Des coeurs en otage
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Des coeurs en otage
DES CŒURS EN OTAGE
AVERTISSEMENT !
Certain faits racontés dans cette histoire sont sévèrement punis par la loi.
Ils ne sont là que pour illustrer une histoire sortie tout droit de l'imaginaire, et ne sont en aucun cas cautionnés par l'auteur.
Quand vous êtes laid et avez quarante deux ans, vous n’attendez plus grand chose des femmes. Vous mettez votre vie sentimentale et sexuelle en stand-by et vous vous masturbez sur les quelques instants de bonheur que vous avez pu avoir durant votre vie.
Pourtant, parfois…
C’est un pote et sa copine qui m’ont entrainé dans cette boite de nuit.
Je ne sais pas danser et je ne me sens vraiment pas à ma place. Je me console en regardant les petits culs qui s’agitent devant moi.
Les filles sont belles, jeunes, mais surtout inaccessibles. Pour moi, du moins.
A la table d’à coté, il y a un couple de vingt ans tout au plus.
Enfin ! Quand je dis couple… Le garçon est seul car sa petite amie se déhanche comme une folle sur la piste.
Je n’arrive pas à détacher mes yeux de la fille. C’est une pure merveille blonde.
Cheveux mi-long, yeux bleus, une chemise blanche nouée sur le ventre, boutons ouverts créant un décolleté à faire pâlir le Marquis de Sade et laissant percevoir de petits seins bien blancs.
Son petit cul est couvert d’un mini kilt qui dégage ses jambes des cuisses aux genoux, le reste étant enveloppé dans de longues chaussettes blanches.
Son mec reste assis et comme moi, il la contemple. Il est tellement prit par la prestation de sa chérie, qu’il ne voit pas que je regarde la même chose que lui. Et c’est tant mieux.
« Bon ! Bruno ! Tu viens ? On y va ! »
Mes amis désirent partir.
« Heu ! Non ! Finalement, je suis bien ici. En plus, il n’est pas très tard. Ne vous inquiétez pas, je rentrerais seul. Ok ? »
« Bon ! C’est comme tu veux. A plus ! Salut ! »
Ils s’en vont et je les suis des yeux. C’est là que mon regard croise celui de la jeune blonde.
Elle danse toujours, mais elle me fixe et me sourit. Je suis un peu gêné et je tourne la tête vers son copain. Il me regarde. Il n’a pas l’air en colère, mais semble plutôt triste.
D’un coup…je me sens moins bien.
Elle vient s’asseoir près de lui pour prendre un verre et se reposer un peu. Elle donne un bisou à son mec et sort une cigarette.
Nous sommes à des tables différentes, mais sur la même banquette. Elle n’est pas à plus d’un mètre de moi. Je peux sentir son parfum.
« Vous avez du feu ? »
Elle c’est pratiquement allongée, sa cigarette au bout des doigts. Sa chemise pendouille et je vois distinctement ses seins. Elle ne peut pas l’ignorer.
Je fouille ma poche, nerveusement, trouve mon briquet et je lui tends. Elle ne le prend pas, mais s’étire encore un peu plus pour que je l’allume.
La feu touche le tabac, mais ne s’enflamme pas. Elle n’aspire pas.
Interrogateur, je la regarde.
Ses yeux plongent dans les miens et brillent derrière la flamme. Sentant mon trouble, elle esquisse un sourire et aspire enfin. Le tabac s’embrase dans un petit crépitement presque inaudible, tout comme son « Merci beaucoup. »
Elle fume sa cigarette sans s’intéresser à moi. Intérieurement, je me dis que c’est une belle allumeuse et je plains son ami.
Son poison fini, elle retourne danser…juste devant moi. Ses cuisses frôlent ma table.
Je n’ose plus regarder son mec.
Je suis fasciné par ce petit corps qui se tord et ondule. Je bande.
Soudain, nous nous retrouvons dans l’obscurité et les spots colorés sont remplacés par une lumière noire.
C’est le moment des slows.
Elle me tend la main et ses doigts m’invitent à me lever. Je lui fais signe que je ne sais pas danser. En plus j’ai une énorme bosse dans mon pantalon. J’aurais l’air fin !
Mais ca, elle l’ignore et elle attrape mon poignet et me tire sur la piste.
Elle se jette littéralement à mon cou. Moi, bien sagement, je la prends par la taille. Sa chemise est nouée haut et mes mains se posent à même sa peau.
« Ho ! Pardon ! Je suis désolé ! »
Je les retire aussitôt, mais elle les reprend et les replacent sur ses hanches.
« Ce n’est pas grave. Tu vois que tu sais danser ! Serre moi un peu plus. »
« Heu ! Je ne sais pas si je dois… »
« Si ! Tu dois ! »
Et elle se plaque à moi.
Un peu dérouté par mon érection incontrôlable, qu’elle ne peut ignorer, je tente de me calmer, mais en vain.
Elle se frotte à moi, doucement. Son pouce caresse ma nuque et elle a posé son menton sur mon épaule. Je sens sa respiration dans mon oreille et ses cheveux caressent ma joue.
Forcement mon sexe redevient plus dur que jamais.
Elle me regarde, amusée, me sourit et repose son menton tout près de mon cou pour me murmurer :
« Ce n’est pas grave ! ».
Grisé par son parfum, sa chaleur, j’oubli son ami et m’aventure à la serrer plus fort.
Mes mains glissent dans son dos et je sens ses seins s’écraser sur ma poitrine.
Si ca continu, je vais cracher ma purée dans mon froc !
J’aperçois son ami qui se lève et qui se dirige vers les toilettes. Elle le voit aussi.
« On y va ! Vite !»
Ce n’est pas une demande, c’est comme un ordre, une évidence.
« Heu ! Ben non ! Ton copain…tu ne peux… »
Ses yeux bleus me lancent des éclairs. Elle ne semble pas aimer qu’on lui tienne tête.
« On y vas ! Maintenant ! Ne cherche pas à comprendre ! »
Je suis surpris et très embarrassé pour ce pauvre gars, mais pourtant, je la suis.
Nous ramassons nos manteaux et une fois dehors j’appelle un taxi.
« Ou veux tu aller ? »
« Chez toi ! C’est bien, chez toi, non ? »
Je donne mon adresse au chauffeur. Il nous observe dans le rétro et il doit se dire qu’un type comme moi, a bien de la chance d’être avec une fille… comme elle.
Je ne sais pas trop dans quoi je m’embarque, mais c’est l’instant présent qui compte en ce moment. J’aurais bien le temps de me poser des questions demain.
Apres avoir inspecté mon appart, elle s’installe dans le canapé, jambes croisées, ses mains sur son genou. Mon dieu qu’elle est belle.
Je lui offre du champagne et très sagement nous discutons de choses et d’autres. Elle n’est pas idiote et il est agréable de converser avec elle.
« Je ne connais même pas ton prénom ! »
« Moi, je connais le tien ! Bruno ! »
Elle s’amuse de mon air étonné.
« Rassure toi, je n’ai pas de don particulier. J’ai juste entendu tes amis t’appeler par ton prénom. Hihi ! Moi, c’est Fanny.»
« Fanny ! Humm ! C’est très joli ! Mais dis-moi Fanny…je repense à ton petit copain et… »
« Ha non, Bruno ! »
Elle pose son verre et vient se poser à califourchon sur moi.
« Tu ne veux pas gâcher cette belle soirée ? T’inquiète pas pour ce mec, il ne compte pas. Embrasse-moi ! »
C’est le plus beau, le meilleur et le plus long baiser de toute mon existence.
Ses lèvres sont douces, sucrées. Sa langue est agile, curieuse et fouille chaque recoins de ma bouche avec douceur. Nos salives se mélangent et font de grands filets lorsque par hasard nos bouches gourmandes se détachent, pour mieux se retrouver ensuite.
Sa chemise est dénouée, retirée et jetée loin dans la pièce.
Mes premières caresses sur ses seins confirment ce que je pensais. Ils sont d’une douceur extrême, tiennent dans le creux de mes mains et son fermes comme des pamplemousses un peu murs.
Ses tétons dressés appellent ma bouche et Fanny se penche en arrière pour mieux me les offrir.
Je les suce et les roule entre mes lèvres, tandis que mes mains caressent ses cuisses et remontent lentement sous son petit kilt.
Quelle n’est pas ma surprise d’arriver à son sexe sans trouver la moindre trace de culotte ou de string.
Mes pouces caressent les grandes lèvres, puis, les écartent et glissent dans la grotte humide.
La petite Fanny s’énerve sur ma braguette qui lui résiste un peu et libère enfin mon dard tendu.
Elle se redresse lentement, puis…se laisse remplir doucement par ma chair.
Apres une bonne décennie sans faire l’amour, qu’il est bon de retrouver la chaleur et la douce humidité d’un sexe féminin, d’entendre de nouveau de longues plaintes de plaisir, un souffle court, sentir des mains dans mes cheveux, sur mon visage.
Au petit matin, je la réveille doucement avec un copieux petit déjeuner.
Elle se cale dans le canapé que nous n’avons pas quitté, et remonte sur elle la fine couverture avec laquelle nous nous étions couverts pour dormir un peu.
Je pose le plateau sur ses cuisses et après m’avoir remercié, elle dévore ses croissants.
« Tu va bien, Fanny ? »
« Humm ! Oui ! Je me sens détendue comme jamais. »
Je repose son plateau sur la table basse et je me glisse près d’elle sous la couverture.
Nous refaisons l’amour.
« Bruno ? J’aimerai rester là ! »
Voilà un mois qu’elle c’est installée chez moi.
Un mois de bonheur.
Un mois de sexe à toutes heures.
Un mois que je ne me sens plus laid.
Pourtant insidieusement, les choses changent.
Du jour au lendemain elle exige que je lui serve le petit déjeuner au lit, tous les jours.
Le ménage m’incombe entièrement à présent tandis qu’elle fait son shopping, et le repas doit être prêt lorsqu’elle daigne enfin rentrer.
J’ai bien tenté d’exprimer mon mécontentement. Sa réponse fut très explicite.
« J’aimerai rester là, près de toi. Je suis bien, ici. Ne me donne pas l’envie de partir ! »
J’ai tout de suite repensé à son copain en boite et à la tristesse qu’il affichait. Sans doute subissait-il le même chantage, la même pression.
Je repense aussi à ses années sans amour, seul. Alors…je me tais.
Je ne veux pas perdre cette peau douce, ses yeux clairs, ce petit chat qui se blottit encore contre moi, la nuit.
Peu à peu, je ne suis plus moi. Amoureux, mais paralysé par la peur de la perdre.
Je pense qu’elle le sait et elle en joue. A moi de ne pas tomber dans ses pièges.
Un vendredi soir…
« J’ai invité deux amis ce soir. Fais-nous un bon petit truc à manger. Mais par pitié, sois mignon et ne mange pas avec nous. Sers-nous, mais ne mange pas. Je veux être tranquille avec mes nouveaux amis et je ne voudrais pas qu’ils croient que…je ne veux pas qu’ils sachent que tu es avec moi. »
Elle a honte de moi, c’est évident. Elle ne veut surtout pas qu’ils devinent qu’elle se tape un vieux et un moche en plus.
Je m’effacerais donc.
Je prépare un poulet au curry. Je sais qu’elle en raffole.
Je mets la table pour trois personnes tandis qu’elle se change avant l’arrivé de ses invités.
Elle arrive dans mon dos et passe ses bras autour de moi pour me serrer contre elle. Ses mains caressent mon torse et je passe les miennes derrière moi et les posent sur ses fesses.
« Ca sent bon, Bruno ! Tu t’es surpassé semble t’il ! »
« J’espère mon amour. Pour toi, rien n’est trop bon. »
Je me retourne et nous nous embrassons tendrement mais nous sommes dérangés par la sonnette de la porte. Immédiatement, elle court vers celle-ci en hurlant.
« J’arrive ! Me voici ! Me voilààààà ! »
Je n’avais pas encore vu sa tenue. Elle porte une longue robe de dentelle noire, très… trop transparente. Elle ne porte pas de soutien gorge et je peux voir sa poitrine sans problème au travers de la dentelle et voir également le petit string ridicule qui ne cache que son coquillage.
« Whouaaaa ! My girl ! Tu es trop belle ! »
« Merci Eric ! Bonjour Vincent, tu vas bien ? »
« Quand je te vois, je ne peux qu’aller bien ! »
Putain ! C’est quoi ces deux espèce de bourgeois ? Ils sont maniérés, gominés, habillés année quatre vingt. Je les déteste déjà !
L’un d’eux m’aperçoit. Il me fait un signe de tête presque imperceptible, l’autre m’ignore totalement. Pauvres cons !
Je me sens vraiment très mal, mais je suis sur que c’est un test que Fanny m’impose pour voir…pour voir, je ne sais pas quoi, en fait.
Ils se sont installés dans le canapé de chaque coté de ma dulcinée. Ils sont collés à elle comme des sangsues et ils ont passé un de leurs bras derrière sa tête. De leurs mains libres, ils ont prit les siennes et les lui embrassent de mille petits bisous. Ils ont vraiment l’air très con.
Je m’empresse de servir l’apéritif, juste pour qu’ils la lâchent.
Ils discutent, éclatent de rire pendant que je mets une touche finale à mon plat.
Le repas se passera bien. Pour eux en tout cas. Moi, je m’enferme à la cuisine pour ne pas entendre toutes leurs conneries.
Pour le café, ils repassent au salon. Je les sers et m’éclipse faire la vaisselle.
Lorsque je reviens, Fanny est à genoux, nue et saute d’une bite à l’autre pour les sucer. Mon cœur se serre.
J’ai envi de tout foutre en l’air, de jeter ces types hors de chez moi et de baiser violement Fanny pour la recadrer. Mais je n’en ferais rien, bien sur.
Près de la porte de la cuisine, il y a une chaise. Je m’assois et je les regarde prendre du plaisir, rongé par la jalousie.
Ils jouissent à tour de rôle dans la bouche de la petite blonde et je me dis qu’il y a une chance pour qu’ils s’en aillent. Mais bien sur, il n’en est rien.
Fanny se redresse, les prend par la main et les entraine dans notre chambre…dans MA chambre.
Je m’allonge dans le canapé, effondré par la tristesse, la jalousie. Je prends le coussin ou elle était assise pour sentir son parfum. Je ne dormirais pas et passerais ma nuit à écouter les gémissements, les rires et les jouissances qui me parviennent de ma chambre, par la porte entrebâillée.
Au matin, vers dix heures, je leurs apporte le petit déjeuner. Je pousse la porte du pied et entre dans la chambre. Ils sont encore en train de forniquer comme des bêtes.
Je pose le plateau sur une chaise près du lit et je sors. Ils ne m’ont même pas vu.
Vers midi, ils laissent Fanny épuisée et s’en vont, enfin.
Je vais la rejoindre.
Elle dort, nue, sur le dos, les bras en croix en travers du lit. Ses cheveux sont collés par la transpiration. Sur son visage, près de ses lèvres ou encore dans son cou, il y a des traces de foutres séchés.
A mieux y regarder, j’en trouve aussi sur ses seins, son ventre, sur un bras également.
Mon regard se pose sur son joli minou, rougit par les assauts répétés. Il s’en écoule encore un filet blanchâtre qui glisse vers la raie de ses fesses.
Qu’est ce qui me prend ? Je deviens fou, ou quoi ?
Je penche mon visage vers sa fente meurtrie et y dépose un baiser. L’odeur de l’amour consumé parvient à mes narines et m’enivre. Je suis pris d’une envie irrésistible et je plonge ma langue dans le sexe souillé, malgré un léger soupçon de dégout.
Légèrement surpris par la saveur des jus mélangés, je suis ensuite pris de frénésie gourmande. Je suce, lèche aspire, bois. Je me débarbouille le visage de par l’orifice gluant.
Mon sexe rentre en érection comme jamais. Je n’en peux plus et libère mon membre. Je me jette sur Fanny endormie et la pénètre d’un coup.
« Qu’est ce que tu fais ? Tu es devenu fou ou quoi ! »
« Ho oui ! Je suis fou ! Fou de toi ! De ta chatte ! Laisse-moi te baiser ! Laisse-moi jouir dans ta chatte de pute ! »
Elle se débat, parvient à se dégager et me balance une gifle mémorable avant de disparaitre dans la salle de bain.
Assis au bord du lit, je reprends mes esprits tout en regardant mon sexe que je ne contrôle plus, qui éjacule sur la moquette en longs et puissants jets.
Je pleure.
Voilà deux semaines qu’elle ne m’adresse plus la parole.
Effrayé à la simple idée de la perdre, je redouble de petites attentions à son égard. Mais ca la laisse de marbre. Je sais qu’elle peut partir au moment ou je m’y attendrais le moins.
Elle me tient par les couilles, c’est le moins qu’on puisse dire.
Ce soir, lorsqu’elle sort de la salle de bain, j’ai un choc. Elle est habillée exactement comme la première fois ou je l’ai vue en boite. J’y vois là un signe de détente, de rapprochement, d’autant plus qu’elle me sourie gentiment.
Je me lève du canapé et m’approche d’elle.
« Tu es… »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase.
« Emmène-moi au cinéma ! »
« Heu ! Au cinéma ? Mais ou ? Que veux-tu voir ? »
« Emmène-moi dans la petite salle de mon ancien quartier. »
Elle a déjà attrapé son manteau et se dirige vers la porte. Je chope mon blouson et nous sortons. Je m’apprête à héler un taxi, mais…
« Non ! Prenons le métro ! »
Personnellement, ca m’arrange. Son ancien quartier est à l’autre bout de Paris. Ca me coutera bien moins cher. Toutefois, cette envie soudaine de prendre un transport en commun, m’inquiète beaucoup. Surtout dans la petite tenue que cache son manteau trois quart.
Il y a pas mal de monde, mais elle trouve quand même à s’asseoir sur un strapontin. Moi, je reste debout, appuyé à la porte du fond. Je l’observe.
Elle m’ignore complètement. Je la surprends à regarder les hommes, parfois même à leur sourire.
Je tremble à l’idée qu’elle puisse en accrocher un et partir avec, me laissant seul d’un coup. Mais à ma grande satisfaction, elle ne trouve pas chaussure à son pied.
Sur l’escalator qui nous remonte à la surface, elle fait pourtant une ultime tentative d’harponnage.
Elle a repéré un type d’une cinquantaine d’années, quelques marches plus bas. Elle se penche outrageusement en avant, faisant mine de nettoyer une de ses chaussures. Son manteau remonte et dégage ses cuisses. Il ne fait aucun doute sur le spectacle qu’elle offre à cet homme.
Mais c’est sans compter sur moi. Je jette un regard agressif au type et celui-ci, préfère tourner la tête que de m’affronter. Fanny, heureusement, ne m’a pas vu faire.
Nous pénétrons dans le petit cinéma qui passe un film d’horreur et un film de cul, en alternance, toute la journée.
Bien sur, avec la chance que j’aie, nous tombons sur le film de cul.
Fanny se glisse dans la première rangée venue, bien au centre. Des types se retournent, bien que nous n’ayons pas fait particulièrement de bruit. Peut être son parfum ?
En tout cas, voyant la jeune femme debout, déboutonnant lentement son manteau, ils délaissent le film ou pourtant une belle femme se fait prendre en sandwich par deux étalons italien.
Fanny prend son temps et fait durer le plaisir.
Elle retire lentement son manteau, le pli et me le donne afin qu’elle ne soit pas embarrassée. Enfin, avant de s’asseoir, elle frotte délicatement sa chemise nouée avec la paume de ses mains, insistant bien sur sa poitrine, comme pour faire tomber des peluches imaginaires, puis, elle fait de même avec son petit kilt.
Je vois les types s’agiter, se parler se lever et se rasseoir. Sans doute déjà bien excités par le film, ils doivent flairer la chair fraiche, le bon coup à ne pas rater.
Et je ne suis pas au bout de mes surprises.
Elle s’assoit enfin. Mais pour pouvoir poser sa nuque sur le dossier, elle glisse ses fesses jusqu’au bord du fauteuil. Ses genoux touchent le dossier de devant, alors, elle écarte ses jambes, en grand.
« Caresse-moi ! »
« Mais Fanny, ce n’est pas très… »
« Caresse moi ou vas t’en ! »
Je pose ma main sur son genou et la remonte lentement vers sa cuisse. Enervée, trouvant que je manque d’audace, elle prend ma main et la pose sur son minou, sous sa jupe qui se relève.
« Branle-moi ! Pauvre type ! »
Je mets le ton qu’elle emplois sur le stress de la situation, qu’elle est pourtant en train de créer, elle, toute seule.
Elle mouille comme une folle et je n’ai aucun mal à la pénétrer de deux doigts. Elle désire que je la branle, alors, je ne la ménage pas et la masturbe frénétiquement.
Elle ferme les yeux et respire fort. Aurait t’elle oublié que plusieurs paires d’yeux sont braquées sur elle ?
Soudain, elle retire ma main.
« Arrête ! »
Je pense l’avoir fait jouir et j’en suis assez fier, mais il ne s’agit pas de ca.
Un type c’est assit près d’elle. Je ne l’avais pas vu. Il caresse le genou de Fanny, d’une main, tout en s’efforçant d’ouvrir sa braguette de l’autre.
Sa main disparait sous la petite jupe, qu’elle s’empresse de remonter jusqu'à sa ceinture, sans aucune pudeur.
La blancheur de sa peau dans l’obscurité fait ressortir le V, formé par ses cuisses et son bas ventre. Le type n’en croit pas ses yeux.
Des spectateurs sentant qu’il se passe quelque chose, se lèvent et montent sur la pointe de leurs pieds pour essayer de voir.
Ils n’ont plus aucun doute lorsque Fanny dénoue sa chemise et l’ouvre en grand.
Les hommes quittent leurs places et se dirigent vers nous par les allées latérales.
Elle lui donne son aide pour libérer son membre et empoigne celui-ci sans hésiter.
Elle se tourne vers moi tout en continuant à se faire branler par l’inconnu et en lui rendant la pareille.
« Je crois qu’il va me falloir de quoi m’essuyer ! »
Puis elle se tourne de trois quart et plonge sa tête entre les jambes du type.
Il me regarde, me fait un clin d’œil et souri.
Je comprends que je n’arrêterais pas le délire de Fanny, alors je me glisse hors de l’allée et me dirige vers les toilettes. Un dernier regard à la salle avant d’y pénétrer. Des hommes debout me la cachent.
Près d’un lavabo il y a un distributeur d’essuies mains en papier. J’en retire un maximum et retourne dans la salle obscure.
L’attroupement autour de Fanny est considérable. Les hommes forment un cercle autour d’elle sur trois rangées. J’ai bien du mal à l’atteindre malgré mes suppliques.
« Pardon ! Laissez-moi passer ! Pardon ! Je suis son mec ! Laissez-moi passer ! »
Entre deux types, je parviens enfin à l’apercevoir.
Elle est à genoux, empruntant deux fauteuils pour cela, afin d’être bien ouverte. Elle n’a plus sa chemise. Il ne lui reste que sa jupe roulée au bas de dos. Elle penche son buste en avant pour sucer un type au dessus des dossiers tandis qu’un autre placé derrière elle lui bourre un des deux orifices. Je ne sais lequel. D’autres encore, caressent son dos, ses fesses, ses seins et son ventre dur comme l’acier.
Elle est magnifique.
Finalement, je me dis qu’elle est faite pour ca. Donner du plaisir.
Elle jouit sans discontinuer, d’un plaisir intense non simulé, sincère. Les hommes ne s’y trompent pas et même s’ils la baisent à la chaine, c’est dans l’ordre et le respect. Aucune bousculade.
A tel point que je me retrouve face à elle, sans le vouloir. Je libère mon sexe bandé pour lui tendre, heureux de pouvoir profiter de la situation et de pouvoir sentir ses lèvres sur mon gland. Mais le fait que je ne sois pas prêt, me trahi. Tous les hommes ont déjà leurs sexes libérés et tendus. Cet homme qui ouvre sa braguette devant ses yeux…ce n’est pas normal.
Elle lève la tête et m’aperçoit.
Sa bouche est baveuse et des traces de foutres barrent son joli visage. Ses cheveux balancent aux grés des assauts et ses yeux plus bleu que jamais, brillent d’un éclat que je ne leurs connaissaient pas encore. Elle est radieuse et si…belle.
Je lui souri et pose mon gland sur le bord de ses lèvres. Elle me fait une toute petite grimace rigolote et me sourit à son tour.
« Non, pas lui ! Poussez-le de là ! »
Et c’est un autre qui prend ma place.
En un instant, je sors de sa tête, je n’existe déjà plus et elle se régale d’un gros gourdin noir.
Dégouté, désarçonné et franchement perdu, je vais m’assoir à l’écart.
Je suis fatigué d’avoir le cœur serré. Fatigué de me demander si elle sera encore là demain. Fatigué de me faire rembarrer quand je la désire.
Fatigué aussi de ne pouvoir m’en passer.
C’est décidé, demain, je lui parle. Mais en attendant, elle s’éclate.
D’à genoux elle passe à assise, puis d’assise à allonger sur le dos à même le sol, puis en levrette. Je l’entends et la vois jouir pendant près de deux heures.
Et soudain.
« Bruno ! Bruno ! »
Et bien sur, j’accoure.
Elle est assise, essoufflée, cheveux collés et dégoulinante de sperme. Au près d’elle, sa chemise qui a du servir à essuyer X queues ruisselantes.
Quelques hommes sont encore là, à se masturber en la regardant. Lorsque j’arrive près d’elle, il y en a un qui se vide sur sa poitrine en poussant des râles de bêtes.
Enfin ! Elle a besoin de moi, de ma présence. D’un coup toutes mes rancœurs s’effacent.
J’écarte gentiment les derniers voyeurs et je commence à la nettoyer doucement.
J’essuie son visage, puis sa poitrine. J’éponge autant que je peux son vagin dégoulinant.
Sa chemise est trop gluante pour que je la lui remette. En boulle, je la glisse dans la poche de mon blouson.
Apres avoir rabattu sa jupe, je l’aide à se lever, à enfiler et fermer son manteau.
Dans le taxi qui nous ramène à la maison, le silence règne. Je la regarde. Elle semble épuisée.
Il fait nuit noire depuis longtemps lorsque nous arrivons chez moi.
« Je vais te préparer un thé. Ca te fera du bien. Attend ! Je vais t’aider à enlever ton manteau. Hum ! Il est taché. Je l’emmènerais au pressing demain et je laverais ta jupe. Tiens ! Donne la moi aussi. Je vais te retirer tes chaussettes. Mince ! Elles n’ont pas été épargnées non plus ! »
Je suis à genoux et roule ses mi-bas sur ses chevilles pour lui ôter.
La voilà nue, devant moi. J’en suis tout ému. J’aimerais la prendre, là…tout de suite !
Mais !
« Tu aime quand j’ai la chatte poisseuse ! Hein ? »
Elle m’attrape par les cheveux et me colle le visage contre son sexe.
« J’espère que ca ne te dérange pas ? Allez, lèche-moi ! Nettoie-moi la grotte bien à fond, laideron ! »
Si elle savait comme ce mot peut me faire mal ! Mais peut être le sait elle.
Ma bouche est collée à sa fente. Je la sens contracter et détendre son vagin. Elle refoule ainsi toutes les sèves humaines qui se trouvent encore en elle.
J’absorbe tout se qu’elle me restitue, malgré la forte odeur et le gout amer et salé des sécrétions, espérant bien sa grâce et la permission de la couvrir, enfin, de mon corps.
J’ai nettoyé son sexe au maximum et je me relève doucement sans détacher mes lèvres de son corps.
J’embrasse son ventre, son nombril. Je m’attarde sur ses seins et aspire ses tétons. Je lèche son cou et tente de l’embrasser.
Elle m’offre sa bouche comme au premier jour et je retrouve la douceur du premier baiser.
« Ho, mon amour ! J’ai tellement envi de toi ! J’ai tellement d’amour à te donner ! Laisse-moi t’aimer, mon amour ! »
Je lui dis ces paroles tout en l’embrassant, maintenant ses lèvres sur les miennes de ma main sur sa nuque.
De l’autre, je m’empresse de défaire ma braguette et de sortir mon membre prêt à exploser.
Contre toutes attentes, elle empoigne ma bite et me masturbe doucement en collant mon gland contre sa chatte bouillante. Elle mange mes lèvres à pleine bouche et nos respirations s’accélèrent.
Ma verge est prise de soubresauts. Je ne pourrais pas tenir, je vais jouir dans sa main.
L’a t’elle senti ?
Elle s’écarte d’un bond.
« Non ! Désolée, pas ce soir, je suis crevée ! »
Je sers ma queue dans ma main dans une ultime manœuvre pour empêcher ma jouissance, mais il est trop tard.
Une fois de plus, je crache ma purée sur la moquette, juste à ses pieds.
« Pourquoi fais tu ca ? Qu’est ce que tu attends de moi ? Tu veux me rendre fou ? Me détruire, m’achever ? »
Pas de nouvelles de Fanny depuis une semaine.
Le lendemain de ma crise de nerfs, elle est sortie, sans un mot, et n’est jamais revenue.
J’ai fais le ménage comme un damné pendant deux jours pour qu’à son retour elle retrouve un bel appartement. Puis, j’ai laissé tomber.
La table de salon est couverte de canettes de bière et de boites de pizza. L’évier de la cuisine déborde. Sont lit est défait depuis que je m’y suis couché et m’y suis masturbé. Depuis, je dors dans le canapé avec la télé allumée, non stop.
Mes nuits sont agitées. J’alterne entre cauchemars et jolis rêves. Et là, je suis aux anges car c’est le cas.
Je vois ma belle Fanny pencher sur moi, léchant mes testicules avec tendresse et remonter sur ma colonne tendue. Puis elle l’engloutit avec avidité jusqu’à la garde.
Mon plaisir monte. Je transpire. Je vais jouir.
Je me réveille en sursaut.
« Fanny ! Fannyyy ! »
Ma queue explose et je jouis fort, très fort…dans la gorge de ma Fanny.
Elle est là, comme dans mon rêve, à s’occuper de mon dard. Je crois encore rêver.
Je n’ose pas parler pour ne pas casser le charme de cet instant magique.
Apres m’avoir bu et nettoyé, elle se lève.
« Tu ne serrais pas mieux au lit ? »
Et elle se dirige vers la salle de bain.
En trois secondes, je suis dans ma…sa chambre. Je défais les draps à la hâte, pour en mettre des propres. Une petite couverture et je suis déjà couché lorsqu’elle arrive.
Elle est nue sous une petite nuisette courte et transparente.
Je rebande comme un âne à la simple pensé que je vais la sentir près de moi. Mais elle fera bien plus et nous nous aimerons toute la nuit. Dans les quelques poses que nous avons faites, nous n’avons jamais évoqué notre brouille, ni son absence.
Ce matin, je suis gai et de très bonne humeur. Je suis descendu chercher des croissants et je suis passé chez le fleuriste prendre un petit bouquet de violettes.
Je lui prépare un joli plateau et lui apporte au lit.
Elle a des cernes sous les yeux. J’en suis assez fier, c’est mon œuvre. Elle a joui plusieurs fois dans la nuit et a eu de nombreux orgasmes puissants.
« Merci ! C’est très gentil. Ca me fait vraiment plaisir. Hummm ! Elles sentent si bon ! »
Elle dévore son petit déjeuner, puis :
« Tu me pardonnera, mais je crois que je vais dormir toute la journée. Tu m’as épuisé. J’aimerais que tu refasses un poulet au curry pour ce soir, j’ai un invité. »
J’ai un petit pincement au cœur.
« Heuu ! En tête à tête ? »
« Oui, s’il te plaît. Je te remercie. »
Elle se retourne et s’endort d’un coup.
Je me suis emballé trop vite. Je pensais vraiment qu’elle était revenue à des sentiments plus profonds avec moi. Doux rêveur que je suis. Il n’en est rien.
Mais elle est là ! Ma douce et tendre Fanny est là ! N’est ce pas cela le plus important ? Je pourrais être seul en ce moment. Alors…
Mon poulet est encore plus réussi que la dernière fois. Je fais une belle table pour deux et prépare des toasts pour l’apéritif.
« Comment trouve tu ma robe ? »
Elle porte une robe rouge, très courte. Sa taille est mise en valeur par une grosse ceinture avec une boucle ronde en argent, portée très basse. Si le décolleté est assez sage, il en est autrement de l’échancrure du dos qui plonge, jusqu'à la naissance des deux hémisphères fessier.
« Hum ! Tu es magnifique ! Elle te… »
Pas le temps de finir ma phrase. La sonnette retentie.
« Ha ! Le voilà ! J’arriveeee ! »
Je m’éclipse en cuisine. Je ne suis pas pressé de voir ce type.
« Vladimir ! Comme je suis contente que vous soyez venu ! »
« Fanny, vous êtes superbe, vraiment. J’ai amené ma chienne de compagnie. J’espère que cela ne vous dérange pas, au moins ? »
« Ho non, pas du tout, du moment qu’elle ne lève pas la patte sur les meubles ! Hihihi ! »
« Mais non ! Rien à craindre, c’est une femelle ! Hahaha ! »
Ces rires gras m’énervent au plus haut point. Je suis étonné que Fanny accepte un animal. Elle en a une peur bleu.
Je les entends s’installer. J’attends un peu et apporte l’apéritif sur un plateau.
Vladimir est un homme d’une soixantaine d’années, très grand, pas bien gros, arborant une moustache et une barbichette façon Napoléon III.
Près de lui, une jeune fille est à genoux, tête baissée et mains croisées dans le dos. Il la tient en laisse et lui caresse doucement les cheveux, tout en discutant avec Fanny. Voilà donc son animal de compagnie !
Elle a de très longs cheveux soyeux, noir corbeau, qui cache son visage. Je ne peux le voir. Comme seuls vêtements, une mini jupe de cuir noir, très courte et un caraco seins nus en lanières de cuir, orné de clous argentés.
Je suis attristé pour cette fille et je file en cuisine pour ne pas avoir à supporter ce spectacle.
Mais de la cuisine, j’entends tout.
« Ca ne vous dérange pas si je la détache ? »
« Bien sur que non, Vladimir ! Elle a l’air bien brave, cette petite ! Quel âge a-t-elle ? »
« Bientôt dix neuf. Brave quand elle veut ! Il faut parfois se fâcher. Allez ! File à la cuisine, tu trouveras bien quelque chose à y faire ! »
Quand elle entre dans la cuisine, je suis en train de démouler un gâteau. Elle reste près de la porte, les mains toujours dans le dos et tête baissée.
« Viens ! N’ai pas peur ! Viens vite m’aider. Tiens-moi le plat s’il te plaît, je suis en train de me bruler. »
Elle s’approche et tient le plat. Je ne vois toujours pas son visage, cachée par ses longs cheveux. Je pose le moule et passe ma main sous la chevelure. J’attrape son menton et relève doucement sa tête.
« Nous sommes entre amis, ici. Tu n’a rien à craindre de moi. »
Je la découvre enfin.
C’est une jeune asiatique avec encore un visage d’enfant. Elle est resplendissante de beauté.
Je ne peux m’empêcher de la détailler. Son visage est fin et bien dessiné. Ses seins exposés à mon regard sont menus, mais semblent d’une fermeté extrême. Son ventre est bien plat, légèrement musclé, dessinant de belles ombres discrètes.
« Comment t’appelles-tu ? Moi, c’est Bruno. »
« Vagina. Moi, c’est Vagina. »
« Vagina ? Mais ce n’est pas un prénom ca ! »
« Peut être, mais c’est ainsi que l’on doit m’appeler. »
« Allons ! Nous sommes entre nous ! Donne-moi ton vrai prénom, s’il te plait. »
Elle rougie un peu en me faisant de grands yeux de petite fille de manga.
« Thanh Thuy. Ca veut dire : Eau pure. »
« Et bien, eau pure, je suis ravi de faire ta connaissance. »
Elle est attendrissante et je ne peux m’empêcher de caresser amicalement, sa joue d’un revers de doigt.
C’est l’instant que choisi Fanny pour faire irruption dans la cuisine.
« Trois fois que je t’appelle ! Tu n’a rien d’autre à foutre que de draguer cette petite morue ! »
La jeune fille apeurée, court hors de la cuisine et retombe à genoux près de son…je ne sais quoi… qui la rattache immédiatement au bout de sa laisse.
Elle remet les mains dans son dos et se referme totalement sur elle-même en rabaissant sa tête une nouvelle fois.
« Je suis désolé Vladimir, il est impardonnable ! »
« Non, non, cher amie ! Ne lui en voulez pas. Vagina est très jeune, donc influençable. Cela ne se reproduira plus. Soyez en certaine. »
Je fais le service en cachant ma haine et ma colère, de façon à ne pas aggraver les choses pour Thanh Thuy.
A la fin du repas, ils s’installent dans le canapé et j’apporte les cafés.
« Monsieur Vladimir, permettez moi. J’ai préparé un plat chaud pour mademoiselle Vagina. Rassurez vous, il n’y aura pas de problèmes, je vous l’assure. »
Fanny est rouge de colère.
« Bruno ! Comment oses-tu ! »
« Non, laissez cher Fanny. C’est très gentil à lui. Elle n’a rien mangé depuis hier, je ne voudrais pas qu’elle tombe malade. C’est très gentil à vous, garçon. Merci beaucoup. »
Garçon ? Il m’appelle garçon ? Pauvre et sombre con !
Il détache la jeune fille et je l’entraine à la cuisine. Là, sans un mot, je la fait assoir au coin d’une table et lui sers une bonne assiette de poulet. Elle se jette dessus. Je veux bien croire qu’elle soit affamée.
Tout en étant aux petits soins pour ma nouvelle amie, j’écoute la discussion au salon.
« Elle est adorable. Ou avez-vous déniché cette merveille ? »
« Vous ne me croirez jamais. Je l’ai trouvé au fond d’une cave d’un HLM de banlieue, peu fréquentable. »
« Dans une cave ? »
Thanh Thuy lève les yeux vers moi. La honte se lit dans son regard et je comprends que ce que j’entends est vrai.
« Oui, oui, dans une cave ! Figurez vous que je recherchais une belle asiatique. Je les adore, c’est mon péché mignon. Je désespérais de trouver lorsqu’un de mes contacts m’a informé qu’il avait entendu parler qu’une tournante se préparait dans une cité, avec une asiatique. »
« Une tournante ? »
La jeune asiatique détourne son visage de moi et continu de manger.
« Oui, c’est cela. C’est la résultante d’une mauvaise rencontre dans un mauvais lieu, au mauvais moment. Un jeune homme lui a tourné la tête, et lui l’a « prêté » à ses amis. C’est très courant dans certaines cités de banlieue. La plupart du temps, ca se passe dans les caves ou les parkings. »
« Ha ? Vraiment ? »
« Je suis arrivé à temps. Avec un peu d‘argent on arrange les choses facilement. »
« Vous l’avez sauvé en quelque sorte ! »
« Tout à fait, oui. »
Thanh Thuy semble furieuse et fait semblant de taper du poing sur la table.
Je chuchote pour que Fanny ne m’entende pas.
« Tu a l’air contrarié ? Ca ne va pas ? »
« J’étais consentante. Il ne m’a pas sauvé. Quel con ! »
« Tu étais… »
« Et alors ! Les asiatiques aussi aiment le cul ! Il est arrivé et a foutu ma soirée en l’air. Mon mec m’avait trouvé dix types. Le truc, c’était que je devais faire semblant de ne pas vouloir. Je devais me débattre pour les exciter à mort. C’était un jeu, quoi ! »
« Et tu l’aurais vraiment fait ? »
« Humm ! Oui ! J’en rêve depuis déjà un bon moment. Et de toute façon je le ferais au moins une fois dans ma vie, dès que l’occasion se présentera ! »
« Mais qu’est ce que tu fou avec lui ? »
« Mon mec a accepté l’argent. Ca m’a dégouté. Comme j’habitais chez lui, il a bien fallu que je me trouve un autre toit. Mais ca vas, je suis bien traitée, même si il est un peu dingue. Je baise à volonté, ca me plais, alors tout vas bien. Au moins, il est original. »
« Bon, d’accord, mais il est vachement vieux pour toi, non ? »
« Dis dont ! Elle n’est pas vachement jeune pour toi ? »
« Oups ! Tu viens de marquer un point. Nous pourrions peut être nous voir… ailleurs… seuls. Qu’en dis-tu ? »
« Pas facile de m’échapper avec lui. Même la nuit, je dors au pied de son lit.
« Tu me diras, avec Fanny, ce n’est pas mieux, elle ne me lâche pas une seconde. »
« Hé ! Mais dis dont Bruno ! Tu ne serais pas en train de me proposer la botte, là ? »
Merde ! Elle arrive à me faire rougir. Je noie le poisson rapidement.
« Chuttt ! Écoute ce qu’ils disent ! »
Je me cache à l’entrebâillement de la porte pour les observer. Le type est assis dans le fauteuil et Fanny sur un pouf en face de lui.
« Ils parlent encore de toi, Thanh Thuy. »
Elle se lève et s’accroupie face à moi.
« Hé ! Qu’est ce que tu fais ? »
« Ose dire que tu ne me désire pas ! »
Elle pose sa petite main sur la bosse de mon pantalon.
« Thanh, c’est pas la question ! C’est plutôt que ce n’est pas le moment ! »
« Fais le guet et laisse moi faire. »
« Thanh ! Non, Thanh ! »
Mais déjà mon sexe est sorti. Ses petits doigts me caressent un instant, puis je sens la chaleur de sa bouche m’envelopper. Comment une tête si fine, peut elle engloutir autant de chair ?
Mais je ne peux pas être tout entier à mon plaisir et je dois rester très vigilant. Si Fanny venait à nous surprendre… dieu sait sa réaction. Je n’ai pas à tendre l’oreille, nous les entendons parfaitement bien.
« Elle est vraiment charmante. Vous avez beaucoup de chance. »
« Charmante et très docile. Ce qui ne gâche rien. De plus, si vous saviez comme elle est serrée ! C’est incroyable ! »
Je manque d’éclater de rire.
« C’est vrais ca ? T’es serrée ? »
« Continu comme ca et tu perdras toutes tes chances de le savoir un jour. »
« Rhoo ! C’est bon ! Je plaisante ! »
Imperturbable, elle reprend sa fellation. Et moi mon observation. Du moins, j’essais.
« Quand j’ai déposé mon annonce, je n’aurais jamais imaginé que ce puisse être une femme qui y réponde. »
« J’imagine que vous serrez plus rassuré que si c’était un homme. Ca je le comprends bien. »
De quoi parlent-ils ?
« Hoo ! Arrête, je vais jouir ! C’est trop bon ! C’est quoi cette histoire d’annonce ? »
« Et d’un, jouis, idiot ! Donne-moi ton jus ! Et de deux, j’en sais rien et je m’en fou ! »
Elle n’a pas fini sa phrase que je sens la base de mon pénis bouillonner. Je pousse ma queue dans sa bouche.
« Tiens ! Prends ! Prends tout ! Haa ! Bois tout ! Hummm ! »
La petite boit tout avec délectation. Elle n’en a pas perdu une seule goutte. Apres m’avoir bien nettoyé, elle range délicatement mon petit matériel, puis se redresse pour se jeter à mon cou et m’offrir un fabuleux baiser.
Sa bouche est si petite ! Comment a-t-elle pu me prendre tout entier ? Ceci explique peut être la rapidité avec laquelle elle m’a fait parvenir à la jouissance.
« En tout cas, ta bouche l’est ! »
Elle me regarde interrogative.
« Quoi donc ? »
« Ben ! Bien serrée ! »
Elle me donne de petits coups de poings tout en rigolant doucement.
« C’est bien que vous puissiez me la garder tout le mois. Vous m’ôtez une épine du pied. Vous verrez, elle est facile à gérer. »
« Elle a tout intérêt ! Je sais me montrer très autoritaire, vous savez ! »
Nous nous regardons. Un grand sourire barre nos visages.
« Tu vas rester un mois ici ! C’est génial ! »
Fanny se lève et s’approche du fauteuil. Lui, écarte les jambes pour l’accueillir. Elle prend la tête du type et l’appuit sur son ventre en caressant ses cheveux.
« N’ayez crainte Vladimir ! Je m’en occuperais bien ! Faite moi confiance. »
Tout à coup, il commence à transpirer. Il perd le contrôle. Ses mains passent rapidement sous la robe et empoignent les fesses de Fanny. Il embrasse son ventre, frotte son visage dessus.
« Ho Fanny ! Fanny ! Vous êtes belle ! Je vous veux… là…tout de suite ! »
Je tire Thanh devant moi, pour qu’elle profite du spectacle. Elle n’est pas grande et je passe facilement mes bras par-dessus ses épaules. Je les croise comme pour l’envelopper et je caresse ses petits seins. Ils sont si menus, mais d’une douceur incomparable et très réactifs. A peine mes paumes de mains posées, je sens les pointes réagir et gonfler.
Elle appuie sa tête contre moi et pose ses mains sur les miennes pour accompagner mes caresses. Je bande de nouveau et elle frotte son petit cul contre ma bosse.
Au salon, ca bouge.
Vladimir pette un câble.
Il lève la robe et plonge son visage dans l’intimité de sa nouvelle amie. Elle, ferme les yeux et se penche un peu, courbée par le plaisir en lui maintenant la tête contre sa fente.
Il lèche, lape comme un chien.
Il n’y a pas que lui qui soit excité. Je n’en peux plus non plus et j’imagine que ma petite asiatique n’est guère mieux. Elle ondule de plus en plus contre moi, tout en contemplant son mentor.
Je laisse une main quitter ses seins. Elle glisse sur son ventre, presse la micro jupe et se glisse dessous. Thanh ne porte rien et est lisse comme de la nacre.
Je sens son entaille de chair sous mon index et mon majeur. Je caresse doucement de haut en bas, puis de droite à gauche, jusqu'à sentir l’humidité sur le bout de mes doigts.
Vladimir pousse Fanny contre la table et l’y couche. Il relève ses jambes et après avoir extirpé son sexe, il l’a pénètre sans ménagement.
« Ho, oui ! Vladimir ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hooo ! »
Tandis que mes doigts pénètrent la jeune fille, je sens ses mains qui cherchent à ouvrir ma braguette et sortir mon sexe dressé.
Incroyable ! Mes doigts confirment ! C’est vrai… Elle est serrée, très serrée.
Je n’en peux plus. Je la colle contre le réfrigérateur. Elle s’accroche à mon cou et enroule ses jambes autour de ma taille. Nos lèvres se rejoignent de nouveaux alors que je pénètre son temple royal.
C’est un couloir de soie qui m’accueil, si étroit qu’il faut être fort pour en pousser les parois. Je suis ému d’y pénétrer, de l’envahir, de l’occuper. Je suis au paradis du soleil levant.
Sa douce respiration caresse mon oreille. Nulle force, nulle brutalité, nulle impatience. Tout se fait dans la douceur et l’intimité d’une tendre complicité.
Dans le salon…
« Je viens, Fanny ! Je viens ! »
« Ho oui ! Donne-moi tout ! Jouis fort ! Remplis-moi ! »
Même les deux excités ne pourraient gâcher notre douce fusion.
Pourtant…
« Mais ils sont ou les deux, làààà ! BRUNO ! Qu’est ce que tu fou ! Amène moi des lingettes et deux cafés ! Dépêche-toi ! »
Pas question de quitter la douce chaleur de Thanh.
« Ne bouge pas ! Je m’en fou, ne bouge pas ! »
« Non, Bruno ! S’il me trouve ainsi, je serais sévèrement punie. »
Elle m’embrasse une dernière fois, furtivement, et laisse retomber ses jambes à terre.
Je sens mon cœur se déchirer et ma tête bouillir de colère.
J’apporte des lingettes. J’ai vraiment envi de lui balancer en pleine face.
Lui, c’est installé de nouveau dans le fauteuil, tandis qu’elle est restée debout, robe relevée pour ne pas la tacher par le sperme qui coule le long de ses jambes. Elle a l’air ridicule devant cet homme qui, soulagé, n’a plus rien à faire de cette poupée.
« Putain ! Bruno ! Qu’est ce que vous foutiez là-bas ? »
« Nous finissions la vaisselle. Nous ne voulions pas vous déranger. »
Thanh entre dans la pièce et va droit vers Vladimir. Dès qu’elle se trouve à porté, il glisse sa main sous la petite jupe. La jeune fille rougie et baisse la tête.
« Et bien, jeune homme, vous faite très mal la vaisselle ! Elle est encore toute poisseuse ! Vagina, fou toi à genoux ! Tu serras punie pour ta stupidité. »
Inutile d’aggraver la situation. Je retourne à la cuisine, chercher le café. Lorsque je reviens, elle est de nouveau en laisse.
« Fanny, je dois partir. Je vous laisse donc le soin d’appliquer la punition. Vagina sera livrée pour une tournante dans une cité. Et vous, jeune homme, vous serrez chargé de l’organiser sous le contrôle de Fanny. Et n’oubliez pas que si elle est punie c’est en partie de votre faute. »
Thanh relève discrètement la tête pour croiser mon regard. Elle me fait un grand sourire complice. Elle ne pouvait rêver meilleure punition.
Fanny se méfie beaucoup et je n’arrive pas à communiquer avec Thanh. Je dors sur le canapé et elle est attachée au pied du lit de Fanny. Pas simple.
Le lendemain, elle m’envoie prospecter.
Je ne choisis pas la cité la plus pourrie. La sécurité de Thanh m’importe beaucoup. C’est une que je connais qui a ma préférence.
J’y traine un peu, semblant chercher quelque chose. Je veux attirer l’attention d’un groupe de jeunes.
J’ai du y parvenir, car l’un d’eux s’approche de moi. C’est le moment de vérité.
« Tu cherche quelque chose ? »
« Ca se pourrait, oui. »
« On aime pas les types qui tournent en rond, ici. T’es qui ? Tu veux quoi ? »
Le type ne semble pas commode et ses potes nous observent de loin.
« Rassure toi, je ne suis pas un flic. On m’a parlé de « tournante » ici. C’est vrai ? »
« T’es journaliste ? »
« Mais non ! C’est juste que s’il y a des tournantes dans le coin, j’ai peut être du matériel pour vous. Du premier choix.»
Je fouille dans ma poche et je lui sors une photo de Thanh, que Fanny avait habillée joliment pour l’occasion, afin d’attiser l’envie.
Il s’éloigne avec la photo et va rejoindre son groupe d’amis. La photo circule de mains en mains. Ils discutent. Aucune émotion ne transparait. Et lorsqu’il revient me voir …
« Samedi. Dix neuf heures trente. Je serais là. Tu ne me parle pas et tu me suis de loin avec la fille. On garde la photo. T’es prévenu, il risque d’y avoir du monde. Pas d’entourloupes, sinon… »
Je rentre transmettre le rendez vous à Fanny. Thanh est encore dans la chambre, alors je parle assez fort pour qu’elle m’entende.
Fanny semble surexcitée.
« Ca c’est parfait. Vladimir vat être content de moi. C’est génial. Il faudra faire des photos et des vidéos pour les lui montrer. Ho putain ! C’est trop cool ! »
Tout à sa joie, elle s’enferme dans la salle de bain en oubliant de fermer sa chambre à clef.
Je rejoins Thanh.
« Tu a entendu ? Tu vas l’avoir ta tournante. »
« C’est super, Bruno. Merci. Je suis déjà toute excitée. »
« Tu a intérêt à être en forme. Le type m’a fait comprendre que ca allait être musclé. »
« T’inquiète pas je vais les épuiser. Hihihi ! »
« Mais n’oublies pas. Autant pour les types que pour Fanny, tu n’es pas consentante. C’est bien compris ? »
« T’inquiète pas ! Au lycée, j’étais la meilleure en théâtre. »
Elle m’embrasse furtivement.
Je ne pourrais plus lui parler de la semaine.
Samedi.
Fanny est nerveuse. Elle a sorti toutes les fringues de son armoire. Elle ne sait pas comment habiller Thanh.
Finalement, se sera porte jarretelle et bas noir, escarpins hauts talons, jupe noire plissée et pour finir un gilet bordeaux un peu grand, fermé devant par des boutons pression. Bien sur, elle ne porte aucun sous vêtement. A ma demande, elle lui donne tout de même une veste pour le voyage.
« Ou allons nous ? Ou m’emmenez-vous ? Je ne veux pas faire de tournante ! S’il vous plait ? Ou allons-nous ? »
Elle avait raison. C’est une excellente comédienne. Fanny tombe dans le panneau et lui met son collier de chien.
« Je te préviens, si tu bronche je te passe la laisse et tu gouteras à la cravache ! »
Thanh a pu et a su se maquiller pour être encore plus désirable. Elle a lissé ses longs cheveux soyeux, qu’elle laisse couler sur ses épaules. Je la sens nerveuse, mais décidée. Nos regards se croisent furtivement plusieurs fois dans la journée. Lorsque ca arrive, elle me sourit ou me fait un clin d’œil rapide.
Elle est délicieusement belle.
Fanny enfile un jeans et un tee-shirt sous un blouson de cuir, et nous voilà parti.
Dans le métro et le bus qui nous conduisent à la cité, les gens nous regardent. Il faut dire qu’il n’est pas commun de croiser une jeune fille portant un collier d’animal de compagnie.
« Place Youri Gagarine. »
Nous sommes au cœur de la cité et à l’heure. Pourtant, près du banc ou nous avions rendez vous…personne.
La nuit tombe sur les barres HLM.
Nous sommes tendus tout les trois. Même Fanny se demande si nous ne ferions pas mieux de partir. Je le sens à son attitude nerveuse.
Depuis un moment, sur le trottoir d’en face, des jeunes passent, seuls ou en petits groupes, pour entrer dans un hall d’immeuble. Démarches nonchalantes, mains dans les poches et casquettes vissées sur le crane. Le stéréotype de la jeunesse de banlieue. Ils nous dévisagent tous. Il est vrai que les deux poupées qui se trouvent avec moi, ne peuvent qu’attirer les regards.
« Le voilà ! C’est lui. »
A ces mots, Thanh est parcourue d’un grand frison, qu’elle a bien du mal à cacher.
Elle me fait signe discrètement qu’elle a peur. De la tête, je lui indique que l’on peut encore partir, mais elle fronce les sourcils pour me faire comprendre qu’il n’en était pas question.
« Nous devons le suivre de loin, sans lui parler. »
« Ok ! Allons y, mais avant… »
Fanny sort la laisse de sa poche et malgré ses protestations, attache la petite asiatique.
Le jeune pénètre dans le même hall que tous les autres. Il ne fait plus de doute que nous allons bientôt retrouver tout ce petit monde.
Nous nous engageons à notre tour derrière la grande porte vitrée. Il y a un couloir ou son alignées des boites à lettres pour la plupart éventrées. Un petit tourne à droite et nous sommes devant deux ascenseurs. Les témoins lumineux, indiquent qu’ils sont dans les étages. Il n’y a personne.
Derrière nous, j’aperçois une porte entrouverte. J’y jette un œil.
Un escalier en béton, éclairé par une ampoule blafarde, disparait dans la pénombre du sous sol.
« Suivez moi, ce doit être par là ! »
Fanny me retient par la manche.
« Pas question ! C’est la pute qui ouvre la marche. Allez, avance ! »
Tout en la tenant en laisse, elle pousse Thanh dans l’escalier.
Je la vois morte de trouille, mais je sais qu’elle n’apprécierait pas que j’arrête tout.
L’escalier tourne. Une main légèrement en avant, elle laisse l’autre glisser sur le mur. Elle penche un peu la tête comme pour anticiper ce qui pourrait surgir au bout de notre descente.
Nous n’y voyons pas grand-chose mais bien que fermant la marche, je devine un long couloir, éclairé à peut prêt tout les vingt mètres. A notre gauche il y a un mur de béton et à droite des portes de bois cadenassées s’alignent aussi loin que l’on peut voir. A chaque lumière, un autre couloir s’enfonce sur la droite. Autant d’intersections qui nous font frissonner.
J’entends un bruit derrière moi. Je tourne la tête. Le jeune est là qui me fait signe d’avancer. Au couloir suivant, trois jeunes nous bloquent le passage.
Mon contact me tape sur l’épaule.
« C’est qui la meuf en jeans ? »
« C’est une amie, c’est elle qui amène la fille. »
S’adressant à ses potes…
« Je m’occupe de lui, fouillez les nanas ! »
Le mec me tapote un peu partout alors que les filles se font carrément peloter. Ce n’est pas du gout de Fanny.
« Bas les pattes ! C’est elle la salope ! »
Les types rigolent et tirent Thanh dans une cave. Nous y pénétrons aussi.
Il y a cinq caves dont les cloisons ont été abattues afin de ne plus faire qu’une longue pièce. Au fond, un matelas a été jeté à même le sol en terre battue. Sur le mur, deux anneaux pendent à hauteur d’homme. Il y est accroché des cordelettes de nylon.
Difficile de dénombrer le nombre de personne qui se trouve là.
La longue soirée de Thanh commence.
Sa laisse a été défaite et sa veste ôtée. Le jeune la fait avancer lentement vers le matelas entre deux rangées de jeunes hommes.
« Arrêtez ! Laissez-moi ! Mais qu’est ce que vous faite ! Laissez-moi ! Non ! »
Malgré ses cris de protestations, son gilet a été ouvert et baissé sur ses épaules. Des mains se succèdent sur sa petite poitrine. D’autres soulèvent sa jupe, caressent son cul ou sa chatte, ou bien encore ses cheveux, son visage, sa bouche.
Lorsqu’elle arrive au matelas, son gilet n’est plus et sa jupe ne résiste pas longtemps.
Sa beauté, sa resplendissante nudité contrastent avec cet endroit glauque, sale et puant.
Pendant un instant, je ne la vois plus. Elle a totalement disparu au milieu des hommes qui se bousculent pour la caresser. Le jeune intervient.
« Ho ! Poussez-vous ! Laissez la petite salope respirer ! Il y en aura pour tout le monde ! »
Il semble respecté car les types s’écartent immédiatement.
Il s’approche d’elle en montant lui aussi sur le couchage.
Thanh est debout sur la paillasse, dos au mur. Elle couvre sa poitrine de ses avants bras, en portant ses doigts à ses lèvres. Comme une petite fille apeurée, elle lève légèrement une jambe et la glisse devant l’autre pour tenter de cacher son sexe.
« Je m’appelle Samir, et toi ? »
« Vagina. »
« Vagina…Vagina. Vaginal ? Comme le vagin ? »
Ils éclatent tous de rire.
« Bon, écoute. C’est toi qui décide. Si tu veux que ca se passe bien, ca se passera bien. Si tu veux la merde, tu auras la merde. Tu comprends ce que je te dis ? Regarde-moi quand je parle ! »
Elle sursaute et fait un petit oui de la tête.
« Biennn ! On va te dire ce qu’on veux et toi tu fais. Ce n’est pas dur, tu vois ! Par exemple… »
Il défait sa ceinture ainsi que les boutons de sa braguette.
« …par exemple, moi, je veux que tu me pompe à fond ! »
Elle ne bouge pas et rebaisse la tête.
Samir se fâche et l’attrape par les cheveux.
« T’a pas compris pouffiasse ! Je veux que tu me pompe ! Alors tu te fou à genoux et tu bouffe mon dard ! »
Il tire fort, obligeant la jeune fille à tomber à genoux.
« Bouffe ! »
Tremblante, elle plonge ses doigts dans le caleçon et sort sa première bite de la soirée.
Elle prend la main de Samir pour qu’il lui lâche les cheveux, et fait glisser le gourdin entre ses lèvres fines.
« Et ben voilà ! »
Plusieurs types se rapprochent pour la contempler sucer leur chef.
D’autres, viennent vers nous.
Un grand black s’approche tout près de Fanny et fait glisser un doigt sur ses cheveux.
« Salut chérie ! Tu sais que le black aime bien les poufiasses blondes ? »
« Oui, mais les blondes n’aiment pas forcement le black ! Ok ! En plus je ne suis pas là pour ca ! Alors dégage et vas t’occuper de la bridée. »
Il fait un large sourire qui laisse apparaitre une dentition parfaite, d’une blancheur incomparable.
« Putain ! Toi, t’a des couilles pour me parler comme ca. J’aime bien. J’adore les rebelles ! »
Il colle une main sur un de ses seins, en la glissant dans le blouson ouvert. Sans attendre, elle lui claque l’avant bras pour lui faire lâcher prise.
« Pas touche ! C’est pas pour toi ! »
« Tu crois pouvoir me frapper ? »
Il claque des doigts et deux types passent derrière elle et tente de lui retirer son blouson, malgré ses efforts pour se dégager.
« Moi, je demande pas la permission ! Je prends ! Surtout ici ! Tu crois vraiment que tu allais repartir comme t’es venue ? »
Le blouson, descendu dans son dos, lui bloque les bras. Le black attrape le tee-shirt au niveau du col et le déchire en deux, libérant les deux seins blancs.
« Brunooo ! Aide-moi, merde ! Fais quelque chose ! »
Je vois là l’occasion rêvée de reprendre le contrôle de ma vie.
« Mais oui Fanny ! Je vais faire quelque chose ! Je vais me délecter de ce qui va t’arriver, mon amour ! »
Les types éclatent de rire et finissent de la débarrasser du blouson et du tee-shirt. Puis, ils l’a tirent contre le mur, au pied du matelas pour l’attacher aux crochets avec les cordelettes.
A ses pieds, Thanh se fait prendre en levrette et suce un type en même temps. J’ignore combien l’ont déjà honorée, mais elle ne semble pas épuisée.
J’aide les types à retirer les bottines et le jeans de Fanny. La salope se débat comme une tigresse et les coups de pieds pleuvent de toutes parts. Mais c’est peine perdue et très vite elle est complètement dévêtue.
Les bras attachés, elle est beaucoup moins fière et nettement moins arrogante.
« S’il vous plait, détachez-moi ! Regardez, c’est moi qui vous ai apporté la petite salope et c’est comme ca que vous me remerciez ? Allez ! Détachez-moi, je vous en supplie ! »
Samir vient me voir.
« Si j’ai bien compris, t’es en compte avec cette morue ? Alors à toi l’honneur ! Paye-toi ! »
« Non, merci. Ca lui ferait trop plaisir que je m’abaisse à la baiser. Elle est à vous, je vous la laisse. »
C’est le black qui la besogne en premier. Lui aussi était en compte avec elle et il se sert copieusement et bien profond.
En fin de nuit, elle a rejoint Thanh sur le matelas. Celle-ci, bien que fatiguée, en demande encore et c’est en missionnaire qu’elle finit les quelques jeunes qui trainent encore dans la cave.
Fanny se fait sodomiser une dernière fois et s’écroule, épuisée. Elle aimerait bien se lever et partir enfin, mais c’est sans compter sur son ami black qui ne voit pas les choses se terminer ainsi.
Il la couche sur le dos, bras le long du corps et s’assois sur son ventre.
« Tiens, petite ! Viens poser ton minou sur sa face de putain ! »
Thanh, amusée, ne se fait pas prier.
Elle se glisse à genoux au dessus du visage de Fanny, face au black. Son vagin dégueule de foutre qui coule sur les cheveux et le front de la salope. Encore quelques centimètres et elle se contracte pour se vider sur son nez, sa bouche et son menton.
Le black à son sexe entre ses seins et les presse pour se branler gentiment.
Je suis surexcité et je n’y tiens plus. Je sors mon engin et le tends à Thanh qui se fait un plaisir de lui offrir sa bouche comme refuge.
Elle a désormais posé son fessier sur le visage de la nouvelle esclave. Elle étouffe ainsi ses plaintes et ses injures.
Le black dans un dernier râle, se vide dans le cou de la blonde. Il retire ensuite le collier de la petite asiatique et le passe à l’autre, sur son foutre encore chaud.
Je craque et me vide à mon tour.
Thanh s’essuie avec les lambeaux du tee-shirt. Pour Fanny, c’est plus compliqué. Elle n’a rien pour éponger sa chatte ou son visage. Elle renfile son jeans et son blouson.
Je la sens vaincue. Elle a les yeux hagards, ne sachant plus quoi faire, n’y ou se rendre.
Avec Thanh, nous remercions Samir et le black et nous leur avouons qu’elle était consentante. Ca les amuse beaucoup et ils nous font jurer de revenir les voir.
La petite se fait un plaisir d’attacher Fanny à la laisse, et nous voilà en route pour mon appartement.
Cinq heures du matin. Pas de bus. C’est à pied que nous rejoignons la station de métro, heureusement pas trop éloignée. Le vent frais fait plus ou moins sécher le foutre sur le visage de Fanny.
Elle a bien de la chance car à cette heure, un dimanche matin, il y a peu de monde dans le métro. Mais nous croisons tout de même quelques personnes qui n’oublierons jamais l’image de cette jeune fille blonde, maculée de foutre et tenue en laisse par une ravissante asiatique, dans un couloir de métro.
Après une bonne douche, nous dormirons toute la matinée dans mon lit, d’un bon et long sommeil réparateur. Fanny, quant à elle, restera attachée au pied du lit dans l’état ou elle était.
Quinze heures sonne en même temps que la sonnette de la porte. Je vais voir et je tombe sur Vladimir.
« Bonjour mon ami ! Je viens reprendre Vagina. J’espère que… »
« Bougez pas, je reviens ! »
Je ferme la porte.
Thanh m’aide à remplir un sac poubelle des fringues de Fanny. Elle l’a détache du lit, lui passe collier et laisse et me l’amène.
Je l’a tire jusqu’à la porte d’entrée que j’ouvre et je la pousse dans le couloir sous les yeux effarés de Vladimir.
« Vagina n’est plus, vive Enculina ! »
Et je claque la porte.
Thanh explose de rire et de joie. Elle accoure et me saute au cou.
Insatiable qu’elle est, nous ferons l’amour jusqu’au soir.
Une nouvelle vie commence.
AVERTISSEMENT !
Certain faits racontés dans cette histoire sont sévèrement punis par la loi.
Ils ne sont là que pour illustrer une histoire sortie tout droit de l'imaginaire, et ne sont en aucun cas cautionnés par l'auteur.
Quand vous êtes laid et avez quarante deux ans, vous n’attendez plus grand chose des femmes. Vous mettez votre vie sentimentale et sexuelle en stand-by et vous vous masturbez sur les quelques instants de bonheur que vous avez pu avoir durant votre vie.
Pourtant, parfois…
C’est un pote et sa copine qui m’ont entrainé dans cette boite de nuit.
Je ne sais pas danser et je ne me sens vraiment pas à ma place. Je me console en regardant les petits culs qui s’agitent devant moi.
Les filles sont belles, jeunes, mais surtout inaccessibles. Pour moi, du moins.
A la table d’à coté, il y a un couple de vingt ans tout au plus.
Enfin ! Quand je dis couple… Le garçon est seul car sa petite amie se déhanche comme une folle sur la piste.
Je n’arrive pas à détacher mes yeux de la fille. C’est une pure merveille blonde.
Cheveux mi-long, yeux bleus, une chemise blanche nouée sur le ventre, boutons ouverts créant un décolleté à faire pâlir le Marquis de Sade et laissant percevoir de petits seins bien blancs.
Son petit cul est couvert d’un mini kilt qui dégage ses jambes des cuisses aux genoux, le reste étant enveloppé dans de longues chaussettes blanches.
Son mec reste assis et comme moi, il la contemple. Il est tellement prit par la prestation de sa chérie, qu’il ne voit pas que je regarde la même chose que lui. Et c’est tant mieux.
« Bon ! Bruno ! Tu viens ? On y va ! »
Mes amis désirent partir.
« Heu ! Non ! Finalement, je suis bien ici. En plus, il n’est pas très tard. Ne vous inquiétez pas, je rentrerais seul. Ok ? »
« Bon ! C’est comme tu veux. A plus ! Salut ! »
Ils s’en vont et je les suis des yeux. C’est là que mon regard croise celui de la jeune blonde.
Elle danse toujours, mais elle me fixe et me sourit. Je suis un peu gêné et je tourne la tête vers son copain. Il me regarde. Il n’a pas l’air en colère, mais semble plutôt triste.
D’un coup…je me sens moins bien.
Elle vient s’asseoir près de lui pour prendre un verre et se reposer un peu. Elle donne un bisou à son mec et sort une cigarette.
Nous sommes à des tables différentes, mais sur la même banquette. Elle n’est pas à plus d’un mètre de moi. Je peux sentir son parfum.
« Vous avez du feu ? »
Elle c’est pratiquement allongée, sa cigarette au bout des doigts. Sa chemise pendouille et je vois distinctement ses seins. Elle ne peut pas l’ignorer.
Je fouille ma poche, nerveusement, trouve mon briquet et je lui tends. Elle ne le prend pas, mais s’étire encore un peu plus pour que je l’allume.
La feu touche le tabac, mais ne s’enflamme pas. Elle n’aspire pas.
Interrogateur, je la regarde.
Ses yeux plongent dans les miens et brillent derrière la flamme. Sentant mon trouble, elle esquisse un sourire et aspire enfin. Le tabac s’embrase dans un petit crépitement presque inaudible, tout comme son « Merci beaucoup. »
Elle fume sa cigarette sans s’intéresser à moi. Intérieurement, je me dis que c’est une belle allumeuse et je plains son ami.
Son poison fini, elle retourne danser…juste devant moi. Ses cuisses frôlent ma table.
Je n’ose plus regarder son mec.
Je suis fasciné par ce petit corps qui se tord et ondule. Je bande.
Soudain, nous nous retrouvons dans l’obscurité et les spots colorés sont remplacés par une lumière noire.
C’est le moment des slows.
Elle me tend la main et ses doigts m’invitent à me lever. Je lui fais signe que je ne sais pas danser. En plus j’ai une énorme bosse dans mon pantalon. J’aurais l’air fin !
Mais ca, elle l’ignore et elle attrape mon poignet et me tire sur la piste.
Elle se jette littéralement à mon cou. Moi, bien sagement, je la prends par la taille. Sa chemise est nouée haut et mes mains se posent à même sa peau.
« Ho ! Pardon ! Je suis désolé ! »
Je les retire aussitôt, mais elle les reprend et les replacent sur ses hanches.
« Ce n’est pas grave. Tu vois que tu sais danser ! Serre moi un peu plus. »
« Heu ! Je ne sais pas si je dois… »
« Si ! Tu dois ! »
Et elle se plaque à moi.
Un peu dérouté par mon érection incontrôlable, qu’elle ne peut ignorer, je tente de me calmer, mais en vain.
Elle se frotte à moi, doucement. Son pouce caresse ma nuque et elle a posé son menton sur mon épaule. Je sens sa respiration dans mon oreille et ses cheveux caressent ma joue.
Forcement mon sexe redevient plus dur que jamais.
Elle me regarde, amusée, me sourit et repose son menton tout près de mon cou pour me murmurer :
« Ce n’est pas grave ! ».
Grisé par son parfum, sa chaleur, j’oubli son ami et m’aventure à la serrer plus fort.
Mes mains glissent dans son dos et je sens ses seins s’écraser sur ma poitrine.
Si ca continu, je vais cracher ma purée dans mon froc !
J’aperçois son ami qui se lève et qui se dirige vers les toilettes. Elle le voit aussi.
« On y va ! Vite !»
Ce n’est pas une demande, c’est comme un ordre, une évidence.
« Heu ! Ben non ! Ton copain…tu ne peux… »
Ses yeux bleus me lancent des éclairs. Elle ne semble pas aimer qu’on lui tienne tête.
« On y vas ! Maintenant ! Ne cherche pas à comprendre ! »
Je suis surpris et très embarrassé pour ce pauvre gars, mais pourtant, je la suis.
Nous ramassons nos manteaux et une fois dehors j’appelle un taxi.
« Ou veux tu aller ? »
« Chez toi ! C’est bien, chez toi, non ? »
Je donne mon adresse au chauffeur. Il nous observe dans le rétro et il doit se dire qu’un type comme moi, a bien de la chance d’être avec une fille… comme elle.
Je ne sais pas trop dans quoi je m’embarque, mais c’est l’instant présent qui compte en ce moment. J’aurais bien le temps de me poser des questions demain.
Apres avoir inspecté mon appart, elle s’installe dans le canapé, jambes croisées, ses mains sur son genou. Mon dieu qu’elle est belle.
Je lui offre du champagne et très sagement nous discutons de choses et d’autres. Elle n’est pas idiote et il est agréable de converser avec elle.
« Je ne connais même pas ton prénom ! »
« Moi, je connais le tien ! Bruno ! »
Elle s’amuse de mon air étonné.
« Rassure toi, je n’ai pas de don particulier. J’ai juste entendu tes amis t’appeler par ton prénom. Hihi ! Moi, c’est Fanny.»
« Fanny ! Humm ! C’est très joli ! Mais dis-moi Fanny…je repense à ton petit copain et… »
« Ha non, Bruno ! »
Elle pose son verre et vient se poser à califourchon sur moi.
« Tu ne veux pas gâcher cette belle soirée ? T’inquiète pas pour ce mec, il ne compte pas. Embrasse-moi ! »
C’est le plus beau, le meilleur et le plus long baiser de toute mon existence.
Ses lèvres sont douces, sucrées. Sa langue est agile, curieuse et fouille chaque recoins de ma bouche avec douceur. Nos salives se mélangent et font de grands filets lorsque par hasard nos bouches gourmandes se détachent, pour mieux se retrouver ensuite.
Sa chemise est dénouée, retirée et jetée loin dans la pièce.
Mes premières caresses sur ses seins confirment ce que je pensais. Ils sont d’une douceur extrême, tiennent dans le creux de mes mains et son fermes comme des pamplemousses un peu murs.
Ses tétons dressés appellent ma bouche et Fanny se penche en arrière pour mieux me les offrir.
Je les suce et les roule entre mes lèvres, tandis que mes mains caressent ses cuisses et remontent lentement sous son petit kilt.
Quelle n’est pas ma surprise d’arriver à son sexe sans trouver la moindre trace de culotte ou de string.
Mes pouces caressent les grandes lèvres, puis, les écartent et glissent dans la grotte humide.
La petite Fanny s’énerve sur ma braguette qui lui résiste un peu et libère enfin mon dard tendu.
Elle se redresse lentement, puis…se laisse remplir doucement par ma chair.
Apres une bonne décennie sans faire l’amour, qu’il est bon de retrouver la chaleur et la douce humidité d’un sexe féminin, d’entendre de nouveau de longues plaintes de plaisir, un souffle court, sentir des mains dans mes cheveux, sur mon visage.
Au petit matin, je la réveille doucement avec un copieux petit déjeuner.
Elle se cale dans le canapé que nous n’avons pas quitté, et remonte sur elle la fine couverture avec laquelle nous nous étions couverts pour dormir un peu.
Je pose le plateau sur ses cuisses et après m’avoir remercié, elle dévore ses croissants.
« Tu va bien, Fanny ? »
« Humm ! Oui ! Je me sens détendue comme jamais. »
Je repose son plateau sur la table basse et je me glisse près d’elle sous la couverture.
Nous refaisons l’amour.
« Bruno ? J’aimerai rester là ! »
Voilà un mois qu’elle c’est installée chez moi.
Un mois de bonheur.
Un mois de sexe à toutes heures.
Un mois que je ne me sens plus laid.
Pourtant insidieusement, les choses changent.
Du jour au lendemain elle exige que je lui serve le petit déjeuner au lit, tous les jours.
Le ménage m’incombe entièrement à présent tandis qu’elle fait son shopping, et le repas doit être prêt lorsqu’elle daigne enfin rentrer.
J’ai bien tenté d’exprimer mon mécontentement. Sa réponse fut très explicite.
« J’aimerai rester là, près de toi. Je suis bien, ici. Ne me donne pas l’envie de partir ! »
J’ai tout de suite repensé à son copain en boite et à la tristesse qu’il affichait. Sans doute subissait-il le même chantage, la même pression.
Je repense aussi à ses années sans amour, seul. Alors…je me tais.
Je ne veux pas perdre cette peau douce, ses yeux clairs, ce petit chat qui se blottit encore contre moi, la nuit.
Peu à peu, je ne suis plus moi. Amoureux, mais paralysé par la peur de la perdre.
Je pense qu’elle le sait et elle en joue. A moi de ne pas tomber dans ses pièges.
Un vendredi soir…
« J’ai invité deux amis ce soir. Fais-nous un bon petit truc à manger. Mais par pitié, sois mignon et ne mange pas avec nous. Sers-nous, mais ne mange pas. Je veux être tranquille avec mes nouveaux amis et je ne voudrais pas qu’ils croient que…je ne veux pas qu’ils sachent que tu es avec moi. »
Elle a honte de moi, c’est évident. Elle ne veut surtout pas qu’ils devinent qu’elle se tape un vieux et un moche en plus.
Je m’effacerais donc.
Je prépare un poulet au curry. Je sais qu’elle en raffole.
Je mets la table pour trois personnes tandis qu’elle se change avant l’arrivé de ses invités.
Elle arrive dans mon dos et passe ses bras autour de moi pour me serrer contre elle. Ses mains caressent mon torse et je passe les miennes derrière moi et les posent sur ses fesses.
« Ca sent bon, Bruno ! Tu t’es surpassé semble t’il ! »
« J’espère mon amour. Pour toi, rien n’est trop bon. »
Je me retourne et nous nous embrassons tendrement mais nous sommes dérangés par la sonnette de la porte. Immédiatement, elle court vers celle-ci en hurlant.
« J’arrive ! Me voici ! Me voilààààà ! »
Je n’avais pas encore vu sa tenue. Elle porte une longue robe de dentelle noire, très… trop transparente. Elle ne porte pas de soutien gorge et je peux voir sa poitrine sans problème au travers de la dentelle et voir également le petit string ridicule qui ne cache que son coquillage.
« Whouaaaa ! My girl ! Tu es trop belle ! »
« Merci Eric ! Bonjour Vincent, tu vas bien ? »
« Quand je te vois, je ne peux qu’aller bien ! »
Putain ! C’est quoi ces deux espèce de bourgeois ? Ils sont maniérés, gominés, habillés année quatre vingt. Je les déteste déjà !
L’un d’eux m’aperçoit. Il me fait un signe de tête presque imperceptible, l’autre m’ignore totalement. Pauvres cons !
Je me sens vraiment très mal, mais je suis sur que c’est un test que Fanny m’impose pour voir…pour voir, je ne sais pas quoi, en fait.
Ils se sont installés dans le canapé de chaque coté de ma dulcinée. Ils sont collés à elle comme des sangsues et ils ont passé un de leurs bras derrière sa tête. De leurs mains libres, ils ont prit les siennes et les lui embrassent de mille petits bisous. Ils ont vraiment l’air très con.
Je m’empresse de servir l’apéritif, juste pour qu’ils la lâchent.
Ils discutent, éclatent de rire pendant que je mets une touche finale à mon plat.
Le repas se passera bien. Pour eux en tout cas. Moi, je m’enferme à la cuisine pour ne pas entendre toutes leurs conneries.
Pour le café, ils repassent au salon. Je les sers et m’éclipse faire la vaisselle.
Lorsque je reviens, Fanny est à genoux, nue et saute d’une bite à l’autre pour les sucer. Mon cœur se serre.
J’ai envi de tout foutre en l’air, de jeter ces types hors de chez moi et de baiser violement Fanny pour la recadrer. Mais je n’en ferais rien, bien sur.
Près de la porte de la cuisine, il y a une chaise. Je m’assois et je les regarde prendre du plaisir, rongé par la jalousie.
Ils jouissent à tour de rôle dans la bouche de la petite blonde et je me dis qu’il y a une chance pour qu’ils s’en aillent. Mais bien sur, il n’en est rien.
Fanny se redresse, les prend par la main et les entraine dans notre chambre…dans MA chambre.
Je m’allonge dans le canapé, effondré par la tristesse, la jalousie. Je prends le coussin ou elle était assise pour sentir son parfum. Je ne dormirais pas et passerais ma nuit à écouter les gémissements, les rires et les jouissances qui me parviennent de ma chambre, par la porte entrebâillée.
Au matin, vers dix heures, je leurs apporte le petit déjeuner. Je pousse la porte du pied et entre dans la chambre. Ils sont encore en train de forniquer comme des bêtes.
Je pose le plateau sur une chaise près du lit et je sors. Ils ne m’ont même pas vu.
Vers midi, ils laissent Fanny épuisée et s’en vont, enfin.
Je vais la rejoindre.
Elle dort, nue, sur le dos, les bras en croix en travers du lit. Ses cheveux sont collés par la transpiration. Sur son visage, près de ses lèvres ou encore dans son cou, il y a des traces de foutres séchés.
A mieux y regarder, j’en trouve aussi sur ses seins, son ventre, sur un bras également.
Mon regard se pose sur son joli minou, rougit par les assauts répétés. Il s’en écoule encore un filet blanchâtre qui glisse vers la raie de ses fesses.
Qu’est ce qui me prend ? Je deviens fou, ou quoi ?
Je penche mon visage vers sa fente meurtrie et y dépose un baiser. L’odeur de l’amour consumé parvient à mes narines et m’enivre. Je suis pris d’une envie irrésistible et je plonge ma langue dans le sexe souillé, malgré un léger soupçon de dégout.
Légèrement surpris par la saveur des jus mélangés, je suis ensuite pris de frénésie gourmande. Je suce, lèche aspire, bois. Je me débarbouille le visage de par l’orifice gluant.
Mon sexe rentre en érection comme jamais. Je n’en peux plus et libère mon membre. Je me jette sur Fanny endormie et la pénètre d’un coup.
« Qu’est ce que tu fais ? Tu es devenu fou ou quoi ! »
« Ho oui ! Je suis fou ! Fou de toi ! De ta chatte ! Laisse-moi te baiser ! Laisse-moi jouir dans ta chatte de pute ! »
Elle se débat, parvient à se dégager et me balance une gifle mémorable avant de disparaitre dans la salle de bain.
Assis au bord du lit, je reprends mes esprits tout en regardant mon sexe que je ne contrôle plus, qui éjacule sur la moquette en longs et puissants jets.
Je pleure.
Voilà deux semaines qu’elle ne m’adresse plus la parole.
Effrayé à la simple idée de la perdre, je redouble de petites attentions à son égard. Mais ca la laisse de marbre. Je sais qu’elle peut partir au moment ou je m’y attendrais le moins.
Elle me tient par les couilles, c’est le moins qu’on puisse dire.
Ce soir, lorsqu’elle sort de la salle de bain, j’ai un choc. Elle est habillée exactement comme la première fois ou je l’ai vue en boite. J’y vois là un signe de détente, de rapprochement, d’autant plus qu’elle me sourie gentiment.
Je me lève du canapé et m’approche d’elle.
« Tu es… »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase.
« Emmène-moi au cinéma ! »
« Heu ! Au cinéma ? Mais ou ? Que veux-tu voir ? »
« Emmène-moi dans la petite salle de mon ancien quartier. »
Elle a déjà attrapé son manteau et se dirige vers la porte. Je chope mon blouson et nous sortons. Je m’apprête à héler un taxi, mais…
« Non ! Prenons le métro ! »
Personnellement, ca m’arrange. Son ancien quartier est à l’autre bout de Paris. Ca me coutera bien moins cher. Toutefois, cette envie soudaine de prendre un transport en commun, m’inquiète beaucoup. Surtout dans la petite tenue que cache son manteau trois quart.
Il y a pas mal de monde, mais elle trouve quand même à s’asseoir sur un strapontin. Moi, je reste debout, appuyé à la porte du fond. Je l’observe.
Elle m’ignore complètement. Je la surprends à regarder les hommes, parfois même à leur sourire.
Je tremble à l’idée qu’elle puisse en accrocher un et partir avec, me laissant seul d’un coup. Mais à ma grande satisfaction, elle ne trouve pas chaussure à son pied.
Sur l’escalator qui nous remonte à la surface, elle fait pourtant une ultime tentative d’harponnage.
Elle a repéré un type d’une cinquantaine d’années, quelques marches plus bas. Elle se penche outrageusement en avant, faisant mine de nettoyer une de ses chaussures. Son manteau remonte et dégage ses cuisses. Il ne fait aucun doute sur le spectacle qu’elle offre à cet homme.
Mais c’est sans compter sur moi. Je jette un regard agressif au type et celui-ci, préfère tourner la tête que de m’affronter. Fanny, heureusement, ne m’a pas vu faire.
Nous pénétrons dans le petit cinéma qui passe un film d’horreur et un film de cul, en alternance, toute la journée.
Bien sur, avec la chance que j’aie, nous tombons sur le film de cul.
Fanny se glisse dans la première rangée venue, bien au centre. Des types se retournent, bien que nous n’ayons pas fait particulièrement de bruit. Peut être son parfum ?
En tout cas, voyant la jeune femme debout, déboutonnant lentement son manteau, ils délaissent le film ou pourtant une belle femme se fait prendre en sandwich par deux étalons italien.
Fanny prend son temps et fait durer le plaisir.
Elle retire lentement son manteau, le pli et me le donne afin qu’elle ne soit pas embarrassée. Enfin, avant de s’asseoir, elle frotte délicatement sa chemise nouée avec la paume de ses mains, insistant bien sur sa poitrine, comme pour faire tomber des peluches imaginaires, puis, elle fait de même avec son petit kilt.
Je vois les types s’agiter, se parler se lever et se rasseoir. Sans doute déjà bien excités par le film, ils doivent flairer la chair fraiche, le bon coup à ne pas rater.
Et je ne suis pas au bout de mes surprises.
Elle s’assoit enfin. Mais pour pouvoir poser sa nuque sur le dossier, elle glisse ses fesses jusqu’au bord du fauteuil. Ses genoux touchent le dossier de devant, alors, elle écarte ses jambes, en grand.
« Caresse-moi ! »
« Mais Fanny, ce n’est pas très… »
« Caresse moi ou vas t’en ! »
Je pose ma main sur son genou et la remonte lentement vers sa cuisse. Enervée, trouvant que je manque d’audace, elle prend ma main et la pose sur son minou, sous sa jupe qui se relève.
« Branle-moi ! Pauvre type ! »
Je mets le ton qu’elle emplois sur le stress de la situation, qu’elle est pourtant en train de créer, elle, toute seule.
Elle mouille comme une folle et je n’ai aucun mal à la pénétrer de deux doigts. Elle désire que je la branle, alors, je ne la ménage pas et la masturbe frénétiquement.
Elle ferme les yeux et respire fort. Aurait t’elle oublié que plusieurs paires d’yeux sont braquées sur elle ?
Soudain, elle retire ma main.
« Arrête ! »
Je pense l’avoir fait jouir et j’en suis assez fier, mais il ne s’agit pas de ca.
Un type c’est assit près d’elle. Je ne l’avais pas vu. Il caresse le genou de Fanny, d’une main, tout en s’efforçant d’ouvrir sa braguette de l’autre.
Sa main disparait sous la petite jupe, qu’elle s’empresse de remonter jusqu'à sa ceinture, sans aucune pudeur.
La blancheur de sa peau dans l’obscurité fait ressortir le V, formé par ses cuisses et son bas ventre. Le type n’en croit pas ses yeux.
Des spectateurs sentant qu’il se passe quelque chose, se lèvent et montent sur la pointe de leurs pieds pour essayer de voir.
Ils n’ont plus aucun doute lorsque Fanny dénoue sa chemise et l’ouvre en grand.
Les hommes quittent leurs places et se dirigent vers nous par les allées latérales.
Elle lui donne son aide pour libérer son membre et empoigne celui-ci sans hésiter.
Elle se tourne vers moi tout en continuant à se faire branler par l’inconnu et en lui rendant la pareille.
« Je crois qu’il va me falloir de quoi m’essuyer ! »
Puis elle se tourne de trois quart et plonge sa tête entre les jambes du type.
Il me regarde, me fait un clin d’œil et souri.
Je comprends que je n’arrêterais pas le délire de Fanny, alors je me glisse hors de l’allée et me dirige vers les toilettes. Un dernier regard à la salle avant d’y pénétrer. Des hommes debout me la cachent.
Près d’un lavabo il y a un distributeur d’essuies mains en papier. J’en retire un maximum et retourne dans la salle obscure.
L’attroupement autour de Fanny est considérable. Les hommes forment un cercle autour d’elle sur trois rangées. J’ai bien du mal à l’atteindre malgré mes suppliques.
« Pardon ! Laissez-moi passer ! Pardon ! Je suis son mec ! Laissez-moi passer ! »
Entre deux types, je parviens enfin à l’apercevoir.
Elle est à genoux, empruntant deux fauteuils pour cela, afin d’être bien ouverte. Elle n’a plus sa chemise. Il ne lui reste que sa jupe roulée au bas de dos. Elle penche son buste en avant pour sucer un type au dessus des dossiers tandis qu’un autre placé derrière elle lui bourre un des deux orifices. Je ne sais lequel. D’autres encore, caressent son dos, ses fesses, ses seins et son ventre dur comme l’acier.
Elle est magnifique.
Finalement, je me dis qu’elle est faite pour ca. Donner du plaisir.
Elle jouit sans discontinuer, d’un plaisir intense non simulé, sincère. Les hommes ne s’y trompent pas et même s’ils la baisent à la chaine, c’est dans l’ordre et le respect. Aucune bousculade.
A tel point que je me retrouve face à elle, sans le vouloir. Je libère mon sexe bandé pour lui tendre, heureux de pouvoir profiter de la situation et de pouvoir sentir ses lèvres sur mon gland. Mais le fait que je ne sois pas prêt, me trahi. Tous les hommes ont déjà leurs sexes libérés et tendus. Cet homme qui ouvre sa braguette devant ses yeux…ce n’est pas normal.
Elle lève la tête et m’aperçoit.
Sa bouche est baveuse et des traces de foutres barrent son joli visage. Ses cheveux balancent aux grés des assauts et ses yeux plus bleu que jamais, brillent d’un éclat que je ne leurs connaissaient pas encore. Elle est radieuse et si…belle.
Je lui souri et pose mon gland sur le bord de ses lèvres. Elle me fait une toute petite grimace rigolote et me sourit à son tour.
« Non, pas lui ! Poussez-le de là ! »
Et c’est un autre qui prend ma place.
En un instant, je sors de sa tête, je n’existe déjà plus et elle se régale d’un gros gourdin noir.
Dégouté, désarçonné et franchement perdu, je vais m’assoir à l’écart.
Je suis fatigué d’avoir le cœur serré. Fatigué de me demander si elle sera encore là demain. Fatigué de me faire rembarrer quand je la désire.
Fatigué aussi de ne pouvoir m’en passer.
C’est décidé, demain, je lui parle. Mais en attendant, elle s’éclate.
D’à genoux elle passe à assise, puis d’assise à allonger sur le dos à même le sol, puis en levrette. Je l’entends et la vois jouir pendant près de deux heures.
Et soudain.
« Bruno ! Bruno ! »
Et bien sur, j’accoure.
Elle est assise, essoufflée, cheveux collés et dégoulinante de sperme. Au près d’elle, sa chemise qui a du servir à essuyer X queues ruisselantes.
Quelques hommes sont encore là, à se masturber en la regardant. Lorsque j’arrive près d’elle, il y en a un qui se vide sur sa poitrine en poussant des râles de bêtes.
Enfin ! Elle a besoin de moi, de ma présence. D’un coup toutes mes rancœurs s’effacent.
J’écarte gentiment les derniers voyeurs et je commence à la nettoyer doucement.
J’essuie son visage, puis sa poitrine. J’éponge autant que je peux son vagin dégoulinant.
Sa chemise est trop gluante pour que je la lui remette. En boulle, je la glisse dans la poche de mon blouson.
Apres avoir rabattu sa jupe, je l’aide à se lever, à enfiler et fermer son manteau.
Dans le taxi qui nous ramène à la maison, le silence règne. Je la regarde. Elle semble épuisée.
Il fait nuit noire depuis longtemps lorsque nous arrivons chez moi.
« Je vais te préparer un thé. Ca te fera du bien. Attend ! Je vais t’aider à enlever ton manteau. Hum ! Il est taché. Je l’emmènerais au pressing demain et je laverais ta jupe. Tiens ! Donne la moi aussi. Je vais te retirer tes chaussettes. Mince ! Elles n’ont pas été épargnées non plus ! »
Je suis à genoux et roule ses mi-bas sur ses chevilles pour lui ôter.
La voilà nue, devant moi. J’en suis tout ému. J’aimerais la prendre, là…tout de suite !
Mais !
« Tu aime quand j’ai la chatte poisseuse ! Hein ? »
Elle m’attrape par les cheveux et me colle le visage contre son sexe.
« J’espère que ca ne te dérange pas ? Allez, lèche-moi ! Nettoie-moi la grotte bien à fond, laideron ! »
Si elle savait comme ce mot peut me faire mal ! Mais peut être le sait elle.
Ma bouche est collée à sa fente. Je la sens contracter et détendre son vagin. Elle refoule ainsi toutes les sèves humaines qui se trouvent encore en elle.
J’absorbe tout se qu’elle me restitue, malgré la forte odeur et le gout amer et salé des sécrétions, espérant bien sa grâce et la permission de la couvrir, enfin, de mon corps.
J’ai nettoyé son sexe au maximum et je me relève doucement sans détacher mes lèvres de son corps.
J’embrasse son ventre, son nombril. Je m’attarde sur ses seins et aspire ses tétons. Je lèche son cou et tente de l’embrasser.
Elle m’offre sa bouche comme au premier jour et je retrouve la douceur du premier baiser.
« Ho, mon amour ! J’ai tellement envi de toi ! J’ai tellement d’amour à te donner ! Laisse-moi t’aimer, mon amour ! »
Je lui dis ces paroles tout en l’embrassant, maintenant ses lèvres sur les miennes de ma main sur sa nuque.
De l’autre, je m’empresse de défaire ma braguette et de sortir mon membre prêt à exploser.
Contre toutes attentes, elle empoigne ma bite et me masturbe doucement en collant mon gland contre sa chatte bouillante. Elle mange mes lèvres à pleine bouche et nos respirations s’accélèrent.
Ma verge est prise de soubresauts. Je ne pourrais pas tenir, je vais jouir dans sa main.
L’a t’elle senti ?
Elle s’écarte d’un bond.
« Non ! Désolée, pas ce soir, je suis crevée ! »
Je sers ma queue dans ma main dans une ultime manœuvre pour empêcher ma jouissance, mais il est trop tard.
Une fois de plus, je crache ma purée sur la moquette, juste à ses pieds.
« Pourquoi fais tu ca ? Qu’est ce que tu attends de moi ? Tu veux me rendre fou ? Me détruire, m’achever ? »
Pas de nouvelles de Fanny depuis une semaine.
Le lendemain de ma crise de nerfs, elle est sortie, sans un mot, et n’est jamais revenue.
J’ai fais le ménage comme un damné pendant deux jours pour qu’à son retour elle retrouve un bel appartement. Puis, j’ai laissé tomber.
La table de salon est couverte de canettes de bière et de boites de pizza. L’évier de la cuisine déborde. Sont lit est défait depuis que je m’y suis couché et m’y suis masturbé. Depuis, je dors dans le canapé avec la télé allumée, non stop.
Mes nuits sont agitées. J’alterne entre cauchemars et jolis rêves. Et là, je suis aux anges car c’est le cas.
Je vois ma belle Fanny pencher sur moi, léchant mes testicules avec tendresse et remonter sur ma colonne tendue. Puis elle l’engloutit avec avidité jusqu’à la garde.
Mon plaisir monte. Je transpire. Je vais jouir.
Je me réveille en sursaut.
« Fanny ! Fannyyy ! »
Ma queue explose et je jouis fort, très fort…dans la gorge de ma Fanny.
Elle est là, comme dans mon rêve, à s’occuper de mon dard. Je crois encore rêver.
Je n’ose pas parler pour ne pas casser le charme de cet instant magique.
Apres m’avoir bu et nettoyé, elle se lève.
« Tu ne serrais pas mieux au lit ? »
Et elle se dirige vers la salle de bain.
En trois secondes, je suis dans ma…sa chambre. Je défais les draps à la hâte, pour en mettre des propres. Une petite couverture et je suis déjà couché lorsqu’elle arrive.
Elle est nue sous une petite nuisette courte et transparente.
Je rebande comme un âne à la simple pensé que je vais la sentir près de moi. Mais elle fera bien plus et nous nous aimerons toute la nuit. Dans les quelques poses que nous avons faites, nous n’avons jamais évoqué notre brouille, ni son absence.
Ce matin, je suis gai et de très bonne humeur. Je suis descendu chercher des croissants et je suis passé chez le fleuriste prendre un petit bouquet de violettes.
Je lui prépare un joli plateau et lui apporte au lit.
Elle a des cernes sous les yeux. J’en suis assez fier, c’est mon œuvre. Elle a joui plusieurs fois dans la nuit et a eu de nombreux orgasmes puissants.
« Merci ! C’est très gentil. Ca me fait vraiment plaisir. Hummm ! Elles sentent si bon ! »
Elle dévore son petit déjeuner, puis :
« Tu me pardonnera, mais je crois que je vais dormir toute la journée. Tu m’as épuisé. J’aimerais que tu refasses un poulet au curry pour ce soir, j’ai un invité. »
J’ai un petit pincement au cœur.
« Heuu ! En tête à tête ? »
« Oui, s’il te plaît. Je te remercie. »
Elle se retourne et s’endort d’un coup.
Je me suis emballé trop vite. Je pensais vraiment qu’elle était revenue à des sentiments plus profonds avec moi. Doux rêveur que je suis. Il n’en est rien.
Mais elle est là ! Ma douce et tendre Fanny est là ! N’est ce pas cela le plus important ? Je pourrais être seul en ce moment. Alors…
Mon poulet est encore plus réussi que la dernière fois. Je fais une belle table pour deux et prépare des toasts pour l’apéritif.
« Comment trouve tu ma robe ? »
Elle porte une robe rouge, très courte. Sa taille est mise en valeur par une grosse ceinture avec une boucle ronde en argent, portée très basse. Si le décolleté est assez sage, il en est autrement de l’échancrure du dos qui plonge, jusqu'à la naissance des deux hémisphères fessier.
« Hum ! Tu es magnifique ! Elle te… »
Pas le temps de finir ma phrase. La sonnette retentie.
« Ha ! Le voilà ! J’arriveeee ! »
Je m’éclipse en cuisine. Je ne suis pas pressé de voir ce type.
« Vladimir ! Comme je suis contente que vous soyez venu ! »
« Fanny, vous êtes superbe, vraiment. J’ai amené ma chienne de compagnie. J’espère que cela ne vous dérange pas, au moins ? »
« Ho non, pas du tout, du moment qu’elle ne lève pas la patte sur les meubles ! Hihihi ! »
« Mais non ! Rien à craindre, c’est une femelle ! Hahaha ! »
Ces rires gras m’énervent au plus haut point. Je suis étonné que Fanny accepte un animal. Elle en a une peur bleu.
Je les entends s’installer. J’attends un peu et apporte l’apéritif sur un plateau.
Vladimir est un homme d’une soixantaine d’années, très grand, pas bien gros, arborant une moustache et une barbichette façon Napoléon III.
Près de lui, une jeune fille est à genoux, tête baissée et mains croisées dans le dos. Il la tient en laisse et lui caresse doucement les cheveux, tout en discutant avec Fanny. Voilà donc son animal de compagnie !
Elle a de très longs cheveux soyeux, noir corbeau, qui cache son visage. Je ne peux le voir. Comme seuls vêtements, une mini jupe de cuir noir, très courte et un caraco seins nus en lanières de cuir, orné de clous argentés.
Je suis attristé pour cette fille et je file en cuisine pour ne pas avoir à supporter ce spectacle.
Mais de la cuisine, j’entends tout.
« Ca ne vous dérange pas si je la détache ? »
« Bien sur que non, Vladimir ! Elle a l’air bien brave, cette petite ! Quel âge a-t-elle ? »
« Bientôt dix neuf. Brave quand elle veut ! Il faut parfois se fâcher. Allez ! File à la cuisine, tu trouveras bien quelque chose à y faire ! »
Quand elle entre dans la cuisine, je suis en train de démouler un gâteau. Elle reste près de la porte, les mains toujours dans le dos et tête baissée.
« Viens ! N’ai pas peur ! Viens vite m’aider. Tiens-moi le plat s’il te plaît, je suis en train de me bruler. »
Elle s’approche et tient le plat. Je ne vois toujours pas son visage, cachée par ses longs cheveux. Je pose le moule et passe ma main sous la chevelure. J’attrape son menton et relève doucement sa tête.
« Nous sommes entre amis, ici. Tu n’a rien à craindre de moi. »
Je la découvre enfin.
C’est une jeune asiatique avec encore un visage d’enfant. Elle est resplendissante de beauté.
Je ne peux m’empêcher de la détailler. Son visage est fin et bien dessiné. Ses seins exposés à mon regard sont menus, mais semblent d’une fermeté extrême. Son ventre est bien plat, légèrement musclé, dessinant de belles ombres discrètes.
« Comment t’appelles-tu ? Moi, c’est Bruno. »
« Vagina. Moi, c’est Vagina. »
« Vagina ? Mais ce n’est pas un prénom ca ! »
« Peut être, mais c’est ainsi que l’on doit m’appeler. »
« Allons ! Nous sommes entre nous ! Donne-moi ton vrai prénom, s’il te plait. »
Elle rougie un peu en me faisant de grands yeux de petite fille de manga.
« Thanh Thuy. Ca veut dire : Eau pure. »
« Et bien, eau pure, je suis ravi de faire ta connaissance. »
Elle est attendrissante et je ne peux m’empêcher de caresser amicalement, sa joue d’un revers de doigt.
C’est l’instant que choisi Fanny pour faire irruption dans la cuisine.
« Trois fois que je t’appelle ! Tu n’a rien d’autre à foutre que de draguer cette petite morue ! »
La jeune fille apeurée, court hors de la cuisine et retombe à genoux près de son…je ne sais quoi… qui la rattache immédiatement au bout de sa laisse.
Elle remet les mains dans son dos et se referme totalement sur elle-même en rabaissant sa tête une nouvelle fois.
« Je suis désolé Vladimir, il est impardonnable ! »
« Non, non, cher amie ! Ne lui en voulez pas. Vagina est très jeune, donc influençable. Cela ne se reproduira plus. Soyez en certaine. »
Je fais le service en cachant ma haine et ma colère, de façon à ne pas aggraver les choses pour Thanh Thuy.
A la fin du repas, ils s’installent dans le canapé et j’apporte les cafés.
« Monsieur Vladimir, permettez moi. J’ai préparé un plat chaud pour mademoiselle Vagina. Rassurez vous, il n’y aura pas de problèmes, je vous l’assure. »
Fanny est rouge de colère.
« Bruno ! Comment oses-tu ! »
« Non, laissez cher Fanny. C’est très gentil à lui. Elle n’a rien mangé depuis hier, je ne voudrais pas qu’elle tombe malade. C’est très gentil à vous, garçon. Merci beaucoup. »
Garçon ? Il m’appelle garçon ? Pauvre et sombre con !
Il détache la jeune fille et je l’entraine à la cuisine. Là, sans un mot, je la fait assoir au coin d’une table et lui sers une bonne assiette de poulet. Elle se jette dessus. Je veux bien croire qu’elle soit affamée.
Tout en étant aux petits soins pour ma nouvelle amie, j’écoute la discussion au salon.
« Elle est adorable. Ou avez-vous déniché cette merveille ? »
« Vous ne me croirez jamais. Je l’ai trouvé au fond d’une cave d’un HLM de banlieue, peu fréquentable. »
« Dans une cave ? »
Thanh Thuy lève les yeux vers moi. La honte se lit dans son regard et je comprends que ce que j’entends est vrai.
« Oui, oui, dans une cave ! Figurez vous que je recherchais une belle asiatique. Je les adore, c’est mon péché mignon. Je désespérais de trouver lorsqu’un de mes contacts m’a informé qu’il avait entendu parler qu’une tournante se préparait dans une cité, avec une asiatique. »
« Une tournante ? »
La jeune asiatique détourne son visage de moi et continu de manger.
« Oui, c’est cela. C’est la résultante d’une mauvaise rencontre dans un mauvais lieu, au mauvais moment. Un jeune homme lui a tourné la tête, et lui l’a « prêté » à ses amis. C’est très courant dans certaines cités de banlieue. La plupart du temps, ca se passe dans les caves ou les parkings. »
« Ha ? Vraiment ? »
« Je suis arrivé à temps. Avec un peu d‘argent on arrange les choses facilement. »
« Vous l’avez sauvé en quelque sorte ! »
« Tout à fait, oui. »
Thanh Thuy semble furieuse et fait semblant de taper du poing sur la table.
Je chuchote pour que Fanny ne m’entende pas.
« Tu a l’air contrarié ? Ca ne va pas ? »
« J’étais consentante. Il ne m’a pas sauvé. Quel con ! »
« Tu étais… »
« Et alors ! Les asiatiques aussi aiment le cul ! Il est arrivé et a foutu ma soirée en l’air. Mon mec m’avait trouvé dix types. Le truc, c’était que je devais faire semblant de ne pas vouloir. Je devais me débattre pour les exciter à mort. C’était un jeu, quoi ! »
« Et tu l’aurais vraiment fait ? »
« Humm ! Oui ! J’en rêve depuis déjà un bon moment. Et de toute façon je le ferais au moins une fois dans ma vie, dès que l’occasion se présentera ! »
« Mais qu’est ce que tu fou avec lui ? »
« Mon mec a accepté l’argent. Ca m’a dégouté. Comme j’habitais chez lui, il a bien fallu que je me trouve un autre toit. Mais ca vas, je suis bien traitée, même si il est un peu dingue. Je baise à volonté, ca me plais, alors tout vas bien. Au moins, il est original. »
« Bon, d’accord, mais il est vachement vieux pour toi, non ? »
« Dis dont ! Elle n’est pas vachement jeune pour toi ? »
« Oups ! Tu viens de marquer un point. Nous pourrions peut être nous voir… ailleurs… seuls. Qu’en dis-tu ? »
« Pas facile de m’échapper avec lui. Même la nuit, je dors au pied de son lit.
« Tu me diras, avec Fanny, ce n’est pas mieux, elle ne me lâche pas une seconde. »
« Hé ! Mais dis dont Bruno ! Tu ne serais pas en train de me proposer la botte, là ? »
Merde ! Elle arrive à me faire rougir. Je noie le poisson rapidement.
« Chuttt ! Écoute ce qu’ils disent ! »
Je me cache à l’entrebâillement de la porte pour les observer. Le type est assis dans le fauteuil et Fanny sur un pouf en face de lui.
« Ils parlent encore de toi, Thanh Thuy. »
Elle se lève et s’accroupie face à moi.
« Hé ! Qu’est ce que tu fais ? »
« Ose dire que tu ne me désire pas ! »
Elle pose sa petite main sur la bosse de mon pantalon.
« Thanh, c’est pas la question ! C’est plutôt que ce n’est pas le moment ! »
« Fais le guet et laisse moi faire. »
« Thanh ! Non, Thanh ! »
Mais déjà mon sexe est sorti. Ses petits doigts me caressent un instant, puis je sens la chaleur de sa bouche m’envelopper. Comment une tête si fine, peut elle engloutir autant de chair ?
Mais je ne peux pas être tout entier à mon plaisir et je dois rester très vigilant. Si Fanny venait à nous surprendre… dieu sait sa réaction. Je n’ai pas à tendre l’oreille, nous les entendons parfaitement bien.
« Elle est vraiment charmante. Vous avez beaucoup de chance. »
« Charmante et très docile. Ce qui ne gâche rien. De plus, si vous saviez comme elle est serrée ! C’est incroyable ! »
Je manque d’éclater de rire.
« C’est vrais ca ? T’es serrée ? »
« Continu comme ca et tu perdras toutes tes chances de le savoir un jour. »
« Rhoo ! C’est bon ! Je plaisante ! »
Imperturbable, elle reprend sa fellation. Et moi mon observation. Du moins, j’essais.
« Quand j’ai déposé mon annonce, je n’aurais jamais imaginé que ce puisse être une femme qui y réponde. »
« J’imagine que vous serrez plus rassuré que si c’était un homme. Ca je le comprends bien. »
De quoi parlent-ils ?
« Hoo ! Arrête, je vais jouir ! C’est trop bon ! C’est quoi cette histoire d’annonce ? »
« Et d’un, jouis, idiot ! Donne-moi ton jus ! Et de deux, j’en sais rien et je m’en fou ! »
Elle n’a pas fini sa phrase que je sens la base de mon pénis bouillonner. Je pousse ma queue dans sa bouche.
« Tiens ! Prends ! Prends tout ! Haa ! Bois tout ! Hummm ! »
La petite boit tout avec délectation. Elle n’en a pas perdu une seule goutte. Apres m’avoir bien nettoyé, elle range délicatement mon petit matériel, puis se redresse pour se jeter à mon cou et m’offrir un fabuleux baiser.
Sa bouche est si petite ! Comment a-t-elle pu me prendre tout entier ? Ceci explique peut être la rapidité avec laquelle elle m’a fait parvenir à la jouissance.
« En tout cas, ta bouche l’est ! »
Elle me regarde interrogative.
« Quoi donc ? »
« Ben ! Bien serrée ! »
Elle me donne de petits coups de poings tout en rigolant doucement.
« C’est bien que vous puissiez me la garder tout le mois. Vous m’ôtez une épine du pied. Vous verrez, elle est facile à gérer. »
« Elle a tout intérêt ! Je sais me montrer très autoritaire, vous savez ! »
Nous nous regardons. Un grand sourire barre nos visages.
« Tu vas rester un mois ici ! C’est génial ! »
Fanny se lève et s’approche du fauteuil. Lui, écarte les jambes pour l’accueillir. Elle prend la tête du type et l’appuit sur son ventre en caressant ses cheveux.
« N’ayez crainte Vladimir ! Je m’en occuperais bien ! Faite moi confiance. »
Tout à coup, il commence à transpirer. Il perd le contrôle. Ses mains passent rapidement sous la robe et empoignent les fesses de Fanny. Il embrasse son ventre, frotte son visage dessus.
« Ho Fanny ! Fanny ! Vous êtes belle ! Je vous veux… là…tout de suite ! »
Je tire Thanh devant moi, pour qu’elle profite du spectacle. Elle n’est pas grande et je passe facilement mes bras par-dessus ses épaules. Je les croise comme pour l’envelopper et je caresse ses petits seins. Ils sont si menus, mais d’une douceur incomparable et très réactifs. A peine mes paumes de mains posées, je sens les pointes réagir et gonfler.
Elle appuie sa tête contre moi et pose ses mains sur les miennes pour accompagner mes caresses. Je bande de nouveau et elle frotte son petit cul contre ma bosse.
Au salon, ca bouge.
Vladimir pette un câble.
Il lève la robe et plonge son visage dans l’intimité de sa nouvelle amie. Elle, ferme les yeux et se penche un peu, courbée par le plaisir en lui maintenant la tête contre sa fente.
Il lèche, lape comme un chien.
Il n’y a pas que lui qui soit excité. Je n’en peux plus non plus et j’imagine que ma petite asiatique n’est guère mieux. Elle ondule de plus en plus contre moi, tout en contemplant son mentor.
Je laisse une main quitter ses seins. Elle glisse sur son ventre, presse la micro jupe et se glisse dessous. Thanh ne porte rien et est lisse comme de la nacre.
Je sens son entaille de chair sous mon index et mon majeur. Je caresse doucement de haut en bas, puis de droite à gauche, jusqu'à sentir l’humidité sur le bout de mes doigts.
Vladimir pousse Fanny contre la table et l’y couche. Il relève ses jambes et après avoir extirpé son sexe, il l’a pénètre sans ménagement.
« Ho, oui ! Vladimir ! Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! Hooo ! »
Tandis que mes doigts pénètrent la jeune fille, je sens ses mains qui cherchent à ouvrir ma braguette et sortir mon sexe dressé.
Incroyable ! Mes doigts confirment ! C’est vrai… Elle est serrée, très serrée.
Je n’en peux plus. Je la colle contre le réfrigérateur. Elle s’accroche à mon cou et enroule ses jambes autour de ma taille. Nos lèvres se rejoignent de nouveaux alors que je pénètre son temple royal.
C’est un couloir de soie qui m’accueil, si étroit qu’il faut être fort pour en pousser les parois. Je suis ému d’y pénétrer, de l’envahir, de l’occuper. Je suis au paradis du soleil levant.
Sa douce respiration caresse mon oreille. Nulle force, nulle brutalité, nulle impatience. Tout se fait dans la douceur et l’intimité d’une tendre complicité.
Dans le salon…
« Je viens, Fanny ! Je viens ! »
« Ho oui ! Donne-moi tout ! Jouis fort ! Remplis-moi ! »
Même les deux excités ne pourraient gâcher notre douce fusion.
Pourtant…
« Mais ils sont ou les deux, làààà ! BRUNO ! Qu’est ce que tu fou ! Amène moi des lingettes et deux cafés ! Dépêche-toi ! »
Pas question de quitter la douce chaleur de Thanh.
« Ne bouge pas ! Je m’en fou, ne bouge pas ! »
« Non, Bruno ! S’il me trouve ainsi, je serais sévèrement punie. »
Elle m’embrasse une dernière fois, furtivement, et laisse retomber ses jambes à terre.
Je sens mon cœur se déchirer et ma tête bouillir de colère.
J’apporte des lingettes. J’ai vraiment envi de lui balancer en pleine face.
Lui, c’est installé de nouveau dans le fauteuil, tandis qu’elle est restée debout, robe relevée pour ne pas la tacher par le sperme qui coule le long de ses jambes. Elle a l’air ridicule devant cet homme qui, soulagé, n’a plus rien à faire de cette poupée.
« Putain ! Bruno ! Qu’est ce que vous foutiez là-bas ? »
« Nous finissions la vaisselle. Nous ne voulions pas vous déranger. »
Thanh entre dans la pièce et va droit vers Vladimir. Dès qu’elle se trouve à porté, il glisse sa main sous la petite jupe. La jeune fille rougie et baisse la tête.
« Et bien, jeune homme, vous faite très mal la vaisselle ! Elle est encore toute poisseuse ! Vagina, fou toi à genoux ! Tu serras punie pour ta stupidité. »
Inutile d’aggraver la situation. Je retourne à la cuisine, chercher le café. Lorsque je reviens, elle est de nouveau en laisse.
« Fanny, je dois partir. Je vous laisse donc le soin d’appliquer la punition. Vagina sera livrée pour une tournante dans une cité. Et vous, jeune homme, vous serrez chargé de l’organiser sous le contrôle de Fanny. Et n’oubliez pas que si elle est punie c’est en partie de votre faute. »
Thanh relève discrètement la tête pour croiser mon regard. Elle me fait un grand sourire complice. Elle ne pouvait rêver meilleure punition.
Fanny se méfie beaucoup et je n’arrive pas à communiquer avec Thanh. Je dors sur le canapé et elle est attachée au pied du lit de Fanny. Pas simple.
Le lendemain, elle m’envoie prospecter.
Je ne choisis pas la cité la plus pourrie. La sécurité de Thanh m’importe beaucoup. C’est une que je connais qui a ma préférence.
J’y traine un peu, semblant chercher quelque chose. Je veux attirer l’attention d’un groupe de jeunes.
J’ai du y parvenir, car l’un d’eux s’approche de moi. C’est le moment de vérité.
« Tu cherche quelque chose ? »
« Ca se pourrait, oui. »
« On aime pas les types qui tournent en rond, ici. T’es qui ? Tu veux quoi ? »
Le type ne semble pas commode et ses potes nous observent de loin.
« Rassure toi, je ne suis pas un flic. On m’a parlé de « tournante » ici. C’est vrai ? »
« T’es journaliste ? »
« Mais non ! C’est juste que s’il y a des tournantes dans le coin, j’ai peut être du matériel pour vous. Du premier choix.»
Je fouille dans ma poche et je lui sors une photo de Thanh, que Fanny avait habillée joliment pour l’occasion, afin d’attiser l’envie.
Il s’éloigne avec la photo et va rejoindre son groupe d’amis. La photo circule de mains en mains. Ils discutent. Aucune émotion ne transparait. Et lorsqu’il revient me voir …
« Samedi. Dix neuf heures trente. Je serais là. Tu ne me parle pas et tu me suis de loin avec la fille. On garde la photo. T’es prévenu, il risque d’y avoir du monde. Pas d’entourloupes, sinon… »
Je rentre transmettre le rendez vous à Fanny. Thanh est encore dans la chambre, alors je parle assez fort pour qu’elle m’entende.
Fanny semble surexcitée.
« Ca c’est parfait. Vladimir vat être content de moi. C’est génial. Il faudra faire des photos et des vidéos pour les lui montrer. Ho putain ! C’est trop cool ! »
Tout à sa joie, elle s’enferme dans la salle de bain en oubliant de fermer sa chambre à clef.
Je rejoins Thanh.
« Tu a entendu ? Tu vas l’avoir ta tournante. »
« C’est super, Bruno. Merci. Je suis déjà toute excitée. »
« Tu a intérêt à être en forme. Le type m’a fait comprendre que ca allait être musclé. »
« T’inquiète pas je vais les épuiser. Hihihi ! »
« Mais n’oublies pas. Autant pour les types que pour Fanny, tu n’es pas consentante. C’est bien compris ? »
« T’inquiète pas ! Au lycée, j’étais la meilleure en théâtre. »
Elle m’embrasse furtivement.
Je ne pourrais plus lui parler de la semaine.
Samedi.
Fanny est nerveuse. Elle a sorti toutes les fringues de son armoire. Elle ne sait pas comment habiller Thanh.
Finalement, se sera porte jarretelle et bas noir, escarpins hauts talons, jupe noire plissée et pour finir un gilet bordeaux un peu grand, fermé devant par des boutons pression. Bien sur, elle ne porte aucun sous vêtement. A ma demande, elle lui donne tout de même une veste pour le voyage.
« Ou allons nous ? Ou m’emmenez-vous ? Je ne veux pas faire de tournante ! S’il vous plait ? Ou allons-nous ? »
Elle avait raison. C’est une excellente comédienne. Fanny tombe dans le panneau et lui met son collier de chien.
« Je te préviens, si tu bronche je te passe la laisse et tu gouteras à la cravache ! »
Thanh a pu et a su se maquiller pour être encore plus désirable. Elle a lissé ses longs cheveux soyeux, qu’elle laisse couler sur ses épaules. Je la sens nerveuse, mais décidée. Nos regards se croisent furtivement plusieurs fois dans la journée. Lorsque ca arrive, elle me sourit ou me fait un clin d’œil rapide.
Elle est délicieusement belle.
Fanny enfile un jeans et un tee-shirt sous un blouson de cuir, et nous voilà parti.
Dans le métro et le bus qui nous conduisent à la cité, les gens nous regardent. Il faut dire qu’il n’est pas commun de croiser une jeune fille portant un collier d’animal de compagnie.
« Place Youri Gagarine. »
Nous sommes au cœur de la cité et à l’heure. Pourtant, près du banc ou nous avions rendez vous…personne.
La nuit tombe sur les barres HLM.
Nous sommes tendus tout les trois. Même Fanny se demande si nous ne ferions pas mieux de partir. Je le sens à son attitude nerveuse.
Depuis un moment, sur le trottoir d’en face, des jeunes passent, seuls ou en petits groupes, pour entrer dans un hall d’immeuble. Démarches nonchalantes, mains dans les poches et casquettes vissées sur le crane. Le stéréotype de la jeunesse de banlieue. Ils nous dévisagent tous. Il est vrai que les deux poupées qui se trouvent avec moi, ne peuvent qu’attirer les regards.
« Le voilà ! C’est lui. »
A ces mots, Thanh est parcourue d’un grand frison, qu’elle a bien du mal à cacher.
Elle me fait signe discrètement qu’elle a peur. De la tête, je lui indique que l’on peut encore partir, mais elle fronce les sourcils pour me faire comprendre qu’il n’en était pas question.
« Nous devons le suivre de loin, sans lui parler. »
« Ok ! Allons y, mais avant… »
Fanny sort la laisse de sa poche et malgré ses protestations, attache la petite asiatique.
Le jeune pénètre dans le même hall que tous les autres. Il ne fait plus de doute que nous allons bientôt retrouver tout ce petit monde.
Nous nous engageons à notre tour derrière la grande porte vitrée. Il y a un couloir ou son alignées des boites à lettres pour la plupart éventrées. Un petit tourne à droite et nous sommes devant deux ascenseurs. Les témoins lumineux, indiquent qu’ils sont dans les étages. Il n’y a personne.
Derrière nous, j’aperçois une porte entrouverte. J’y jette un œil.
Un escalier en béton, éclairé par une ampoule blafarde, disparait dans la pénombre du sous sol.
« Suivez moi, ce doit être par là ! »
Fanny me retient par la manche.
« Pas question ! C’est la pute qui ouvre la marche. Allez, avance ! »
Tout en la tenant en laisse, elle pousse Thanh dans l’escalier.
Je la vois morte de trouille, mais je sais qu’elle n’apprécierait pas que j’arrête tout.
L’escalier tourne. Une main légèrement en avant, elle laisse l’autre glisser sur le mur. Elle penche un peu la tête comme pour anticiper ce qui pourrait surgir au bout de notre descente.
Nous n’y voyons pas grand-chose mais bien que fermant la marche, je devine un long couloir, éclairé à peut prêt tout les vingt mètres. A notre gauche il y a un mur de béton et à droite des portes de bois cadenassées s’alignent aussi loin que l’on peut voir. A chaque lumière, un autre couloir s’enfonce sur la droite. Autant d’intersections qui nous font frissonner.
J’entends un bruit derrière moi. Je tourne la tête. Le jeune est là qui me fait signe d’avancer. Au couloir suivant, trois jeunes nous bloquent le passage.
Mon contact me tape sur l’épaule.
« C’est qui la meuf en jeans ? »
« C’est une amie, c’est elle qui amène la fille. »
S’adressant à ses potes…
« Je m’occupe de lui, fouillez les nanas ! »
Le mec me tapote un peu partout alors que les filles se font carrément peloter. Ce n’est pas du gout de Fanny.
« Bas les pattes ! C’est elle la salope ! »
Les types rigolent et tirent Thanh dans une cave. Nous y pénétrons aussi.
Il y a cinq caves dont les cloisons ont été abattues afin de ne plus faire qu’une longue pièce. Au fond, un matelas a été jeté à même le sol en terre battue. Sur le mur, deux anneaux pendent à hauteur d’homme. Il y est accroché des cordelettes de nylon.
Difficile de dénombrer le nombre de personne qui se trouve là.
La longue soirée de Thanh commence.
Sa laisse a été défaite et sa veste ôtée. Le jeune la fait avancer lentement vers le matelas entre deux rangées de jeunes hommes.
« Arrêtez ! Laissez-moi ! Mais qu’est ce que vous faite ! Laissez-moi ! Non ! »
Malgré ses cris de protestations, son gilet a été ouvert et baissé sur ses épaules. Des mains se succèdent sur sa petite poitrine. D’autres soulèvent sa jupe, caressent son cul ou sa chatte, ou bien encore ses cheveux, son visage, sa bouche.
Lorsqu’elle arrive au matelas, son gilet n’est plus et sa jupe ne résiste pas longtemps.
Sa beauté, sa resplendissante nudité contrastent avec cet endroit glauque, sale et puant.
Pendant un instant, je ne la vois plus. Elle a totalement disparu au milieu des hommes qui se bousculent pour la caresser. Le jeune intervient.
« Ho ! Poussez-vous ! Laissez la petite salope respirer ! Il y en aura pour tout le monde ! »
Il semble respecté car les types s’écartent immédiatement.
Il s’approche d’elle en montant lui aussi sur le couchage.
Thanh est debout sur la paillasse, dos au mur. Elle couvre sa poitrine de ses avants bras, en portant ses doigts à ses lèvres. Comme une petite fille apeurée, elle lève légèrement une jambe et la glisse devant l’autre pour tenter de cacher son sexe.
« Je m’appelle Samir, et toi ? »
« Vagina. »
« Vagina…Vagina. Vaginal ? Comme le vagin ? »
Ils éclatent tous de rire.
« Bon, écoute. C’est toi qui décide. Si tu veux que ca se passe bien, ca se passera bien. Si tu veux la merde, tu auras la merde. Tu comprends ce que je te dis ? Regarde-moi quand je parle ! »
Elle sursaute et fait un petit oui de la tête.
« Biennn ! On va te dire ce qu’on veux et toi tu fais. Ce n’est pas dur, tu vois ! Par exemple… »
Il défait sa ceinture ainsi que les boutons de sa braguette.
« …par exemple, moi, je veux que tu me pompe à fond ! »
Elle ne bouge pas et rebaisse la tête.
Samir se fâche et l’attrape par les cheveux.
« T’a pas compris pouffiasse ! Je veux que tu me pompe ! Alors tu te fou à genoux et tu bouffe mon dard ! »
Il tire fort, obligeant la jeune fille à tomber à genoux.
« Bouffe ! »
Tremblante, elle plonge ses doigts dans le caleçon et sort sa première bite de la soirée.
Elle prend la main de Samir pour qu’il lui lâche les cheveux, et fait glisser le gourdin entre ses lèvres fines.
« Et ben voilà ! »
Plusieurs types se rapprochent pour la contempler sucer leur chef.
D’autres, viennent vers nous.
Un grand black s’approche tout près de Fanny et fait glisser un doigt sur ses cheveux.
« Salut chérie ! Tu sais que le black aime bien les poufiasses blondes ? »
« Oui, mais les blondes n’aiment pas forcement le black ! Ok ! En plus je ne suis pas là pour ca ! Alors dégage et vas t’occuper de la bridée. »
Il fait un large sourire qui laisse apparaitre une dentition parfaite, d’une blancheur incomparable.
« Putain ! Toi, t’a des couilles pour me parler comme ca. J’aime bien. J’adore les rebelles ! »
Il colle une main sur un de ses seins, en la glissant dans le blouson ouvert. Sans attendre, elle lui claque l’avant bras pour lui faire lâcher prise.
« Pas touche ! C’est pas pour toi ! »
« Tu crois pouvoir me frapper ? »
Il claque des doigts et deux types passent derrière elle et tente de lui retirer son blouson, malgré ses efforts pour se dégager.
« Moi, je demande pas la permission ! Je prends ! Surtout ici ! Tu crois vraiment que tu allais repartir comme t’es venue ? »
Le blouson, descendu dans son dos, lui bloque les bras. Le black attrape le tee-shirt au niveau du col et le déchire en deux, libérant les deux seins blancs.
« Brunooo ! Aide-moi, merde ! Fais quelque chose ! »
Je vois là l’occasion rêvée de reprendre le contrôle de ma vie.
« Mais oui Fanny ! Je vais faire quelque chose ! Je vais me délecter de ce qui va t’arriver, mon amour ! »
Les types éclatent de rire et finissent de la débarrasser du blouson et du tee-shirt. Puis, ils l’a tirent contre le mur, au pied du matelas pour l’attacher aux crochets avec les cordelettes.
A ses pieds, Thanh se fait prendre en levrette et suce un type en même temps. J’ignore combien l’ont déjà honorée, mais elle ne semble pas épuisée.
J’aide les types à retirer les bottines et le jeans de Fanny. La salope se débat comme une tigresse et les coups de pieds pleuvent de toutes parts. Mais c’est peine perdue et très vite elle est complètement dévêtue.
Les bras attachés, elle est beaucoup moins fière et nettement moins arrogante.
« S’il vous plait, détachez-moi ! Regardez, c’est moi qui vous ai apporté la petite salope et c’est comme ca que vous me remerciez ? Allez ! Détachez-moi, je vous en supplie ! »
Samir vient me voir.
« Si j’ai bien compris, t’es en compte avec cette morue ? Alors à toi l’honneur ! Paye-toi ! »
« Non, merci. Ca lui ferait trop plaisir que je m’abaisse à la baiser. Elle est à vous, je vous la laisse. »
C’est le black qui la besogne en premier. Lui aussi était en compte avec elle et il se sert copieusement et bien profond.
En fin de nuit, elle a rejoint Thanh sur le matelas. Celle-ci, bien que fatiguée, en demande encore et c’est en missionnaire qu’elle finit les quelques jeunes qui trainent encore dans la cave.
Fanny se fait sodomiser une dernière fois et s’écroule, épuisée. Elle aimerait bien se lever et partir enfin, mais c’est sans compter sur son ami black qui ne voit pas les choses se terminer ainsi.
Il la couche sur le dos, bras le long du corps et s’assois sur son ventre.
« Tiens, petite ! Viens poser ton minou sur sa face de putain ! »
Thanh, amusée, ne se fait pas prier.
Elle se glisse à genoux au dessus du visage de Fanny, face au black. Son vagin dégueule de foutre qui coule sur les cheveux et le front de la salope. Encore quelques centimètres et elle se contracte pour se vider sur son nez, sa bouche et son menton.
Le black à son sexe entre ses seins et les presse pour se branler gentiment.
Je suis surexcité et je n’y tiens plus. Je sors mon engin et le tends à Thanh qui se fait un plaisir de lui offrir sa bouche comme refuge.
Elle a désormais posé son fessier sur le visage de la nouvelle esclave. Elle étouffe ainsi ses plaintes et ses injures.
Le black dans un dernier râle, se vide dans le cou de la blonde. Il retire ensuite le collier de la petite asiatique et le passe à l’autre, sur son foutre encore chaud.
Je craque et me vide à mon tour.
Thanh s’essuie avec les lambeaux du tee-shirt. Pour Fanny, c’est plus compliqué. Elle n’a rien pour éponger sa chatte ou son visage. Elle renfile son jeans et son blouson.
Je la sens vaincue. Elle a les yeux hagards, ne sachant plus quoi faire, n’y ou se rendre.
Avec Thanh, nous remercions Samir et le black et nous leur avouons qu’elle était consentante. Ca les amuse beaucoup et ils nous font jurer de revenir les voir.
La petite se fait un plaisir d’attacher Fanny à la laisse, et nous voilà en route pour mon appartement.
Cinq heures du matin. Pas de bus. C’est à pied que nous rejoignons la station de métro, heureusement pas trop éloignée. Le vent frais fait plus ou moins sécher le foutre sur le visage de Fanny.
Elle a bien de la chance car à cette heure, un dimanche matin, il y a peu de monde dans le métro. Mais nous croisons tout de même quelques personnes qui n’oublierons jamais l’image de cette jeune fille blonde, maculée de foutre et tenue en laisse par une ravissante asiatique, dans un couloir de métro.
Après une bonne douche, nous dormirons toute la matinée dans mon lit, d’un bon et long sommeil réparateur. Fanny, quant à elle, restera attachée au pied du lit dans l’état ou elle était.
Quinze heures sonne en même temps que la sonnette de la porte. Je vais voir et je tombe sur Vladimir.
« Bonjour mon ami ! Je viens reprendre Vagina. J’espère que… »
« Bougez pas, je reviens ! »
Je ferme la porte.
Thanh m’aide à remplir un sac poubelle des fringues de Fanny. Elle l’a détache du lit, lui passe collier et laisse et me l’amène.
Je l’a tire jusqu’à la porte d’entrée que j’ouvre et je la pousse dans le couloir sous les yeux effarés de Vladimir.
« Vagina n’est plus, vive Enculina ! »
Et je claque la porte.
Thanh explose de rire et de joie. Elle accoure et me saute au cou.
Insatiable qu’elle est, nous ferons l’amour jusqu’au soir.
Une nouvelle vie commence.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bravo, c parfait existante, haletante. T UN GENI MEC
Waouuu quelle histoire d'amour !! J'ai adoré bravo !!
c'est pas mal ... mais peu trop long Claude
au plaisir de te lire
au plaisir de te lire
J'ai aimé jusqu'à ce que la fille s'installe et après j'ai arrêté