Education sexuelle - I

- Par l'auteur HDS jovencito -
Récit érotique écrit par jovencito [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Education sexuelle - I Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Education sexuelle - I
Nous sommes au début des années 70, ... au siècle dernier ! Le rapport des personnes à la sexualité est à des années lumières de ce que l'on connait aujourd'hui. La révolution de 68, à défaut de renverser la société, a bousculé les codes en matière de sexe, du moins chez beaucoup de jeunes de l'époque. A ce moment, j'ai 17 ans, presque 18... et les ardeurs communes à cet âge. Je suis en seconde au lycée de la ville voisine. Comme beaucoup de mon âge à ce moment-là, je dois gérer les freins sociétaux, les enflamment de mon jeune corps et les aspirations libertines qui font tache d'huile depuis Paris vers la province.

L'année scolaire tire sur la fin en ce mois de mai. La douceur du printemps amène chacun à adopter une tenue plus légère. Quelques nanas délurées osent des jupes plus courtes que ce que la bonne morale de l'époque peut encore admettre en province ... Il n'en faut pas plus pour nous chauffer les sangs. Faute d'arriver à nos fins avec les filles de la classe, Jean et moi avons pris l'habitude de nous caresser le sexe dans un recoin du lycée. L'un surveillant les abords pendant que l'autre s'emploie à soulager son érection par un massage intempestif de sa jeune queue. Puis de permuter les rôles.

Jean et moi sommes copains depuis l'école primaire et nos domiciles respectifs sont voisins. Autant dire que nous avons fait toute notre enfance ensemble. Depuis longtemps les questions de sexe sont discutées sans tabou entre nous deux. Nous n'avons d'ailleurs aucune pudeur entre nous, la mère de Jean nous lavait souvent dans le même baquet jusqu'à nos dix ans. Elle s'occupait autant de Jean que de moi en l'absence fréquente de ma mère retenue souvent par son emploi à l'usine qui lui faisait quitter tôt la maison et rentrer tard. Mon père n'était qu'un vague souvenir car il avait quitté le foyer conjugal lorsque j'étais en bas âge.

Jean et moi nous connaissions donc bien. L'apparence de nos corps n'avait pas de secret et cela ne jetait aucun trouble en nous tant cela nous était naturel de nous voir dans ce nous avions de plus intime. Nous n'avions pas la même décontraction envers les autres camarades de classes ou du village. Nous avions une tendance naturelle à vivre notre vie sans nous occuper des autres.

Notre stratagème pour nous branler tranquillement dans le recoin du lycée avait été mis en place très tôt dans l'année scolaire. Jusqu’à ce jour de mai, il nous avait donné entièrement satisfaction, tant sur le plan apaisement sexuel que discrétion envers les autres.

Une tranquillité qui a volé en éclat ce jour de printemps. Je m'astiquais consencieusement la queue quand je vois Jean faire de grands gestes d'alertes. Aussitôt je remballe le matos dans le pantalon et m'apprête à sortir de mon repaire le plus naturellement du monde. Las, le surveillant général s'engage dans le recoin, saisissant au passage Jean par le bras en le tenant vigoureusement. Aussitôt, il se dresse devant moi, me barrant ainsi le chemin de la sortie, sauf à le bousculer. Si l'idée m'a traversé l'esprit une fraction de seconde, j'ai tout de suite évalué le caractère vain d'une telle tentative.

Campé au milieu du passage, tenant toujours fermement Jean par le bras, le surveillant général s'adresse à moi d'une voix calme mais pleine d’autorité : « Alors jeune homme, que faites-vous ici ? »

Grand blanc de ma part dans la réponse. Durant quelques secondes qui me paraissent une éternité j'anone un "heu ... rien ... j'prends l'air...". Le surveillant général, connu de tout l'établissement pour sa rigueur et son manque d'humour, me toise et me foudroie du regard : "Je ne doute pas que vous preniez l'air ! Vous faites prendre l'air également à différents organes de votre corps par la même occasion ! ". Moi, sans aucune assurance dans la voix "Non M'sieur, je vous assure". Lui, tout en assurance et domination : "Ne vous moquez pas de moi en plus de cela, regardez-vous ! Voyez dans quel état est votre pantalon !".

Effectivement, bien que la situation m'ait fait débander à toute vitesse, ma verge est encore un peu gonflée, formant une bosse assez explicite. Le surveillant général reprend : " ...en plus vous vous êtes fait dessus !". Et effectivement, une tache de mouille évocatrice de ma récente activité vient me dénoncer sans équivoque. Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, le Surveillant général continue en s'adressant à Jean : " Et vous, vous lui teniez le manche, c'est ça ?". Il enchaine tout aussi vite : "Allez, à mon bureau tous les deux et vite!". Ce faisant, sans lâcher Jean, il m'empoigne à mon tour par le bras et nous entrainent à son bureau. Nous avons tôt fait d'y arriver, nous passons devant l'austère Mme Thérèse, vieille secrétaire proche de la retraite dont les yeux avaient une fâcheuse tendance à darder avec insistance la braguette des jeunes hommes passant à portée de son regard. Ce jour-là, elle n'eut sans doute pas loisir de mater plus que cela, le surveillant général nous projetant littéralement dans son bureau situé après celui de la secrétaire.

Là, il nous claqua littéralement sur deux des chaises faisant ce à sa table de travail avant de prendre sa place de l'autre côté. Il s'est alors employé à nous faire bien comprendre ce que l'on risque à pratiquer ce genre d'activité dans son établissement, Toute l'opprobre qui nous menace, au sein du lycée et chez nous, a été savamment distillé durant quinze bonnes minutes. Toujours sur un ton calme mais menaçant et lourds de l'autorité détenue par le personnage. Jean et moi échangions de temps à autre un regard pour tenter de concevoir une parade à cette situation catastrophique.

Au fil des minutes, les propos du surveillant général sont devenus un ronronnement presque rassurant. A un moment je capte une phrase qui fait tilt dans mon esprit : " ... depuis longtemps j'ai repéré votre manège en vous observant de la fenêtre de l'étage... ". Aussitôt, je me fais la réflexion " merde, je la croyais condamnée cette fenêtre !" puis dans la foulée, une évidence se fait jour ".. mais alors, il nous matait ... !". Dans le même temps, le surveillant général se lève, contourne sa table de travail, tout en continuant son propos, mais sur un ton plus affable, presque rassurant : " ... bien sûr, il est toujours possible d'arranger cette situation. Je sais ce que c'est d'être jeune et les élans qui accompagne cet état. Mais il vous faut les exprimer dans un cadre insusceptible de vous mettre en difficulté ...". A ce moment, il debout devant Jean et moi qui sommes toujours assis. De fait le surveillant général nous présente sous le nez un pantalon déformé par une érection déjà bien développée !

Machinalement, je tourne la tête vers Jean afin de m'assurer que ce que je vois est bien réel. Jean a le même réflexe. Nos regards se croisent, interloqués. Je vois Jean qui esquisse un furtif sourire avant de reprendre un visage inexpressif qui sied aux situations dont on ne maitrise pas l'issue.

Au même moment je sens une main sur mon épaule et la voix posée du surveillant général qui demande" Alors Joseph, êtes-vous prêts à manifester vos élans sans prendre le risque d'être sanctionné ?". Je risque un regard furtif vers la braguette du surveillant général, elle me semble encore plus bombée que l'instant d'avant. Instantanément je me dis qu'il veut que je le soulage. Cette idée ne m'était pas étrangère car Jean m'avait branlé plusieurs fois l'année précédente lorsque j'avais le bras dans le plâtre d'un côté et le poignet dans le même état de l'autre. Pour la masturbation, Jean et moi avions vite conclu qu'il me fallait de l'aide. Son intervention s'était imposée naturellement et j'avais apprécié cette main différente de la mienne qui me procurait des sensations nouvelles. Mais depuis le plâtre enlevé, nous avions arrêté cette pratique.

Jean aussi avait compris la demande indirecte du surveillant général. Percevant qu'il tournait la tête vers moi, je fis de même. Jean lâcha alors "Oui, on peut, on l'a déjà fait". A peine a-t-il fini sa phrase que le surveillant général exhibe sa verge sous notre nez. Une belle queue, plus longue et plus grosse que celle de Jean et moi. Celle du surveillant doit faire dans les 16 17 cm si on compare avec nous qui atteignons 15 et 14 cm respectivement. Celle du surveillant général est aussi plus grosse avec des veines très épaisses qui donne à sa bite l'aspect d'une surface ravinée par un ruissellement. Alors que nos queues, à Jean et moi sont lisses, même si les veines sont bien visibles, elles ne sont pas en saillies sur la peau.

Décidé de sortir de ce mauvais pas, je tends une main hésitante vers ce sexe et pose la main dessus. Timidement, j'entoure de mes doigts ce phallus impérieux et ose à peine un léger mouvement de va et vient. "... prends le à deux mains, astique moi fort ... " et s'adressant à Jean : "Toi, passe ta main sous mes boules et malaxe les !". Jean se lève pour s'exécuter. afin d'être à hauteur d 'ouvrage il se place à genoux à mes côtés et saisi à pleine main les couilles du surveillant général. La respiration de celui-ci s'accélère immédiatement, on sent qu'il tente de maitriser son flux respiratoire. sans doute pour garder le contrôle. Pour ma part, décidant de passer outre mes dernières pudeurs, je branle notre surveillant général sans ménagement, presque avec force. Ce dernier ne semble pas mécontent du traitement. Très vite nous percevons des "Ho, ho, hoooo ..." avant de recevoir deux giclée de foutre sur le visage. Jean comme moi sommes arrosé de foutre. L'odeur lourde et prégnante du sperme envahi nos narines. Nous avons ensemble un mouvement de recul mais le surveillant général nous retiens en nous tenant fermement par les cheveux. "Ce n'est rien jeunes hommes, c'est naturels, vous n'avez jamais essayé ?" Dans le même temps je sens une main apaisante qui me caresse la tete et les joues. Le surveillant général ramasse du bout de ses doigts une partie de son jus et me les glisse entre les lèvres avant de faire de même avec Jean : "Goutez cette liqueur les jeunes, c'est excellent". Notre surprise est telle que ni Jean Ni moi ne retenons un souvenir précis de son jus si ce n’est un gout salé et une consistance épaisse comme de la crème !

Maintenant, chacun a repris sa place dans le bureau. Le surveillant général a adopté un ton serein, presque cordial. même si nous percevons bien toute l'autorité qui émane de sa personne : " Bien messieurs, maintenant que nous sommes bien compris, nous serons appelés à nous revoir régulièrement. Je vous signalerai quand je souhaiterai votre venue ici. Il vous appartiendra de ne pas trainer. Et à compter de maintenant, plus de séance de branlette dans votre recoin ou ailleurs. Cela se fera uniquement ici. Je vous apprendrai tout ce que vous ne savais pas encore".

Passablement groggy, nous nous levons et regagnons notre classe, avec retard mais muni d'un mot d'excuse de notre surveillant général dont nous savons maintenant qu'il est un personnage surprenant.

Les avis des lecteurs

Très sensuel et excitant. Merci pour de récit

Histoire Libertine
Beau récit qui rappelle des souvenirs
J'aimerais échanger avec vous
Annie

Lycéen j'ai été abordé,subjugué et dévergondé par le chauffeur de bus scolaire que je voyais matin et soir pour venir et rentrer...et avec le temps, c'est devenu pour moi un souvenir de l'interdit précieux et toujours présent en moi...

Histoire Erotique
Merci de ton témoignage qui a réveillé des souvenirs...

J'ai été interne durant 7 ans dans un établissement public, à l'époque non mixte.
Je garde plusieurs (très bons !) souvenirs sexuels entre garçons dès nos 15 ans, puis avec un pion et finalement avec mon professeur de dessin (vers 17 ans) qui m'a initié à la sexualité entre hommes, et femme (sa délicieuse épouse qui m'a également appris beaucoup, la double pénétration avec son mari reste un souvenir exceptionnel !).



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