De mes début à aujourd'hui 1° partie
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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De mes début à aujourd'hui 1° partie
Je vais commencer à raconter mes 'aventures' depuis mon premier désir.
J'étais jeune dans un quartier huppé de banlieue. Un voisin un peu plus âgé que moi me faisait souvent venir dans son jardin, aux beaux temps surtout ; Comme il faisait chaud nous pouvions décemment nous mettre à l'aise, jusqu'à nous dénuder à l'abri d'une haie.
On est mieux nus qu'avec ses guenilles.
Tu as raison (je prenais n'importe quel prétexte pour accepter de le voir)
Je voyais une autre bite que la mienne, plus grosse, bien plus grosse. Bien sur il m'a touché la queue : résultat je commençais à bander. Je me souviens encore de sa main qui englobait mes couilles, qui passait entre mes cuisses et bien au delà.
Je vais passer ma main vers ton cul.
Pourquoi ?
Pour notre plaisir.
Je me laissais masturber le cul. Je voyais sa bite grossir encore. Il est venu derrière moi pour mettre son sexe entre mes fesses. Je devinais son but, je ne m'en étonnais pas, je l'espérais au contraire. Il me faisait pencher en avant toujours en tenant ma queue. Il mettait ses doigts sur mon entrée avec sans doute de la salive.
Je sentais le bout de sa bite sur mon cul. C'était excitant. Je me prêtais à son jeu en ouvrant comme je pouvais l'anus. Il entrait lestement doucement que je ne pensais pas l'avoir en moi. C'est quand il commencé ses va-et-vient que je l'ai senti. Oh, il ne me faisait pas mail au contraire ! Et sa main qui caressait la bite en grands aller et venues.....
C'est bon ?
Oui, j'aime bien.
Je t'ai enculé.
Merci
Bref je devenais son amant avec plaisir. Quand les premiers froids sont arrivés il avait toujours envie de moi. J'arrivais à le faire venir dans ma chambre. Dès que nous étions ensemble nous étions nus. C'est sur mon lit que nous nous sommes léchés. Il était sa tête vers les pieds. Je voyais se bite grossir sans cesse. Je l'aurais bien accepté dans mes fesses, mais là j'ai eu peur. Quand il a approché sa pine de ma bouche je l'ai accepté. Je commençais à lécher, sucer quand lui aussi m'a rendu ses caresses particulièrement érotiques. J'ai jouit le premier dans sa bouche. Je ne pouvais l'en avertir, ayant ma bouche occupée avec sa bite. Il devait être écœuré de mon jus. Pourtant je ne trouvais pas le sien mauvais. La fois suivante que nous nous sommes sucé, j'ai eu envie d'aller mettre un doigt dans son cul. Il y prenait plaisir. J'en mettais un autre. Je les faisais aller et venir. Je voyais sa bite commencer à voir ses secousses. Il jetait sa semence. Je n'avais pas encore joui. Je venais sur lui en forçant à peine pour mettre moi aussi mon engin dans son cul. Je forçais pas mal pour entrer, jusqu'au moment où il s'est relâché. Toute la longueur de ma queue état dans ses intestins, comme il m’avait fait. Comme il me le faisait je l'ai branlé.
Les fois suivantes, il se mettait en levrette, j'étais presque sur son dos, sauf mon bas ventre contre ses fesses chaudes. Je l'enculais avec grand plaisir. Il se branlait pendant que j'étais en lui. Nos 'amours' ont duré jusqu'à l'été, au moment de nous mettre encore nus derrière la haie. Il devenait amoureux d'une fille dont j'étais jaloux : elle me volait la queue que venait dans mon cul.
Nous nous sommes revus des années plus tard : nous étions en couple avec de jolies femmes. C'est la sienne qui nous a soufflé de recommencer pour elles.
C'est ainsi que nous nous sommes mis nus, nous sommes regardé avec nostalgie. Il commençait à bander. Moi j'ai suivis. Sa femme nous a rapproché pour que nous puissions nous masturber. J'ai à nouveau pris sa bite dans ma main. Il en a fait autant. Je me serais volontiers tourné pour qu'il vienne dans les fesses qu'il entre un peu dans la cul. C'est ma femme qui le voyant bien dur est venu lui donner son cul. Elle était en levrette, presque couchée, en gémissant de la puissance de la pénétration. Et lui se laissait caresser les fesses par sa femme. Je ne pouvais même plus le toucher. Je me suis branlé devant les autres. Mon sperme est parti sur lui.
J'étais jeune dans un quartier huppé de banlieue. Un voisin un peu plus âgé que moi me faisait souvent venir dans son jardin, aux beaux temps surtout ; Comme il faisait chaud nous pouvions décemment nous mettre à l'aise, jusqu'à nous dénuder à l'abri d'une haie.
On est mieux nus qu'avec ses guenilles.
Tu as raison (je prenais n'importe quel prétexte pour accepter de le voir)
Je voyais une autre bite que la mienne, plus grosse, bien plus grosse. Bien sur il m'a touché la queue : résultat je commençais à bander. Je me souviens encore de sa main qui englobait mes couilles, qui passait entre mes cuisses et bien au delà.
Je vais passer ma main vers ton cul.
Pourquoi ?
Pour notre plaisir.
Je me laissais masturber le cul. Je voyais sa bite grossir encore. Il est venu derrière moi pour mettre son sexe entre mes fesses. Je devinais son but, je ne m'en étonnais pas, je l'espérais au contraire. Il me faisait pencher en avant toujours en tenant ma queue. Il mettait ses doigts sur mon entrée avec sans doute de la salive.
Je sentais le bout de sa bite sur mon cul. C'était excitant. Je me prêtais à son jeu en ouvrant comme je pouvais l'anus. Il entrait lestement doucement que je ne pensais pas l'avoir en moi. C'est quand il commencé ses va-et-vient que je l'ai senti. Oh, il ne me faisait pas mail au contraire ! Et sa main qui caressait la bite en grands aller et venues.....
C'est bon ?
Oui, j'aime bien.
Je t'ai enculé.
Merci
Bref je devenais son amant avec plaisir. Quand les premiers froids sont arrivés il avait toujours envie de moi. J'arrivais à le faire venir dans ma chambre. Dès que nous étions ensemble nous étions nus. C'est sur mon lit que nous nous sommes léchés. Il était sa tête vers les pieds. Je voyais se bite grossir sans cesse. Je l'aurais bien accepté dans mes fesses, mais là j'ai eu peur. Quand il a approché sa pine de ma bouche je l'ai accepté. Je commençais à lécher, sucer quand lui aussi m'a rendu ses caresses particulièrement érotiques. J'ai jouit le premier dans sa bouche. Je ne pouvais l'en avertir, ayant ma bouche occupée avec sa bite. Il devait être écœuré de mon jus. Pourtant je ne trouvais pas le sien mauvais. La fois suivante que nous nous sommes sucé, j'ai eu envie d'aller mettre un doigt dans son cul. Il y prenait plaisir. J'en mettais un autre. Je les faisais aller et venir. Je voyais sa bite commencer à voir ses secousses. Il jetait sa semence. Je n'avais pas encore joui. Je venais sur lui en forçant à peine pour mettre moi aussi mon engin dans son cul. Je forçais pas mal pour entrer, jusqu'au moment où il s'est relâché. Toute la longueur de ma queue état dans ses intestins, comme il m’avait fait. Comme il me le faisait je l'ai branlé.
Les fois suivantes, il se mettait en levrette, j'étais presque sur son dos, sauf mon bas ventre contre ses fesses chaudes. Je l'enculais avec grand plaisir. Il se branlait pendant que j'étais en lui. Nos 'amours' ont duré jusqu'à l'été, au moment de nous mettre encore nus derrière la haie. Il devenait amoureux d'une fille dont j'étais jaloux : elle me volait la queue que venait dans mon cul.
Nous nous sommes revus des années plus tard : nous étions en couple avec de jolies femmes. C'est la sienne qui nous a soufflé de recommencer pour elles.
C'est ainsi que nous nous sommes mis nus, nous sommes regardé avec nostalgie. Il commençait à bander. Moi j'ai suivis. Sa femme nous a rapproché pour que nous puissions nous masturber. J'ai à nouveau pris sa bite dans ma main. Il en a fait autant. Je me serais volontiers tourné pour qu'il vienne dans les fesses qu'il entre un peu dans la cul. C'est ma femme qui le voyant bien dur est venu lui donner son cul. Elle était en levrette, presque couchée, en gémissant de la puissance de la pénétration. Et lui se laissait caresser les fesses par sa femme. Je ne pouvais même plus le toucher. Je me suis branlé devant les autres. Mon sperme est parti sur lui.
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