Dérapage non contrôlé ( suite 5)
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Dérapage non contrôlé ( suite 5)
On est samedi après midi, je vais en ville avec ma grand-mère. Cette semaine a été riche en coups de bites, c’est plus qu’avec mon copain, j’ai essayé trois queues, dont une qui m’a fait, en entrant, plus de mal que celle qui m’a fait sauter la pastille ! On est dans le centre commercial. Soudain je crois reconnaître la fille qui baisait dans le hangar. Elle passe devant nous, accompagnée d’une femme plus âgée et d’un garçonnet. Elle m’a vu, pas de doute, mais a fait semblant ne pas me connaître. Et dire que je l’ai vu à poil en train de se faire baiser.
Ma grand-mère me dit :- On vient de croiser la fermière et sa nièce !
- Ah bon Mine de rien je regarde la fermière. C’est une belle femme, je pense à son mec qui la trompe avec cette jeunette, là je ne pige pas, elle est plus belle.
On fait nos courses, j’en profite pour me racheter des culottes, parce qu’au train où ça va, je vais devoir me trimballer le cul nu ! Puis je vais au cinéma, je rentrerais par le car du soir. Ma grand-mère est d’accord.
La semaine suivante je suis de nouveau seule toute la journée. Je reste à la maison, lit, regarde la télé, vais me promener, prends le car, je vais en ville, ne rencontre personne. Je commence à franchement m’ennuyer. Je me sens seule pendant la journée. Je mets un jean et un tee-shirt léger, il fait chaud.
Je pars faire un tour dans la campagne, ne rencontre personne. Je vois le paysan au loin, il est sur son tracteur et regroupe des meules au bord de la route. Je continue mon chemin, passe à côté, lui cri :- Bonjour !
- Salut, qu’est ce tu fais par ici ?
- Je me promène- T’es déjà montée sur un tracteur ?
- Non !
- Viens, j’t’emmène faire un tour ! On va chercher du fourrage !
- C’n’est pas de la paille ?
- Bon ! Alors tu viens ?
Je passe dans le champ, je crois que je prends un risque, mais il est au boulot et ça va m’amuser de faire un tour sur cet engin ! Je grimpe à côté de lui, le tracteur, conçu pour mettre des bottes en tas, a un toit renforcé, mais les portes ont été enlevées parce qu’il fait chaud.
Il est torse nu, en short, recommence à bosser. Les vibrations du tracteur me fond un drôle d’effet dans le bas ventre, je crois que je mouille un peu ma culotte. Je me souviens soudain que j’ai eu mal quand il me l’a mise, je ne tiens pas à renouveler l’expérience. Il m’a forcé parce que j’ai interrompu sa baise, j’étais l’occasion, il a sauté dessus. N’importe qui en aurait fait autant. D’ailleurs il ne s’intéresse pas à moi, continue son boulot, et mon jean me préserve, je suis moins sexy qu’en jupe et la situation n’est pas du tout la même.
Ca fait bien une heure qu’il travaille, il ne dit mot, ne s’intéresse pas à moi. Il me dit :- J’en ai marre, je rentre, j’ai une de ces soifs !
- Moi aussi, il fait chaud là dessus !
Il se dirige vers la ferme. Avant d’entrer dans la cour, je lui dis :- Laissez moi ici, je vais rentrer chez moi, merci !
Il ne répond pas, on arrive dans la cour de la ferme il arrête le tracteur, descend.
- Suis moi, on va boire un coup, ensuite je reprends le boulot, toi tu fais ce que tu veux !
- Ok, je viens.
On entre dans la ferme, il va dans la cuisine, je le suis. Elle est grande, fait toute la largeur de la maison - Y a personne là dedans, y sont tous barrés, merde y a qu’moi qui bosse ! J’en ai marre ! Qu’est c’que tu veux boire ?
- Ne vous dérangez pas pour moi, de l’eau ça me suffit - Traverse le couloir d’entrée, va dans le salon, installe toi sur le canapé, j’arrive.
Il me ramène un coca bien frais, a pris une bière pour lui. Il s’installe dans un fauteuil.
- Dites donc, la maison est grande. Les chambres sont en haut ?
- Oui, tu veux visiter. ? Tu vois, ces portes donnent dans chacune des chambres des parents, ils sont vieux et ont du mal à monter à l’étage. Et à côté il y a la salle de bain et les toilettes, en partie sous l’escalier. Tu es en vacances dans le coin ?
- Oui, chez mes grands parents- T’as quel âge ?
- Presque 18, pourquoi ? (Je sais pas pourquoi mais je me vieillis d’un an ) - J’me doutais que t’étais une jeunette ! J’te croyais bien plus jeune que ça ! Pas habituée à la campagne, ça se voit. Il y a combien de temps que tu es devenu une femme ? Tu n’as pas l’air bien rôdée !
La conversation part sur un sujet dangereux. Il faut que j’en change, il y a risque de dérive et je n’y tiens pas. Je regarde le short, je crois qu’il bande.
- Un peu plus de deux ans, pourquoi ? Vous savez bien que je ne suis plus vierge ! Vous me faites visiter la maison ?
- Oui, viens, j’te fais visiter et ensuite je retourne au boulot.
Je me lève, je le suis. Face à l’entrée, l’escalier. De part et d’autre la cuisine et le salon Il passe devant moi, on arrive sur un palier, en face, une salle d’eau, des toilettes, à gauche un couloir, quatre chambres, deux de part et d’autre du couloir. À droite une porte donnant dans la grange.
- J’peux utiliser les toilettes ?
- Bien sur !
Je me soulage, il y a une douche, lavabo, bidet, j’en profite pour me faire un petit rinçage intime. Je reviens sur le palier, il m’attend. Il ouvre la porte de la grange, je passe devant lui, reste dans l’encadrement de la porte.
- Tu vois, ici on est au dessus de la cuisine, plus loin on est au dessus des anciennes étables, maintenant c’est le garage des voitures.
- C’est immense. Il reste un espace entre chaque planche qui forme les murs, pourquoi ?
- C’est pour l’aération de la grange quand on y mettait du fourrage, maintenant ma femme y étend son linge comme tu peux le voir, et là, sur la table, elle le repasse.
En effet, sur des fils à linge il y a des draps et toute une lessive qui sèche. Sur le côté, une grande table style rustique recouverte d’une couverture repliée en plusieurs épaisseurs, et un fer à repasser. Il y a aussi deux chaises ordinaires. Il est derrière moi, me pousse dans la grange en me prenant aux hanches, il se colle à moi, je sens une énorme bosse contre mon dos. Alors que je ne m’y attend pas, il passe un bras sur ma poitrine, glisse la main sous mon tee-shirt, me sert contre lui, la plaque sur mon sein, le pétrit.
- Tu ne portes pas de soutien gorge ? Enlève ton tee-shirt, je veux caresser tes seins !
Je suis surprise par la rapidité de l’attaque, je n’ai pas le temps de réagir, l’autre main dégrafe mon jean. Il tombe à mes pieds, et la main s’insinue dans ma culotte. La voilà sur ma chatte, son pouce appuie sur mon clito alors qu’un doigt tourne dans l’entrée de mon vagin. Je sens que je mouille terrible ! Jusqu’à présent tout se passait bien, je n’ai rien vu venir. De toute façon dès cet instant je sais que je suis foutue, il a une stature de rugbyman, une queue en rapport avec sa musculature, ça ne sert à rien de lui résister, j’en ai déjà fait l’expérience dans le hangar à paille. Je préfère éviter qu’il me la rentre de force, comme c’est parti je vais y avoir droit. Je me suis encore fourré dans une situation pas possible. Le mieux c’est de gagner du temps pour lui échapper, mais son énorme engin appuyé au bas de mes reins me fait envie.
- Laissez moi tranquille, il est tard, je dois rentrer chez moi avant que mes grands-parents reviennent du boulot !
Il me retourne, attrape mon tee-shirt, je me défends, il le passe par dessus ma tête, j’ai la poitrine à l’air. Il admire- Dis donc, tu as vraiment de jolis petits seins !
Il se met à les caresser, les pétrit, suce les tétons, ma poitrine durcit, un flot de mouille envahit ma fente. Il descend ma culotte, le tout est à mes pieds, je les dégage. Cette fois je suis nue, il recule, admire mon corps, ma chatte, revient, y plaque la main, ouvre la fente, enfonce un doigt dans le trou.
- Je n’avais pas vu que tu étais aussi belle, l’autre jour t’es restée habillée. Dis donc, t’es trempée, approche toi, j’vais t‘la mettre !
- Non, pas tout de suite ! Ouvrez moi d’abord, j’veux pas avoir mal, votre queue est tellement longue et grosse !
Il me soulève, m’assoie au bord de la table, j’écarte mes cuisses en grand. Il ouvre mes lèvres, y colle sa bouche, aspire mon clito, agasse le bouton, le suce. Je remue le ventre, cambre les reins. Il se redresse, roule mon clito entre deux doigts, le bouton émerge, il le titille du bout de la langue.
Il l’abandonne, m’enfile d’abord un doigt dans le vagin, le sort, en met un deuxième, force un peu pour écarter les bords du trou, y ajoute un troisième, les fait tourner, les enfonce en entier, les retire, recommence, me dilate l’entrée. Je n’ai jamais mouillé autant, une vraie fontaine. Ma respiration est rapide, mon cœur bat la chamade, je ne tiens plus, je suis partie, il me la faut dans moi !
- Venez, je suis prête, prenez moi !
Il enlève son short, quitte le slip, l’engin monstrueux se dévoile à ma vue. J’ai peur, je vais avoir mal, je le sens, il est beaucoup trop gros, même agrandi par ses doigts, ça ne va pas rentrer facile. Il se place devant l’orifice du vagin, me relève un peu le cul, pousse :- Allez y doucement, forcez pas, faut que ça entre en douceur !
Je m’ouvre, il pousse plus fort, le bout arrondi du gland pénètre.
- Aie ! C’est trop gros, ça me fait mal !
Le muscle cède, ouf ! la collerette du gland vient de franchir l’obstacle, ça y est il est dedans, il pousse plus fort, le gland dilate ma gaine, la queue progresse, il est au fond de moi. J’ai chaud, j’avais tellement envie de lui qu’il n’a pas eu beaucoup de difficultés pour me pénétrer, je me suis ouverte facilement. Il commence de lents va et vient et à chaque fois qu’il est au fond, s’arrête, pousse plus fort, s’engage à chaque fois un peu plus profondément en moi. J’accompagne ses coups de butoir par des mouvements du bassin.
Oh là là, ça y est, ses couilles touchent mon cul, il est entré en entier, mon ventre est comblé.
Il me redresse, tire, me prend sous les fesses, quitte la table. Je m’accroche à son cou, il est debout, j’ai sa bite toujours en moi, je passe mes jambes sur ses hanches. Il me tient sous les fesses, me fait monter et descendre sur son pieu, donne des coups de reins sauvages pour mieux s’encastrer. Je commence à pousser de petits cris, je ne vais pas tarder à venir. Il s’assoie sur la chaise, il est toujours en moi, ne m’a pas quitté depuis qu’il m’a pénétré. Face à lui, cuisses largement ouvertes, je monte et descend sur ce mandrin qui me comble le ventre. Je pose les pieds au sol, me débranche, change de position, lui tourne le dos, m’emmanche de nouveau sur la bite dressée à la verticale, et la chevauchée recommence. Il se lève et sans sortir de moi, me soulève, m’emmène au bord de la table, me dépose dessus, et cette fois m’allonge le dos sur la table. Il grimpe sur la table, j’ouvre les cuisses en grand pour l’accueillir de nouveau, il me monte dessus, s’enfourne, me burine dur, accélère ses va et vient. Soudain il se bloque au fond de moi. Je sens que cette fois je suis partie, cambre mon bassin, pousse un long cri :- Ho là Haaaaoui ! oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il met la main sur ma bouche pour étouffer mes cris de jouissance. Je sens que le gland enfle, la bite se contracte et envoie des jets de foutre par saccade au fond de moi, chaque jet me fait chavirer. Je ne suis plus là, retombe, défaille, je n’en peux plus, abandonne, ferme les yeux. Quel orgasme ! J’en ai rarement eu d’aussi fort. Il reste sur moi, dans moi, finit de se vider.
Comme dans un rêve, j’entends le bruit d’une voiture qui roule dans la cour. Des portières claquent. Lui aussi a entendu. Il me quitte, le sperme coule dans ma fente, il remet slip et short en vitesse, me dit tout bas :- Grouille toi, rhabille toi vite fait et file par la porte au fond. Fait pas de bruit ! Ca descend jusque dans le champ, passe derrière les bâtiments, ne te fait pas voir, moi je passe me laver la queue avant de les rejoindre. Si ça t’a plu, demain trois heures au hangar.
- Qu’est ce que vous m’avez mis, ça me coule le long des cuisses !
Je fais ce qu’il me dit, enfile culotte, jean et tee-shirt en vitesse, file. Je suis dehors, ouf !
Mais le foutre coule hors de mon vagin, mouille ma culotte et l’entrejambe de mon jean, je crois que ça se voit, il m’en a lâché une sacrée dose, il faut que je rentre chez moi vite fait, pour me laver, me changer. Comment je vais pouvoir cacher ça ?
Manque de pot, quand j’arrive ma grand mère est déjà là. J’entre vite fait, file dans ma chambre.
- Qu’est ce qui t’arrive, tu ne viens pas me dire bonsoir ?
Je reviens dans la cuisine, l’embrasse. Je la vois plisser le nez plusieurs fois, sniffer.
- Vas prendre une douche, reste pas comme ça. Mets tes affaires dans la machine à laver, je vais faire une lessive. J’espère que tu n’as pas oublié de prendre la pilule ?
- Ne t’inquiète pas mamy, je prends toujours mes précautions. Comment t’as deviné ?
- On ne me la fait pas ! Où tu t’es fait mettre pour partir comme ça sans te laver ? Il t’en a foutu une sacrée dose ! J’espère que personne ne t’as vu dans cet état !
- Je ne crois pas. Tu diras rien à maman !
- Quand même, s’il n’y avait pas de quoi, tu aurais dû lui dire de ne pas se vider dans toi !
- Oui, bien sur, mais mon orgasme est beaucoup plus fort lorsque le mec gicle au fond de moi juste au moment où je chavire, tu dois connaître ça, toi mamy !
.
A suivre
Ma grand-mère me dit :- On vient de croiser la fermière et sa nièce !
- Ah bon Mine de rien je regarde la fermière. C’est une belle femme, je pense à son mec qui la trompe avec cette jeunette, là je ne pige pas, elle est plus belle.
On fait nos courses, j’en profite pour me racheter des culottes, parce qu’au train où ça va, je vais devoir me trimballer le cul nu ! Puis je vais au cinéma, je rentrerais par le car du soir. Ma grand-mère est d’accord.
La semaine suivante je suis de nouveau seule toute la journée. Je reste à la maison, lit, regarde la télé, vais me promener, prends le car, je vais en ville, ne rencontre personne. Je commence à franchement m’ennuyer. Je me sens seule pendant la journée. Je mets un jean et un tee-shirt léger, il fait chaud.
Je pars faire un tour dans la campagne, ne rencontre personne. Je vois le paysan au loin, il est sur son tracteur et regroupe des meules au bord de la route. Je continue mon chemin, passe à côté, lui cri :- Bonjour !
- Salut, qu’est ce tu fais par ici ?
- Je me promène- T’es déjà montée sur un tracteur ?
- Non !
- Viens, j’t’emmène faire un tour ! On va chercher du fourrage !
- C’n’est pas de la paille ?
- Bon ! Alors tu viens ?
Je passe dans le champ, je crois que je prends un risque, mais il est au boulot et ça va m’amuser de faire un tour sur cet engin ! Je grimpe à côté de lui, le tracteur, conçu pour mettre des bottes en tas, a un toit renforcé, mais les portes ont été enlevées parce qu’il fait chaud.
Il est torse nu, en short, recommence à bosser. Les vibrations du tracteur me fond un drôle d’effet dans le bas ventre, je crois que je mouille un peu ma culotte. Je me souviens soudain que j’ai eu mal quand il me l’a mise, je ne tiens pas à renouveler l’expérience. Il m’a forcé parce que j’ai interrompu sa baise, j’étais l’occasion, il a sauté dessus. N’importe qui en aurait fait autant. D’ailleurs il ne s’intéresse pas à moi, continue son boulot, et mon jean me préserve, je suis moins sexy qu’en jupe et la situation n’est pas du tout la même.
Ca fait bien une heure qu’il travaille, il ne dit mot, ne s’intéresse pas à moi. Il me dit :- J’en ai marre, je rentre, j’ai une de ces soifs !
- Moi aussi, il fait chaud là dessus !
Il se dirige vers la ferme. Avant d’entrer dans la cour, je lui dis :- Laissez moi ici, je vais rentrer chez moi, merci !
Il ne répond pas, on arrive dans la cour de la ferme il arrête le tracteur, descend.
- Suis moi, on va boire un coup, ensuite je reprends le boulot, toi tu fais ce que tu veux !
- Ok, je viens.
On entre dans la ferme, il va dans la cuisine, je le suis. Elle est grande, fait toute la largeur de la maison - Y a personne là dedans, y sont tous barrés, merde y a qu’moi qui bosse ! J’en ai marre ! Qu’est c’que tu veux boire ?
- Ne vous dérangez pas pour moi, de l’eau ça me suffit - Traverse le couloir d’entrée, va dans le salon, installe toi sur le canapé, j’arrive.
Il me ramène un coca bien frais, a pris une bière pour lui. Il s’installe dans un fauteuil.
- Dites donc, la maison est grande. Les chambres sont en haut ?
- Oui, tu veux visiter. ? Tu vois, ces portes donnent dans chacune des chambres des parents, ils sont vieux et ont du mal à monter à l’étage. Et à côté il y a la salle de bain et les toilettes, en partie sous l’escalier. Tu es en vacances dans le coin ?
- Oui, chez mes grands parents- T’as quel âge ?
- Presque 18, pourquoi ? (Je sais pas pourquoi mais je me vieillis d’un an ) - J’me doutais que t’étais une jeunette ! J’te croyais bien plus jeune que ça ! Pas habituée à la campagne, ça se voit. Il y a combien de temps que tu es devenu une femme ? Tu n’as pas l’air bien rôdée !
La conversation part sur un sujet dangereux. Il faut que j’en change, il y a risque de dérive et je n’y tiens pas. Je regarde le short, je crois qu’il bande.
- Un peu plus de deux ans, pourquoi ? Vous savez bien que je ne suis plus vierge ! Vous me faites visiter la maison ?
- Oui, viens, j’te fais visiter et ensuite je retourne au boulot.
Je me lève, je le suis. Face à l’entrée, l’escalier. De part et d’autre la cuisine et le salon Il passe devant moi, on arrive sur un palier, en face, une salle d’eau, des toilettes, à gauche un couloir, quatre chambres, deux de part et d’autre du couloir. À droite une porte donnant dans la grange.
- J’peux utiliser les toilettes ?
- Bien sur !
Je me soulage, il y a une douche, lavabo, bidet, j’en profite pour me faire un petit rinçage intime. Je reviens sur le palier, il m’attend. Il ouvre la porte de la grange, je passe devant lui, reste dans l’encadrement de la porte.
- Tu vois, ici on est au dessus de la cuisine, plus loin on est au dessus des anciennes étables, maintenant c’est le garage des voitures.
- C’est immense. Il reste un espace entre chaque planche qui forme les murs, pourquoi ?
- C’est pour l’aération de la grange quand on y mettait du fourrage, maintenant ma femme y étend son linge comme tu peux le voir, et là, sur la table, elle le repasse.
En effet, sur des fils à linge il y a des draps et toute une lessive qui sèche. Sur le côté, une grande table style rustique recouverte d’une couverture repliée en plusieurs épaisseurs, et un fer à repasser. Il y a aussi deux chaises ordinaires. Il est derrière moi, me pousse dans la grange en me prenant aux hanches, il se colle à moi, je sens une énorme bosse contre mon dos. Alors que je ne m’y attend pas, il passe un bras sur ma poitrine, glisse la main sous mon tee-shirt, me sert contre lui, la plaque sur mon sein, le pétrit.
- Tu ne portes pas de soutien gorge ? Enlève ton tee-shirt, je veux caresser tes seins !
Je suis surprise par la rapidité de l’attaque, je n’ai pas le temps de réagir, l’autre main dégrafe mon jean. Il tombe à mes pieds, et la main s’insinue dans ma culotte. La voilà sur ma chatte, son pouce appuie sur mon clito alors qu’un doigt tourne dans l’entrée de mon vagin. Je sens que je mouille terrible ! Jusqu’à présent tout se passait bien, je n’ai rien vu venir. De toute façon dès cet instant je sais que je suis foutue, il a une stature de rugbyman, une queue en rapport avec sa musculature, ça ne sert à rien de lui résister, j’en ai déjà fait l’expérience dans le hangar à paille. Je préfère éviter qu’il me la rentre de force, comme c’est parti je vais y avoir droit. Je me suis encore fourré dans une situation pas possible. Le mieux c’est de gagner du temps pour lui échapper, mais son énorme engin appuyé au bas de mes reins me fait envie.
- Laissez moi tranquille, il est tard, je dois rentrer chez moi avant que mes grands-parents reviennent du boulot !
Il me retourne, attrape mon tee-shirt, je me défends, il le passe par dessus ma tête, j’ai la poitrine à l’air. Il admire- Dis donc, tu as vraiment de jolis petits seins !
Il se met à les caresser, les pétrit, suce les tétons, ma poitrine durcit, un flot de mouille envahit ma fente. Il descend ma culotte, le tout est à mes pieds, je les dégage. Cette fois je suis nue, il recule, admire mon corps, ma chatte, revient, y plaque la main, ouvre la fente, enfonce un doigt dans le trou.
- Je n’avais pas vu que tu étais aussi belle, l’autre jour t’es restée habillée. Dis donc, t’es trempée, approche toi, j’vais t‘la mettre !
- Non, pas tout de suite ! Ouvrez moi d’abord, j’veux pas avoir mal, votre queue est tellement longue et grosse !
Il me soulève, m’assoie au bord de la table, j’écarte mes cuisses en grand. Il ouvre mes lèvres, y colle sa bouche, aspire mon clito, agasse le bouton, le suce. Je remue le ventre, cambre les reins. Il se redresse, roule mon clito entre deux doigts, le bouton émerge, il le titille du bout de la langue.
Il l’abandonne, m’enfile d’abord un doigt dans le vagin, le sort, en met un deuxième, force un peu pour écarter les bords du trou, y ajoute un troisième, les fait tourner, les enfonce en entier, les retire, recommence, me dilate l’entrée. Je n’ai jamais mouillé autant, une vraie fontaine. Ma respiration est rapide, mon cœur bat la chamade, je ne tiens plus, je suis partie, il me la faut dans moi !
- Venez, je suis prête, prenez moi !
Il enlève son short, quitte le slip, l’engin monstrueux se dévoile à ma vue. J’ai peur, je vais avoir mal, je le sens, il est beaucoup trop gros, même agrandi par ses doigts, ça ne va pas rentrer facile. Il se place devant l’orifice du vagin, me relève un peu le cul, pousse :- Allez y doucement, forcez pas, faut que ça entre en douceur !
Je m’ouvre, il pousse plus fort, le bout arrondi du gland pénètre.
- Aie ! C’est trop gros, ça me fait mal !
Le muscle cède, ouf ! la collerette du gland vient de franchir l’obstacle, ça y est il est dedans, il pousse plus fort, le gland dilate ma gaine, la queue progresse, il est au fond de moi. J’ai chaud, j’avais tellement envie de lui qu’il n’a pas eu beaucoup de difficultés pour me pénétrer, je me suis ouverte facilement. Il commence de lents va et vient et à chaque fois qu’il est au fond, s’arrête, pousse plus fort, s’engage à chaque fois un peu plus profondément en moi. J’accompagne ses coups de butoir par des mouvements du bassin.
Oh là là, ça y est, ses couilles touchent mon cul, il est entré en entier, mon ventre est comblé.
Il me redresse, tire, me prend sous les fesses, quitte la table. Je m’accroche à son cou, il est debout, j’ai sa bite toujours en moi, je passe mes jambes sur ses hanches. Il me tient sous les fesses, me fait monter et descendre sur son pieu, donne des coups de reins sauvages pour mieux s’encastrer. Je commence à pousser de petits cris, je ne vais pas tarder à venir. Il s’assoie sur la chaise, il est toujours en moi, ne m’a pas quitté depuis qu’il m’a pénétré. Face à lui, cuisses largement ouvertes, je monte et descend sur ce mandrin qui me comble le ventre. Je pose les pieds au sol, me débranche, change de position, lui tourne le dos, m’emmanche de nouveau sur la bite dressée à la verticale, et la chevauchée recommence. Il se lève et sans sortir de moi, me soulève, m’emmène au bord de la table, me dépose dessus, et cette fois m’allonge le dos sur la table. Il grimpe sur la table, j’ouvre les cuisses en grand pour l’accueillir de nouveau, il me monte dessus, s’enfourne, me burine dur, accélère ses va et vient. Soudain il se bloque au fond de moi. Je sens que cette fois je suis partie, cambre mon bassin, pousse un long cri :- Ho là Haaaaoui ! oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il met la main sur ma bouche pour étouffer mes cris de jouissance. Je sens que le gland enfle, la bite se contracte et envoie des jets de foutre par saccade au fond de moi, chaque jet me fait chavirer. Je ne suis plus là, retombe, défaille, je n’en peux plus, abandonne, ferme les yeux. Quel orgasme ! J’en ai rarement eu d’aussi fort. Il reste sur moi, dans moi, finit de se vider.
Comme dans un rêve, j’entends le bruit d’une voiture qui roule dans la cour. Des portières claquent. Lui aussi a entendu. Il me quitte, le sperme coule dans ma fente, il remet slip et short en vitesse, me dit tout bas :- Grouille toi, rhabille toi vite fait et file par la porte au fond. Fait pas de bruit ! Ca descend jusque dans le champ, passe derrière les bâtiments, ne te fait pas voir, moi je passe me laver la queue avant de les rejoindre. Si ça t’a plu, demain trois heures au hangar.
- Qu’est ce que vous m’avez mis, ça me coule le long des cuisses !
Je fais ce qu’il me dit, enfile culotte, jean et tee-shirt en vitesse, file. Je suis dehors, ouf !
Mais le foutre coule hors de mon vagin, mouille ma culotte et l’entrejambe de mon jean, je crois que ça se voit, il m’en a lâché une sacrée dose, il faut que je rentre chez moi vite fait, pour me laver, me changer. Comment je vais pouvoir cacher ça ?
Manque de pot, quand j’arrive ma grand mère est déjà là. J’entre vite fait, file dans ma chambre.
- Qu’est ce qui t’arrive, tu ne viens pas me dire bonsoir ?
Je reviens dans la cuisine, l’embrasse. Je la vois plisser le nez plusieurs fois, sniffer.
- Vas prendre une douche, reste pas comme ça. Mets tes affaires dans la machine à laver, je vais faire une lessive. J’espère que tu n’as pas oublié de prendre la pilule ?
- Ne t’inquiète pas mamy, je prends toujours mes précautions. Comment t’as deviné ?
- On ne me la fait pas ! Où tu t’es fait mettre pour partir comme ça sans te laver ? Il t’en a foutu une sacrée dose ! J’espère que personne ne t’as vu dans cet état !
- Je ne crois pas. Tu diras rien à maman !
- Quand même, s’il n’y avait pas de quoi, tu aurais dû lui dire de ne pas se vider dans toi !
- Oui, bien sur, mais mon orgasme est beaucoup plus fort lorsque le mec gicle au fond de moi juste au moment où je chavire, tu dois connaître ça, toi mamy !
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A suivre
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