Découverte de la sexualité - I

- Par l'auteur HDS jovencito -
Récit érotique écrit par jovencito [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 4 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de jovencito ont reçu un total de 9 139 visites.
Récit libertin : Découverte de la sexualité - I Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 518 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Découverte de la sexualité - I
" ... voilà chère madame, tout est remis en place". C'est le médecin qui rassure ma mère. Je suis face au praticien, sur une sorte de tabouret et j'ai son visage presque à hauteur de ma bite. Sur ses instructions, j'ai été récemment circoncis pour résoudre le phimosis qui rendait ma verge douloureuse. En plus du complexe que je commençais à avoir en secret vis à vis des copains ... !


Le médecin voulait s'assurer de la bonne cicatrisation et que le rétrécissement de l’extrémité du prépuce, qui m'empêchait de décalotter complètement et facilement le gland avant l'opération avait été totalement résorbé.


A presque 17 ans, j'étais soulagé de voir cette situation réglée pour de bon. Visiblement, ma mère également.


Pour le moment, j'ai le médecin face à moi, sa main droite sous mes burnes pour une palpation dont je me demande rapidement si elle n'est que médicale. En effet, ma verge gagne rapidement en volume sous l'effet du médecin qui s’emploient à faire rouler mes burnes entre ses doigts.


"Bien, visiblement tout rentre dans l'ordre, vous pouvez vous revêtir, jeune homme. Je vous reverrai dans quinze jours pour un dernier contrôle ...". Consultant son agenda, il continue "... disons mercredi 30 avril, à 18H". Ma mère réagit rapidement "Une autre date est-elle possible, je suis en déplacement professionnel cette semaine-là !". Le médecin "Désolé madame, sauf à reporter d'au moins deux semaines, ce qui n'est pas souhaitable en cas de problème... ". Ma mère toujours inquiète pour son garçon (j'ai alors 17 ans bien tassé mais elle ne s'en est pas encore rendu compte !). Moi, prêt à m'assumer "T'inquiète maman, je viendrai seul". Ma mère lâche prise à regret "Bon si tu penses que cela peut aller ainsi, c'est noté pour le 30 avril".


Ouf ! venir seul chez le médecin me permettra sans doute de vérifier si la palpation des testicules dont je viens de faire l'objet est un acte purement médical !


Les quinze jours suivants s'écoulent sans anicroche du coté de ma verge. Je m'adonne même à un « frotti-frotti » de la bite sur les draps, mon petit vice préféré, pour m'assurer que je gicle bien. Ce petit exercice en solitaire me permet de constater que tout fonctionne à merveille : la douleur qui accompagnait cette masturbation avant l'opération a totalement disparue.


Mercredi 30 avril, seul à la maison, je procède à une toilette intime très rigoureuse. même mon trou y passe et fait l’objet de soins parfumés. En effet, si la palpation testiculaire lors de la dernière visite ne s'avère pas purement médicale, le champ de tous les possibles est ouvert. Et maintenant que je n'ai plus à craindre de douleur, ou quoi que ce soit, du côté de ma bite, j'entends commencer à découvrir avec assiduité la sexualité. J'ai été d'autant plus réceptif à la palpation du médecin que je me sais depuis longtemps autant attiré par les gars que par les meufs. Et dans ma petite tête, l'idée me parait tout à fait opportun qu'un médecin me fasse découvrir ces nouveaux horizons tant désirés.


L'attente en salle d'accueil est longue à mon gout. Je tourne en boucle dans la tête tous les scénarios possibles sur le déroulement de cette consultation médicale : j'en attends avant tout qu'elle satisfasse ma libido de jeune homme.


"Entrez, jeune homme. Alors comment va ?". Le ton est affable, sans attitude particulière. Pour autant, je commence à perdre de mon assurance, je gamberge à 1000 tours minutes : et si je m'étais fait des idées ? vite ... une solution, une porte de secours ... !


Dans un état demi second, je lâche un platonique "ça va mais ça ...". Le médecin me coupe : "Nous allons voir cela de suite. Je sais ce que cela peut avoir de gênant à votre âge. mais soyez sans crainte, la réaction de votre corps est tout à fait normale, elle est même rassurante je vous l'assure. Veuillez-vous dévêtir entièrement derrière le paravent pour que je puisse vous examiner".


Alors que je m'exécute, il rejoint son bureau et examine mon dossier médical. Quelques minutes plus tard "Bien, vous êtes prêts ?". Pour être prêt, je suis prêt ! ma libido débridée, excitée par les potentielles surprises à venir, me met dans tous les états. Ma bite est dressée contre mon ventre, tentant de toutes les forces de la nature d'atteindre le plafond. Je reste caché derrière le paravent, tentant de réfléchir à une solution face à cette situation catastrophique ! C'est toujours la même contradiction lorsque l'on est jeune en matière de sexe : on a toutes les hardiesse mentales possibles mais lorsque le moment est venu, on se sent ridicule. Tout à coup, une main douce se pose sur mon épaule "Ne vous inquiétez pas jeune homme, je vous l'ai dit, c'est naturel". La main posée sur mon épaule, le médecin me guide vers la table d'occultation. Il s'assied sur le tabouret tout en me faisant faire un demi-tour sur place afin que je lui fasse face.


Ses mains se posent sur mes hanches. Par légères pressions des doigts, il semble s'assurer de la solidité de mon bassin. Je perçois son souffle effleurer mon nombril et ma verge. Ce constat déclenche immédiatement un sursaut de ma bite. L'excitation me parait être à son comble. J'ai le souffle court et le rouge au visage. Pendant ce temps, le médecin continue son inspection "Avez-vous une douleur à la verge du fait de votre érection ?". J'en reste coi ! "il continue "Vous n'osez pas répondre ? ... je pense que c'est la situation qui vous coupe la parole. … Et qu'il n'y a pas de douleur, sinon ce serait un calvaire pour vous au vu de cette belle érection !".


Une de ses mains est maintenant sous les bourses, elle palpe mes couilles avec délicatesse. Les doigts de l'autre main remontent maintenant le long de mon torse. Les doigts sont caressants. Ils s'arrêtent sur l'un des tétons, ils le caressent, puis le pincent en douceur, puis le recaressent, puis le repincent. Le jeu dure un moment. Je sens maintenant mon téton pointer comme les seins d'une femme. Les doigts abandonnent ce téton pour s'intéresser à l'autre et lui infliger le même traitement. Je ferme les yeux. La seconde main s'occupe toujours de mes couilles. Mes bourses sont crispées, la peau me parait plaquée sur mes burnes. Je sens les doigts attraper les bourses à pleine main et tirer délicatement vers le bas. Instinctivement, j'écarte les jambes comme une incitation à tirer encore plus bas. Le désir est tel que l'idée fougasse de me faire arracher les couilles par cette main câline pourrait me libérer de ce plaisir sourd qui envahi tout mon être...


"Aie !". Les deux mains sont maintenant sur mes tétons. Ceux-ci pointent comme jamais je n'aurai imaginé qu'ils puissent pointer ainsi chez un garçon. Dans mon imaginaire sexuel, cela est réservé aux filles lorsque dans mes rêves les plus lubriques, les tétons de mon idéal féminin sont tellement exacerbés qu'ils ressemblent à des bites miniature que l'on peut sucer, aspirer, lécher ... ! Les doigts des deux mains viennent de saisir mes tétons et les ont pincés brutalement, tout en les tournants. Si cela provoque une intense douleur, cela déclenche aussi la jouissance que je sentais confusément monter en moi. Ma bite crache des jets de spermes sur le visage du médecin , sa blouse et sur la vitre de l'armoire derrière lui. L'effet de la jouissance est tel qu'il doit me saisir par les hanches pour me maintenir en équilibre. Loin d'éloigner son visage, je perçois qu'il l'offre aux jets intempestifs qui sortent de ma queue toujours à la verticale. J'aperçois le joli jet de semence qui passe à hauteur de mes yeux pour retomber lourdement sur son visage et ses cheveux.


Ses mains sont maintenant redescendues sur mes fesses. Elles les malaxent sans retenue. Elles saisissent les deux globes à pleine main. Je sens les doigts dans ma raie et le mouvement pour rapprocher ma bite de ses lèvres qui m'avalent goulument. Les derniers soubresauts de ma bite se déversent directement dans la bouche du médecin qui m'avale sans retenue.


Je retrouve mes esprits petit à petit, sonné par autant de jouissance désirée mais dont l'ampleur était largement sous-estimée !


Le médecin me fait assoir sur la table d'occultation, toujours nu. Ma bite est toujours dressée vers le plafond, mais je suis en mesure d'apprécier pleinement la situation. Quelque part au fond de moi, je suis fier d'avoir bandé ainsi et d'avoir honoré ce toubib de mon foutre.


"Je vais te demander un service ..." Le médecin s'exprime toujours de sa voix douce. "Lèche la jouissance que tu as répandu sur moi, s'il te plait". Je mets quelque secondes à comprendre la demande avant d'oser me lancer dans cet exercice original pour ma toute jeune expérience en matière de sexe. Timidement, j'avance mon visage vers le sein et saisi du bout de la langue, avec moults hésitations, une goutte de mon sperme. Sans vraiment choisir, je commence par l'aile du nez qui suinte mon sperme. Je connais le gout de mon foutre pour l'avoir gouté depuis longtemps lors de mes activités solitaire d'ado. Là, l'odeur me parait plus forte. Si les premiers coups de langues sont timides, rapidement je prends plaisir à la manœuvre. Bientôt je nettoie tout le visage de mon vis à vis. Prenant le temps de m'arrêter pour avaler le sperme recueilli tout en le regardant dans les yeux. Le médecin à un léger sourire aux lèvres, ses mains sont toujours à peloter mes fesses. Bientôt, il me remet debout, toujours face à lui. Ses doigts s'aventurent rapidement vers mon anus. Il en titille le tour, un doigt tente de passer la porte sans insister devant la fermeté de l'anneau. "Ce n'est rien, un jour tu le décideras. Tu verras c'est délicieux".


Brusquement, il repart à sa table de travail et se rassoit. "Habille toi, nous allons arrêter là pour aujourd'hui". In peto je pense "Impec, il va y avoir une suite !". Pendant que j'enfile mes vêtements, le médecin continue " Si tu aimes les mecs, je te conseille d'être prudent pour ne pas tomber sur n'importe qui. Pour faire des rencontres, je te suggère de fréquenter le cinéma de la rue du Jar. Tu t'installes au fond lors d'une séance d'après-midi, vers 16H. Il y a peu de monde et cela te permet de jauger ceux qui sont là. En cours de projection, tu te lèves sans faire de bruit, tu sors par la porte latérale et tu vas aux toilettes à gauche. Si quelqu'un te suit, il te rejoindra à l'urinoir. Là tu auras tout loisir de dire oui ou non. Si tu vas avec, allez dans les toilettes, c'est discret et si quelqu'un vient vous l'entendrez. N’oublie pas de te munir de préservatif, le sida est toujours d’actualité."


Je suis maintenant habillé et me tient devant lui. Ma bite est encore gonflée et assez peu discrète. Je referme mon caban pour masquer mon état. Le médecin, tout sourire " Oui cela vaut mieux. La discrétion est la mère des plaisir qui durent. … Voilà, sauf à ce que vous soyez malade, je ne veux pas vous revoir ici. Mais si vous avez un souci de santé, n'hésitez pas".


Sur ces mots, il approche ses lèvres des miennes et dépose un délicat baiser dessus en l'accompagnant d'une caresse de la langue. Immédiatement, je sens ma queue se raidir dans le pantalon.


Je quitte les lieux, le sourire aux lèvres, radieux de ma toute nouvelle expérience, prélude de bien d‘autres découvertes !

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Voilà une bien belle histoire. Notre couple pratique le libertinage depuis longtemps. Nous apprécions les jeunes hommes qui souhaitent être initiés. L'aventure décrite est assez semblable à celle que nous avons fait vivre à Océane, une jeune pucelle de 20 ans et à son frère Victor de 19 ans. Avant que nos chemins se séparent, nous en étions à une partie à quatre. Ce souvenir nous excite encore aujourd'hui !

Histoire Erotique
Quelle belle découverte de sa sexualité

Cyrille



Texte coquin : Découverte de la sexualité - I
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par jovencito

Découverte de la sexualité - II - Récit érotique publié le 20-01-2024
Education sexuelle - II - Récit érotique publié le 30-12-2023
Découverte de la sexualité - I - Récit érotique publié le 28-12-2023
Education sexuelle - I - Récit érotique publié le 16-12-2023