Education sexuelle - II - histoire érotique

Le retour en classe s'effectue sans difficulté. "Ha ... une convocation du surveillant général ? cela aurait pu se faire en dehors de mes heures de cours !" est la conclusion de notre professeur lorsque nous lui présentons notre mot d'excuse.

La journée scolaire s'étire doucement comme à son habitude. Le soir de retour au village, Jean me rejoint chez moi sachant que je suis seul à la maison. Aussitôt on entreprend de faire le point de la situation.

" Je n'aurai jamais pensé que l'on se ferai avoir dans cette planque"
"Oui, à mon avis d'autres ont utilisé le lieu avant nous et le surgé (surveillant général) en a déjà chopé avant nous"
"Qu'est-ce que l'on va faire, il va vouloir recommencer ...."
Jean prend le temps de la réflexion durant quelques secondes "Il faut que l'on s'organise pour garder le contrôle"
Moi, pragmatique "Tu as aimé lui branler les couilles ?"
"Heu ... oui. En fait j'avais déjà pensé faire ça ... mais avec toi !"
"Ha ! ben moi aussi mais plus encore. Il m'arrive de rêver que l'on fait l'amour. comme on fait avec une fille. tu vois ? mais j'ai jamais osé". Là je viens de me lâcher en me disant que ça passe ou que ça casse. A ce stade, le risque me parait limité. Vu ce que l'on vient de faire avec le surgé, je me dis que Jean ne pourra pas se fâcher s'il est choqué.

Jean garde le silence. Au point que je me demande s'il a bien entendu ce que je viens de lui dire.
"Tu es fâché ?" ma question transpire l'inquiétude.
"Heu ... non ... mais je me demandais qui serait la femme ?"
"En fait je me disais que l'on pourrait chacun notre tour !"

Ce faisant, je m'approche de Jean. Il est debout contre le meuble de la cuisine. J'approche délicatement mon visage du sien et appuie mon front sur son front. Nos lèvres sont à quelques centimètres l'unes de l'autres. Nous sentons nos souffles caresser les lèvres de l'autre. Celles de Jean sont gonflées de désir. Cette vision augmente encore plus mon désir. Mes lèvres provoquent sans doute le même effet sur mon ami.

"Pourquoi pas ! " Après quelques secondes immobiles et si près l'un de l'autre, Jean plaque ses lèvres sur les miennes. Elles s'ouvrent doucement, nos langues se rencontrent. Ses mains se glissent sous mon maillot. Elles enlèvent mon vêtement avec douceur mais détermination. Je suis maintenant torse nu devant lui. Mes lèvres sont toujours collées aux siennes. Je sens ma queue se gonfler. Plaquant mon ventre contre le sien, je sens aussi l'érection de Jean. Je lui enlève sa chemise. Son torse est aussi glabre que le mien. Seules les aréoles, petits cercles bruns, se font remarquées sur le thorax. Cela m'attire, je penche la tête vers l'un d 'eux et le lèche. Ma langue fouille autour du téton. Inconsciemment, je cherche à téter ce bourgeon. Jean a maintenant placé une main sur ma tête pour accompagner ma tétée. Mes narines perçoivent l'odeur musquée qui monte de son bassin à travers les vêtements. Mes lèvres continuent leur exploration vers le nombril que je titille bientôt du bout de la langue. J'entends un long soupir d'aise de Jean. Mes sens sont exacerbés. Mon pantalon me serre douloureusement. Insensiblement, voire involontairement, la main de Jean pousse mon visage plus bas. Bientôt, mes lèvres sont à hauteur de sa braguette. Mes mains sont posées sur ses fesses et ramène son bassin vers mon visage. J'embrasse sa queue à travers le tissu. Dans des mouvements incontrôlés, Jean me plaque sa bite contre le visage. Son odeur de jeune male est de plus en plus forte. Avec une dextérité que je ne soupçonnais pas, j'ouvre sa braguette, libère sa verge de son slip de coton blanc côtelé. Enfin, je plaque ma joue contre sa queue. Je suis saisi par son odeur musquée, une odeur animale et puissante. Cela décuple mon excitation. de la position accroupie où je suis maintenant, je relève à moitié mon bassin pour dégrafer mon pantalon. Jean m'aide à m'en débarrasser. Notre démarche est désordonnée.

Brusquement, nous perdons l'équilibre tous les deux et nous retrouvons sur le flanc. Nous éclatons d'un rire nerveux. Jean m'enlève le slip. Un slip en coton blanc côtelé comme le sien. Un slip que l'on appelle « slip kangourou » et qui est le classique des sous-vêtements des années 70. Je garde la nostalgie de ce sous vêtement car il baillait de partout. Il était plus une pièce de tissu couvre-sexe qu'un véritable slip. Mais il présentait l'avantage de pouvoir y passer les mains sans difficulté à partir des larges poches de nos pantalons de jeunes hommes. La mode des vêtements serrés que l'on voit aujourd'hui ne permet plus ces caressent intimes et discrètes que pratiquaient beaucoup les ados et les hommes à cette époque.

Je me colle à nouveau à Jean pour des baisers fougueux. J'en profite pour achever de le dévêtir. Maintenant, nos deux corps nus se frottent l'un à l'autre. La mouille de la bite de Jean inonde mon pubis, ma verge lui rend le même service. Nous entreprenons un lent mouvement de rotation du bassin pour bien imprimer la verge de l’un sur le pubis de l'autre. Nos poils mouillés et glissants de sécrétassions procurent des sensations inconnues. Jean a maintenant ses mains ferment agrippées à mes fesses qu'il pelote ardemment. Mes mains lui caressent le dos, s'attardent alternativement sur la base de la nuque et la base du coccyx. Je perçois nettement le frémissement de sa bite contre mon pubis à chaque nouvelles caresses sur ces deux points de son anatomie.

Combien de temps faisons-nous ainsi l'amour ? ni Jean ni moi ne savons le dire. Mais l'extase nous envahit bien avant la jouissance. A un moment, essoufflé, Jean se détache de mon corps pour mettre ses lèvres sur mon sexe. Sans me demander, il avale ma bite. Maladroitement au début, il trouve rapidement la bonne façon. Il aspire la mouille abondante qui sort de ma verge. Ne voulant pas être en reste, je me déplace pour trouver naturellement dans la position du 69. Nous nous tétons mutuellement la bite avec avide, alternant douceur et empressements.

Nous sentons monter en nous un plaisir sourd. Une immense pression, qui semble prendre naissance au plus profond de mon corps, envahit petit à petit mon bas ventre. La sensation est à la fois pénible et sublime.

Sans même échanger un mot, nous décidons de nous relever et de continuer notre copulation debout. Nous alternons baisers, sucions des tétons, pelotage des fesses et des couilles avec ce mouvement rotatif de nos pubis collés l'un à l'autre. Nos queues sont ainsi comme soudées à nos ventres. Nous sentons leur raideurs encore plus forte qu'à l'accoutumée.

Alors que nous entamons un nouveau long et profond baiser qui entremêle nos langues et nos salives, je sens ma bite vibrer. La lourde langueur qui vrille mon bas ventre depuis longtemps monte maintenant le long de ma verge et libère un flot de jus. Quasi immédiatement je sens la bite de Jean réagir de la même façon. Nos pubis, toujours collés l'un à l'autre sont inondés de notre sperme. Nous sommes dans un état second, nous vacillons sur place. Je dois m'adosser au meuble pour garder l'équilibre.

Jean se penche à nouveau pour s'emparer de ma queue avec la bouche. Je sens sa langue entourer mon membre et les succions qui lui permettent d'avaler ce que ma bite n'a pas encore expulsé. Toujours raide malgré la violente éjaculation, ce massage buccal sur la bite produit un effet sensationnel. Sa démarche attentive dure plusieurs minutes. Je lui tapote l'épaule pour lui demander d'arrêter là afin de ne pas jouir à nouveau.

Je décide de lui rendre la pareille et m'emploie à lécher et avaler le sperme qui souille son pubis. Je prends plaisir à lécher ses poils, la hampe de sa verge, son gland et même le dessous de ses couilles pour le débarrasser parfaitement de toute trace de jute. Nous décidons ensuite de nous reposer sur mon lit. Sans autre vêtement qu'une couverture posées sur nos corps nus, nous restons blottis serrés l'un contre l'autre dans un demi sommeil réparateur.

Après un long moment, nous nous passons mutuellement un gant de toilettes sur nos queues et nos pubis afin d'enlever les traces de foutre. Jean se montre hardi en passant plusieurs fois le gant de toilette savonneux entre mes fesses. "Hé Jean, tu vas pas me mettre un doigt ? ". Jean relève la tête vers moi, tout sourire "non, pas aujourd'hui du moins". . Tout en me disant que je ne connais pas mon ami d'enfance sous cet angle, je mesure tout le perspectives sensorielles que cela ouvre.

"Et pour le Surgé, qu'est-ce que l'on fait ?" La question de Jean me ramène brusquement l'esprit sur terre.
Je réfléchis quelques secondes, puis avec détermination, je réponds à Jean "Le Surgé, c'est nous qui allons le baiser. S'il veut qu'on lui suce la bite ou nous enculer, nous lui ferons son affaire avant. A nous deux, il ne fera pas le poids. Il n'est pas question que ce soit nous qui y passions en premier !".

Sur cette affirmation déterminée, Jean achève de se revêtir et regagne le domicile de ses parents.