Deux copains en visite (histoire écrite à 4 mains avec Hervé) - histoire érotique

Martine a toujours nourri mes fantasmes, car très amoureux d’elle, je n’osais pas aborder certains sujets d’ordre sexuel par crainte de l’effrayer ou de la peiner.
Si j’avais su ce qu’il en était de la réalité, j’aurai certainement franchi le pas.
Aujourd’hui encore, alors qu’elle m’a quitté pour un militaire à la retraite, certains fantasmes sont toujours très présents, notamment ceux mettant en scène des copains, car l’un d’entre eux s’est vu rattrapé par la réalité.
Et cela a enclenché un processus de séparation inévitable.

Celui qui suit fait partie de mes fantasmes récurrents.

Ce matin Martine est seule à la maison, je suis parti travailler pour la journée et ne rentrerai que le soir.
Elle porte une robe de chambre en coton assez fin sans rien dessous car elle vient de se lever. Le tissu n'est pas transparent et tant que la ceinture est nouée, le peignoir couvre son buste mais elle a les cuisses seulement couvertes à moitié et ses gros seins bougent en totale liberté sous le tissu et cela se voit ...
Elle aime cette sensation de liberté apportée par l’absence de soutien-gorge, dont elle ne peut profiter que dans l’intimité de sa maison.
Martine, élevée dans la tradition de la femme au foyer, tient à ce que sa maison soit bien tenue et vaque à ses occupations domestiques.
La sonnette de la porte d’entrée retentit.
Elle va ouvrir, étonnée de recevoir de la visite à cette heure-là...
Ce sont deux amis à nous, que nous connaissons depuis longtemps.
L’un est d’origine comorienne, Soihili, un beau black, élancé, à l’allure sportive, l’autre, Nourredine, est maghrébin, plus trapu mais tout en muscles.
- Hé.. bonjour Soihili, bonjour Nourredine, ça me fait plaisir de vous voir…. Vous êtes bien matinaux ! Entrez !
- Ils rentrent et tous les trois s'installent au salon.
- Vous voulez boire un café ?
- Oui, merci … ! répond Soihili
- Qu'est ce que vous faites dans le coin ?
- Pierre n’est pas là. ? questionne Soihili. On avait un truc à voir ensemble !
- Non. Il ne va rentrer qu’en fin de journée ! répond-elle en leur servant le café.

Les 2 hommes échangent un regard complice après que Martine les ai servis sans se rendre compte qu’en se penchant elle leur avait donné l’occasion de mater ses gros seins dans l’entrebâillement de son peignoir.
Sans l’avoir voulu ils ont pu apprécier fugacement la générosité de ses appâts, libres de toute entrave.
Soihili, comme souvent à l’époque, roule un joint et ils commencent à fumer, Martine se sentant rapidement très détendue car pas habituée à fumer de si bonne heure....
Les deux hommes portés eux mêmes par l'euphorie ambiante, se gênent de moins en moins pour regarder les cuisses à demi dénudées de ma femme qui peine à maintenir ses jambes serrées, son esprit se relâchant singulièrement.
C’est la première fois qu’ils ont l’occasion de voir leur amie dans cette tenue, nue sous son peignoir, la rondeur conséquente de ses seins se devinant parfaitement sous le léger tissu et bien que nous soyons amis, ils ne peuvent empêcher la montée d’une réelle excitation en voyant les globes plantureux bouger librement sous leur nez.
Mon absence conforte nos deux copains qui du coup se sentent à l’aise pour mater les formes de Martine et guetter ses mouvements qui pourraient leur donner plus à voir.
Lorsqu'elle se lève pour aller cherche du sucre, la ceinture de son peignoir se défait un peu et les pans s'entrouvrent légèrement, suffisamment pour que le décolleté se fasse plus généreux.
Nourredine, le cœur battant, en profite pour se faire servir à nouveau du café, et quand Martine se baisse pour remplir la tasse, il peut mater à nouveau l’imposante poitrine ...
Elle semble se rendre compte de rien…
Naïve, Martine tire sur le joint plus qu’à son tour, elle rigole de plus en plus…
La radio à ce moment –là passe un morceau de salsa énergique et sensuel.
Profitant de cette ambiance, Soihili se lève, la prend par la main et improvise quelques pas de danse, arguant qu’il veut l’initier à la salsa.
Nourredine n'en revient pas de la vue que certains mouvements du couple lui procurent, car par moment il peut voir la toison intime de son amie sous le peignoir !
Une émotion particulière s’empare de lui car il nous connaît depuis pas mal de temps et voue à Martine une réelle affection….
Mais la voir danser dans cette tenue qui découvre par moment sa chatte touffue, cela le gêne et l’excite à la fois.
Les mouvements bien rythmés et les tours que fait faire Soihili à son amie mettent progressivement à mal le serrage de la ceinture et les pans du peignoir s’ouvrent de plus en plus, dévoilant son alléchante nudité.
Lors de la danse Martine se retrouve à plusieurs reprises les seins contre le torse musclé de notre ami comorien et à force de bouger en riant, arrive ce qui devait arriver, la ceinture se détache et tombe au sol ...
Soihili est le plus rapide à se baisser pour la ramasser et il se sauve avec tandis que mon épouse lui court après autour de la table de la salle à manger.
Soihili la taquine.
- Allez vient la chercher

Ma femme s'essouffle à essayer, riant à gorge déployée, avec ses gros seins qui bougent dans tous les sens !
L’esprit embrumé par le joint, Martine ne réalise pas que son peignoir ouvert dévoile impudiquement sa nudité.
Elle cherche seulement à récupérer sa ceinture, sans se rendre compte de la lueur de convoitise qui brille dans les regards de Soihili et Nourredine à son égard...

- bon je te rends ta ceinture à une condition, que je te la mette et la noue moi-même !

Candide, Martine accepte n’imaginant pas une seconde ce que trame son copain….
Il s'approche d'elle, passe ses bras dans son dos, positionne la ceinture juste sous ses seins, les pans restant grands ouverts et fait un nœud !
Martine se retrouve le peignoir écarté sur ses outres, la ceinture qui lui passe juste sous les seins !
Un peu hébétée par l'effet du joint elle reste sans réaction lorsqu'il prend les 2 extrémités de
La ceinture pour les enrouler autour de la base de ses belles outres ...
Soihili fait 2 tours à la base de chaque sein, en les serrant suffisamment pour les faire gonfler puis refait un nœud ...
A ce moment elle comprend que quelque chose se passe qui va au delà du jeu entre amis, pourtant elle ne proteste pas, regardant sa poitrine, comme hypnotisée, se contentant de demander benoitement :
- Mais… Euh.qu’est-ce que tu fais Soihili… ?
- Regardes Martine, tu as de magnifiques mamelles comme ça, je suis sur qu’elles doivent être hyper sensibles tant elles sont gonflées ..."
Et il lui caresse doucement les globes dont la peau tendue par la pression s’est teintée de rose, insistant sur les aréoles extrêmement bombées et les tétons érigés...
Martine sent une vague de chaleur l'envahir et ne se sent même pas honteuse de se retrouver ainsi les nichons à l'air, encordés, et la chatte exhibée aux yeux de ses amis ...
Mon copain est malin et ne veux pas aller trop vite ni la brusquer, il continue à la caresser lentement, doucement pour lui procurer du plaisir ...
Il lui parle doucement :
- tu es belle comme ca Martine, je savais que tu avais de gros seins mais je n'aurais jamais osé imaginer les caresser tu sais….. Ils sont si doux, si sensibles…Regarde… tes mamelons sont tout gonflés et tes tétons devenus énormes,…tu aimes ?

Prise dans un engrenage de sensualité et portée par les effets du joint qui altère son jugement mais décuple ses sensations de plaisir, elle répond :
- Hum… oui… c'est bon,…j'ai honte….. Mais c'est bon ! Répond-elle. Tu ne diras rien à Pierre hein ? Promis ?
- il ne saura rien, c'est seulement entre nous, pose ton pied sur cette chaise maintenant !
Martine, comme une automate obéit aux ordres de notre copain.
Docilement elle pose son pied sur la chaise, ouvrant le compas de ses cuisses, et offre aux deux compères admiratifs un accès sans barrière à sa chatte qui commence à s’humidifier…
Soihili n'en profite pas encore, il préfère laisser monter l’excitation de Martine sans la forcer.
Le maghrébin, le cœur battant, s'est levé du canapé et s'approche, le cœur battant la chamade devant l’érotisme de la situation ...
- tu sens l'air sur ton sexe ? Questionne Soihili. Moi je sens tes effluves qui me montrent combien tu es excitée par cette situation…. pose ta main entre tes cuisses….caresse toi et fais toi du bien ..."
Martine obéit et commence à se caresser, passant délicatement sa main sur sa vulve !
Elle n'aurait surement pas accepté qu'il le fasse lui-même, mais elle est bien en train de se masturber debout tandis que Soihili caresse ses outres de plus en plus fort, les pressant lentement, pinçant délicatement les mamelons, tirant un peu sur les tétons.
- Quelle belle paire de nichons….. ! tu aimes quand ils sont gonflés comme ça… ?
- Euh…. Oui …. Répond-elle faiblement.
Le comorien se régale des fabuleux nibards, et il s’emploie à les malaxer plus fermement, les faisant rougir tellement la peau est tendue par les liens qui les étranglent.
Compressés, ils se sont durcis, leurs pointes sont formidablement hérissées et sont devenus extrêmement sensibles, tirant des gémissements à Martine chaque fois que les doigts de son copain les effleurent.

Nourredine, d’abord hésitant, gêné de contempler la nudité de son amie, finit par se décider de profiter de cette incroyable opportunité, et à son tour pose ses mains sur mon épouse, d'abord les épaules qu'il masse lentement.
Martine ronronne de plaisir, elle se masturbe en étant massée et se faisant stimuler les seins ...
Le plaisir monte, inexorablement, décuplé par les effets du joint, et aussi par cette situation qui fait surgir des pulsions refoulées…
Nourredine remplace Soihili et désormais ce sont ses mains qui palpent les gros seins dénudés, encore médusé par la situation et le spectacle de Martine, quasi nue devant eux et qui se laisse caresser la poitrine.

Soihili défait les liens, rendant les mamelles plus souples, plus malléables, ce dont profite allègrement son compère, qui se régale voluptueusement des deux masses de chair tendre…
Soihili prend ensuite les mains de Martine par les poignets, et lui fait passer les mains dans le dos.
Cette position lui fait cambrer le dos et remonter sa lourde poitrine, lui donnant encore plus de majesté en faisant saillir ses outres magnifiques…

Elle est désormais totalement offerte, s’abandonnant complaisamment aux caresses de ses visiteurs, la bouche entrouverte, et regarde, silencieuse, la main de notre copain comorien se poser sur sa vulve.
Soihili se penche vers elle et l’embrasse à pleine bouche tandis que sa main explore l’intimité de ma femme qui frémit de contentement en sentant les doigts la fouiller délicatement…
Nul doute qu’elle apprécie la caresse de notre copain, car elle écarte spontanément ses cuisses afin de lui faciliter l’accès à sa chatte.

Qu’est-ce que c'est bandant d'imaginer Martine presque entièrement dénudée, l'esprit débridé par le joint, s'abandonnant presque librement aux jeux érotiques et pervers de ses deux visiteurs....
Le pétrissage mammaire opéré par Nourredine est d'une efficacité redoutable, et ses seins se sont tendus, gonflés cette fois-ci par le seul désir .... Les pointes brunes se dressent fièrement attisant l'excitation de son partenaire.....
Le maghrébin est aux anges....! Ma femme se lâche totalement et s'abandonne à leurs caresses… Jamais il n'aurait cru cela possible, et pourtant c'est bien la réalité....il est en train de peloter allègrement les belles et grosses mamelles de son amie....


Il a souvent fantasmé sur sa poitrine, car il a eu maintes fois l’occasion d’en apprécier le volume plutôt alléchant, notamment à la piscine ou lorsque Martine portait des tenues très légères.
Si Pierre savait ça... pense-t-il, un instant pris de remord....mais le plaisir de la caresser balaie vite ses états d'âme et plus rien ne compte que la joie de pétrir la chair dense de ces gros nibards.

- Humm... Martine… tes gros seins sont si doux à caresser, tu aimes que je les presse comme ça ?
- Hoo… oui Nourredine… ! Continue… c'est bon comme ça…. Caresses mes seins oui… !

Soihili s'est agenouillé devant elle, et contemple la vulve bombée de Martine....

Ses doigts se posent sur la toison brune et soyeuse, la caressent lentement, descendent vers les lèvres ourlées qu'ils écartent de chaque côté, ouvrant largement le sexe odorant.....
Martine sent la langue de Soihili glisser sur son intimité humide..... Un frisson la parcourt tout entière....

Les sensations, accrues par les effets du joint, la transportent totalement, et elle gémit doucement, ouvrant encore plus largement son entrecuisse pour mieux accueillir l'organe bienfaisant...
La langue la lèche généreusement, glisse sur ses chairs, s'insinue dans sa cavité intime, lui déclenchant d'incroyables ondes de plaisir....
Le comorien s’enivre du suc féminin qui suinte abondamment de la chatte détrempée, et il n’hésite pas à enfouir sa langue profondément dans l’orifice afin d’en récolter les moindres particules.
Une bonne odeur de femelle monte dans ses narines, avivant encore plus l’envie qu’il a de cette bouffer cette vulve qui s’offre à lui.
Avec précaution il décalotte le petit bourgeon rosé du clitoris et vient le fouetter du bout de la langue, provoquant un brusque sursaut de Martine qui laisse échapper un gémissement de plaisir.
- Ouuuuh….Soihili…. ! gémit-elle en posant une main sur la tête de son copain, la maintenant plaquée contre sa vulve. Oh…Oui…. ! c’est bon … !
Soihili se met à lui sucer frénétiquement son clitoris, aspirant et pinçant le bouton, de la taille d’un petit pois, entre ses lèvres avec un bel appétit.


Puis Soihili se redresse et embrasse Martine à pleine bouche, tandis que sa main a réinvesti sa chatte, pour la branler allègrement ...

- Humm Martine ta bouche est délicieuse…. laissons nous aller à nous offrir du plaisir les uns les autres, donne ta main, pose là ici ... tu sens comme tu m'excites ?

Martine sens le gout de sa chatte dans sa propre bouche….cela la trouble beaucoup, et obéissante, laisse Soihili guider sa main vers son bas-ventre où une bosse gonfle le pantalon.
Elle n’ose pas croire ce qu’elle sent sous ses doigts….
Son ami a un sexe qui lui semble énorme ! Elle à peine à le serrer tant il est épais….
Les idées les plus folles les bousculent sans sa tête, mêlant préjugés et réalité, scrupules et désir.
L'effet du joint, les caresses sur ses seins et son sexe la rendent folle de désir et elle répond à son baiser fougueusement, tandis qu’au travers du pantalon, elle frotte le membre de son ami.
Les pensées les plus folles se bousculent dans tête.
La tige qu’elle caresse est carrément énorme, et Martine se demande quelles dimensions elle peut avoir…
Ainsi ce qu’on dit à propos des africains seraient exact ?

Martine se fait malaxer les outres sans ménagement, presque douloureusement, par notre copain maghrébin mais ses sens sont trop affolés par la grosse queue qu'elle sent sous le pantalon et la bouche qui prend possession de la sienne pour refuser quoi que ce soit.
Au contraire ce pétrissage furieux lui procure un plaisir trouble comme jamais elle n'en a ressenti au niveau des seins…
Elle sait que la situation est contraire à la morale et à ses principes de fidélité, mais le plaisir l’emporte sur ses états d’âme.
Le membre qu'elle sent sous sa petite main est sans commune mesure avec ce qu'elle connait, avec celui de son mari..... Il parait énorme, extrêmement dur....

Instinctivement, elle fait glisser sa main sur le pantalon et le déboutonne puis descend la fermeture éclair pour glisser sa main fine contre le caleçon et caresser cet énorme sexe chaud, raide, qui palpite sous ses doigts.

Fébrilement elle cherche la ceinture du pantalon, aidé par Soihili qui défait son ceinturon et déboutonne son pantalon....
Le pantalon glisse au sol….
Dans un état second elle écarte l'élastique du caleçon, glisse sa main sous le tissu et la referme sur un véritable pieu de chair, dur et chaud, en pleine érection....
Soihili sourit en regardant la stupéfaction qui s’affiche sur le visage de son amie.

Jamais elle n'aurait imaginé qu'un aussi gros sexe puisse exister ! Il est au moins 2 fois plus gros que celui de son mari bien aimé, très long et très épais.

Martine se penche pour sortir le membre du caleçon et découvre l’énorme vit, plus de vingt centimètres assurément, veineux et d’une belle couleur chocolat.

« Ooh…mon Dieu…. Soihili….ce n’est pas vrai ! Qu’est-ce….qu’est-ce qu’elle est grosse… !

C’est la première fois de sa vie qu’elle voit une verge de cette dimension, foncée comme l’ébène, longue comme un rouleau de sopalin.
Fascinée par ce membre hors du commun, elle le caresse doucement.
Presque timidement elle le parcourt pour en apprécier la taille qui lui semble gigantesque.... le gland, lisse, est énorme....
Soihili est aux anges, il sourit devant l’étonnement visible de son amie.

- Elle est belle hein….? Tu vois comme je te trouve belle et désirable….tu me fais sacrément bander tu sais….! Tu aimes ma grosse bite Martine ?

Intimidée, les yeux écarquillés, Martine est manifestement surprise.

- Ooh… Soihili…..Qu’est-ce qu’elle est grosse… ! grosse et dure … !" s’exclame-t-elle, estomaquée par les dimensions ahurissantes de l’engin.

Prise d'une pulsion irrésistible elle passe un coup de langue sur le gland et lape une goute cristalline qui perlait à son extrémité.

Nourredine, debout derrière elle, lui retrousse son peignoir jusqu’à la taille, avec une forte envie de pénétrer la chatte odorante et ouverte qui se présente à lui…

- Je crois que notre amie est impressionnée…. ! S’exclame-t-il, en défaisant sa braguette pour en extraire son membre dont l’érection devient douloureuse à force d’être comprimée par son pantalon.
La croupe de ma femme est à quelques centimètres à peine de son sexe, ronde, pulpeuse, merveilleusement offerte…

Soihili n'en peut plus…
D’autorité il saisit Martine par la tête pour frotter son gland contre son visage, lui fait humer l’odeur musquée de son membre.

- Tiens ma belle….goûte-la ma belle queue… !

Martine, toujours sous le coup de la surprise, et un peu hébétée par ce qui se passe, ne résiste pas et ouvre grand la bouche, grand, très grand ...
Soihili attire sa tête contre lui et enfonce son pieu dans la bouche de ma femme, au début juste un tiers pour ne pas l’effrayer en lui donnant l’impression d’étouffer.

Le sexe brun de notre copain comorien est sans commune mesure avec ce qu’elle connait…
Instinctivement elle se met à le sucer du mieux qu’elle peut, essayant tant bien que mal d’adapter ce qu’elle sait faire à l’encombrement inhabituel de sa bouche.
Elle ne peut empêcher la montée d’une petite inquiétude face à cet organe tout à fait impressionnant, mais elle n’en laisse rien paraitre, rassurée par les précautions prises par Soihili qui ne cherche pas à s’enfoncer trop.

Pendant ce temps, totalement surexcité, Nourredine lui branle la chatte d'une main et de l'autre continue à lui malaxer les outres à tour de rôle.
Il n'en peut plus d'autant que Martine, s’en vraiment s’en rendre compte, s'empale littéralement sur ses doigts !
Il est au pied du mur… !
Martine et moi sommes ses amis, et cela depuis longtemps….
Mais ma femme lui fait terriblement envie, et manifestement, en cet instant, elle le désire aussi…. Il a peur que tout cela finisse mal, qu’elle le regrette après….
Pourtant c’est bien elle qui est en train de sucer la grosse queue de Soihili et qui pousse sa superbe croupe sur les doigts qui la fouillent…
Sa vulve est trempée et ne demande qu’à être forcée, c’est sûr…..

Le cœur de Nourredine se met à battre plus vite, son esprit est partagé entre le désir irrésistible qu’il éprouve pour ma femme et le respect qu’il nous doit en tant qu’ami.
Pourtant il est là, chez nous, à demi nu, une main dans la chatte de Martine, l’autre qui lui malaxe ses gros seins.
Si j’arrivai à cet instant ce serait de toute façon déjà un désastre pour notre amitié…

Alors il sort sa queue de son pantalon, un bel engin, bien dur, et, sans aucune protection, il l'enfonce lentement, mais d'un coup, dans la chatte de ma femme qui l'aspire comme une ventouse !
Les chairs humides l’accueillent avec une douceur inégalée et il glisse voluptueusement jusqu’à ce que ses couilles butent contre les fesses de Martine.
Il lui attrape les outres et commence un lent mais ample va et vient.
Grisé lui aussi par le joint, Nourredine s’abandonne à l’ivresse du sexe, et se met à baiser mon épouse en poussant des grognements de contentement….
Son plaisir est décuplé par le fait qu’il est en train de tringler une amie, mariée à son copain Pierre, une femme dont les formes pulpeuses le font bander depuis toujours.

- Ohhhh……Martine…..Hummmm…..c’est bon ça…. ! Humm… oui…. Humm….. !

Il s’enfonce avec délectation dans la chatte dilatée, fouille les chairs avec un chuintement humide qui atteste de l’excitation ma femme, laquelle répond par des gémissements étouffés…..
- Hooo….Oui….Oooh ….oooui …. ! Ohhhh…..Nourredine…. !

Un plaisir insondable envahit Martine dont les sens s'affolent tout d'un coup.
Quelque chose s'est libéré en elle, la délivrant de ses blocages et elle n'a plus qu'une envie, celle de se livrer totalement à ses pulsions sexuelles.
Elle pousse sa croupe en arrière, pour venir à la rencontre du membre durci de notre copain maghrébin, s'empalant profondément dessus en râlant de plaisir....

En même temps elle tente d'engloutir le sexe fabuleux de Soihili, sans succès tellement les dimensions sont exceptionnelles.....
C’est la première fois qu'elle suce une verge de cette taille et un sentiment d’exaltation s’empare d’elle.
Elle s'attache à sucer le mieux possible le pieu gonflé, se régalant de son odeur et de sa fermeté.
Elle sent le gland énorme heurter le fond de son gosier, lui bloquant littéralement la bouche.
A chaque fois que Soihili ressort sa queue de sa bouche elle reprend son souffle, pousse un soupir de soulagement, puis couinant comme une truie en chaleur, elle essaye à nouveau d'emboucher plus profondément la saucisse de cheval de notre ami...

Elle est comme folle, prise entre deux bites exceptionnelles....
Les deux hommes ont bien compris que Martine est en train de se lâcher, et ils sont déterminés à en profiter au maximum....
La femme de leur copain est une femelle voluptueuse qu’ils ont maintenant sacrément envie de saillir, envie de baiser copieusement, généreusement....et tant pis pour leur copain Pierre.
Aujourd’hui il sera cocu…. !

Au début, elle ne peut emboucher que la moitié du sexe de Soihili, mais ce dernier, comme il lui tient la tête, en bouge un peu l'inclinaison et d'un coup elle sent le gland pénétrer sa gorge lui bloquant la respiration un instant !
Soihili n'en revient pas que ma femme réussisse, un peu malgré elle, à l'avaler entièrement ! C’est la première femme à le faire !


Il ne va pas louper l'occasion et tout en lui tenant la tête il ramone le gosier de Martine dans des bruits de gargouillis infâme et Martine sent les deux queues caler leur ramonage, l'un dans la chatte l'autre presque jusque dans le cou

Jamais elle n'a été prise de cette façon, et les sensations sont exceptionnelles....! Bien qu’elle ait du mal à respirer, les sensations provoquées par les deux bites sont exceptionnelles et lui procure une plaisir extrême.
Rapidement elle comprend qu’il faut respirer uniquement par le nez, ce qui rend la pénétration du pieu africain plus agréable.

Nourredine, déchainé, malaxe les grosses outres de mon épouse comme jamais il n’aurait osé le faire et alterne parfois avec une bonne claque sur le cul.
Il se défoule littéralement sur l’opulente poitrine, ses doigts écrasent la chair souple et dense des deux superbes globes dont les tétons sont désormais énormes, gorgés de désir.
A chaque pénétration il les étire vers le bas, comme s’il voulait traire cette grosse laitière, la faisant mugir de douleur et de plaisir.

Lorsque Soihili se retire de la bouche de ma femme pour la laisser reprendre sa respiration celle ci ne peut se retenir de gémir son plaisir de se faire bourrer comme une putain et en vient même, ce qu'elle n'aurait jamais imaginé oser dire, à réclamer que notre copain magrébin la baise comme une salope.

- "Hoo… oui… salaud…tu me baises bien Nourredine…. ! J’aime que tu tires sur mes tétines… tu veux me traire, c’est ça ? Tu voudrais mon lait… ? Vas-y encore… ! Presses-les bien les nichons…Presses-les…. J’adore ça ! Je suis ta vache laitière…. !

Cela excite les deux hommes d'entendre leur amie, d'habitude si polie et timide, s'exprimer dans un langage aussi cru......

C'en est trop pour Nourredine qui se vide en un geyser dans les entrailles de Martine en pinçant et tirant ses mamelons, provoquant en retour la jouissance de son amie.
Le magrébin éjacule en elle, l’inondant de son foutre prolifique, sans se préoccuper de savoir si elle prend la pilule.
- Ohhhh... ouiii...! C’est bon mon dieu... ouiii... ! J’aime te sentir dans ma chatte...! Hurle Martine.
- Ahhhh….ouais…Tiens…prends ça….. du bon foutre, tu aimes, hein… ! ! c’est bon hein… ! Ahh Martine….je t’aime…. !
- Ohhh…oui…Nourredine…. moi aussi je t’aime…. ! Tu me baises bien… ! C’est trop bon… !
- Soihili… à ton tour maintenant.... ! Viens…Baise-moi aussi… je n'en peux plus.... j'en ai tellement envie...!

A suivre….