DECOUVERTE D'UN NOUVEAU PLAISIR...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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DECOUVERTE D'UN NOUVEAU PLAISIR...
Jugeant mes pantalons trop usés, maman avait insisté pour que je passe à tout prix acheter des jeans après le boulot. Pour se faire et pour que cela soit moins pénible, étant austère à fréquenter ce genre de magasin, je choisis de me rendre à la boutique du quartier à deux rue de chez moi. Elle ne payait pas de mine mais avait le mérite d’être tout proche, et en plus peu fréquenté. Une rouquine tenait les lieux. Des petites rides ornaient son visage près des yeux en amande. Une belle poitrine qui tombait un peu. Des hanches solides sous lesquelles s’arrondissaient des fesses cambrées. Elle me gratifia d’un regard de courtoisie de derrière le comptoir.
En était au mois de septembre et elle portait une robe longue très légère à fleur de couleur verre bouteille. Le décolleté de sa robe laissait apparaître la forme généreuse de sa poitrine. Plus je le regardais ses contours bombées, moins j’arrivais à décoller mon regard d’elles. Elles m’envoûtaient comme le serait un chien devant un os.
- Bonjour, je peux vous aider ?
Sa voix était douce et sensuelle. Je lui bredouillai quelque chose d’inintelligible.
- Pardon ? me dit-elle. Je n’ai pas compris.
- Euh… oui… euh… je cherche un… un jean.
- Oui, quelle taille jeune homme ?
- Je ne sais pas, je ne la connais pas.
Elle me détailla.
- Je devine un petit 40. Nous allons si vous le voulez bien essayer un 38. Suivez moi voulez-vous.
Je rivais mes yeux sur le mouvement onduleux que produisait son fessier à chacun de ses pas. Elle m’entraîna jusqu’à devant une multitude de pantalons exposés en rayon ou suspendus sur un portique. Elle resta quelques secondes à réfléchir et en prit un puis deux et trois. Tous plus laids les uns que les autres. Maladroitement ou volontairement, elle laissa tomber un vêtement. Comme paralysé, je ne bougeais pas. Alors que la vendeuse, sensuellement, elle se baissa pour se saisir du vêtement. Je ne perdis rien de son décolleté. À la vue de ses merveilles laiteuses, mon cœur s’emballa. Je ne sais pas ce qui me retenait de ne pas y plonger une main.
- Je vous propose de les essayer. Fit-elle, en me fixant droit dans les yeux.
Avait-elle deviné ma pensée à cet instant là. Toujours en ondulant du popotin, elle me guida jusqu’à une cabine d’essayage. Une fois à l’intérieur, le rideau tiré, je m’étais déshabillé. J’avais enfilé un puis deux. Mais aucun d’eux me ravi au point de les acheter. Trop petit, trop large. De l’autre côté du rideau, la vendeuse attendait et commençait à s’impatienter. Elle m’avait alors demandé : - Vous avez fait votre choix ?
- Je… je ne sais pas très bien.
Sentant que j’étais toujours aussi indécis, elle s’était proposé : - Vous désirez que je vous aide ?
- Oui, je veux bien, si cela ne vous dérange pas.
J’avais pour ça écarté complètement le rideau lui faisant face. Après m’avoir regardé un petit moment, la vendeuse me lança : - Sortez que je vous voie à la lumière.
Je m’exécutai à demi fagoté dans un pantalon très moulant.
- Tournez-vous sur vous-même.
Après un court silence, elle fit : - Oui je vois le problème… il vous faut du 4O. Voulez-vous passer les deux autres s’il vous plaît… que je m’en rende compte… Le scénario s’était répété à deux reprises, sans plus de succès. Après avoir fait un aller retour jusqu’au rayon, elle revint tenant en main un jean.
- Je trouve que cette coupe vous ira mieux. Fit-elle en me l’exposant. Vous ne trouvez pas ?
- Oui, je pense, répondis-je comme pour lui faire plaisir de son dévouement à tout faire pour me ventre un pantalon.
- Passez-le, vous voulez bien.
Je m’étais regardé dans le reflet de la glace et j’avais effectivement constaté qu’il me taillait mieux. Satisfait, la vendeuse avait acquiescé, en le voyant sur moi.
- Vous faites du sport ?
- Oui… - Je vois cela… répliqua-t-elle tout en fixant les pectoraux qui déformé mon tee-shirt.
J’avais tiré le rideau et alors que je m’apprêtais de retirer mon jean, le rideau fut tirer d’un geste autoritaire. Nous nous retrouvâmes face à face. À seulement quelques centimètres l’un de l’autre. Elle vêtue moi en slip. En me fixant de ses yeux en amande, elle posa ses mains sur mon fessier. Avant de s’hasarder, en promenant sa droite sur le coton en pressant doucement ma rondeur qui grossissait.
- Oh ! Et bien mon coquin. Quelle belle queue. Ça devient bien dur. J’espère que je ne suis pas la première à t’en faire le Compliment ?
- Oh ! Hélas non…vous n’êtes pas la première. Mais vous êtes la plus intrépide. Et ce n’est pas pour m’en déplaire. Mais bon… quelqu’un pourrait nous surprendre.
- T’occupe j’ai fais le nécessaire… Puis elle descendit mon slip et saisit ma verge turgescente qui jaillit sous ses yeux. J’avais affaire à une rapide. Une affamée de sexe.
- Je ne sais pas ce qui m’arrive. Tu m’envoûtes mon gamin… Son parfum enflammait mon esprit. Elle se laissa tomber sur ses genoux. Son visage au niveau de mon entrejambe. Elle s’était penchée dessus. Fasciné par sa poitrine provocante, j’avais portée ma main.
- Mais qu’est-ce que je fais ! Fit-elle en se levant d’un coup. Comme si elle s’était brûlée au contact de ma verge. Enfin ! Oh ! Que j’ai honte de moi… Je m’en moquais totalement de son état d’âme. Ce qui m’intéresser présentement c’était qu’elle me reprenne en bouche, et je le lui fis part : - Mais non ma chère petite dame, il ne faut pas. Faite comme bon vous chante. Et ça c’est moi qui vous le demandez.
- Alors si c’est vous qu’il me le demander, cela change tout… Elle approcha sa langue rose de ma verge, tandis que je me saisissais de ses seins à pleines paumes pour les malaxer. De ma main gauche, j’en pinçais la pointe qui se dressait. Elle humecta de salive toute ma verge de sa langue active. Puis soudain l’engouffra dans sa bouche, sans lâcher la racine velue que sa main continuait d’agiter lentement. Une masturbation magistrale. Mais il n’était pas question que je jouisse de cette façon. J’avais d’autre projet pour une femme de ce genre. Mes mains abandonnèrent les mamelons devenus durs sous sa pression, pour repousser la tête de la vendeuse qui abandonna à regret mon membre enfiévré.
Je la fis se relever. Je tremblais d’excitation. Elle comprit tout de suite le message, relevant sa jupe jusqu’à la ceinture. Je contemplais les cuisses dodues. Avant de m’attarder sur les poils qui dépassaient de l’élastique de sa culotte blanche. À mon tour je pris l’initiative de le lui soutirer. Dévoilant en dessous une luxurieuse toison. Son odeur vint titiller mes narines, alors que mon regard se localisait sur le clitoris tendu en haut de la fente.
Nous étions comme deux fauves lâchés à leurs plus bas instincts. Je portais une main sur son fessier. La peau était à la fois douce et ferme. La coquine était-elle une sportive ?
Comme si les minutes lui été compté, elle me dépouilla de mon tee-shirt. Avec une telle brutalité, qu’elle en fit craquer quelques coutures. Le visage rouge, elle laissa échapper de petits rires aigus.
- Jeune homme, murmura-t-elle, tu m’affoles. Tu sens trop bon.
Elle embrassa mon torse, alors que je lui palpais ses fesses, d’une main experte. Elle continuait à parcourir mon torse de ses lèvres, le souffle court, et chaud. Titillant, mordant, léchant mes tétons devenu durs d‘excitation.
Je dégrafais le haut de sa robe, et rabattis le tissu vers le bas. Assez pour découvrir une poitrine moulée par des bonnets de dentelle. De ma main droite, je la palpais, pinçais la pointe à travers le tissu rugueux, sous ses gémissements d‘encouragements. Pris de passion je dénudais un sein de sa corbeille de dentelle, et opérai sur le nichon d’une savante succion, tout en enfouissant une main entre ses cuisses. Fouillant fébrilement. Débusquant entre les poils son clitoris, que je me mis à branler à la va-vite. Les joues de la venteuse s’étaient colorées de rose. Elle se mordait les lèvres pour ne pas succomber à la tentation de crier. Elle remuait son basin, donnait des coups de cul en râlant, sans parvenir à jouir.
Je vissais mon index dans son anus. Il était tellement lubrifié par la transpiration que mon doigt n’eut aucun mal à violer le petit trou. Deux, trois aller retour, et je le retirai pour le porter sous mon nez. L’odeur poivrée me fit l’effet d’une drogue.
Embrasé, je la retournais sans aménagement et la plaquai contre la cabine. Je me laissais tomber sur mes genoux, et après avoir embrasser ses fesses, je collai mon nez dans la raie de son cul.
J’enfonçais ma langue dans son anneau rose odorant. Les stries avaient gonflé sous l’action. Je le salivai à son maximum. Puis, je me levai précipitamment avec la ferme intention de remplacer ma langue par mon gland.
Je lui fis prendre la position allongée, pour ça, le dos au contact du sol froid. Persuadé de décoder mon intention, elle replia d’elle-même les genoux comme une grenouille. De la main gauche, elle étala l’entaille rouge de sa chair, m‘invitant par ce comportement d’y nicher ma verge. Mais c’était sans compter sur mon attirance pour le petit trou. Dont je pointais mon gland devant l’entrée.
- C’n’est pas que tu vas me la mettre là…mais… Pas le temps de finir sa phrase que je l’avais déjà investi. Je n’eus besoin que d’un coup de reins pour m’enfoncer jusqu’aux couilles dans son rectum. Il m’avait aspirait mieux qu’une bouche. Mes calots ballotaient contre ses fesses. Elle se mit à gémir mollement. Son anus faisait une bague rose autour de ma queue.
- Tu oses te plaindre, alors que ton cul me suce carrément la queue ! Avoue que ça te plaît, salope sinon j’arrête !
Elle me regarda avant de crier : - Non, non ! N’arrête pas ! Encule-moi encore tant que tu veux !
Sa bouche était grande ouverte, son souffle était court, sur son doux visage, perlaient de petites gouttes de sueur pendant que je ramonais de plus en plus fort le cul. Je m’agrippais à ses seins, les malaxant avec force, tout en lui soufflant à l’oreille des insanités, à faire rougir un mort. Son anus réagissait avec encore plus d’ardeur à mes paroles, alors que sa respiration se fit plus rapide sous mon pilonnage. Suivirent des cris inarticulés de plus en plus aigus. Elle avait une main plaquée sur son clitoris et je crus sentir qu’elle s’enfilait aussi des doigts dans la chatte.
Sa tête se mit à ballotter plus violemment, ses gémissements résonnant dans mes oreilles, de plus en plus fort. Puis tout bascula, elle poussa d’abord un grognement profond et puissant. Ses yeux roulaient dans tous les sens, de la sueur lui perlait au front et elle se mordait les lèvres.
Je sentais des signes avant-coureurs d’une jouissance imminente. Ma sève montait, et finit en geyser dans l’étroit écrin de la venteuse. Des milliers d’étoiles dans les yeux.
Après quelques secondes, l’excitation retomba et le charme fut rompu.
- Madame… je suis désolé de vous avoir...
- Ne sois pas désolé. Tu m’as permis de redécouvrir un aspect délicat de ma nature… Pour service rendue, elle ne me fit pas payer le pantalon.
- J’espère te revoir… m’avait-elle lancé avant que je referme la porte de son magasin.
En était au mois de septembre et elle portait une robe longue très légère à fleur de couleur verre bouteille. Le décolleté de sa robe laissait apparaître la forme généreuse de sa poitrine. Plus je le regardais ses contours bombées, moins j’arrivais à décoller mon regard d’elles. Elles m’envoûtaient comme le serait un chien devant un os.
- Bonjour, je peux vous aider ?
Sa voix était douce et sensuelle. Je lui bredouillai quelque chose d’inintelligible.
- Pardon ? me dit-elle. Je n’ai pas compris.
- Euh… oui… euh… je cherche un… un jean.
- Oui, quelle taille jeune homme ?
- Je ne sais pas, je ne la connais pas.
Elle me détailla.
- Je devine un petit 40. Nous allons si vous le voulez bien essayer un 38. Suivez moi voulez-vous.
Je rivais mes yeux sur le mouvement onduleux que produisait son fessier à chacun de ses pas. Elle m’entraîna jusqu’à devant une multitude de pantalons exposés en rayon ou suspendus sur un portique. Elle resta quelques secondes à réfléchir et en prit un puis deux et trois. Tous plus laids les uns que les autres. Maladroitement ou volontairement, elle laissa tomber un vêtement. Comme paralysé, je ne bougeais pas. Alors que la vendeuse, sensuellement, elle se baissa pour se saisir du vêtement. Je ne perdis rien de son décolleté. À la vue de ses merveilles laiteuses, mon cœur s’emballa. Je ne sais pas ce qui me retenait de ne pas y plonger une main.
- Je vous propose de les essayer. Fit-elle, en me fixant droit dans les yeux.
Avait-elle deviné ma pensée à cet instant là. Toujours en ondulant du popotin, elle me guida jusqu’à une cabine d’essayage. Une fois à l’intérieur, le rideau tiré, je m’étais déshabillé. J’avais enfilé un puis deux. Mais aucun d’eux me ravi au point de les acheter. Trop petit, trop large. De l’autre côté du rideau, la vendeuse attendait et commençait à s’impatienter. Elle m’avait alors demandé : - Vous avez fait votre choix ?
- Je… je ne sais pas très bien.
Sentant que j’étais toujours aussi indécis, elle s’était proposé : - Vous désirez que je vous aide ?
- Oui, je veux bien, si cela ne vous dérange pas.
J’avais pour ça écarté complètement le rideau lui faisant face. Après m’avoir regardé un petit moment, la vendeuse me lança : - Sortez que je vous voie à la lumière.
Je m’exécutai à demi fagoté dans un pantalon très moulant.
- Tournez-vous sur vous-même.
Après un court silence, elle fit : - Oui je vois le problème… il vous faut du 4O. Voulez-vous passer les deux autres s’il vous plaît… que je m’en rende compte… Le scénario s’était répété à deux reprises, sans plus de succès. Après avoir fait un aller retour jusqu’au rayon, elle revint tenant en main un jean.
- Je trouve que cette coupe vous ira mieux. Fit-elle en me l’exposant. Vous ne trouvez pas ?
- Oui, je pense, répondis-je comme pour lui faire plaisir de son dévouement à tout faire pour me ventre un pantalon.
- Passez-le, vous voulez bien.
Je m’étais regardé dans le reflet de la glace et j’avais effectivement constaté qu’il me taillait mieux. Satisfait, la vendeuse avait acquiescé, en le voyant sur moi.
- Vous faites du sport ?
- Oui… - Je vois cela… répliqua-t-elle tout en fixant les pectoraux qui déformé mon tee-shirt.
J’avais tiré le rideau et alors que je m’apprêtais de retirer mon jean, le rideau fut tirer d’un geste autoritaire. Nous nous retrouvâmes face à face. À seulement quelques centimètres l’un de l’autre. Elle vêtue moi en slip. En me fixant de ses yeux en amande, elle posa ses mains sur mon fessier. Avant de s’hasarder, en promenant sa droite sur le coton en pressant doucement ma rondeur qui grossissait.
- Oh ! Et bien mon coquin. Quelle belle queue. Ça devient bien dur. J’espère que je ne suis pas la première à t’en faire le Compliment ?
- Oh ! Hélas non…vous n’êtes pas la première. Mais vous êtes la plus intrépide. Et ce n’est pas pour m’en déplaire. Mais bon… quelqu’un pourrait nous surprendre.
- T’occupe j’ai fais le nécessaire… Puis elle descendit mon slip et saisit ma verge turgescente qui jaillit sous ses yeux. J’avais affaire à une rapide. Une affamée de sexe.
- Je ne sais pas ce qui m’arrive. Tu m’envoûtes mon gamin… Son parfum enflammait mon esprit. Elle se laissa tomber sur ses genoux. Son visage au niveau de mon entrejambe. Elle s’était penchée dessus. Fasciné par sa poitrine provocante, j’avais portée ma main.
- Mais qu’est-ce que je fais ! Fit-elle en se levant d’un coup. Comme si elle s’était brûlée au contact de ma verge. Enfin ! Oh ! Que j’ai honte de moi… Je m’en moquais totalement de son état d’âme. Ce qui m’intéresser présentement c’était qu’elle me reprenne en bouche, et je le lui fis part : - Mais non ma chère petite dame, il ne faut pas. Faite comme bon vous chante. Et ça c’est moi qui vous le demandez.
- Alors si c’est vous qu’il me le demander, cela change tout… Elle approcha sa langue rose de ma verge, tandis que je me saisissais de ses seins à pleines paumes pour les malaxer. De ma main gauche, j’en pinçais la pointe qui se dressait. Elle humecta de salive toute ma verge de sa langue active. Puis soudain l’engouffra dans sa bouche, sans lâcher la racine velue que sa main continuait d’agiter lentement. Une masturbation magistrale. Mais il n’était pas question que je jouisse de cette façon. J’avais d’autre projet pour une femme de ce genre. Mes mains abandonnèrent les mamelons devenus durs sous sa pression, pour repousser la tête de la vendeuse qui abandonna à regret mon membre enfiévré.
Je la fis se relever. Je tremblais d’excitation. Elle comprit tout de suite le message, relevant sa jupe jusqu’à la ceinture. Je contemplais les cuisses dodues. Avant de m’attarder sur les poils qui dépassaient de l’élastique de sa culotte blanche. À mon tour je pris l’initiative de le lui soutirer. Dévoilant en dessous une luxurieuse toison. Son odeur vint titiller mes narines, alors que mon regard se localisait sur le clitoris tendu en haut de la fente.
Nous étions comme deux fauves lâchés à leurs plus bas instincts. Je portais une main sur son fessier. La peau était à la fois douce et ferme. La coquine était-elle une sportive ?
Comme si les minutes lui été compté, elle me dépouilla de mon tee-shirt. Avec une telle brutalité, qu’elle en fit craquer quelques coutures. Le visage rouge, elle laissa échapper de petits rires aigus.
- Jeune homme, murmura-t-elle, tu m’affoles. Tu sens trop bon.
Elle embrassa mon torse, alors que je lui palpais ses fesses, d’une main experte. Elle continuait à parcourir mon torse de ses lèvres, le souffle court, et chaud. Titillant, mordant, léchant mes tétons devenu durs d‘excitation.
Je dégrafais le haut de sa robe, et rabattis le tissu vers le bas. Assez pour découvrir une poitrine moulée par des bonnets de dentelle. De ma main droite, je la palpais, pinçais la pointe à travers le tissu rugueux, sous ses gémissements d‘encouragements. Pris de passion je dénudais un sein de sa corbeille de dentelle, et opérai sur le nichon d’une savante succion, tout en enfouissant une main entre ses cuisses. Fouillant fébrilement. Débusquant entre les poils son clitoris, que je me mis à branler à la va-vite. Les joues de la venteuse s’étaient colorées de rose. Elle se mordait les lèvres pour ne pas succomber à la tentation de crier. Elle remuait son basin, donnait des coups de cul en râlant, sans parvenir à jouir.
Je vissais mon index dans son anus. Il était tellement lubrifié par la transpiration que mon doigt n’eut aucun mal à violer le petit trou. Deux, trois aller retour, et je le retirai pour le porter sous mon nez. L’odeur poivrée me fit l’effet d’une drogue.
Embrasé, je la retournais sans aménagement et la plaquai contre la cabine. Je me laissais tomber sur mes genoux, et après avoir embrasser ses fesses, je collai mon nez dans la raie de son cul.
J’enfonçais ma langue dans son anneau rose odorant. Les stries avaient gonflé sous l’action. Je le salivai à son maximum. Puis, je me levai précipitamment avec la ferme intention de remplacer ma langue par mon gland.
Je lui fis prendre la position allongée, pour ça, le dos au contact du sol froid. Persuadé de décoder mon intention, elle replia d’elle-même les genoux comme une grenouille. De la main gauche, elle étala l’entaille rouge de sa chair, m‘invitant par ce comportement d’y nicher ma verge. Mais c’était sans compter sur mon attirance pour le petit trou. Dont je pointais mon gland devant l’entrée.
- C’n’est pas que tu vas me la mettre là…mais… Pas le temps de finir sa phrase que je l’avais déjà investi. Je n’eus besoin que d’un coup de reins pour m’enfoncer jusqu’aux couilles dans son rectum. Il m’avait aspirait mieux qu’une bouche. Mes calots ballotaient contre ses fesses. Elle se mit à gémir mollement. Son anus faisait une bague rose autour de ma queue.
- Tu oses te plaindre, alors que ton cul me suce carrément la queue ! Avoue que ça te plaît, salope sinon j’arrête !
Elle me regarda avant de crier : - Non, non ! N’arrête pas ! Encule-moi encore tant que tu veux !
Sa bouche était grande ouverte, son souffle était court, sur son doux visage, perlaient de petites gouttes de sueur pendant que je ramonais de plus en plus fort le cul. Je m’agrippais à ses seins, les malaxant avec force, tout en lui soufflant à l’oreille des insanités, à faire rougir un mort. Son anus réagissait avec encore plus d’ardeur à mes paroles, alors que sa respiration se fit plus rapide sous mon pilonnage. Suivirent des cris inarticulés de plus en plus aigus. Elle avait une main plaquée sur son clitoris et je crus sentir qu’elle s’enfilait aussi des doigts dans la chatte.
Sa tête se mit à ballotter plus violemment, ses gémissements résonnant dans mes oreilles, de plus en plus fort. Puis tout bascula, elle poussa d’abord un grognement profond et puissant. Ses yeux roulaient dans tous les sens, de la sueur lui perlait au front et elle se mordait les lèvres.
Je sentais des signes avant-coureurs d’une jouissance imminente. Ma sève montait, et finit en geyser dans l’étroit écrin de la venteuse. Des milliers d’étoiles dans les yeux.
Après quelques secondes, l’excitation retomba et le charme fut rompu.
- Madame… je suis désolé de vous avoir...
- Ne sois pas désolé. Tu m’as permis de redécouvrir un aspect délicat de ma nature… Pour service rendue, elle ne me fit pas payer le pantalon.
- J’espère te revoir… m’avait-elle lancé avant que je referme la porte de son magasin.
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