours.
Claude
- Line ? Demain soir nous sortons. J’aimerai que tu t’habille comme pour mon anniversaire.
- Avec ma robe noire ?
- Non ! Comme cet après midi que nous avons passé avec Claude, sur la terrasse.
- Ha ! En short ? Tu veux que je mette mon short en jeans ?
- Oui et ton caraco blanc aussi. Oublie ton soutien gorge. Fais-moi plaisir.
Les premiers rayons de soleil de ce mois de septembre, chauffent encore notre petit coin de paradis du Midi-Pyrénées.
C’est très agréable car nous pouvons encore profiter du grand air. Nous arrivons même à manger encore dehors.
Lors de l’anniversaire de Nico, j’avais pris l’initiative d’inviter son grand ami Claude.
Et de cet après midi, je me souviens de tout, très bien.
Nous étions sur la terrasse, tout les trois. Claude prenait des photos du point de vue, lorsque soudain, amusé, il s’intéressa à mon short.
- Humm ! Je tirerais bien sur le lacet ! Hihi !
Je portais un short en jeans, fermé sur le devant par un lacet de cuir passant dans des œillets, façon corset et se terminant par un nœud et une boucle.
- Haha ! Mon pauvre Claude ! Tu n’en verrais pas plus ! Regarde !
Je tire sur le lacet qui se défait et j’écarte le haut de mon short.
- Tu vois ? C’est factice ! Dessous il y a du tissu. Il est toujours aussi serré. Hihi ! Pour l’ouvrir il faut faire sauter ce bouton, là, sur le coté. Hihi !
C’est là que mon amour de Nico a décidé de s’amuser un peu.
Il s’est approché de moi et a fait sauter le bouton.
- Tu vois Claude ? C’est comme ca, et là, après, tu peux faire ce que tu veux ! Comme…ca, par exemple !
Il baissa un peu le haut de mon short, jusqu’à la naissance de mes premiers poils pubien.
- Tiens, Claude ! Prends une photo ! C’est beau non ?
Claude est une personne que j’apprécie beaucoup. J’avais longuement discuté avec lui sur le net, après que Nico nous ait mis en relation.
C’est un homme comme on en rencontre peu. Toujours disponible et à l’écoute, d’une douceur et d’une tendresse à toute épreuve, d’une compréhension sans faille, qui n’hésite pas à montrer ses émotions et à partager ce qu’il ressent. Et je sais que je peux compter sur lui, que je peux tout lui confier, le meilleur comme le pire. Il m’écoute avec intérêt, sans me juger, trouvant toujours un mot, une phrase, une gentillesse réconfortante….
Le petit jeu de Nico m’émoustillait beaucoup et j’ai laissé faire. Claude, prenait des photos, alors que Nico en montrait de plus en plus, jusqu’à dévoiler mon pubis en intégralité.
Le soir même, et malgré ma certitude de ne jamais me faire prendre par deux hommes, nous étions trois dans le lit conjugal.
Samedi. 20h
Nico nous a fait manger en vitesse et me demande d’aller me préparer.
Vu le peu de chose à passer, c’est vite fait.
- Allez ! En voiture !
J’ai beau le questionner, impossible d’avoir la moindre information sur notre destination.
Les panneaux autoroutiers indiquent Montauban, mais nous contournons la ville et filons vers Montech.
- Montech ? C’est quoi ca Montech ?
- Tu n’as pas entendu parler de la voie verte ? J’y suis passé en repérage. C’est super sympa pour une ballade.
- Une ballade ? À cette heure ? Hihi ! Et c’est quoi ca « en repérage » ?
- Haha ! Cesse de stresser, princesse ! Prends plaisir et apprécie cette sortie
- Mouai ! T’as raison. Allez ! Je te laisse me guider.
Nous traversons le village et très vite nous nous retrouvons à l’entrée d’un sous bois.
Il y a un petit parking ou quatre, cinq voitures sont déjà rangées.
- Voilà ! Viens, tu vas voir, c’est super agréable.
Et ca l’est !
Nous empruntons une allée bordée d’arbres. Ca pourrait être calme, mais le bruit des oiseaux allant se coucher, casse un peu l’ambiance de ce havre de paix. Ceci dit, c’est bien sympathique.
Nous croisons quelques promeneurs, qui nous saluent à notre passage. Normal ! Ici, dans ce cadre magnifique, tout appelle à être peace and love.
Et love, je le suis.
Nico est la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma chienne de vie.
Je suis raide dingue de ce bonhomme.
Nous nous tenons par la taille. J’ai glissé mon pouce dans un passant de son jeans.
Lui, caresse ma taille et remonte parfois, jusque sous mon sein.
- Hummm ! Tu m’excite ! Arrête ! Hihi !
- Pourquoi ? J’aime quand t‘es excitée !
- Pfff ! T’es con ! Hihi !
- Moi aussi, je suis excité ! J’ai très envie de ton p’tit cul.
Il passe sa main sur mon cul et fait glisser deux doigts jusqu’entre mes fesses, et applique une pression sur mon anus.
Ce n’est pas que ce geste très subjectif me gêne, mais nous nous apprêtons à croiser un homme.
- Rhooo ! Nico ! Arrête ca tout de suite !
- Ben quoi ? J’aime bien, moi !
Nous reprenons notre ballade. Il fait de plus en plus sombre et quelques réverbères discrets s’allument de ci, de là.
- Tu ne crois pas qu’on devrait rentrer, maintenant ? La nuit tombe.
- Linette aurait elle peur du loup ? Haha !
- Si le loup c’est toi, alors non ! Je n’ai pas peur.
Il m’enlace tendrement et m’embrasse. Je passe mes bras autour de son cou et lui offre ma bouche gourmande.
Collé à moi, je sens son émoi dans son pantalon qui se frotte à moi.
- Hummm ! C’est quoi ca ? Hihi ! Alors ? On rentre ?
- Pas le temps ! Viens là !
Il me pousse en arrière et me colle à un réverbère.
Il m’embrasse de nouveau, en glissant une main sous mon caraco. Ses doigts qui pincent, électrisent mon téton.
- Hummm ! Ne fais pas ca ! Tu sais bien que je n’y résiste pas !
- Justement.
Promptement, il passe derrière moi et s’interpose entre moi et le réverbère.
La bosse, dans son pantalon, a encore grossie. Je la sens tres nettement, contre mon cul.
Ses mains s’égarent de nouveau sous mon haut et jouent avec mes seins.
Puis, elles redescendent sur mon ventre, glisse sur mon short et attrape les deux bout de la lanière de cuir.
- Qu’est ce que tu fais ?
- Tu le vois bien, je défais le nœud !
- Pourquoi ? Ca ne mène nulle part, tu le sais bien, non ?
- Oui, mais le type en face, l’ignore !
Un long frisson me parcourt l’échine et je me sens glacée, d’un coup.
- Ou ca, un type ? Ou ca ?
- Haha ! Détends toi ma princesse ! Il ne va pas te manger ! Là, regarde en face, sur le talus, derrière le gros arbre. Un type se masturbe en nous matant.
- Merde ! Viens, on s’en va !
- Nous partirons quand je l’aurais décidé. En attendant, attrape ca et le lâche pas.
Il passe mes mains derrière mon dos et me fait agripper sa queue qu’il vient de sortir.
-Nicoooo ! Tu sais bien que je n’aime pas !
- Ha oui ? Rappelle-toi la soirée avec Claude. Qu’as tu promis ? Qu’as-tu dis ?
- Je ne sais plus, moi !
- Tu as promis d’être notre salope et de faire ce que nous voudrions avec toi.
- J’ai dis ca, moi ?
Je me souviens très bien l’avoir dis et même de l’avoir pensé. Mais entre le fantasme et la réalité, le fossé est grand.
Je sais aussi qu’il peut se fâcher pour un truc comme ca. Alors, je décide de le laisser jouer encore un peu, avec ce pauvre homme.
Il pose de nouveau ses mains sur mon short et tire sur la cordelette.
L’homme encouragé, ne se cache plus et se tient près de l’arbre, bite à la main et se masturbant sans aucune gène.
Nico défait le bouton d’une main et laisse glisser l’autre dans mon short, sur ma toison.
Lorsque son doigt effleure mon bouton, je me plie en deux
- Nico ! Non pas ca ! S’il te plait !
Il n’est pas s’en ignorer que quelques massages de mon clito, peuvent me provoquer un orgasme puissant. Alors, il se contente de glisser ses doigts dans mes poils, tandis que son autre main remonte sous le caraco.
- Nico ! Regarde ! Il descend le talus !
- Ha oui ! Il va surement venir jusqu’à nous.
Venir jusqu’à nous, ne veut pas dire qu’il va me sauter dessus. De toute façon, Nico l’en empêcherait.
Je veux rester honnête avec moi, alors, je ne me cache pas que tout ceci m’excite beaucoup, même si je suis morte de trouille.
Nico, tout en me caressant, fait descendre encore un peu mon short. La moitié de ma toison est maintenant certainement visible.
La nuit est quasiment tombée et l’éclairage est faible. J’avoue que cette lumière tamisée me convient parfaitement.
L’homme est à dix mètres.
Il traverse le chemin.
Il est à cinq mètres. Trois
L’homme s’arrête à une longueur de bras.
Je peux distinguer ses traits, entendre sa respiration rapide et les petits souffles que laisse échapper sa bouche.
Il est de ma taille, brun, la quarantaine passé. Pas un monstre de beauté, mais il a de très beaux yeux et…il sent bon !
Nico, tout en me pinçant un téton, d’un mouvement du poignet, dévoile un de mes seins.
La fraicheur qui glisse sur ma pointe, me la fait bander un peu plus, d’un coup.
- Hummm ! Joli ! Madame est sensible, dirait-on !
- C’est rien de le dire ! Regarde ca !
Le traitre frotte mon bouton rose énergiquement. L’effet ne se fait pas attendre et je sens mon short se mouiller.
- Horchh ! Non ! Nicooo ! Non !
Mais la femme fontaine que je suis, se libère d’une grande quantité de liqueur féminine.
Nico profite de mon orgasme pour descendre encore mon short, à mi-cuisse.
Le type a désormais tout le loisir de contempler mon vagin détrempé qui luit à la lumière du vieux réverbère.
Mes mains dans le dos, tiennent toujours le membre de mon homme.
Je peux maintenant, le frotter à loisir contre ma raie, et augmenter inconsciemment, mon envie de sexe.
Nico, le ressent sans doute, car…
- Penche toi comme une bonne chienne, que je t’encule !
Bien incapable de résister à si gentille proposition, je me courbe.
Mon short me gêne, alors, par quelques mouvements de jambes, je parviens à le faire glisser sur mes cuisses et il tombe à terre
Le sexe de l’homme est à peine à dix centimètres. Je peux sentir son odeur de male en rut.
Mes jambes libérées, je les écarte un peu.
Nico m’agrippe par les hanches et se glisse dans mon fondement, en m’arrachant une longue plainte de plaisir.
- Hummm ! Ho ouiii ! Encule-moi bien ! Prends-moi bien à fond ! Hummmm !
Chaque choc de ses couilles, sur mon vagin et mon clito, me provoquent un mini orgasme. Je sens mon liquide me couler sur les cuisses, jusqu’aux genoux.
Ces même chocs me rapprochent aussi du gland écarlate qui glisse entre les doigts de l’homme.
Je ne sais plus qui commande de ma tête ou de mon corps et dans cette frénésie sexuelle, je n’écoute plus que mes envies.
Sans hésiter, je tends la main et attrape le membre chaud.
- Donne ! Donne-moi !
L’homme fait un pas et glisse sa virilité entre mes lèvres.
- Hummm ! Oui, salope de Line ! Suce le bien, putain ! T’aime ca la bite, hein ? T’aime ca ! Réponds morue !
Il accompagne sa question par une claque sur mon cul.
- Aille ! Oui, mon amour ! J’aime ca ! J’aime ca !
- Alors pompe le bien, le salop ! Fait le jouir et bois tout !
Jouir. Ce simple mot me provoque un orgasme.
J’enchaine les jets de mouille. Je sens le liquide glisser entre mes pieds et mes semelles de cuir.
- Tu sais ce que tu es ? Dis-moi ce que tu es !
- Je suis ta salope, ta morue et tu peux, Hooooo, m’utiliser comme bon te semble ! Hummm !
- Hummm ! Oui, c’est ca ! Et Claude ? Tu es quoi pour Claude ?
- Je suis sa morue aussi. Hummm ! Lui aussi, peut faire ce qu’il veut de moi ! Hoooo !
Le type se lâche un peu.
- Putain ! Ferme ta gueule et fini moi, salope !
Je reprends l’homme en bouche et m’applique à ce que je fais.
Nico craque et s’active frénétiquement dans mon cul, comme un malade.
- Harchhh ! Je vais te remplir salope ! Harchhh ! Hummm ! Ouiiiiii ! Harggg !
Mon cul et ma gorge reçoivent la première giclée dans la même seconde.
La sensation de n’être plus qu’un récipient est délicieuse et je jouis une nouvelle fois.
Tandis que le sexe de l’homme se ramolli sur ma langue, bavant ses dernières gouttes de foutre, un filet s’échappe le la commissure de mes lèvres. Presque machinalement, je l’empêche de tomber en plaçant ma main dessous. Lorsque l’homme libère ma bouche, je m’empresse de lécher ma main.
Nico se retire lentement. Je ne peux retenir quelques pets, preuve de ma jouissance anale.
Les mains sur les genoux, je cherche un nouveau souffle.
Je m’apprête à remonter mon short, lorsque Nico passe devant moi et d’un geste brusque retire mon caraco.
- Hé ! Qu’est ce que tu fais ? Ca ne va pas, non !
- Fais ce que je te dis ! Retire tes pieds de ton short.
Il le ramasse et va poser mes affaires sur un banc tout proche.
- Il a raison ! Vous êtes très belle ! C’est dommage de vous cacher !
Honteuse, je suis restée ramassée sur moi-même, pour cacher ma totale nudité.
Nico, revient vers moi.
- Redresse-toi ! Sois fière d’être une salope !
Il me relève et remet mes mains dans mon dos, pour le plus grand plaisir de l’homme.
Il s’approche et me caresse.
Il palpe mes seins et étire mes tétons, puis presse mon cul. Lorsque sa main effleure ma fente, je sens mon ventre se contracter et ma respiration se bloquer.
Il fait ce que je redoutais. D’un doigt, il branle frénétiquement mon petit bouton rose.
La réaction est immédiate et j’inonde ses doigts.
Cela semble lui plaire et il s’introduit en moi, me branlant des deux mains. Les jets se succèdent à une fréquence rapide et régulière.
Soudain !
- Nico ! Nico ! Vite, donne-moi mes affaires !
Deux hommes s’approchent de notre petit groupe.
- Panique pas chérie ! Tu sais, ils ne veulent que ton bien. Pas vrais les gars ?
- Bien sur ! On est là pour donner du plaisir et faire jouir la p’tite dame !
Nico me maintient les mains dans le dos. Je lui en veux un peu de m’humilier de la sorte. Mais je savais qu’en acceptant de vivre avec lui, que ma vie sexuelle serait très active. Même si je ne voyais pas ca comme ca.
Je suis tout d’abord très surprise, du plaisir qui ressort des caresses de ces trois hommes.
Je me détends et fini par jouir vraiment.
- Suce-les ! Mais garde tes mains derrière.
Je m’accroupie et laisse les queues venir à ma bouche. Je les suce à tour de rôle et je m’excite à les entendre râler de plaisir.
- On peut la baiser, ta femelle ?
- Lève-toi, Line. Ces gentils messieurs veulent t’utiliser. Viens là et lève ton genou.
Je vis une drôle d’expérience. Dans un autre contexte je serais révoltée de l’entendre parler ainsi. Mais là, je ne sais pas, c’est différent.
J’ai du mal à réaliser que je suis nue au bord d’un chemin, face à trois hommes et que je lève une jambe pour m’offrir à eux.
L’un d’eux s’approche de moi et m’enlace d’un bras, tandis qu’il glisse l’autre derrière le genou de ma jambe levée. Son sexe est sorti et glisse sur ma fente me déclenchant un grand frisson.
- Tu la sens ma queue ? Tu la veux ? Tu la veux dans ton ventre ?
Sa voix est chaude et troublante. Je tombe dans ses filets.
Pour seule réponse, je creuse mes reins, penche ma tête en arrière et l’appuie sur le poteau du réverbère. Je la penche un peu, à la recherche de Nico.
Et là, surprise !
Il est accroupi et suce le deuxième homme.
Je suis envahie par une excitation démesurée. Je craque !
- Ho merde ! Oui ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hummmm !
Je me cramponne au poteau et avance mon bassin. Je m’offre.
Sa queue glisse sans effort en moi. C’est juste délicieux.
- Hummm ! Ho ouiii ! Regarde Nico comme il me baise bien ! Hummm ! Hoooo !
J’aperçois l’autre type jouir sur le visage de mon homme. S’en est trop. Je jouis comme une folle.
- Ho ouiiii ! Hooo ! C’est trop bon ! Ouii ! Plus fort ! Plus fort ! Haaaa ! Ouiiiiiiii ! Hummmmm !
Je me sens inonder les couilles de mon partenaire. Tant pis pour son pantalon, mais je me vide d’un coup.
Il vient à son tour.
- Tiensss ! Salooope ! Hummmm ! T’es bonne toi ma chérie ! T’aime ca la bite, hein ? T’aime ca ? Hummmm ! Putainnnnnn ! Hooooo ouaiiiiiiiii !
Sa liqueur chaude me remplit en deux ou trois fois.
Puis, il se retire, me donne deux petites tapes sur la joue et s’en va en me faisant un beau sourire.
Epuisée, je me laisse glisser contre le poteau.
Nico me rejoint et me fait nettoyer son visage avec ma langue.
- Allez ! Viens.
Nous retournons à la voiture. Il me fait marcher devant lui, nue.
Lorsque nous y arrivons, trois hommes m’encadrent et me matent en se branlant.
Nico me redonne mes affaires.
Nous rentrons.
Sans un mot, nous allons nous coucher.
Il me refait l’amour comme un dieu.
La nuit sera courte.
Pour Line et Nico, mes deux amours.
Claude
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mmmmh rien de mieu que trempé son lit ! WAW
Génial ! J'ai inondé mon lit :) c'est rare de trouver des histoires sur les femmes
fontaines sans que les auteurs exagérent nos dons !! MErci beaucoup
fontaines sans que les auteurs exagérent nos dons !! MErci beaucoup
super.ma femme met des shorts au ras des fesse aussi et j'aimerais biens lui faire le meme scenario.elle aimerai surement