Depuis toujours
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2010 dans la catégorie Pour la première fois
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Depuis toujours
Nous habitons deux maisons mitoyenne avec Marie. Nous avons deux mois de différence: je suis le plus âgé. Nous nous connaissons depuis toujours et jouons ensemble. Nous sommes rentrés ensemble en maternelle, puis en primaire. Vers nos 12/13 ans nous avons échangé notre premier baiser. Oh pas avec la langue. C'était pour nous un début. Plus tard, au collège en 3° nous nous sommes embrassé pour de bon. C'était agréable, tellement que
j'en bandais. Nous avons continué un moment notre flirt et un jour,j'étais chez elle, comme souvent, ses parents sortis. Nous nous sommes embrassé encore et notre baiser durait plus que les autres: elle ne voulait plus me lâcher et se collait contre moi. elle s'apercevait que je bandais et se collait de plus en plus: elle le faisait exprès. Elle savait assez de chose sur le sexe pour savoir ce qu'elle risquait. Bien sur je lui ai peloté les seins: elle me disait que c'était bon et agréable. Je lui posait une main sur son pubis: elle ne protestait pas. Je passais une main hésitante sous sa jupe et remontais vers son con. Elle me laissait faire.
Je cherchais le clitoris. Je "farfouillais" et elle me guidait. Enfin
son bouton sous un doigt je commençais à la branler. Elle écartait les jambes et s'offrait à ma caresse. Un moment plus tard, je sentais sous mes doigts que quelque chose se passait: Je jouis me disait elle.
Voulant me faire plaisir, elle me demandais de sortir ma bite qui déjà était assez grosse. Elle voulais me faire jouir: elle avait prix ma queue dans une main et ne savait pas trop comment faire. Je lui apprenais à bien me branler. Elle réussissait fort bien et j'éjaculais juste devant elle, sur le sol. C'était notre première fois de touche pipi.
Enfin nous sommes arrivés au lycée, toujours dans la même classe de seconde. Nous flirtions toujours. Nos caresses devenaient de plus en plus précises. Je la branlais sans chercher dans son con et trouvait rapidement le chemin de son bouton. Elle me sortait seul a bite pour la branler. Je lui mettais régulièrement un doigt dans le cul: elle aimait particulièrement cette privauté. Nous nous caressions ainsi soit chez elle soit chez moi ou souvent au cinéma.
Un soir, nous avions 18 ans, nous fêtions avec des copains notre réussite au bac. Nous étions tous dans une boite où la musique coulait à flot. Chacun dansait, sauf Marie et moi: nous flirtions: nous ne dansions que les slows bien collés l'un à l'autre. Je bandais et elle me disait qu'elle mouillait. Nous sommes partis rapidement pour aller dans ma chambre que
j'avais pu avoir et qui était isolée du reste de l'appartement de mes parents: c'est là que nous nous caressions depuis pas mal de temps.
A peine dans la chambre, pour la première fois, Marie se déshabillait seule et me montrait son corps splendide. Je l'imitais et elle pouvait me voir entièrement nu, ma pine bien dressée qui la narguait. Elle m'a attiré sur le lit et m'a demandé de lui faire l'amour. J'avais envie d'elle depuis longtemps. Elle aussi, mais nous n'osions pas le demander. Je venais à ses cotés et la prenais dans mes bras. Notre baiser devenait très long: nos langues se cherchaient et se caressaient sans arrêt. Je lui caressais les seins, l'un après l'autre sans être gêné par un vêtement quelconque. je prenais ses bouts de seins et les embrassais.
Une main vers son bas ventre et elle écartait déjà les jambes. Je la branlais un moment, jusqu'à une première jouissance. Elle me branlait aussi. Elle avait de plus en plus d'assurance pour me masturber. Je l'arrêtais: je voulais lui faire d'autres choses avant de la baiser: je me retournais et passais ma tête entre ses cuisses écartées. Je trouvais avec
ma langue son clitoris et le léchais sans arrêt. Elle jouissait dans ma bouche et je trouvais que sa cyprine avait un bon goût. De son coté elle m'avait pris la queue dans sa bouche et plus ou moins maladroitement me faisait un pompier qui m'emmenais au bord de l'extase.
Avant de jouir je le lui disais: elle gardais ma bite dans la bouche et recevais tout mon sperme. Je pensais qu'elle allait le cracher: non elle le dégustait lentement et finalement avalait la totalité de ma semence.
Je débandais et continuais mes caresses. Nous échangions nos impressions: pour chacun l'expérience avait été bénéfique, sauf qu'elle était toujours vierge. Nous parlions de chose et d'autres toujours liées à la baise quand je lui avouais que je me branlais souvent en pensant à la baiser. Elle m'avouait la même chose et ajoutait qu'elle y prenait beaucoup de plaisir. Elle tenait à me montrer comment elle se faisais du bien. Elle s'est mise sur le dos, a écarté ses jambes et mit sa main sur le con. Elle passait sa main sur l'ensemble de son con et remontait pour se caresser d'abord lentement et ensuite de plus en plus vite au fur et à mesure que le plaisir montait pour aboutir à un orgasme. La voyant faire j'en était très
excité et je bandais encore plus que la première fois. De taille importante, ma bite devenait très grosse et longue.
Je l'embrassais encore avant de me mettre entre ses jambes. Elle prenait ma bite en main et la guidait vers sa grotte. Je commençais à y pénétrer quand je sentais son hymen. J'hésitais un peu. Et c'est elle qui d'un coup de rein sec se faisait déflorer. elle poussait un léger cri de douleur, puis rapidement me disait qu'elle me sentait bien en elle, que je lui
faisait du bien. Je continuais mes allers retours quand nous jouissions ensemble pour la première fois. je restais en elle, sans débander. Elle ne cherchait pas à me faire sorti.
Pourtant, elle voulait l'ensemble de l'amour: Souvent je lui rentrais un doigt dans le cul pendant que je la branlais. Maintenant elle voulait que je la sodomise. Je sortait de son con, ma bite toute mouillée, elle prenait de sa propre mouille pour en passer sur son anus. Elle se mettais en levrette et m'offrait son cul. elle écartait les fesses et me demandait de l'enculer. Je posait ma pine sur son cul et très lentement j'y entrais. Je sentais l'étroitesse de son anus et elle me disait de continuer. J'étais enfin dans son cul et j'allais et venais en elle avec une sensation d'un autre plaisir. Elle serait les dent et enfin elle se décontractait pour jouir. Je restais en elle et continuait ma sodomie: elle jouissait encore. Enfin je larguais mon sperme dans son anus et je me retirais complètement à plat. Nous restions enlacés: nous étions heureux d'être devenus amants.
Hélas les vacances nous ont séparé pour quelques semaines. Nous échangions quelques coup de téléphone rapide et nous parlions de ....baise et de notre amour, l'un n'allant pas sans l'autre. Chacun nous nous branlions en pensant à notre prochaine nuit d'amour.
Enfin à la rentrée nous étions en fac de sciences et malheureusement nous n'habitions plus à coté. Mais nous nous voyons tous les jours aux cours. Par contre les samedis soir et dimanches nous pouvions enfin baiser.Nous étions de plus en plus friands de sexe, tant elle que moi. Nous profitions de la moindre occasions pour baiser.
Notre amour nous permettait de réussir à la fois nos études assez brillantes et nos baises.
J'ai en souvenir la fois où elle désirait être vue pendant que nous baisions. Dans un parc, juste à coté de la fac, il y avait un grand parc fréquenté par des amoureux. Sans pudeur Marie m'embrassait et me passait une main sur ma bite et me faisait bander, volontairement pour que je ne puisse plus réagir à son envie. Nous nous sommes allongés sur l'herbe juste à coté d'un sentier assez fréquenté. Elle a retiré sa culotte, m'a enjambé comme elle le faisait quelque fois. Elle m'a sorti la pine et s'y est empalée. Des gens passaient et elle était de plus en plus excitée. Quand nous sommes rentrés elle avouait que c'était une expérience qu'elle avait voulu faire. Et finalement ne le regrettait pas.
La dernière semaine en fac se passait en examens: nous sortions de là bien diplômés. Le hasard faisant bien les chose nous avons trouvé du travail dans le même entreprise. Nous avons loué un petit appartement, aidés en cela par nos parents qui n'attendaient qu'une chose: notre mariage. Pour le moment il n'en était pas question. Nous voulions mener un début de cohabitation basé sur la baise. dès notre réveil ( nous dormions nue) nous
commencions notre journée sous la douche, chacun "lavant" le sexe de l'autre: nous jouissions comme ça. Elle à peu près deux ou trois fois plus que moi. Vers midi, en rentrant nous baisions normalement. Mais le soir nous nous mettions entièrement nus et là enfin nous pouvions baiser tout notre saoul. Nous avions acheté des godemichés tant pour elle que pour moi. Elle se branlait souvent devant moi et quand nous baisions, elle aimait m'enculer. Au début je trouvais ça dégradant et par la suite j'ai aimé.
Et puis un jour nous nous sommes mariés. Depuis des enfants sont arrivés.
Notre vie n'a que eu changée: nous baisions de mieux en mieux, Marie devenait de plus en plus inventive pour nous faire jouir.
j'en bandais. Nous avons continué un moment notre flirt et un jour,j'étais chez elle, comme souvent, ses parents sortis. Nous nous sommes embrassé encore et notre baiser durait plus que les autres: elle ne voulait plus me lâcher et se collait contre moi. elle s'apercevait que je bandais et se collait de plus en plus: elle le faisait exprès. Elle savait assez de chose sur le sexe pour savoir ce qu'elle risquait. Bien sur je lui ai peloté les seins: elle me disait que c'était bon et agréable. Je lui posait une main sur son pubis: elle ne protestait pas. Je passais une main hésitante sous sa jupe et remontais vers son con. Elle me laissait faire.
Je cherchais le clitoris. Je "farfouillais" et elle me guidait. Enfin
son bouton sous un doigt je commençais à la branler. Elle écartait les jambes et s'offrait à ma caresse. Un moment plus tard, je sentais sous mes doigts que quelque chose se passait: Je jouis me disait elle.
Voulant me faire plaisir, elle me demandais de sortir ma bite qui déjà était assez grosse. Elle voulais me faire jouir: elle avait prix ma queue dans une main et ne savait pas trop comment faire. Je lui apprenais à bien me branler. Elle réussissait fort bien et j'éjaculais juste devant elle, sur le sol. C'était notre première fois de touche pipi.
Enfin nous sommes arrivés au lycée, toujours dans la même classe de seconde. Nous flirtions toujours. Nos caresses devenaient de plus en plus précises. Je la branlais sans chercher dans son con et trouvait rapidement le chemin de son bouton. Elle me sortait seul a bite pour la branler. Je lui mettais régulièrement un doigt dans le cul: elle aimait particulièrement cette privauté. Nous nous caressions ainsi soit chez elle soit chez moi ou souvent au cinéma.
Un soir, nous avions 18 ans, nous fêtions avec des copains notre réussite au bac. Nous étions tous dans une boite où la musique coulait à flot. Chacun dansait, sauf Marie et moi: nous flirtions: nous ne dansions que les slows bien collés l'un à l'autre. Je bandais et elle me disait qu'elle mouillait. Nous sommes partis rapidement pour aller dans ma chambre que
j'avais pu avoir et qui était isolée du reste de l'appartement de mes parents: c'est là que nous nous caressions depuis pas mal de temps.
A peine dans la chambre, pour la première fois, Marie se déshabillait seule et me montrait son corps splendide. Je l'imitais et elle pouvait me voir entièrement nu, ma pine bien dressée qui la narguait. Elle m'a attiré sur le lit et m'a demandé de lui faire l'amour. J'avais envie d'elle depuis longtemps. Elle aussi, mais nous n'osions pas le demander. Je venais à ses cotés et la prenais dans mes bras. Notre baiser devenait très long: nos langues se cherchaient et se caressaient sans arrêt. Je lui caressais les seins, l'un après l'autre sans être gêné par un vêtement quelconque. je prenais ses bouts de seins et les embrassais.
Une main vers son bas ventre et elle écartait déjà les jambes. Je la branlais un moment, jusqu'à une première jouissance. Elle me branlait aussi. Elle avait de plus en plus d'assurance pour me masturber. Je l'arrêtais: je voulais lui faire d'autres choses avant de la baiser: je me retournais et passais ma tête entre ses cuisses écartées. Je trouvais avec
ma langue son clitoris et le léchais sans arrêt. Elle jouissait dans ma bouche et je trouvais que sa cyprine avait un bon goût. De son coté elle m'avait pris la queue dans sa bouche et plus ou moins maladroitement me faisait un pompier qui m'emmenais au bord de l'extase.
Avant de jouir je le lui disais: elle gardais ma bite dans la bouche et recevais tout mon sperme. Je pensais qu'elle allait le cracher: non elle le dégustait lentement et finalement avalait la totalité de ma semence.
Je débandais et continuais mes caresses. Nous échangions nos impressions: pour chacun l'expérience avait été bénéfique, sauf qu'elle était toujours vierge. Nous parlions de chose et d'autres toujours liées à la baise quand je lui avouais que je me branlais souvent en pensant à la baiser. Elle m'avouait la même chose et ajoutait qu'elle y prenait beaucoup de plaisir. Elle tenait à me montrer comment elle se faisais du bien. Elle s'est mise sur le dos, a écarté ses jambes et mit sa main sur le con. Elle passait sa main sur l'ensemble de son con et remontait pour se caresser d'abord lentement et ensuite de plus en plus vite au fur et à mesure que le plaisir montait pour aboutir à un orgasme. La voyant faire j'en était très
excité et je bandais encore plus que la première fois. De taille importante, ma bite devenait très grosse et longue.
Je l'embrassais encore avant de me mettre entre ses jambes. Elle prenait ma bite en main et la guidait vers sa grotte. Je commençais à y pénétrer quand je sentais son hymen. J'hésitais un peu. Et c'est elle qui d'un coup de rein sec se faisait déflorer. elle poussait un léger cri de douleur, puis rapidement me disait qu'elle me sentait bien en elle, que je lui
faisait du bien. Je continuais mes allers retours quand nous jouissions ensemble pour la première fois. je restais en elle, sans débander. Elle ne cherchait pas à me faire sorti.
Pourtant, elle voulait l'ensemble de l'amour: Souvent je lui rentrais un doigt dans le cul pendant que je la branlais. Maintenant elle voulait que je la sodomise. Je sortait de son con, ma bite toute mouillée, elle prenait de sa propre mouille pour en passer sur son anus. Elle se mettais en levrette et m'offrait son cul. elle écartait les fesses et me demandait de l'enculer. Je posait ma pine sur son cul et très lentement j'y entrais. Je sentais l'étroitesse de son anus et elle me disait de continuer. J'étais enfin dans son cul et j'allais et venais en elle avec une sensation d'un autre plaisir. Elle serait les dent et enfin elle se décontractait pour jouir. Je restais en elle et continuait ma sodomie: elle jouissait encore. Enfin je larguais mon sperme dans son anus et je me retirais complètement à plat. Nous restions enlacés: nous étions heureux d'être devenus amants.
Hélas les vacances nous ont séparé pour quelques semaines. Nous échangions quelques coup de téléphone rapide et nous parlions de ....baise et de notre amour, l'un n'allant pas sans l'autre. Chacun nous nous branlions en pensant à notre prochaine nuit d'amour.
Enfin à la rentrée nous étions en fac de sciences et malheureusement nous n'habitions plus à coté. Mais nous nous voyons tous les jours aux cours. Par contre les samedis soir et dimanches nous pouvions enfin baiser.Nous étions de plus en plus friands de sexe, tant elle que moi. Nous profitions de la moindre occasions pour baiser.
Notre amour nous permettait de réussir à la fois nos études assez brillantes et nos baises.
J'ai en souvenir la fois où elle désirait être vue pendant que nous baisions. Dans un parc, juste à coté de la fac, il y avait un grand parc fréquenté par des amoureux. Sans pudeur Marie m'embrassait et me passait une main sur ma bite et me faisait bander, volontairement pour que je ne puisse plus réagir à son envie. Nous nous sommes allongés sur l'herbe juste à coté d'un sentier assez fréquenté. Elle a retiré sa culotte, m'a enjambé comme elle le faisait quelque fois. Elle m'a sorti la pine et s'y est empalée. Des gens passaient et elle était de plus en plus excitée. Quand nous sommes rentrés elle avouait que c'était une expérience qu'elle avait voulu faire. Et finalement ne le regrettait pas.
La dernière semaine en fac se passait en examens: nous sortions de là bien diplômés. Le hasard faisant bien les chose nous avons trouvé du travail dans le même entreprise. Nous avons loué un petit appartement, aidés en cela par nos parents qui n'attendaient qu'une chose: notre mariage. Pour le moment il n'en était pas question. Nous voulions mener un début de cohabitation basé sur la baise. dès notre réveil ( nous dormions nue) nous
commencions notre journée sous la douche, chacun "lavant" le sexe de l'autre: nous jouissions comme ça. Elle à peu près deux ou trois fois plus que moi. Vers midi, en rentrant nous baisions normalement. Mais le soir nous nous mettions entièrement nus et là enfin nous pouvions baiser tout notre saoul. Nous avions acheté des godemichés tant pour elle que pour moi. Elle se branlait souvent devant moi et quand nous baisions, elle aimait m'enculer. Au début je trouvais ça dégradant et par la suite j'ai aimé.
Et puis un jour nous nous sommes mariés. Depuis des enfants sont arrivés.
Notre vie n'a que eu changée: nous baisions de mieux en mieux, Marie devenait de plus en plus inventive pour nous faire jouir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
parole ! parole ! parole !
rêve ! rêves rêves !
mais bien ecrit!!!
rêve ! rêves rêves !
mais bien ecrit!!!
Beau récit !
c est une tres belle histoire