Destins croisés (07)

- Par l'auteur HDS Sylvainerotic -
Auteur homme.
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Récit libertin : Destins croisés (07) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Destins croisés (07)
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Les jours qui suivent cet après-midi de sexe la tension ne redescend pas. Je me sens fou amoureux de Jules et je le désire en permanence. D’ailleurs on s’échange des textos enflammés. Des « je t’aime » « je te veux » toutes les heures. On fait ça discrètement, mais on ne peut pas résister.
Je dois dire que je reste un peu troublé par sa confession : le fait qu’il couche avec d’autres hommes, bien que m’ayant confié son amour pour moi. Pour moi, jusqu’à présent, être amoureux, ça voulait dire être exclusif. Mais je repense à Nils. Julien et lui sont exactement comme Jules en fait. Ils font une séparation claire entre le sexe et l’amour… C’est une question d’âge, et peut-être de génération. Je me dis qu’après tout, ça pourrait marcher. De toutes les façons, j’aime trop Jules pour que cela soit un obstacle.
La tension sexuelle est la plus forte quand on se croise au bureau. Le voir ainsi, près de moi, c’est une torture. J’ai envie de lui sauter dessus et de lui faire l’amour. D’autant plus que nos échanges de SMS continuent, même au bureau. Alors qu’il est dans la pièce d’à côté.
La tension monte par SMS. Ca fait quelques jours qu’on n’a pas baisé. Et je n’en peux plus. Une idée folle me vient alors. Preuve que je ne peux plus résister à Jules. Je lui demande de me retrouver à un étage plus calme, et on s’enferme dans une toute petite pièce, là où on range le matériel d’entretien. Pas un placard à balais, mais presque. Tous les deux en chemise et cravate.
On se dévore aussitôt par la bouche. On murmure, mais si on pouvait crier, on le ferait
- Oh Jules je t’aime, je t’aime comme un fou
Nos mains cherchent à explorer, bien que l’on soit bien habillé… La langue de Jules me viole la bouche. Il est aussi fou et excité que moi. Ses mains se sont nerveusement attaque à ma braguette et à ma ceinture. Soudain il arrive à tout ouvrir et tire d’un coup sur mon pantalon de costume et sur mon boxer. Ma bite s’échappe et j’ai à peine le temps de la sentir a l’air libre que Jules l’a prise en bouche et qu’il me suce comme un mort de faim. Ma main décoiffe ses cheveux bien peignes pour aller bosser. Sentir sa langue s’agiter contre ma bite est un vrai soulagement. La tension du désir était trop forte. Je suis maintenant physiquement dépendant de lui. Je le redresse et le dessape à toute vitesse. Nous voilà tous les deux en chemise cravate, mais le pantalon et le boxer descendus au niveau des chevilles.
Je retourne Jules brusquement. Je relève la chemise pour dévoiler ses petites fesses superbes qui n’attendent que moi. Je tombe à genoux et plante un énorme baiser puis des coups de langue sur chacune d’elles avant de plonger dans la raie pour bouffer ce petit cul. Merveille ronde, imberbe, d’une douceur de lait. Jules gémit tout doucement. Ma langue travaille et mouille le plus possible car je n’ai pas de gel. Je me redresse, et recouvre mon sexe bande de salive. Je plonge en lui direct. Je lui ai plaqué la main sur la bouche. Pour le garder silencieux. Un petit jeu sexy aussi. Presqu’un viol… consenti entre deux amants. Je donne un coup long sec. Il gémit derrière ma main. Puis j’accélère. Je le baise. Le nique par derrière debout. J’aperçois a peine ma bite rentrer en lui, la pénétration étant masquée par les chemises. La sensation est géniale, brute, intense. Je suis brut moi aussi et l’encule sans ménagement. Il bande comme un fou, le sexe à la verticale. Je l’ai pris en main, tandis que l’autre main lui recouvre toujours la bouche. Des coups violents finissent par me faire jouir en lui. Il sent mon sperme couler en lui, tellement il est abondant. Comme il est sur le point de jouir lui aussi, je m’extrais, le retourne et plonge à genoux. Il éjacule aussitôt dans ma bouche. Un flot violent, quatre jets puissants que j’avale immédiatement.
On reprend notre souffle, encore étonné de la vitesse, de la violence et la totalité impulsivité de notre acte. Tout en soufflant, Jules sourit. On se rhabille vite, puis sort séparément du placard. Sans être repéré heureusement.
Une heure après, on se retrouve dans la même réunion. Nos regards se croisent. Il y a beaucoup de monde autour de la table. Je ressens une vibration dans ma poche. Un texto de Jules. « Je sens ton sperme en moi ». Ma gorge se serre. Je tiens le téléphone bien serre face à moi, et je suis en retrait sur ma chaise, pour que personne ne lise le texto. J’ai un mal fou à ne pas bander. Je n’en reviens pas de son audace, en réunion comme ça. C’est très risqué. Mais c’est terriblement excitant. Je réponds. « Je sens le tien dans ma gorge ». Il répond peu après. « j’aimerais que tu prennes sur cette table un jour ». Je dois poser discrètement une main sur mon entrejambes car je bande. C’est terrible. Mais tellement bon. Je me tortille sur ma chaise.
On finit par arrêter ce petit jeu dangereux. Mais ce qui est certain, c’est que notre passion mutuelle devient de plus en plus forte. Et que nous sommes prêts à tout pour nous aimer…et pour baiser.
L’été est maintenant là, et un dilemme se pose. Nils a terminé son trimestre, et comme tous les ans, on s’apprête à partir en vacances au Danemark, dans la famille d’Ingrid. Je n’ai pas envie d’abandonner Jules. Il me vient alors une idée folle, égoïste, qui montre bien à quel point ma passion pour mon jeune stagiaire est maintenant en train de tout emporter sur son passage : prétexter que j’ai trop de travail, et que je ne peux prendre mes deux semaines de congé au même moment. Tant pis, je ne peux pas accompagner Nils et Ingrid. C’est égoïste d’abandonner ma femme et mon fils. Mais la passion est égoïste.
Je ne sais pas si je suis un menteur talentueux ou pas mais toujours est-il que Nils et Ingrid me croient. Ils sont déçus que je ne les accompagne pas bien sûr. Mais je sais que Nils n’aura aucun mal à se consoler dans les bras de Julien car celui-ci l’accompagne pour les 15 jours. Quant à Ingrid, elle est un peu surprise, mais pas plus que ça…
Le samedi, dès le reste de la famille partie, j’ai donné mon adresse à Jules, et je l’ai invité à passer. Je suis excité de le recevoir pour la première fois chez moi ! Quand il apparait à la porte, son charme irrésistible opère aussitôt. Mon amant est tellement désirable, seulement vêtu d’un short et d’un t-shirt, bien sûr contre son corps, compact et un peu musclé. Dès la porte ferme on s’embrasse passionnément. Parce que ça fait plusieurs jours qu’on ne sait pas vu. Et parce qu’on sait qu’on va pouvoir s’aimer sans limite dans les deux semaines qui viennent.
Je l’aime trop, je suis trop attiré par lui. Et c’est pareil pour lui. Si bien que nous commençons à nous caresser dans l’entrée de l’appartement, sans que nos lèvres se décollent. Son t-shirt est retiré, laissant apparaitre son torse compact, ses pectoraux superbes. Ma tête plonge dessus. Lèche, mordille. Je sens les muscles se tendre sous les caresses. Il est maintenant entièrement à poil dans mes bras, je le touche, le caresse, puis descend à genoux pour le sucer. Sa queue est bonne, tout comme la peau sous mes caresses. Ses petits fesses qui se contractent quand je les serre. Ma langue passe sous les couilles. Sa gland glisse contre ma joue et dépose des fils de précum. Je lèche, je suce et la bite se couvre de salive. Je le laisse me déshabiller. On se serre dans les bras, nus, les corps proches, excités du plaisir qui nous attend. A son tour de me sucer. Je me suis posé contre une table de l’entrée. Entre mes jambes, il exerce ses talents avec sa langue et sa bouche.
- Prends-moi ici, tout de suite
C’est sorti de ma bouche. Je ne veux pas attendre de rejoindre la chambre. Il me retourne, je me cambre, et toujours à genoux, il trouve ma raie avec sa bouche et commence à me lécher. Il me mouille complétement, se redresse, crache sur sa bite et me la plante direct. Je pousse un juron. Un juron de douleur, et de satisfaction. Je me suis retourné. Ma main plaque sa nuque pour qu’on s’embrasse
- Baise-moi mon amour
Les hanches de Jules commencent à bouger. Ses mains sont venues saisir mes hanches. Ses lèvres viennent lécher mes épaules. Je me cambre bien. Sa queue me donne énormément de plaisir. J’aime l’anal maintenant. Donner et recevoir. Je bande. Il accélère. Je sens qu’il va bientôt jouir. Ses mains sont venues recouvrir les miennes, plaquées contre la table. Je suis prisonnier. Mon corps lui appartient. Soudain un frisson glace me traverse. J’ai la chair de poule, bien qu’il fasse chaud en ce jour d’été. Sans que je fasse quoi que ce soit, mon sexe se redresse, et des jets crémeux s’échappent. Je pousse un cri. Mon premier orgasme anal. Et pour la première fois aussi, je sens le sperme de Jules se rependre au fond de moi. Je tremble de plaisir. Jules souffle. Je sens ses lèvres contre ma nuque humide.
- J’ai joui du cul…
Je suis fier de moi. On se marre
- J’te fais visiter, quand même ?
Jules renfile son boxer et moi aussi et je lui fais visiter l’appartement. Quand on passe devant la chambre de Nils, il sourit. Je lui ai raconté bien sûr. Il imagine surement Julien et Nils en train de baiser sur le lit, ou de se filmer avec la webcam.
Après la visite, on part se balader dans Paris. Histoire de gouter notre liberté nouvelle. Je fais toutefois attention de ne pas me promener dans le quartier, ni de donner des signes d’affection à Jules en public. Paris est une grande ville, mais je suis encore dans le placard… et officiellement marié…
C’est agréable Paris, l’été. On se promène, s’arrête en terrasse. On discute. Notre complicité n’est pas que sexuelle. On se sent vraiment bien ensemble. On ne voit pas le temps passer.
En fin de journée, on retourne à l’appartement pour prendre un verre. Mais le fait de ne pas avoir pu se toucher, se prendre par la main ou s’embrasser pendant plusieurs heures nous a frustrés. Et les baisers reprennent aussitôt. C’est Jules qui se montre d’ailleurs le plus entreprenant. Ces beaux yeux bleus me fixent avec intensité :
- Je t’aime, Gauthier, je t’aime… j’ai encore envie de toi
- Déshabille-toi
Je le regarde se mettre nu devant moi, tandis que je fais pareil. On s’enlace nus sur le canapé. Je sais très bien ce que j’ai en tête. Baiser ici, dans ce salon. Exactement comme mon fils. A mon tour de marquer cet endroit de mon empreinte, d’y affirmer mon orientation sexuelle.
La passion nous rend plus audacieux dans nos positions. On se met aussitôt en 69 sur le canapé, d’abord sur le flanc. Les fellations sont divines et les caresses ajoutent du plaisir. Jules finit par basculer au-dessus de moi. Sa bit glisse dans ma bouche et lui continue à me gâter en retour avec sa langue. La vue sur son cul est parfaite. Mes mains sont maintenant sur ses fesses et naturellement, ma langue finit par s’occuper de sa rondelle, lisse, parfaite. Je n’arrive plus à me passer de ca : le rimming. Dévorer son petit cul. Le faire gémir. Faire rentrer l’extrémité de ma langue dans son sphincter. Jules est très chaud :
- Prends-moi mon chéri. Baise-moi sur le canapé. Mets juste un peu de gel
Merde ! Je n’en ai pas ici car on baise toujours chez Jules normalement. Mais il me vient une idée… Nils doit peut être en avoir. Nu, le sexe bandé, je cours vers la chambre de mon fils. J’ouvre la table de nuit. Et bingo ! J’avais raison, j’y trouve du gel. Je remarque aussi d’autres choses intéressantes dans le tiroir : des poppers, un gode, et un plug, assez large. Mais je n’ai pas le temps de m’amuser à regarder les gadgets de mon fils. Je reviens triomphalement dans le salon et me lubrifie un peu le sexe. Jules m’attend à quatre pattes sur le canapé, docile, prêt à se faire enculer. Il est beau comme ça… désirable…
J’introduis ma bite en lui. Je rentre facilement. Il jure et pousse déjà des « baise moi » pour se prendre des coups de queue vifs. Ma main glisse sur son dos. Je bouge en rythme. Je le lime, je le chauffe. Son petit cul est bien serré, agréable. J’accélère et il finit par s’affaisser, la tête dans le canape. Ce qui a pour effet de relever encore plus ses fesses. C’est excitant. Je pose une main sur sa nuque, sans trop serrer. Et je le sodomise plus fort, plus profondément. Il aime ça. Oh Jules, mon chéri ! Je ne me lasse pas d’être en toi… Amoureusement, j’enroule un bras autour de lui et le redresse. On s’embrasse sur la bouche.
- Tu viens t’assoir sur ma bite ?
- Tout ce que tu veux mon amour
Je m’assieds fièrement sur le canapé, et tiens ma bite verticale. Il vient me chevaucher. Ma bite rentre facilement et spontanément Jules commence à monter et descendre dessus. Ses mouvements de bassin sont sensuels et la cambrure de son dos s’accentue. Mes mains viennent s’y loger. Ses bras s’enroulent autour de mon cou et nos lèvres se trouvent. Mes mains remontent sur ses flancs et mes pouces viennent toucher ses petits seins durcis. Je commence à lui donner des coups de queue. Nous sommes complétement en rythme dans notre baise.
Je me redresse soudain, tout en portant Jules. Il rit de surprise, et ses jambes viennent s’enrouler autour de ma taille. On s’embrasse. Ma bite est toujours en lui
- J’te porte comme ça jusqu’au lit, princesse ?
- Nan... baise moi par terre, comme une salope
J’aime quand il est chaud comme ça… Et je ne suis pas au bout de mes surprises, car juste après s’être détaché de moi, alors que je suis encore debout, il tombe à genoux, et prend ma queue bien chaude dans la bouche, tout en me cherchant du regard, les yeux pleins de défi. L’intensité érotique est à son comble, le désir d’aller plus loin n’a jamais été aussi grand.
Je l’allonge à même le tapis, cale ses jambes contre mes épaules et lui donne ce qu’il veut. Une sodomie vive, agressive, profonde. Je le pilonne. Il crie, son corps bouge, mais son regard est brulant de désir
- Baise-moi, continue, plus fort….
Je me penche sur lui, ferme les yeux et bouge le bassin le plus vite possible de manière incontrôlée. On pousse des cris énormes, des hurlements. Et tout en gueulant des « je t’aime » de fou, j’explose dans ses entrailles et lui jouit du cul, laissant une mare de sperme se former sur ses abdominaux bien dessinés.
Le souffle court, transpirant, je le prends par la main et le conduis vers la douche. On se lave ensemble pour la première fois. C’est érotique, sensuel. J’aime ce moment. On se sent plus intime, sans que cela soit sexuel.
- J’aimerais que tu restes dormir ici ce soir… en fait non… j’aimerais que tu viennes t’installer ici, avec moi pendant ces deux semaines de liberté
Jules sourit et m’embrasse sur les lèvres. Ça veut dire oui bien sûr. Il n’a pas hésité une seconde.
Quand je me glisse nu sous les draps, Jules me rejoint, simplement vêtu d’un boxer. Il n’aime pas vraiment être nu en dehors du sexe. J’espère que ça lui passera… Nous allons passer notre première nuit complète ensemble, comme un couple. Jules à la place d’Ingrid… Je suis un homme adultère… mais cruellement, ça me parait plus juste, plus vrai, que Jules ait pris sa place.
Alors que j’enlace Jules et l’embrasse dans la nuque, il me glisse : « je me sens bien avec toi… je t’aime… et le sexe est le meilleur que j’ai jamais eu… »

A suivre…

Les avis des lecteurs

Ils franchissent les limites l'une après l'autre, celle du cloisonnement strict de leurs rencontres à l'appart' de Jules, puis celle du partage d'autres activités, pour entrer dans un cadre de couple qu'il sera toujours plus difficile à maintenir ensuite...



Texte coquin : Destins croisés (07)
Histoire sexe : Une rose rouge
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