Deux copains en visite (suite 2)
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2016 dans la catégorie Plus on est
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Deux copains en visite (suite 2)
En attendant les pizzas, Martine va prendre une douche, suivie par les deux compères qui la mate tout en se lavant le sexe dans le lavabo.
L’eau qui ruisselle sur sa peau la fait frissonner et dresser ses gros tétons bruns, rendant sa belle poitrine tout à fait alléchante.
« Eh… ! Vous ne pouvez pas aller voir ailleurs…. ? Je voudrais un peu d’intimité… ! Les interpelle-t-elle.
C’est peine perdue tant les deux hommes sont fascinés par la nudité voluptueuse de leur amie, sa peau brillante sous l’eau, la mousse qui masque partiellement son anatomie, la rendant encore plus désirable.
Excitée par la présence des deux hommes qui la mate sans vergogne, et comprenant bien qu’elle n’arrivera jamais à leur faire quitter la salle de bains, Martine se met à jouer les provocatrices, massant lentement ses gros seins en faisant mousser le savon.
Elle empoigne ses lourdes mamelles et les expose face à ses amis, avec une certaine fierté.
« Vous voyez, vous avez de grosses queues, mais moi j’ai des gros seins…et vous aimez ça, petits salauds…. ! Dit-elle en soulevant les deux masses de chair souples, un petit sourire coquin au coin des lèvres.
« C’est sur que tu as de sacrés nibards ma Martine… ! lui répond Nourredine. Et tu sais qu’on aime ça, petite garce…. !
Il s’approche de la cabine de douche dont il ouvre la porte, se glisse contre Martine, et prenant un sein dans chaque main, se met à en suçoter les pointes avec gourmandise.
- Nourredine…arrête…laisse-moi finir de prendre ma douche, s’il te plait…. ! proteste-t-elle en tentant de le repousser.
- Mais j’adore tellement tes tétons… ! se défend le magrébin. Laisse-moi les goûter encore. ! Quand on a une paire de nichons pareils on ne doit pas les laisser s’ennuyer…. !
L’un après l’autre il soulève les lourds mamelons et en aspire les pointes entre ses lèvres, les faisant gonfler un peu plus.
- Qu’est-ce que j’aime te téter……Tu devais en avoir du lait quand tu as eu tes enfants…. ! De belles mamelles pleines à ras-bord…hein ? !
- Non.allez…laisse-moi m’habiller… !
Mais rien n’y fait, Nourredine continuant à lui peloter les seins tout en l’embrassant dans le cou.
- « Regardes comme tu me fais bander ma Titine… ! s’exclame le magrébin. Tu ne vas pas me laisser pas comme ça.
Effectivement son sexe se dresse fièrement, couvert de mouse de savon, visiblement bien raide.
Martine ne peut que s’émerveiller de ce que la nature a offert à son ami, une bite massive et imposante.
Quasiment hypnotisée par le membre en érection, elle l’empoigne et le savonne vigoureusement, en branlant la tige sur toute la longueur.
La bite durcit sous ses doigts tandis que Nourredine grogne de satisfaction.
« Humm… ouais…. Vas-y…. ! C’est bon ça…. !
Puis elle s’agenouille au pied du magrébin pour lui administrer une bonne pipe, déterminée à le calmer et pouvoir ainsi finir de se doucher.
Après un début un peu mécanique elle prend vite un réel plaisir à sucer la grosse queue bien dure de Nourredine, étonnée de sa vigueur qui semble ne jamais s’éteindre...
« Humm…Martine… ! Ouu…ouiii… ! C’est bon ça…. ! S’exclame son ami. Il n’y a pas à dire, tu sais vraiment y faire…. Ta bouche fait des merveilles…. J’adore que tu me suces comme ça…. !
Le corps encore savonneux, Martine s’active sur le membre de notre ami, follement excitée de faire ça dans la douche alors qu’elle ne l’a jamais fait avec moi.
La bite lui parait extrêmement savoureuse et bien que cela ne soit pas facile, elle essaie de l’avaler presque complètement, au risque de s’étouffer, grisée par le contact du membre chaud qui envahit sa gorge.
Elle perçoit parfaitement les frémissements qui le parcourent quand ses lèvres enserrent le gland avec gourmandise, exerçant sur lui une délicate et irrésistible pression.
‘ Humm… ouais….. ! c’est bon ça…. ! Tu l’aimes ma queue….hein ? Tu l’aimes parce qu’elle est grosse, ou tu aimes bouffer une queue tout simplement… ?
Martine répond par un sourire, sans interrompre la pipe magistrale qu’elle lui prodigue, impatiente de sentir son jus lui couler dans le gosier.
Elle fait partie de ces femmes qui aiment bien avaler le nectar de leur homme après l’avoir longuement sucé.
Jusqu’à présent c’est Pierre qui en bénéficiait, mais aujourd’hui Martine s’occupe de Nourredine avec beaucoup d’allant, d’autant qu’il semble bien plus productif que moi.
La bouche distendue par l’imposante bite du magrébin, Martine ne ménage pas sa peine, enfournant vaillamment le pieu de chair, émoustillée par l’odeur virile qui en émane et surtout sa dureté inflexible.
Son ventre est en feu et le désir de ce sexe l’envahit inexorablement.
Elle se relève et invite son ami à la prendre.
« Viens Nourredine…prends-moi… ! Je veux sentir ton sexe en moi… ! Dit-elle en lui présentant sa croupe couverte de mousse.
Celui-ci ne se fait pas prier et saisissant son amie par les hanches, il la pénètre d’un coup de rein, s’enfonçant avec délectation dans son vagin chaud et trempé.
« T’es bien prête, dis donc… !
Coincée par l’exigüité de la cabine, se tenant tant bien que mal au pommeau de douche, Martine encaisse les assauts vigoureux du magrébin, en couinant de plaisir à chaque pénétration de son dard.
« Oooh… ouiiii…. Nourredine… ! Ouiii…vas-y…. Prend-moi…. !
Pour ce dernier, c’est une jubilation sans pareille que de s’accrocher au corps ruisselant de son amie et de la tringler à fond, aiguillonné par ses encouragements.
Martine n’est plus qu’un océan de volupté totale dans laquelle il se perd complaisamment.
Ses mains courent sur la peau mouillée, des hanches fermes jusqu’aux pointes brunes hérissées par l’eau, sa queue coulisse avec une grande facilité dans la douce caverne, tiède et trempée.
- Aaah… Putain…Qu’est-ce que t’es bonne…. ! Rugit-il en jouissant une nouvelle fois. Je ne le crois pas…. ! Tu as vraiment tout pour nous faire bander à mort et t’ensemencer…. !
Les yeux fermés, Martine se délecte de l’orgasme qui vient d’exploser en elle, noyant ses entrailles sous un torrent de foutre épais et gras.
Nourredine est assurément un sacré producteur pense-t-elle.
Le calme revenu, elle peut enfin reprendre le cours de sa toilette.
Sa douche terminée, Martine s’apprête à quitter la salle de bains quand Soihili l’interpelle.
- Mets juste ce peignoir, dit-il en lui tendant le vêtement pris à la patère, j’aimerai bien voir tes formes libres dessous.
Martine obtempère et enfile le léger peignoir de satin blanc qui souligne parfaitement ses superbes rondeurs et leurs pointes tendues.
- Super ! dit Soihili. Attends… ! tu serres trop la ceinture. Intervient-il en défaisant le nœud. Laisse le décolleté un peu lâche….hum…oui comme ça c’est bien…. !
J’adore quand on voit la courbe de tes beaux nichons….c’est superbement bandant tu sais… !
La sonnette retentit !
- C’est le livreur de pizza ! Va ouvrir Martine s’il te plait ! lui ordonne Soihili.
Celle-ci obéit et réceptionne les pizzas commandées, forcée de supporter le regard concupiscent du livreur qui ne se gêne pas pour mater son décolleté et ses formes opulentes dont on devine parfaitement la nudité.
C’est un jeune du quartier qu’elle connait de vue pour l’avoir souvent croisé en faisant ses courses et dont les parents tiennent la boulangerie.
Martine a du mal à cacher son embarras d’autant qu’il fait trainer les choses et louche comme un fou sur les protubérances mammaires qui tendent le tissu.
Il est évident que la volumineuse poitrine de sa cliente ne le laisse pas indifférent.
Après qu’elle eut payé, il prend congé en lui adressant une moue du bout des lèvres, comme un baiser un peu obscène.
Le repas terminé, Martine leur sert le café pendant que Nourredine fait tourner un nouveau joint.
Ma femme, un instant hésitante, tire finalement sur le pétard, tandis qu’un calme apaisant envahit son esprit.
Nourredine a mis de la musique et une mélodie planante vient agrémenter ce moment de tranquillité.
A la fin du deuxième joint elle est affalée en arrière sur le canapé, les yeux mi-clos, se laissant aller à la douce chaleur qui diffuse dans ses veines.
Devant elle ses deux copains, qui sont restés nus, discutent sans qu’elle comprenne véritablement ce qu’ils disent.
Elle les observe silencieusement, son regard se portant rapidement sur leurs attributs, certes au repos, mais qui montrent néanmoins de belles caractéristiques.
Depuis des années qu’elle connait ces garçons et les fréquente, jamais elle n’avait été attirée par eux, ni imaginé quels formidables mâles ils pouvaient être.
Son instinct de procréatrice la pousse à s’intéresser aux bourses du magrébin dont le contenu, sans équivoque possible, recèle de prolifiques promesses.
La taille conséquente des testicules qu’elle devine sous la peau réveille en elle des pulsions ancestrales et la fait saliver, tout comme la formidable bite couleur ébène du comorien, une vraie trompe d’éléphant, qui bien qu’au repos, est déjà plus volumineuse que le mien en érection.
Les attributs de Soihili sont vraiment exceptionnels et rien que leur vue déclenche un irrésistible désir qui lui chauffe le ventre.
Ce matin elle s’est laissé aller à des choses qu’elle pensait regretter, mais elle s’aperçoit qu’il n’en est rien et qu’elle a plutôt envie d’y retourner.
C’est Soihili le premier qui remarque le regard intéressé de Martine pour leur intimité et il s’approche d’elle sans complexe, en branlant lentement son membre.
- Ma belle Martine veut encore goûter mon dard ? C’est avec plaisir…tu sais !
Comme envoutée, ma femme se penche vers le sexe brun que lui présente notre copain pour en engloutir le gland qu’elle se met à sucer.
Nourredine est venu se placer aux cotés de Soihili, et ils se font sucer à tour de rôle par Martine qui est maintenant agenouillée devant eux.
Soihili défait la ceinture du peignoir et la soulage du vêtement, retrouvant sa plantureuse nudité.
- C’est plus joli comme ça ! rigole-t-il. Je veux voir tes gros seins pendant que tu nous suces… !
Un membre dans chaque main, mon épouse s’active sur eux, les suçant et les branlant à tour de rôle, leur faisant prendre rapidement une taille très conséquente.
Mes copains exultent en sentant le plaisir monter dans leur queue avec une rare intensité.
Il faut dire que Martine montre un réel savoir-faire en la matière, aiguisé par les effets du joint et c’est avec une grande efficacité qu’elle pompe les deux verges maintenant bien dressées.
- Vous aimez ça que je vous branle, hein…. ? leur demande-t-elle, un sourire étrange sur les lèvres et en faisant glisser lentement ses mains le long des deux tiges fièrement érigées. Vous avez de sacrées bites quand même…. !
- Dis donc Martine, tu nous avais caché tes talents, dis-donc…. ! lance Nourredine, d’un ton jubilatoire. On te croyait prude avec tes airs de sainte nitouche, mais tu es une sacrée bonne suceuse…. !
- Je te l’avais dit qu’elle aime les grosses bites comme les nôtres…. ! Ca se voyait… ! renchérit Soihili. N’est-ce pas Martine ? Lui demande-t-il en la regardant dans les yeux, tu aimes ça, une bonne bite à sucer…n’est-ce pas …surtout si elle est grosse ?
- -Euh… Soihili… je.. je ne…Euh.. ou…oui…J’aime ça… ! Répond-elle dans un souffle.
- Hein… ? Répète ça plus fort… ! j’ai rien entendu… !
- Je..Euh…je…j’aime ça !
- Et pourquoi tu aimes sucer nos bites ? insiste Soihili.
- Euh… par..parce…euh… parce qu’elles sont…grosses… ! finit-elle par avouer, visiblement très gênée, à nos deux amis
- Bon… et bien voilà… ! Et oui c’est bon une grosse bite…c’est mieux qu’une petite, hein… ? C’est mieux qu’avec Pierre je suis sûr… !
Honteuse, Martine hoche la tête silencieusement en signe d’approbation.
- On va t’en donner alors…, ne t’inquiète pas…. On reviendra…Tu peux en être sûre !
Pendant près de deux heures, Martine et nos deux copains copulent allègrement presque sans discontinuer, comme des puces surexcitées, s’interrompant juste le temps d’un joint ou d’un verre de bière, histoire de recharger les batteries.
Manifestant une endurance hors du commun, et surtout bien entretenus par la bouche experte de Martine qui excelle à leur maintenir une érection sans faille, ils s’accouplent à elle à tour de rôle.
Ils la laisse à peine souffler, galvanisés par les couinements de truie en chaleur qu’elle pousse quand ils la pénètrent.
Ce sont deux mâles en rut qui saillissent la même femelle, longuement, chacun l’ensemençant abondamment de liquide séminal.
Il y en a tout le temps un qui la baise pendant que l’autre bénéficie de la bouche gourmande de mon épouse, laquelle révèle un talent hors pair au contact des virilités africaines.
Les pénétrations de Nourredine sont rythmées par le claquement de ses couilles de taureau contre les fesses bien charnues de ma femme, et chaque coup de boutoir lui font meugler sa jouissance.
- Ouhhh….ouhhhh…..Oui…Ouiii….encore…oui…. ! Oooh…..C’est booon… !
Des couilles, grosses comme des mandarines qui doivent certainement produire une quantité incroyable de semence.
Je prie pour que la contraception de Martine soit efficace, car vu la quantité de sperme éjaculé au fond de sa matrice, et quand on connait les qualités de reproducteur des mâles africains, il se pourrait bien qu’ils l’engrossent d’un petit métis.
Sous leurs yeux ébahis, Martine, leur amie depuis des années, épouse fidèle et prude s’est muée en une chienne lubrique assoiffée de sexe, faisant voler en éclat ses principes pour donner libre court à ses pulsions les plus secrètes.
- Aouhh…..ouhh….oui…baise-moi Nourredine…..encore…. ! Vas-y Ooo…ou…oui…. ! Enfonce-la bien ta grosse queue…. !
- Putain… Martine, t’es une vraie chienne en chaleur…. ! on t’a déjà bien rempli la chatte tu sais…. ! et t’en veux encore…. ?
- - Ohhh…Oui…. C’est trop bon….. J’aime quand vous vous videz en moi…. !
- Ah…Sacré Martine…tu aimes le foutre…c’est ça ? On va t’en donner… ! t’inquiètes pas… on va encore t’ensemencer… !
Solidement campé sur ses jambes, les mains accrochées aux hanches pulpeuses de ma femme, Nourredine lui plante avec ardeur un dard implacable dans son vagin détrempé, un pieu de chair superbement tendu et gonflé qui lui transperce le ventre, déclenchant des vagues de jouissance sans nom, tandis que mon pote comorien se fait sucer le gland.
Une ambiance torride s’est établie dans la pièce, accentuée par la musique devenue plus forte depuis un moment, plus envoûtante.
Chacun des trois partenaires, l’esprit fortement désinhibé par les joints, se lâchent totalement, laissant libre cours à leurs pulsions et leur appétit de sexe.
- Ahhh…c’est bon, hein… ? Rugit-il en la besognant furieusement. T’es bonne Martine, t’es vraiment bonne…. Ce n’est pas croyable… ! Tu l’aimes ma queue de magrébin…hein ?
- Hum…ouais…elle aime ta queue Nourredine, c’est clair… ! Vas-y…baise-la à fond cette petite chienne… ! Hurle Soihili qui a saisit Martine par les cheveux et accompagne le mouvement de va et vient sur son sexe.
Le membre brun, dégoulinant de salive, disparait presque entièrement dans la gorge de ma femme.
- Tu aimes ça, la queue….hein ? Oui….bien sûr…. Sucer une grosse queue, c’est bon… ! Mais oui….petite sainte nitouche ! En fait tu aimes ça, sucer une bonne bite bien gonflée…. ! Sacré Pierre…il doit se régaler avec toi ! le petit salaud…. !
Martine ne sait plus ou elle est, complètement déboussolée par les ondes de jouissance qui la font littéralement défaillir.
Elle a déjà joui à de nombreuses reprises depuis le milieu de la matinée, et cela ne semble pas vouloir s’arrêter.
La formidable queue de notre copain comorien va et vient dans sa gorge, l’obligeant à respirer par le nez, non sans difficulté, et sa chatte subit un ramonage infernal de la part du magrébin qui la tringle en éructant comme un forcené.
- Qu’est-ce que t’es bonne Martine…. ! Putain… Ce n’est pas vrai…. ! qu’est-ce que j’aime ta chatte…. Elle est vraiment faite pour mon mandrin…. !
Nos deux potes ne voient plus en elle leur amie, mais une superbe salope qui veut baiser et ils s’en donnent à cœur joie, investissant tous ses orifices de leurs grosses queues.
Ah ça, pour lui donner de la queue ils lui en donnent… !
Ivres de désir, ils se régalent de sa chatte et de son cul, se disputent ses gros seins en priant pour que je ne rentre pas trop tôt…
Exaltés par une atmosphère orgiaque, ils s’accouplent à elle dans toutes les pièces de la maison, la baisent dans de multiples positions, n’hésitant pas à la prendre sur notre lit conjugal où ils vont la baiser ensemble, lui défonçant les deux orifices à la fois.
Elle n’a jamais connu ça !
Profitant d’un moment de répit de Martine qui après s’être longuement empalée sur Soihili, souffle un peu, Nourredine la pousse à se baisser sur le torse du comorien, dégageant ainsi l’accès à sa croupe.
Tenant son sexe d’une main ferme, il le guide contre l’anus passablement détendu et l’enfonce avec précaution dans l’orifice.
Il doit forcer malgré tout le passage car la présence du pieu africain dans le vagin restreint formidablement le volume disponible.
Une fois de plus la grande souplesse des chairs de mon épouse fait merveille et le dard s’enfonce lentement en elle, labourant son cul comme jamais.
Avec les deux bites logées en elle, elle croit défaillir, tellement la pression est terrible.
Elle a l’impression d’être déchirée sous la formidable poussée des deux membres, qui vont et viennent maintenant en elle, écartelant ses chairs, s’engouffrant au cœur de son intimité en conquérants résolus et implacables.
Des sensations inconnues irradient tout son être, le plaisir et la douleur communient pour donner naissance à une jouissance des plus folles.
Son anus est fortement dilaté par la grosse queue de Nourredine qui prend un plaisir rare à sodomiser ma femme, à s’enfoncer dans ses chairs juteuses et douces que je connais si bien.
- Putain Martine…. Quel cul…. ! C’est bon de le prendre…. ! Jamais je n’aurais pensé te baiser sur ton lit conjugal…. Et avec Soihili en plus… !
La douleur de l’introduction passée, Martine se détend et se laisse envahir par un une jouissance hors du commun qui embrase tout son être, envahissant les moindres fibres de son corps.
Le va et vient alterné des deux robustes mandrins lui procure des sensations qu’elle n’a jamais connues et qui sont d’une rare intensité.
- Oooohh…… Ouuuh… ! Ou…..Ouiiiii…. ! Oooh…. Mooon Dieu… !
- Alors… t’aimes ça dis…. ? La questionne Nourredine. T’aimes ça qu’on te baise à deux….hein ?
- Oooh..ou…oui ! C’est….c’est trop booon… ! hurle-t-elle, essoufflée par le rythme infernal auquel son corps est soumis, secouée par le martèlement des sexes qui la pilonnent énergiquement.
- C’est bon deux bites, hein…. ?
- Oui….oui…c’est bon… ! Oooh…. mon dieu… Ce n’est pas vrai…. Vous me baisez bien… ! Oui…baisez moi à fond… !
- Humm…ouais… ! J’aime ton cul ma Martine….si tu savais comme il est bon…. ! Tu sais qu’on va revenir…. Hein… t’es vraiment trop bonne…. ! On va revenir te baiser…. !N’est-ce pas Soihili… ?
- C’est clair ! On reviendra Martine… juste pour te baiser…. ! Tu aimes nos queues n’est-ce pas … ?
- Ouuuuh….ou…oui….. ! Oui je les aime…. !
- Dis-le encore… !
- J’aime vos queues…. Oui… j’aime vos queues …. !
- Ouais…et pourquoi tu les aimes….hein… ? Pourquoi…parce qu’elles sont grosses…c’est ça… ?
- Hummm… ouhhh… oui… ! Parce qu’elles sont grosses…et bien dures… !
« Tu veux qu’on revienne… qu’on revienne juste pour te baiser avec nos grosses queues… ?
- Ooooh…oouh… ooui…revenez….!
- Qu’on revienne juste pour te baiser… ?
- Oui…oui… juste pour me baiser… hum ou…oui… je veux que vous me baisiez…. ! !
- Tous les deux… ?
«- Oui, oui…tous les deux… ! S’époumone-t-elle, le visage en nage, l’esprit tout entier emporté dans un tourbillon de plaisir
- Ce sera notre secret….Tu seras notre salope, hein… à Nourredine et à moi… ?
- Oui….Je serai votre salope….à tous les deux…. !
- Tu ne le diras pas à Pierre, n’est-ce pas… ce ne serait pas bien… !
- Non…non… bien sûr que non… !
Prise en sandwich entre nos deux amis, Martine est collée contre le corps musclé de Soihili dont les mouvements puissants du bassin actionnent le va-et-vient de l’énorme sexe dans son vagin.
La peau du comorien ruisselle de transpiration, une odeur animale et enivrante se dégage de lui, ajoutant à la fièvre presque bestiale qui s’est emparé de lui.
Il enserre Martine dans ses bras, trouve sa bouche et y enfourne une langue baveuse pour un baiser passionné auquel elle répond avec autant de flamme, joignant sa langue à celle du comorien dans un ballet fou et survolté.
Les grosses lèvres du black enserrent les siennes dans une étreinte torride et charnelle tandis qu’il lui enfonce son membre à fond dans le vagin.
- C’est bon de te prendre Martine.. ! Lui souffle-t-il à l’oreille. Oh oui…qu’est-ce que c’est bon… ! Tu aimes ça, hein… ?
Ses cheveux bruns plaqués sur le front par la sueur, la respiration haletante, Martine jette à son partenaire un regard halluciné.
Au moment ou Martine s’apprête à répondre, son orgasme explose brusquement, dans une déflagration de jouissance inouïe qui embrase ses sens et la fait hurler :
- Aaaah….. Aaouhhh…. Ou…ouiiii…… ! Crie-t-elle, le corps pris de tremblements irrépressibles. Aaaah….. C’est boooon…. ! Ouiiiiiii…… !
- C’est bon de jouir de deux queues, hein….. ? Oui allez… jouis ma belle…jouis….. !
- Hummm… ouuu…oui….oui… ! Houuuu…oui.. ! Gémit Martine, complètement déboussolée par le phénoménal orgasme qui vient de la dévaster.
Jamais elle n’a connu pareille jouissance.
Les yeux révulsés elle se laisse emporter dans un maelstrom infernal ou son corps ne fait plus qu’un avec celui de ses baiseurs lesquels savourent l’état dans lequel ils l’ont mise.
Ils décident d’échanger leur place, Nourredine prenant possession de sa chatte et Soihili de son cul.
Assommée par l’impact de son orgasme, Martine se laisse guider par les deux hommes et s’empale presque machinalement sur le sexe de Nourredine qui s’est allongée sous elle pendant que Soihili se plaque contre sa croupe.
Le membre noir pénètre presque sans effort un anus totalement assoupli et s’enfonce profondément dans le rectum de Martine qui gémit doucement…..
Le comorien est aux anges, et les deux mains posées bien à plat sur les hanches pulpeuses de son amie, il la sodomise intensément, enfouissant ses vingt centimètres de chair gonflée jusqu’à la garde.
- Aaahh…. Qu’est-ce que j’aime ton cul Martine…. ! Beugle Soihili. Il est vraiment fait pour être défoncé… ! C’est bon de te prendre ma petite salope…. !
Nourredine de son côté lui fourre le vagin sans ménagement, s’activant sans faiblir à le défoncer une fois de plus de sa queue bien dure, les mains rivées aux gros seins qu’il malaxe furieusement.
Martine encaisse les coups de boutoir sans faillir, embrassant de temps en temps notre copain magrébin qui cherche régulièrement sa bouche.
Soudain elle sent le membre de Soihili se retirer de son cul puis une pression sur son vagin.
Le comorien se présente devant sa chatte et tente de se faufiler le long du sexe de Nourredine, lentement mais sûrement…
La pression augmente sur les chairs intimes de Martine qui ne peut réprimer un cri, tandis que le pieu noir la pénètre, ajoutant son volume à celui du sexe conséquent déjà présent dans son vagin.
- Soihili…. ? Qu’est-ce que tu fais… ? S’inquiète-elle.
- Chhhut…..tu vas voir… deux bites dans ta chatte, ça va être super !…. !
- N…Non…vous allez me faire mal… !
- Ne t’inquiète pas…. Ta chatte est bien large….Elle est faite pour les gros calibres…. ! !
D’abord inquiète, Martine se rend vite compte que son sexe réagit bien à la formidable poussée, et se dilate pour laisser l’imposante bite comorienne s’introduire en elle.
Celle-ci s’enfonce en elle inexorablement, obligeant l’orifice intime à s’élargir au fur et à mesure de la pénétration.
Les deux bites étroitement réunies représentent un volume tout à fait inhabituel pour le vagin de Martine mais la sensation est fantastique.
Dans une intime communion les deux hommes baisent leur amie, lui écartelant la chatte de façon incroyable, s’enfonçant en elle au plus profond de ses entrailles, électrisés par ses cris de jouissance semblables à des cris de bête.
Chacun sent contre son sexe celui de son compère, glissant dans la moiteur douce et trempée du vagin, et cela ne fait qu’échauffer un peu plus leur appétit sexuel.
Une fièvre presque bestiale s’empare d’eux et ils se mettent à bourrer leur amie sans ménagement, pilonnant sa chatte maintenant bien distendue, pétrissant ses seins sans vergogne, en éructant des insanités.
- T’aime ça qu’on te tringle….hein petite salope…. ! T’aime te faire baiser par des grosses queues…. ! Regarde moi ça….il y a de la place pour trois bites au moins…. !
- Hummm… ouais…. ! Nourredine a raison,…. T’as vraiment une bonne chatte… bien large… faite pour des gros gabarits… !
Les yeux révulsés, la bouche ouverte pour trouver de l’air, Martine crie son plaisir.
- Ooooh….. oui….ouiiii… ! Aaaah….aaaah… ! Ouuuh… !
Les mots crus de nos amis l’excitent terriblement et elle se déchaine, les exhortant à la baiser encore plus.
- Ooouh… Oui…enfoncez moi vos queues….salauds ! Oui…oui…allez-y…. Tringlez-moi !
Suce-moi les seins… ! crie-t-elle en les empoignant et en les appuyant à la bouche de Nourredine. T’aime-ça mes gros seins….hein ? Allez bouffe-les, ils sont à toi…. !
- Humm… ouais…. On va te les sucer tes mamelles…. Tes superbes grosses mamelles…! Eructe Soihili
Son ventre n’est plus que jouissance, ses seins ont les tétons prêts à exploser tellement ils sont gonflés, triturés et étirés sauvagement par les deux hommes.
Jamais elle n’a été baisée avec autant de vigueur et d’endurance.
Elle ne compte plus le nombre d’orgasmes qui l’ont secouée, et elle sait que son vagin est inondé de sperme africain jusque dans les moindres recoins.
Les bites qui la défoncent font un drôle de bruit en la pénétrant, un chuintement humide, une sorte de clapotis
Martine est à bout de force, pourtant quand elle sent les deux bites éjaculer leur semence au plus profond de ses chairs, elle ne peut réfréner un dernier orgasme qui la balaie de la tête aux pieds.
Les deux compères se montrent encore une fois généreux et déversent abondamment leur jus épais au cœur de sa matrice.
Le foutre qui coule en elle comme une rivière bienfaisante, l’apaise et elle s’affale sur le torse de Nourredine, épuisée, mais heureuse.
- Humm….ouais…. T’adore vraiment ça…. ! Dit-il, visiblement admiratif. T’adore qu’on se vide les couilles en toi…. ! Tu nous as épuisé aujourd’hui….je n’en peux plus…. !
- Bon c’est beaucoup pour moi aujourd’hui….Je vais devoir aller prendre une douche, Pierre ne va pas tarder à rentrer.....vous devriez partir…
- Va te doucher si tu veux..... Nous on va attendre Pierre, et prendre un verre avec lui....qu'est-ce que t'en dis Nourredine ?
- Euh....Oui.... on peut quand même prendre un verre avec ce brave Pierre, non ?
- On ne va pas te laisser seule avec Pierre, on va boire un coup avec lui, on lui doit bien ça … !
- Ce n’est pas raisonnable…il vaut mieux partir maintenant ! insiste-t-elle, un peu inquiète en voyant l’heure tourner.
- Trop tard ! s’exclame Soihili. Vas te doucher si tu veux, mais reviens en peignoir, comme tout à l'heure, avec rien en dessous, d'accord ...! Tu sais qu’on veut voir tes gros seins libres !
-
Une clé tourne dans la serrure…
L’eau qui ruisselle sur sa peau la fait frissonner et dresser ses gros tétons bruns, rendant sa belle poitrine tout à fait alléchante.
« Eh… ! Vous ne pouvez pas aller voir ailleurs…. ? Je voudrais un peu d’intimité… ! Les interpelle-t-elle.
C’est peine perdue tant les deux hommes sont fascinés par la nudité voluptueuse de leur amie, sa peau brillante sous l’eau, la mousse qui masque partiellement son anatomie, la rendant encore plus désirable.
Excitée par la présence des deux hommes qui la mate sans vergogne, et comprenant bien qu’elle n’arrivera jamais à leur faire quitter la salle de bains, Martine se met à jouer les provocatrices, massant lentement ses gros seins en faisant mousser le savon.
Elle empoigne ses lourdes mamelles et les expose face à ses amis, avec une certaine fierté.
« Vous voyez, vous avez de grosses queues, mais moi j’ai des gros seins…et vous aimez ça, petits salauds…. ! Dit-elle en soulevant les deux masses de chair souples, un petit sourire coquin au coin des lèvres.
« C’est sur que tu as de sacrés nibards ma Martine… ! lui répond Nourredine. Et tu sais qu’on aime ça, petite garce…. !
Il s’approche de la cabine de douche dont il ouvre la porte, se glisse contre Martine, et prenant un sein dans chaque main, se met à en suçoter les pointes avec gourmandise.
- Nourredine…arrête…laisse-moi finir de prendre ma douche, s’il te plait…. ! proteste-t-elle en tentant de le repousser.
- Mais j’adore tellement tes tétons… ! se défend le magrébin. Laisse-moi les goûter encore. ! Quand on a une paire de nichons pareils on ne doit pas les laisser s’ennuyer…. !
L’un après l’autre il soulève les lourds mamelons et en aspire les pointes entre ses lèvres, les faisant gonfler un peu plus.
- Qu’est-ce que j’aime te téter……Tu devais en avoir du lait quand tu as eu tes enfants…. ! De belles mamelles pleines à ras-bord…hein ? !
- Non.allez…laisse-moi m’habiller… !
Mais rien n’y fait, Nourredine continuant à lui peloter les seins tout en l’embrassant dans le cou.
- « Regardes comme tu me fais bander ma Titine… ! s’exclame le magrébin. Tu ne vas pas me laisser pas comme ça.
Effectivement son sexe se dresse fièrement, couvert de mouse de savon, visiblement bien raide.
Martine ne peut que s’émerveiller de ce que la nature a offert à son ami, une bite massive et imposante.
Quasiment hypnotisée par le membre en érection, elle l’empoigne et le savonne vigoureusement, en branlant la tige sur toute la longueur.
La bite durcit sous ses doigts tandis que Nourredine grogne de satisfaction.
« Humm… ouais…. Vas-y…. ! C’est bon ça…. !
Puis elle s’agenouille au pied du magrébin pour lui administrer une bonne pipe, déterminée à le calmer et pouvoir ainsi finir de se doucher.
Après un début un peu mécanique elle prend vite un réel plaisir à sucer la grosse queue bien dure de Nourredine, étonnée de sa vigueur qui semble ne jamais s’éteindre...
« Humm…Martine… ! Ouu…ouiii… ! C’est bon ça…. ! S’exclame son ami. Il n’y a pas à dire, tu sais vraiment y faire…. Ta bouche fait des merveilles…. J’adore que tu me suces comme ça…. !
Le corps encore savonneux, Martine s’active sur le membre de notre ami, follement excitée de faire ça dans la douche alors qu’elle ne l’a jamais fait avec moi.
La bite lui parait extrêmement savoureuse et bien que cela ne soit pas facile, elle essaie de l’avaler presque complètement, au risque de s’étouffer, grisée par le contact du membre chaud qui envahit sa gorge.
Elle perçoit parfaitement les frémissements qui le parcourent quand ses lèvres enserrent le gland avec gourmandise, exerçant sur lui une délicate et irrésistible pression.
‘ Humm… ouais….. ! c’est bon ça…. ! Tu l’aimes ma queue….hein ? Tu l’aimes parce qu’elle est grosse, ou tu aimes bouffer une queue tout simplement… ?
Martine répond par un sourire, sans interrompre la pipe magistrale qu’elle lui prodigue, impatiente de sentir son jus lui couler dans le gosier.
Elle fait partie de ces femmes qui aiment bien avaler le nectar de leur homme après l’avoir longuement sucé.
Jusqu’à présent c’est Pierre qui en bénéficiait, mais aujourd’hui Martine s’occupe de Nourredine avec beaucoup d’allant, d’autant qu’il semble bien plus productif que moi.
La bouche distendue par l’imposante bite du magrébin, Martine ne ménage pas sa peine, enfournant vaillamment le pieu de chair, émoustillée par l’odeur virile qui en émane et surtout sa dureté inflexible.
Son ventre est en feu et le désir de ce sexe l’envahit inexorablement.
Elle se relève et invite son ami à la prendre.
« Viens Nourredine…prends-moi… ! Je veux sentir ton sexe en moi… ! Dit-elle en lui présentant sa croupe couverte de mousse.
Celui-ci ne se fait pas prier et saisissant son amie par les hanches, il la pénètre d’un coup de rein, s’enfonçant avec délectation dans son vagin chaud et trempé.
« T’es bien prête, dis donc… !
Coincée par l’exigüité de la cabine, se tenant tant bien que mal au pommeau de douche, Martine encaisse les assauts vigoureux du magrébin, en couinant de plaisir à chaque pénétration de son dard.
« Oooh… ouiiii…. Nourredine… ! Ouiii…vas-y…. Prend-moi…. !
Pour ce dernier, c’est une jubilation sans pareille que de s’accrocher au corps ruisselant de son amie et de la tringler à fond, aiguillonné par ses encouragements.
Martine n’est plus qu’un océan de volupté totale dans laquelle il se perd complaisamment.
Ses mains courent sur la peau mouillée, des hanches fermes jusqu’aux pointes brunes hérissées par l’eau, sa queue coulisse avec une grande facilité dans la douce caverne, tiède et trempée.
- Aaah… Putain…Qu’est-ce que t’es bonne…. ! Rugit-il en jouissant une nouvelle fois. Je ne le crois pas…. ! Tu as vraiment tout pour nous faire bander à mort et t’ensemencer…. !
Les yeux fermés, Martine se délecte de l’orgasme qui vient d’exploser en elle, noyant ses entrailles sous un torrent de foutre épais et gras.
Nourredine est assurément un sacré producteur pense-t-elle.
Le calme revenu, elle peut enfin reprendre le cours de sa toilette.
Sa douche terminée, Martine s’apprête à quitter la salle de bains quand Soihili l’interpelle.
- Mets juste ce peignoir, dit-il en lui tendant le vêtement pris à la patère, j’aimerai bien voir tes formes libres dessous.
Martine obtempère et enfile le léger peignoir de satin blanc qui souligne parfaitement ses superbes rondeurs et leurs pointes tendues.
- Super ! dit Soihili. Attends… ! tu serres trop la ceinture. Intervient-il en défaisant le nœud. Laisse le décolleté un peu lâche….hum…oui comme ça c’est bien…. !
J’adore quand on voit la courbe de tes beaux nichons….c’est superbement bandant tu sais… !
La sonnette retentit !
- C’est le livreur de pizza ! Va ouvrir Martine s’il te plait ! lui ordonne Soihili.
Celle-ci obéit et réceptionne les pizzas commandées, forcée de supporter le regard concupiscent du livreur qui ne se gêne pas pour mater son décolleté et ses formes opulentes dont on devine parfaitement la nudité.
C’est un jeune du quartier qu’elle connait de vue pour l’avoir souvent croisé en faisant ses courses et dont les parents tiennent la boulangerie.
Martine a du mal à cacher son embarras d’autant qu’il fait trainer les choses et louche comme un fou sur les protubérances mammaires qui tendent le tissu.
Il est évident que la volumineuse poitrine de sa cliente ne le laisse pas indifférent.
Après qu’elle eut payé, il prend congé en lui adressant une moue du bout des lèvres, comme un baiser un peu obscène.
Le repas terminé, Martine leur sert le café pendant que Nourredine fait tourner un nouveau joint.
Ma femme, un instant hésitante, tire finalement sur le pétard, tandis qu’un calme apaisant envahit son esprit.
Nourredine a mis de la musique et une mélodie planante vient agrémenter ce moment de tranquillité.
A la fin du deuxième joint elle est affalée en arrière sur le canapé, les yeux mi-clos, se laissant aller à la douce chaleur qui diffuse dans ses veines.
Devant elle ses deux copains, qui sont restés nus, discutent sans qu’elle comprenne véritablement ce qu’ils disent.
Elle les observe silencieusement, son regard se portant rapidement sur leurs attributs, certes au repos, mais qui montrent néanmoins de belles caractéristiques.
Depuis des années qu’elle connait ces garçons et les fréquente, jamais elle n’avait été attirée par eux, ni imaginé quels formidables mâles ils pouvaient être.
Son instinct de procréatrice la pousse à s’intéresser aux bourses du magrébin dont le contenu, sans équivoque possible, recèle de prolifiques promesses.
La taille conséquente des testicules qu’elle devine sous la peau réveille en elle des pulsions ancestrales et la fait saliver, tout comme la formidable bite couleur ébène du comorien, une vraie trompe d’éléphant, qui bien qu’au repos, est déjà plus volumineuse que le mien en érection.
Les attributs de Soihili sont vraiment exceptionnels et rien que leur vue déclenche un irrésistible désir qui lui chauffe le ventre.
Ce matin elle s’est laissé aller à des choses qu’elle pensait regretter, mais elle s’aperçoit qu’il n’en est rien et qu’elle a plutôt envie d’y retourner.
C’est Soihili le premier qui remarque le regard intéressé de Martine pour leur intimité et il s’approche d’elle sans complexe, en branlant lentement son membre.
- Ma belle Martine veut encore goûter mon dard ? C’est avec plaisir…tu sais !
Comme envoutée, ma femme se penche vers le sexe brun que lui présente notre copain pour en engloutir le gland qu’elle se met à sucer.
Nourredine est venu se placer aux cotés de Soihili, et ils se font sucer à tour de rôle par Martine qui est maintenant agenouillée devant eux.
Soihili défait la ceinture du peignoir et la soulage du vêtement, retrouvant sa plantureuse nudité.
- C’est plus joli comme ça ! rigole-t-il. Je veux voir tes gros seins pendant que tu nous suces… !
Un membre dans chaque main, mon épouse s’active sur eux, les suçant et les branlant à tour de rôle, leur faisant prendre rapidement une taille très conséquente.
Mes copains exultent en sentant le plaisir monter dans leur queue avec une rare intensité.
Il faut dire que Martine montre un réel savoir-faire en la matière, aiguisé par les effets du joint et c’est avec une grande efficacité qu’elle pompe les deux verges maintenant bien dressées.
- Vous aimez ça que je vous branle, hein…. ? leur demande-t-elle, un sourire étrange sur les lèvres et en faisant glisser lentement ses mains le long des deux tiges fièrement érigées. Vous avez de sacrées bites quand même…. !
- Dis donc Martine, tu nous avais caché tes talents, dis-donc…. ! lance Nourredine, d’un ton jubilatoire. On te croyait prude avec tes airs de sainte nitouche, mais tu es une sacrée bonne suceuse…. !
- Je te l’avais dit qu’elle aime les grosses bites comme les nôtres…. ! Ca se voyait… ! renchérit Soihili. N’est-ce pas Martine ? Lui demande-t-il en la regardant dans les yeux, tu aimes ça, une bonne bite à sucer…n’est-ce pas …surtout si elle est grosse ?
- -Euh… Soihili… je.. je ne…Euh.. ou…oui…J’aime ça… ! Répond-elle dans un souffle.
- Hein… ? Répète ça plus fort… ! j’ai rien entendu… !
- Je..Euh…je…j’aime ça !
- Et pourquoi tu aimes sucer nos bites ? insiste Soihili.
- Euh… par..parce…euh… parce qu’elles sont…grosses… ! finit-elle par avouer, visiblement très gênée, à nos deux amis
- Bon… et bien voilà… ! Et oui c’est bon une grosse bite…c’est mieux qu’une petite, hein… ? C’est mieux qu’avec Pierre je suis sûr… !
Honteuse, Martine hoche la tête silencieusement en signe d’approbation.
- On va t’en donner alors…, ne t’inquiète pas…. On reviendra…Tu peux en être sûre !
Pendant près de deux heures, Martine et nos deux copains copulent allègrement presque sans discontinuer, comme des puces surexcitées, s’interrompant juste le temps d’un joint ou d’un verre de bière, histoire de recharger les batteries.
Manifestant une endurance hors du commun, et surtout bien entretenus par la bouche experte de Martine qui excelle à leur maintenir une érection sans faille, ils s’accouplent à elle à tour de rôle.
Ils la laisse à peine souffler, galvanisés par les couinements de truie en chaleur qu’elle pousse quand ils la pénètrent.
Ce sont deux mâles en rut qui saillissent la même femelle, longuement, chacun l’ensemençant abondamment de liquide séminal.
Il y en a tout le temps un qui la baise pendant que l’autre bénéficie de la bouche gourmande de mon épouse, laquelle révèle un talent hors pair au contact des virilités africaines.
Les pénétrations de Nourredine sont rythmées par le claquement de ses couilles de taureau contre les fesses bien charnues de ma femme, et chaque coup de boutoir lui font meugler sa jouissance.
- Ouhhh….ouhhhh…..Oui…Ouiii….encore…oui…. ! Oooh…..C’est booon… !
Des couilles, grosses comme des mandarines qui doivent certainement produire une quantité incroyable de semence.
Je prie pour que la contraception de Martine soit efficace, car vu la quantité de sperme éjaculé au fond de sa matrice, et quand on connait les qualités de reproducteur des mâles africains, il se pourrait bien qu’ils l’engrossent d’un petit métis.
Sous leurs yeux ébahis, Martine, leur amie depuis des années, épouse fidèle et prude s’est muée en une chienne lubrique assoiffée de sexe, faisant voler en éclat ses principes pour donner libre court à ses pulsions les plus secrètes.
- Aouhh…..ouhh….oui…baise-moi Nourredine…..encore…. ! Vas-y Ooo…ou…oui…. ! Enfonce-la bien ta grosse queue…. !
- Putain… Martine, t’es une vraie chienne en chaleur…. ! on t’a déjà bien rempli la chatte tu sais…. ! et t’en veux encore…. ?
- - Ohhh…Oui…. C’est trop bon….. J’aime quand vous vous videz en moi…. !
- Ah…Sacré Martine…tu aimes le foutre…c’est ça ? On va t’en donner… ! t’inquiètes pas… on va encore t’ensemencer… !
Solidement campé sur ses jambes, les mains accrochées aux hanches pulpeuses de ma femme, Nourredine lui plante avec ardeur un dard implacable dans son vagin détrempé, un pieu de chair superbement tendu et gonflé qui lui transperce le ventre, déclenchant des vagues de jouissance sans nom, tandis que mon pote comorien se fait sucer le gland.
Une ambiance torride s’est établie dans la pièce, accentuée par la musique devenue plus forte depuis un moment, plus envoûtante.
Chacun des trois partenaires, l’esprit fortement désinhibé par les joints, se lâchent totalement, laissant libre cours à leurs pulsions et leur appétit de sexe.
- Ahhh…c’est bon, hein… ? Rugit-il en la besognant furieusement. T’es bonne Martine, t’es vraiment bonne…. Ce n’est pas croyable… ! Tu l’aimes ma queue de magrébin…hein ?
- Hum…ouais…elle aime ta queue Nourredine, c’est clair… ! Vas-y…baise-la à fond cette petite chienne… ! Hurle Soihili qui a saisit Martine par les cheveux et accompagne le mouvement de va et vient sur son sexe.
Le membre brun, dégoulinant de salive, disparait presque entièrement dans la gorge de ma femme.
- Tu aimes ça, la queue….hein ? Oui….bien sûr…. Sucer une grosse queue, c’est bon… ! Mais oui….petite sainte nitouche ! En fait tu aimes ça, sucer une bonne bite bien gonflée…. ! Sacré Pierre…il doit se régaler avec toi ! le petit salaud…. !
Martine ne sait plus ou elle est, complètement déboussolée par les ondes de jouissance qui la font littéralement défaillir.
Elle a déjà joui à de nombreuses reprises depuis le milieu de la matinée, et cela ne semble pas vouloir s’arrêter.
La formidable queue de notre copain comorien va et vient dans sa gorge, l’obligeant à respirer par le nez, non sans difficulté, et sa chatte subit un ramonage infernal de la part du magrébin qui la tringle en éructant comme un forcené.
- Qu’est-ce que t’es bonne Martine…. ! Putain… Ce n’est pas vrai…. ! qu’est-ce que j’aime ta chatte…. Elle est vraiment faite pour mon mandrin…. !
Nos deux potes ne voient plus en elle leur amie, mais une superbe salope qui veut baiser et ils s’en donnent à cœur joie, investissant tous ses orifices de leurs grosses queues.
Ah ça, pour lui donner de la queue ils lui en donnent… !
Ivres de désir, ils se régalent de sa chatte et de son cul, se disputent ses gros seins en priant pour que je ne rentre pas trop tôt…
Exaltés par une atmosphère orgiaque, ils s’accouplent à elle dans toutes les pièces de la maison, la baisent dans de multiples positions, n’hésitant pas à la prendre sur notre lit conjugal où ils vont la baiser ensemble, lui défonçant les deux orifices à la fois.
Elle n’a jamais connu ça !
Profitant d’un moment de répit de Martine qui après s’être longuement empalée sur Soihili, souffle un peu, Nourredine la pousse à se baisser sur le torse du comorien, dégageant ainsi l’accès à sa croupe.
Tenant son sexe d’une main ferme, il le guide contre l’anus passablement détendu et l’enfonce avec précaution dans l’orifice.
Il doit forcer malgré tout le passage car la présence du pieu africain dans le vagin restreint formidablement le volume disponible.
Une fois de plus la grande souplesse des chairs de mon épouse fait merveille et le dard s’enfonce lentement en elle, labourant son cul comme jamais.
Avec les deux bites logées en elle, elle croit défaillir, tellement la pression est terrible.
Elle a l’impression d’être déchirée sous la formidable poussée des deux membres, qui vont et viennent maintenant en elle, écartelant ses chairs, s’engouffrant au cœur de son intimité en conquérants résolus et implacables.
Des sensations inconnues irradient tout son être, le plaisir et la douleur communient pour donner naissance à une jouissance des plus folles.
Son anus est fortement dilaté par la grosse queue de Nourredine qui prend un plaisir rare à sodomiser ma femme, à s’enfoncer dans ses chairs juteuses et douces que je connais si bien.
- Putain Martine…. Quel cul…. ! C’est bon de le prendre…. ! Jamais je n’aurais pensé te baiser sur ton lit conjugal…. Et avec Soihili en plus… !
La douleur de l’introduction passée, Martine se détend et se laisse envahir par un une jouissance hors du commun qui embrase tout son être, envahissant les moindres fibres de son corps.
Le va et vient alterné des deux robustes mandrins lui procure des sensations qu’elle n’a jamais connues et qui sont d’une rare intensité.
- Oooohh…… Ouuuh… ! Ou…..Ouiiiii…. ! Oooh…. Mooon Dieu… !
- Alors… t’aimes ça dis…. ? La questionne Nourredine. T’aimes ça qu’on te baise à deux….hein ?
- Oooh..ou…oui ! C’est….c’est trop booon… ! hurle-t-elle, essoufflée par le rythme infernal auquel son corps est soumis, secouée par le martèlement des sexes qui la pilonnent énergiquement.
- C’est bon deux bites, hein…. ?
- Oui….oui…c’est bon… ! Oooh…. mon dieu… Ce n’est pas vrai…. Vous me baisez bien… ! Oui…baisez moi à fond… !
- Humm…ouais… ! J’aime ton cul ma Martine….si tu savais comme il est bon…. ! Tu sais qu’on va revenir…. Hein… t’es vraiment trop bonne…. ! On va revenir te baiser…. !N’est-ce pas Soihili… ?
- C’est clair ! On reviendra Martine… juste pour te baiser…. ! Tu aimes nos queues n’est-ce pas … ?
- Ouuuuh….ou…oui….. ! Oui je les aime…. !
- Dis-le encore… !
- J’aime vos queues…. Oui… j’aime vos queues …. !
- Ouais…et pourquoi tu les aimes….hein… ? Pourquoi…parce qu’elles sont grosses…c’est ça… ?
- Hummm… ouhhh… oui… ! Parce qu’elles sont grosses…et bien dures… !
« Tu veux qu’on revienne… qu’on revienne juste pour te baiser avec nos grosses queues… ?
- Ooooh…oouh… ooui…revenez….!
- Qu’on revienne juste pour te baiser… ?
- Oui…oui… juste pour me baiser… hum ou…oui… je veux que vous me baisiez…. ! !
- Tous les deux… ?
«- Oui, oui…tous les deux… ! S’époumone-t-elle, le visage en nage, l’esprit tout entier emporté dans un tourbillon de plaisir
- Ce sera notre secret….Tu seras notre salope, hein… à Nourredine et à moi… ?
- Oui….Je serai votre salope….à tous les deux…. !
- Tu ne le diras pas à Pierre, n’est-ce pas… ce ne serait pas bien… !
- Non…non… bien sûr que non… !
Prise en sandwich entre nos deux amis, Martine est collée contre le corps musclé de Soihili dont les mouvements puissants du bassin actionnent le va-et-vient de l’énorme sexe dans son vagin.
La peau du comorien ruisselle de transpiration, une odeur animale et enivrante se dégage de lui, ajoutant à la fièvre presque bestiale qui s’est emparé de lui.
Il enserre Martine dans ses bras, trouve sa bouche et y enfourne une langue baveuse pour un baiser passionné auquel elle répond avec autant de flamme, joignant sa langue à celle du comorien dans un ballet fou et survolté.
Les grosses lèvres du black enserrent les siennes dans une étreinte torride et charnelle tandis qu’il lui enfonce son membre à fond dans le vagin.
- C’est bon de te prendre Martine.. ! Lui souffle-t-il à l’oreille. Oh oui…qu’est-ce que c’est bon… ! Tu aimes ça, hein… ?
Ses cheveux bruns plaqués sur le front par la sueur, la respiration haletante, Martine jette à son partenaire un regard halluciné.
Au moment ou Martine s’apprête à répondre, son orgasme explose brusquement, dans une déflagration de jouissance inouïe qui embrase ses sens et la fait hurler :
- Aaaah….. Aaouhhh…. Ou…ouiiii…… ! Crie-t-elle, le corps pris de tremblements irrépressibles. Aaaah….. C’est boooon…. ! Ouiiiiiii…… !
- C’est bon de jouir de deux queues, hein….. ? Oui allez… jouis ma belle…jouis….. !
- Hummm… ouuu…oui….oui… ! Houuuu…oui.. ! Gémit Martine, complètement déboussolée par le phénoménal orgasme qui vient de la dévaster.
Jamais elle n’a connu pareille jouissance.
Les yeux révulsés elle se laisse emporter dans un maelstrom infernal ou son corps ne fait plus qu’un avec celui de ses baiseurs lesquels savourent l’état dans lequel ils l’ont mise.
Ils décident d’échanger leur place, Nourredine prenant possession de sa chatte et Soihili de son cul.
Assommée par l’impact de son orgasme, Martine se laisse guider par les deux hommes et s’empale presque machinalement sur le sexe de Nourredine qui s’est allongée sous elle pendant que Soihili se plaque contre sa croupe.
Le membre noir pénètre presque sans effort un anus totalement assoupli et s’enfonce profondément dans le rectum de Martine qui gémit doucement…..
Le comorien est aux anges, et les deux mains posées bien à plat sur les hanches pulpeuses de son amie, il la sodomise intensément, enfouissant ses vingt centimètres de chair gonflée jusqu’à la garde.
- Aaahh…. Qu’est-ce que j’aime ton cul Martine…. ! Beugle Soihili. Il est vraiment fait pour être défoncé… ! C’est bon de te prendre ma petite salope…. !
Nourredine de son côté lui fourre le vagin sans ménagement, s’activant sans faiblir à le défoncer une fois de plus de sa queue bien dure, les mains rivées aux gros seins qu’il malaxe furieusement.
Martine encaisse les coups de boutoir sans faillir, embrassant de temps en temps notre copain magrébin qui cherche régulièrement sa bouche.
Soudain elle sent le membre de Soihili se retirer de son cul puis une pression sur son vagin.
Le comorien se présente devant sa chatte et tente de se faufiler le long du sexe de Nourredine, lentement mais sûrement…
La pression augmente sur les chairs intimes de Martine qui ne peut réprimer un cri, tandis que le pieu noir la pénètre, ajoutant son volume à celui du sexe conséquent déjà présent dans son vagin.
- Soihili…. ? Qu’est-ce que tu fais… ? S’inquiète-elle.
- Chhhut…..tu vas voir… deux bites dans ta chatte, ça va être super !…. !
- N…Non…vous allez me faire mal… !
- Ne t’inquiète pas…. Ta chatte est bien large….Elle est faite pour les gros calibres…. ! !
D’abord inquiète, Martine se rend vite compte que son sexe réagit bien à la formidable poussée, et se dilate pour laisser l’imposante bite comorienne s’introduire en elle.
Celle-ci s’enfonce en elle inexorablement, obligeant l’orifice intime à s’élargir au fur et à mesure de la pénétration.
Les deux bites étroitement réunies représentent un volume tout à fait inhabituel pour le vagin de Martine mais la sensation est fantastique.
Dans une intime communion les deux hommes baisent leur amie, lui écartelant la chatte de façon incroyable, s’enfonçant en elle au plus profond de ses entrailles, électrisés par ses cris de jouissance semblables à des cris de bête.
Chacun sent contre son sexe celui de son compère, glissant dans la moiteur douce et trempée du vagin, et cela ne fait qu’échauffer un peu plus leur appétit sexuel.
Une fièvre presque bestiale s’empare d’eux et ils se mettent à bourrer leur amie sans ménagement, pilonnant sa chatte maintenant bien distendue, pétrissant ses seins sans vergogne, en éructant des insanités.
- T’aime ça qu’on te tringle….hein petite salope…. ! T’aime te faire baiser par des grosses queues…. ! Regarde moi ça….il y a de la place pour trois bites au moins…. !
- Hummm… ouais…. ! Nourredine a raison,…. T’as vraiment une bonne chatte… bien large… faite pour des gros gabarits… !
Les yeux révulsés, la bouche ouverte pour trouver de l’air, Martine crie son plaisir.
- Ooooh….. oui….ouiiii… ! Aaaah….aaaah… ! Ouuuh… !
Les mots crus de nos amis l’excitent terriblement et elle se déchaine, les exhortant à la baiser encore plus.
- Ooouh… Oui…enfoncez moi vos queues….salauds ! Oui…oui…allez-y…. Tringlez-moi !
Suce-moi les seins… ! crie-t-elle en les empoignant et en les appuyant à la bouche de Nourredine. T’aime-ça mes gros seins….hein ? Allez bouffe-les, ils sont à toi…. !
- Humm… ouais…. On va te les sucer tes mamelles…. Tes superbes grosses mamelles…! Eructe Soihili
Son ventre n’est plus que jouissance, ses seins ont les tétons prêts à exploser tellement ils sont gonflés, triturés et étirés sauvagement par les deux hommes.
Jamais elle n’a été baisée avec autant de vigueur et d’endurance.
Elle ne compte plus le nombre d’orgasmes qui l’ont secouée, et elle sait que son vagin est inondé de sperme africain jusque dans les moindres recoins.
Les bites qui la défoncent font un drôle de bruit en la pénétrant, un chuintement humide, une sorte de clapotis
Martine est à bout de force, pourtant quand elle sent les deux bites éjaculer leur semence au plus profond de ses chairs, elle ne peut réfréner un dernier orgasme qui la balaie de la tête aux pieds.
Les deux compères se montrent encore une fois généreux et déversent abondamment leur jus épais au cœur de sa matrice.
Le foutre qui coule en elle comme une rivière bienfaisante, l’apaise et elle s’affale sur le torse de Nourredine, épuisée, mais heureuse.
- Humm….ouais…. T’adore vraiment ça…. ! Dit-il, visiblement admiratif. T’adore qu’on se vide les couilles en toi…. ! Tu nous as épuisé aujourd’hui….je n’en peux plus…. !
- Bon c’est beaucoup pour moi aujourd’hui….Je vais devoir aller prendre une douche, Pierre ne va pas tarder à rentrer.....vous devriez partir…
- Va te doucher si tu veux..... Nous on va attendre Pierre, et prendre un verre avec lui....qu'est-ce que t'en dis Nourredine ?
- Euh....Oui.... on peut quand même prendre un verre avec ce brave Pierre, non ?
- On ne va pas te laisser seule avec Pierre, on va boire un coup avec lui, on lui doit bien ça … !
- Ce n’est pas raisonnable…il vaut mieux partir maintenant ! insiste-t-elle, un peu inquiète en voyant l’heure tourner.
- Trop tard ! s’exclame Soihili. Vas te doucher si tu veux, mais reviens en peignoir, comme tout à l'heure, avec rien en dessous, d'accord ...! Tu sais qu’on veut voir tes gros seins libres !
-
Une clé tourne dans la serrure…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire excitante de la sensuelle Martine.
Merci, Mojo
Merci, Mojo