Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 4 - histoire érotique

Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 4

Que n’a-t-elle pas dit là ! Julien s'enfonce en elle d'un coup puissant et il commence directement à la pilonner comme un taureau sur une vache. Sylvie a connu dans sa jeunesse nombre de bites qui sont entrées dans sa moule, mais le gland suivi de la hampe tout aussi massive lui distend tellement la chate qu’elle lâche un cri de douleur, Julien est en train de lui exploser le vagin à un rythme effréné, dévastant les muqueuses du vagin plus habituées à cette gymnastique et se dépucelant lui-même par la même occasion. Elle souffle très fort et tente de se décontracter mais il la prend par les hanches et s’enfonce en elle le plus loin qu’il peut sans aucune précaution pour sa partenaire. Il touche le fond de sa vulve, elle est en train de se faire exploser la chatte.
- Eh ! Vas-y plus doucement ! On n’est pas aux pièces, bordel ! Tu me fais mal, je ne suis plus habituée à recevoir des bites, surtout une aussi grosse comme la tienne. Après toi, n’importe quoi rentrera dans ma chatte !

Suite : Sylvie se plaint mais pour elle maintenant, ce n’est que plaisir, son ventre accepte ce formidable pieu et en redemande. Sylvie prend maintenant un pied phénoménal : - Qu’est-ce que t’es gros mais putain que c’est booonnn ! C’est génial mais fais-la glisser doucement, que je la sente bien… Oooooh putain, que c’est bon !!! Ouiiiiii ! Vas-y, plus fort, maintenant…oui, plus fort, je te dis ! Qu’est-ce que t’attends ??? Un coup oui, un coup non, ne te pose pas la question et obéis ! Je veux la sentir à fond !
Avec un peu d’incompréhension après ces ordres contradictoires, Julien pistonne à présent la femme sans retenue, il la défonce carrément, faisant complètement ressortir sa bite à chaque fois avant de la renfoncer puissamment dans un bruit de succion obscène dans cette chatte qui broie sa verge par des contractions musculaires très fortes.
- Aaaaah, je vais jouir, je vais jouir, continue comme ça, vas-y, ne t’arrête-pas, envoie-moi toute ta purée dans ma chatte de salope ! Oooooh, je pars !!! Arghhhhhhhhh ! Je me viiide !!!!

Mais les deux précédentes éjaculations l’ont rendu un peu plus résistant. Après cet effort conséquent, il n’en peut plus et s’écroule sur le dos à coté d’elle sur le lit. Mais Sylvie, elle, est comme déchainée. Elle le chevauche, appuie sa vulve sur le chibre posé sur le ventre de Julien et le caresse sur toute sa longueur avec ses lèvres intimes qui s’écartent pour en épouser la forme. Il est éberlué par cette caresse peu commune.
- Je vais te faire jouir mais ma chatte n’en pouvait plus pour le moment. Avec un peu plus d’expérience, tu pourras baiser toutes les filles que tu veux. Il faut que ta teub serve le plus possible, ta résistance augmentera et comme ça quand tu me baiseras, ça sera encore plus long!

Elle veut changer de façon de le chevaucher, attrape la bite qu’elle guide vers sa fente dégoulinante de cyprine et s’empale dessus. Quelle sensation agréable d’emprisonner dans son fourreau humide et brûlant un tel pal. Sylvie attrape les mains de Julien qu’elle place sur ses grosses mamelles qui tressautent à chaque mouvement. Elle pressent enfin qu’il se retient pour ne pas exploser, son vagin bouge sur cette massive colonne de chair malgré elle, elle s’est écroulée sur lui et ses seins caressent le torse du jeune homme.
Sylvie bouge alors doucement et il se laisse faire pour ne pas jouir trop vite, mais il ne peut résister à accompagner le mouvement de formidables coups de reins qui s’enfoncent en butée dans le vagin endolori.
Julien sent la cyprine couler sur ses couilles puis entres ses fesses, il accélère encore ses mouvements, ayant la vision des seins qui ballottent devant lui qui l’excite encore plus, accélérant encore plus pour accompagner l’orgasme de cette couguar.
Il emplit de sperme chaud le préservatif, les jets viennent butter au fond du sexe de Sylvie, uniquement retenue par cette très fine épaisseur de latex. Il l’emplit comme un jet d’eau emplit une outre, elle ne sait plus ou elle est, lui non plus, le bruit de ventouse de l’énorme pieu et de sa fente emplit la chambre de bruits incongrus.
Il n’a pas débandé, il est toujours en elle et elle continue à se faire jouir, encore et encore. Julien est vidé, ses couilles aussi… Sylvie pourtant continue à monter et descendre sur son pieu étranglé par ce préservatif trop serré à la base de son nœud, lui permettant de débander très lentement.
- Tu es un vrai petit poney, je n’en peux plus, c’est trop je vais mourir !
Elle s’écroule enfin à coté de lui, le pieu de Julien est toujours dressé, elle met quelques instants à reprendre ses esprits, lui retire le préservatif et le branle des deux mains.
-Tu es un cas, mon petit étalon, tu débandes enfin. J’espère qu’on recommencera cette partie de baise !
Julien quitte la chambre, va reprendre une douche pour faire redescendre sa tension. Il lui a promis de passer d’autres agréables moments avec elle, il est jeune, il sait pourtant que leur relation sera éphémère. Mais maintenant, il a pris de l’assurance et se promet que les visites nocturnes de la descendance de Sylvie ne seront plus aussi passives de sa part.
A peine Julien partit, Sylvie s’enroule heureuse dans les draps, et s’assoupit, complètement vidée par ses ébats.

Julien devient de plus en plus résistant aux branlettes nocturnes et les filles ne manquent pas de commenter entre elles l’endurance de leur partenaire :-Il faudrait maintenant passer la vitesse supérieure avec Julien, soutient Aude.
-Tu as raison, approuve Jade, mais si on ne veut pas faire de jalouses, je propose que ce soir, on se retrouve toutes les trois dans sa chambre pour dépuceler ce « pôvre » petit canard.
-Pôvre petit canard ? L’interrompt Lucie, je dirais plutôt brave petit poney vu l’épaisseur de son organe. D’ailleurs, qui débourrera la première ce puceau ? Avec son inexpérience, ça risque d’être assez olé-olé.
-On verra bien, reprend Aude.

Le soir même, dans la plus profonde obscurité, l’une des triplées s’introduit dans la chambre de Julien et comme d’habitude se glisse sous les draps pour saisir l’objet de ses désirs, il repousse le drap pour être plus à l’aise mais au bout d’un moment, il se pose des questions. Une main a redressé son sexe pour qu’une bouche gobe son gland. Jusque là, rien d’anormal… Mais il vient de réaliser qu’un bras est appuyé sur sa cuisse gauche et un autre sur sa cuisse droite. Il n’a donc pas une tourmenteuse ce soir mais deux. Un voile se déchire dans sa tête, il réalise enfin que les visites nocturnes ne sont pas le fait d’une seule des triplées mais plutôt de deux…ou peut-être même des trois ?… D’ailleurs, elles viennent de s’étendre de chaque coté de lui sur le lit quand il sent le matelas s’affaisser entre ses jambes et une main prendre en conque ses burnes. Putain ! Elles sont les trois dans sa chambre !... L’une d’elles vient d’allumer et il découvre la nudité complète des filles.
Bien sûr, il est très fier d’être LE mâle au milieu de ce harem de filles qui se ressemblent comme des gouttes d’eau. Elles se bousculent pour le prendre en bouche et il peut enfin reconnaître la différence de chacune d’elles. Lucie donne des conseils à Jade qui n’arrive toujours pas à avaler suffisamment de sa formidable pine.
-Quand son gland bute au fond de ta gorge, fais comme si tu avalais ta salive et prends sur toi pour ne pas recracher ou pire, mordre dans son chibre. Lààà, oui comme ça, tu vois, ce n’était pas si difficile. Mais… Qu’est ce que c’est que ce papier de labo ?

Lucie prend le papier et le parcourt rapidement.
-Eh les filles !... Il a fait un test MST et est OK et nous on prend la pilule, alors…Il a beau avoir plus d’endurance, il ne peut tenir longtemps devant ces trois furies et se vide dans une bouche, c’est celle d’Aude car le piercing de la langue frotte sur sa hampe. Un liquide chaud déferle au fond de la gorge accueillante. Julien se tend dans un râle de plaisir. Elle ne se laisse pas décontenancer, ouvre la bouche pour montrer à ses sœurs le produit de leurs œuvres avant de partager la divine semence par un bouche-à-bouche incestueux.
Il ne débande même pas, son chibre reste aussi ferme que s’il n’avait pas joui. Mais maintenant, les filles en veulent plus. Avec son assentiment, elles lui attachent chevilles et poignets et son corps se retrouve en position d’un grand X. Deux des filles enfourchent son corps et s’assoient sans vergogne dos à dos puis se déplacent en petites reptations. L’une vient donner à lécher sa chatte en emprisonnant entre ses cuisses sa tête pendant que l’autre vient se positionner à l’aplomb de sa verge maintenue à la verticale par la troisième qui pousse même le vice à l’enduire copieusement de salive en commentant :-Ça va être chaud pour toi car son gourdin est vraiment massif. On va connaître notre première « Big Dick » !
Mais ça ne rebute pas sa sœur qui s’empale quand même avec une extrême lenteur sur ce morceau peu commun en se mordillant la lèvre inférieure. Elle s’y reprend à plusieurs fois en remontant et redescendant toujours plus bas sur ce pal.
-Putain ! Sa teub est si grosse que les lèvres de ta chatte doivent suivre le mouvement. Elles font ventouses sur son manche !!!

Aude adore se faire prendre la chatte mais cet engin entrera-t-il en elle, il va lui exploser le vagin mais elle en a trop envie. Julien est sur le dos, la verge fièrement dressé, une des sœurs à califourchon sur son pieu, la chatte dilatée au possible mais quand le gland s’enfonce encore plus profond en elle, les larmes coulent sur ses joues.
-Je savais bien que j’y arriverais mais bordel ! Il a vraiment une grosse pine, notre puceau !


Ps : Si vous voulez voir de quoi est capable Julien, lisez : « Le gourdin de tonton » du même auteur et vous y trouverez comment visionner une vidéo très explicite sur les performances éjaculatoires dont s’inspire l’auteur. Et si vous réfléchissez un peu en approfondissant votre recherche, vous découvrirez que……

A suivre …