les aventures de Martine - l'ami-amant
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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les aventures de Martine - l'ami-amant
Ce n’est pas peu dire que la soirée passée avec Rachid et François a fait évoluer nos
relations de couple.
Je suis honteux d’avoir autant sous-estimé Martine, mon épouse, qui m’a vraiment
bluffé en révélant ses capacités à satisfaire trois hommes, démontrant qui plus est un
appétit hors du commun.
Enfin le commun que je connais.
Je repense avec regret à toutes ces occasions perdues avec elle parce que, venant d’un
milieu que je jugeais austère, je la croyais coincée, inhibée, incapable de se lâcher
au lit.
C’est tout simplement moi qui n’ai pas su y faire.
Je me serai giflé.
Je lui ai pardonné de m’avoir trompé avec Rachid, d’autant qu’à ma grande surprise,
j’ai rarement été aussi excité, me branlant comme un forcené en la voyant s’empaler
sur le gode géant, la queue brune de son amant enfoncée dans la gorge.
Le détail qui me chagrine encore c’est la possibilité d’un autre amant ainsi que leur
silence coupable à tous les deux, l’autre soir, me l’a laissé deviner.
En réfléchissant au calendrier et les changements de comportements que j’avais pu
noter, je me dis que la clé est très certainement ce weekend en Ardèche ou pris par
mon travail je n’ai pas pu l’accompagner, la laissant partir avec mon meilleur ami,
Jacques.
Ce n’est qu’à leur retour que j’ai appris l’absence de Nathalie, l’épouse de Jacques,
remplacée au pied levé par Rachid, un copain commun.
Martine en était revenue radieuse, manifestant une joie communicative qui agrémenta
beaucoup nos rapports dans les jours qui suivirent ce dont je me félicitais.
J’ai mis ça sur le compte du dépaysement alors que les causes étaient certainement
tout autres.
Mon ami aurait-il pu profiter de cette opportunité pour lui faire des avances ?
Cela n’est pas impossible car depuis le temps que nous nous connaissons, il m’est déjà
arrivé de surprendre son regard appuyé sur Martine, notamment lorsqu’elle déambulait
dans des vêtements un peu trop fins.
Bien qu’elle n’ait jamais été vraiment provocante dans ses attitudes ni dans son
habillement elle a pu quelque fois laisser deviner ses courbes à travers une tunique
ou un paréo portés sans soutien-gorge.
Ce n’était pas intentionnel de sa part, c’était plus par souci de confort, mais c’est
vrai qu’elle pouvait alors être très bandante.
L’idée qu’elle puisse le faire bander m’amusait.
En tout cas il faut que j’en ais le cœur net, reste à savoir comment faire ?
Je décide de passer un coup de fil à Jacques.
- Jacques…c’est Pierre
J’ai besoin d’un service que je ne peux demander qu’à un ami, car cela concerne
Martine.
En effet j’ai des doutes sur sa fidélité, et je voudrais la tester pour me prouver que
j’ai tort.
L’idée c’est que tu viennes à la maison, pendant mon absence et que tu lui fasses des
avances.
Débrouilles-toi pour que cela ait l’air sincère, et je veux la vérité sur sa réaction.
- Dis donc, c’est un sacré service que tu me demandes là !
- Je sais, mais il n’y a qu’à toi que je peux le demander. Il faut vraiment que
je sache !
- Bon d’accord, tu peux compter sur moi !
Nous décidons qu’il ira la voir le jeudi soir suivant, quand sa femme Nathalie est
chez sa mère, et nos enfants pas encore rentrés de la pension.
Ce que je n’ai pas dit à Jacques c’est que j’ai bien l’intention d’assister à la
rencontre, à leur insu.
Le jeudi suivant je quitte mon épouse en lui disant que je dois aller sur Paris pour
mon travail et ne rentrerai que le lendemain.
En début de soirée je suis de retour, mais je me gare à distance afin de ne pas être
repéré.
La voiture de Jacques est garée à côté de celle de Martine, devant le portail
Me faisant le plus discret possible je m’approche de la maison.
Tout est calme, seul le salon est éclairé, ils doivent sûrement s’y trouver.
Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le
salon, sans éclairer
La porte n’est pas complètement fermée.
Le cœur battant, le ventre noué par la peur de me faire surprendre, tel un intrus,
dans ma propre maison, je tends l’oreille.
Un bruit de voix, ou plutôt des cris semblent venir de la pièce.
Je risque un œil dans l’entrebâillement de la porte, et découvre un spectacle qui
m’immobilise sur place.
Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le
dos, mon ami Jacques, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, le dos appuyé contre le mur, envahi d’une insondable
tristesse.
Le faible espoir qui vivait encore en moi vient de disparaître, balayé par la vision
crue mais terriblement réaliste qui m’explose à la figure.
J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à m’en donner le
tournis, tandis que la colère remplace peu à peu la consternation.
Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil
dans la pièce, en repoussant légèrement la porte.
Tapi dans l’obscurité du couloir, je suis sûr qu’ils ne peuvent pas me voir.
Agenouillé devant mon épouse, Jacques lui tient les jambes relevées et écartées, et la
pénètre avec une belle vigueur, en poussant des « han » de satisfaction.
C’est bien mon ami, mon meilleur ami depuis le lycée, qui secoue sa bedaine en donnant
des coups de reins qui font claquer ses cuisses contre les fesses nues de ma femme.
- tu sais que Pierre m’a demandé de te faire des avances ! rigole-t-il.
Il a des soupçons sur ta fidélité, et il voulait que je vérifie !
- Il t’a donné des détails ? S’inquiète-t-elle.
- Non, il m’a simplement fait part de ses doutes, mais sans préciser vers qui… !
En tout cas ce n’est pas envers moi, sinon il ne m’aurait pas choisi pour vérifier… !
Un curieux sentiment s’empare de moi mêlant la colère, la jalousie et l’envie.
Bien que préparé à cette éventualité, j’ai du mal à l’accepter car la scène que j’ai
sous les yeux fait voler en éclat l’idée que je me fais de l’amitié, piétinant
allégrement son côté sacré.
Je regarde Martine, la tête sur le bord du canapé, les yeux mi-clos, sa chevelure
brune rejetée vers l’arrière.
Sa poitrine généreuse se soulève en cadence, secouée par les assauts énergiques son
partenaire.
Les questions se bousculent.
Quels atouts a-t-il pu mettre en avant pour la séduire, et réussir à gagner ses
faveurs ?
Pas son physique de père pantouflard quand même !
Nous avons le même âge, pourtant il parait dix ans de plus.
Ce que je découvre là me laisse pantois car elle semble prendre son pied la garce !
- Ouiii… ouiii … Jacques ! Vas-y plus fort. L’encourage-t-elle.
- Tu me sens bien, ma belle ? Tu aimes, hein ?
- Ohhh… Jacques… oui… !
Je me demande si leur liaison date du week-end en Ardèche, ou bien si elle est plus
ancienne.
En tout cas je n’ai jamais rien remarqué.
Alors que je culpabilise à chacun de mes déplacements, la laissant seule à la maison,
peut-être en profite-t-elle pour se faire sauter par ce salaud.
La colère gronde en moi à la pensée qu’il l’a peut-être déjà baisée, ici, pendant mes
absences, ou chez lui quand sa femme part voir sa mère.
Immobile, je continue d’observer passivement la scène.
Jacques se retire, en invitant mon épouse à se relever.
- Viens goûter notre petit ami, lui dit-il, il t’attend avec impatience, tu sais
!
Le changement de position me permet de découvrir son anatomie, que sa position me
cachait jusque là.
Son corps n’est pas celui d’un Apollon, loin s’en faut, avec son ventre rebondi et ses
jambes courtes, mais au milieu de la toison pubienne bien fournie se dresse une verge
épaisse et courbée, terminé par un gland effilé, d’un diamètre assez conséquent.
Je n’avais jamais vu Jacques complètement nu, et découvrir ainsi son intimité me fait
une impression bizarre, presque gênante.
Sans être très long, son sexe est quand même loin d’être insignifiant et semble
présenter un réel intérêt pour ma femme.
Martine s’agenouille devant notre ami et saisit le membre érigé à pleine main,
refermant ses lèvres sur le gland turgescent.
Elle le suce délicatement, faisant tourner sa langue autour du bourrelet, puis se met
à le pomper activement, les lèvres glissant sur la tige de chair, l’avalant presque
totalement, faisant gémir son amant de plaisir.
- Oohhh, c’est bon…. ! Souffle-t-il. Ouii..! Vas-y, suce-moi bien !
Il y a longtemps que Martine ne m’a pas sucé de cette façon, avec un aussi vif
plaisir.
Je suis stupéfait par la gloutonnerie qu’elle montre à avaler son sexe, le visage
collé à son bas-ventre, tandis qu’il lui caresse les cheveux.
La bite disparaît presque complètement dans la bouche affamée.
Complètement hypnotisé, je regarde ma femme lécher le sexe de son amant, avec une rare
gourmandise, passant et repassant sa langue le long de la verge, lui prenant les
bourses dans sa bouche et suçant les testicules tandis que ses mains courent sur les
fesses et les cuisses replètes.
- Tu es bien dur, mon chéri, dit-elle, en le branlant vigoureusement. Tu aimes ?
- Oh oui, c’est bon, continue comme ça !
Jacques grimace de plaisir en regardant ma femme, déchaînée, s’activer sur sa bite qui
se dresse fièrement.
Tout autre mari, à ma place, aurait fait irruption et bouté le malfaisant hors de la
maison, avec pertes et fracas.
Mais la vision de mon épouse engloutissant le sexe d’un autre homme m’excite et je
n’ai pas envie de l’interrompre.
Je dois vraiment être un pervers !
- J’ai envie de toi! dit Jacques en se dégageant.
Et il l’aide à changer de position.
Martine me tourne maintenant le dos, agenouillée sur le canapé, les bras posés sur
l’accoudoir, les jambes écartées.
Je la regarde avec envie, admiratif de sa trentaine épanouie, de ses courbes
généreuses qui damneraient un saint.
Jacques s’est approché et pose ses mains noueuses sur les fesses rebondies, pressant
la chair tendre et souple, puis les écarte, dégageant largement la vulve bombée.
- Tu as vraiment un beau cul, tu sais! S’exclame-t-il en la caressant.
Le salaud !
J’aurai payé cher pour être à sa place à cet instant, mais ce n’est pas moi qui
profiterais cette fois-ci de ce cul superbe.
Je me contente de savourer la vue de cette croupe généreusement offerte.
L’effet de surprise passé, la colère a disparu, cédant à la place à une excitation
grandissante ainsi qu’en témoigne le durcissement de mon sexe.
Ils ne sont qu’à quelques mètres de moi, j’entends et je vois parfaitement tout ce
qu’ils font.
Il s’agenouille, et du plat de sa langue lèche voluptueusement la vulve les lèvres
roses, brillantes et humides qu’il tient écartées de ses doigts.
- Hum….ça sent bon ! dit-il entre deux passages.
Sa langue fouille activement la chatte offerte, s’introduisant dans l’orifice trempé.
- Qu’est ce que tu mouilles, dis donc ! J’adore quand tu mouilles comme ça.
C’est vrai que Martine mouille beaucoup, surtout quand on lui lèche longuement le
clitoris, lequel grossit alors dans des proportions assez incroyables.
Il a du d’ailleurs le trouver car il s’exclame à nouveau :
- Whaou.., quel clito ! Hum…hum… c’est bon !
La tête en arrière, ma femme se cambre de plaisir sous les titillements de la langue
qui fouille allègrement son intimité, lui agaçant son petit bouton nacré.
Elle gémit doucement quand Jacques lui pince le clitoris entre deux doigts, et le
branle délicatement.
- Qu’est-ce que j’aime ta chatte, ma chérie !…..
- Oohhhh…..Jacques…..oui…! Continue, c’est bon…!
La tête enfouie entre les fesses, il la lèche longuement, glissant doucement le long
de la raie, titillant de la pointe de la langue la petite rosace brune et plissée.
Martine, très sensible à ces caresses, répond en ondulant voluptueusement du bassin.
Jacques se relève se relève, pose un genou sur le divan, caresse la croupe nue et
rebondie, puis guidant d’une main son sexe bien raide, il pénètre mon épouse,
s’enfonçant lentement jusqu’à la garde.
J’imagine aisément ce qu’il doit ressentir en glissant dans en elle.
Martine a gémi pendant la plongée du membre durci dans ses chairs, tandis que je sens
naître en moi un sentiment de jalousie et d’envie mêlées.
- Qu’est ce que t’es bonne…! Souffla-t-il. Hummm….tu est douce !
A petits coups de rein, il fouille le ventre chaud et accueillant de sa partenaire de
façon très
efficace à en juger les cris de plaisirs qui fusent au rythme de la verge.
Les mains accrochées aux hanches de mon épouse, il enchaîne des va et vient réguliers,
plongeant sa bite gonflée dans l’étui douillet que je connais si bien.
- Ohh…Ohhh….oui…. Tu es dur ! Je te sens bien ! s’exclame Martine.
- J’ai envie de toi, dit-il,…. je veux te prendre.
- Ahhh, Ahhhh….Oui….vas-y mon chéri, Ahhh…prends moi bien fort !
- Ohh…je veux te baiser….! ….t’es trop bonne…!!
Je suis fasciné par le spectacle de mon ami baisant ma femme, chez moi, sur le canapé
ou je l’ai aussi souvent prise, en pleine journée, grisé par le risque d’être vus à
travers la baie vitrée qui donne chez les voisins un couple de retraité.
Cela ne m’étonnerait d’ailleurs pas qu’ils nous aient déjà surpris, elle surtout,
toujours à l’affût derrière ses fenêtres.
Jacques la pénètre avec une belle ardeur, en lui tirant des cris de plaisir qui
résonnent à mes oreilles comme autant d’aiguillons.
Le claquement des cuisses contre les fesses nues rythme les soubresauts de son corps
secoué.
D’une main il tient Martine par la hanche, et de l’autre il lui caresse la poitrine,
passant d’un sein à l’autre, pressant les globes lourds et fermes.
- Tu as de sacrés melons….! Qu’est-ce que j’ai adoré te caresser pendant le bain
de minuit ! L’eau les avait rendu bien fermes, un vrai délice !
Nous y sommes !
Il la baise au moins depuis l’Ardèche, le salaud.
Je me rends compte que j’ai à mon tour une superbe érection.
Je dégage ma verge du pantalon et commence à me masturber doucement.
Les seins généreux de Martine ballottent sous les coups de boutoir du traître, lequel
alterne les rythmes rapides et lents, fouillant profondément l’intimité abandonnée à
son désir.
- Ouiii…! Jacques!…Je te sens bien !
- Qu’est-ce que tu es bonne, nom d’un chien ! Il en a de la chance Pierre,
putain… !
- Ahhh!…Oui, viens, prends-moi fort ! baises moi !
- Oohh… J’aime te baiser ! J’aime ta chatte, elle est douce!
- Aouhhh.!…oui,….. baises-moi, prends ma chatte… !
- Il doit l’aimer ta chatte Pierre, hein… ?
- Oui…Oui…. !
- Oui quoi… ? Allez, dis le…. !
- Il aime ma chatte…. !
- Qui ça… ?
- Pierre… ! dit-elle en couinant sous les assauts de Jacques
Je me rends compte que j’aime l’entendre utiliser un langage cru, assez nouveau chez
elle, mais qui la rend terriblement excitante.
Mon regard ne peut se détacher de ce sexe qui défonce ma femme en la faisant crier de
plaisir.
Le membre plonge en elle complètement, disparaissant de ma vue, et je l’imagine
fouillant l’intérieur des chairs délicates.
- Ahh… ! Oouh… ! Tu es une sacré salope ! s’écria Jacques
- Ouiii… J’aime quand tu me baises Jacques….!
- Et Pierre il ne te baise pas ?
- Si, mais ce n’est pas pareil. Ça fait longtemps maintenant, on est habitué.
- Ah… Ta chatte est bonne, nom d’un chien ! Répète-t-il, j’aime ta chatte ! Je vais te
bourrer petite salope !
- Oui…. Baises-moi ! Bourres-moi bien fort Jacques !
Par moment il sort son sexe complètement du vagin avant de replonger à nouveau, très
lentement.
Sa verge parait avoir encore gonflé, et quand le gland, énorme et rouge, force sa
vulve, Martine pousse des cris de contentement, attestant du plaisir qu’elle prend à
sentir le pieu d’insinuer en elle.
Tout en la pilonnant avec régularité, il lui caresse doucement l’anus avec son index,
après y avoir déposé un long filet de salive.
Envieux, je comprends qu’il veut profiter du « petit trésor » comme elle dit, qu’elle
m’a si souvent refusé, malgré mes nombreuses demandes.
Mais soyons juste, depuis quelques temps elle y accède de plus en plus souvent, pour
mon plus grand plaisir.
Lentement il enfonce son doigt dans le petit orifice, tandis que Martine se cambre
légèrement.
Il le fait aller et venir, assouplissant ainsi la petite rosette.
C’est bientôt deux puis trois doigts qu’il introduit dans son intimité, la fouillant
fiévreusement.
Celle-ci gémit de plus en plus, totalement abandonnée aux caresses de son amant.
Quelle salope !
- Oohhh… Jacques…… Ouuhh ! C’est bon ! Souffle-elle.
- Dis donc, ton petit trou est bien souple ! Pierre doit y passer souvent, non ?
Elle ne répond pas, se contentant de hocher la tête en signe de dénégation.
- Ah bon… dit-il étonné. Pourtant j’aurai juré le contraire !
Consciencieusement il lui doigte l’anus, avec des petits mouvements de moulinet.
- Aouhh…..Ouiii… Ahhh Jacques!
Les doigts accélèrent, sous les cris de Martine qui ondule sa croupe de plus en plus,
les reins cambrés, la tête en arrière.
- Ouiii…! Ouiii….ouhhh Jacques.!
- Voyons cela de plus prés ! dit-il en dégageant son sexe du vagin et en le mouillant
de salive.
Puis il l’appuie sur la rosette plissée, et je vois le gland presser les chairs, et
lentement disparaître dans l’orifice, tandis que ma femme pousse un cri de douleur et
de plaisir mêlés.
Le sexe d’Jacques est d’un bon diamètre, et la pression pour Martine doit être très
importante.
Il s’arrête, la laissant s’adapter, puis reprend sa lente plongée dans les profondeurs
les plus intimes de mon épouse.
- Aahhhh…..Nom d’un chien, quel cul ! S’exclame-t-il après l’avoir pénétrée
totalement. Qu’est que c’est bon !
Il se retire lentement puis la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul
coup, qui fit de nouveau hurler Martine.
- Aaaahh…Oooouhhh ! crie-t-elle, tandis que la verge s’enfouit en elle,
plongeant vers les trésors cachés.
- Ohhh…. quel cul ma belle, ce n’est pas croyable ! crie-t-il en la bourrant
maintenant avec vigueur. Qu’est-ce qu’il est doux !
-
Pendant de longues minutes Jacques la sodomise, n’hésitant pas à lui claquer les
fesses, ce qui a l’air de lui plaire.
- Ohhh…! ouii…. ouiii! Ohh….. Jacques!!
- Oui, jouis ma belle, vas-y jouis !
- Ouhhh…! ouhhh, c’est bon…..! Tu me baises bien Jacques !
Les cris de jouissance de mon épouse résonnent dans ma tête, et je la contemple,
fasciné par le membre épais qui va et vient entre ses fesses rebondies.
L’excitation de mon ami est à son comble et il lui martèle le cul avec une vigueur
incroyable.
- Allez, jouis…! Crie-t-il. Vas-y, jouis de ma bite !
-
Tout cela me parait complètement irréel.
Le claquement de ses cuisses contre les fesses de ma femme à chaque pénétration
résonne à mes oreilles, et m’excite encore plus.
- Tu aimes que je te prenne par le cul, hein ? Tu aimes …?
- Oui Jacques, j’aime ça….. C’est trop bon…!
Ma queue était dure comme elle ne l’avait plus été depuis longtemps.
Un grand cri résonne soudain dans le salon, et je comprends qu’il vient de jouir,
profondément planté dans le cul de Martine.
- Putain, que c’est bon…. !
Il s’est cambré, les yeux fermés, et la pilonne violemment, en la tenant fermement par
les hanches.
J’imagine la semence qui fuse en jets saccadés, inondant l’intimité douillette qui l’a
accueilli.
Dans la foulée Martine a crié également, son corps secoué de soubresauts, témoin d’un
orgasme particulièrement intense.
Leur jouissance provoque la mienne et j’éjacule en silence dans le couloir obscur,
maculant le mur de mon sperme brûlant.
Mon orgasme a été particulièrement fort, et je reprends mon souffle peu à peu, le
front mouillé de sueur.
Après s’être longuement vidé les couilles au fond de son rectum, Jacques s’est affalé
sur le dos sa partenaire, son sexe toujours planté entre ses fesses, en la caressant
de ses mains noueuses.
- Ohh Jacques, dit-elle, c’était bon, tu sais !
- Oui ma chérie, c’était bon…... j’aime te baiser, tu es vraiment bonne !
- Jacques….. !
La tension retombe lentement.
J’ai du mal à réaliser ce dont je viens d’être témoin, pourtant ce n’est pas un rêve,
et j’ai la réponse à mes interrogations.
Je suis définitivement un beau cocu et j’enrage de ne plus être le seul à profiter
des charmes de mon épouse, ni le seul à qui elle donne du plaisir.
Mais nom d’un chien, j’ai triqué comme un forcené à la regarder se faire baiser et
l’expression de sa jouissance résonne encore dans ma tête.
Je sais que je peux aller plus loin avec mon épouse dans la recherche du plaisir, car
elle est demandeuse, c’est une évidence, et l’expérience avec Rachid et François est
démontre qu’elle a de la ressource.
Je pense que je vais leur faire une petite surprise….
relations de couple.
Je suis honteux d’avoir autant sous-estimé Martine, mon épouse, qui m’a vraiment
bluffé en révélant ses capacités à satisfaire trois hommes, démontrant qui plus est un
appétit hors du commun.
Enfin le commun que je connais.
Je repense avec regret à toutes ces occasions perdues avec elle parce que, venant d’un
milieu que je jugeais austère, je la croyais coincée, inhibée, incapable de se lâcher
au lit.
C’est tout simplement moi qui n’ai pas su y faire.
Je me serai giflé.
Je lui ai pardonné de m’avoir trompé avec Rachid, d’autant qu’à ma grande surprise,
j’ai rarement été aussi excité, me branlant comme un forcené en la voyant s’empaler
sur le gode géant, la queue brune de son amant enfoncée dans la gorge.
Le détail qui me chagrine encore c’est la possibilité d’un autre amant ainsi que leur
silence coupable à tous les deux, l’autre soir, me l’a laissé deviner.
En réfléchissant au calendrier et les changements de comportements que j’avais pu
noter, je me dis que la clé est très certainement ce weekend en Ardèche ou pris par
mon travail je n’ai pas pu l’accompagner, la laissant partir avec mon meilleur ami,
Jacques.
Ce n’est qu’à leur retour que j’ai appris l’absence de Nathalie, l’épouse de Jacques,
remplacée au pied levé par Rachid, un copain commun.
Martine en était revenue radieuse, manifestant une joie communicative qui agrémenta
beaucoup nos rapports dans les jours qui suivirent ce dont je me félicitais.
J’ai mis ça sur le compte du dépaysement alors que les causes étaient certainement
tout autres.
Mon ami aurait-il pu profiter de cette opportunité pour lui faire des avances ?
Cela n’est pas impossible car depuis le temps que nous nous connaissons, il m’est déjà
arrivé de surprendre son regard appuyé sur Martine, notamment lorsqu’elle déambulait
dans des vêtements un peu trop fins.
Bien qu’elle n’ait jamais été vraiment provocante dans ses attitudes ni dans son
habillement elle a pu quelque fois laisser deviner ses courbes à travers une tunique
ou un paréo portés sans soutien-gorge.
Ce n’était pas intentionnel de sa part, c’était plus par souci de confort, mais c’est
vrai qu’elle pouvait alors être très bandante.
L’idée qu’elle puisse le faire bander m’amusait.
En tout cas il faut que j’en ais le cœur net, reste à savoir comment faire ?
Je décide de passer un coup de fil à Jacques.
- Jacques…c’est Pierre
J’ai besoin d’un service que je ne peux demander qu’à un ami, car cela concerne
Martine.
En effet j’ai des doutes sur sa fidélité, et je voudrais la tester pour me prouver que
j’ai tort.
L’idée c’est que tu viennes à la maison, pendant mon absence et que tu lui fasses des
avances.
Débrouilles-toi pour que cela ait l’air sincère, et je veux la vérité sur sa réaction.
- Dis donc, c’est un sacré service que tu me demandes là !
- Je sais, mais il n’y a qu’à toi que je peux le demander. Il faut vraiment que
je sache !
- Bon d’accord, tu peux compter sur moi !
Nous décidons qu’il ira la voir le jeudi soir suivant, quand sa femme Nathalie est
chez sa mère, et nos enfants pas encore rentrés de la pension.
Ce que je n’ai pas dit à Jacques c’est que j’ai bien l’intention d’assister à la
rencontre, à leur insu.
Le jeudi suivant je quitte mon épouse en lui disant que je dois aller sur Paris pour
mon travail et ne rentrerai que le lendemain.
En début de soirée je suis de retour, mais je me gare à distance afin de ne pas être
repéré.
La voiture de Jacques est garée à côté de celle de Martine, devant le portail
Me faisant le plus discret possible je m’approche de la maison.
Tout est calme, seul le salon est éclairé, ils doivent sûrement s’y trouver.
Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le
salon, sans éclairer
La porte n’est pas complètement fermée.
Le cœur battant, le ventre noué par la peur de me faire surprendre, tel un intrus,
dans ma propre maison, je tends l’oreille.
Un bruit de voix, ou plutôt des cris semblent venir de la pièce.
Je risque un œil dans l’entrebâillement de la porte, et découvre un spectacle qui
m’immobilise sur place.
Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le
dos, mon ami Jacques, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, le dos appuyé contre le mur, envahi d’une insondable
tristesse.
Le faible espoir qui vivait encore en moi vient de disparaître, balayé par la vision
crue mais terriblement réaliste qui m’explose à la figure.
J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à m’en donner le
tournis, tandis que la colère remplace peu à peu la consternation.
Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil
dans la pièce, en repoussant légèrement la porte.
Tapi dans l’obscurité du couloir, je suis sûr qu’ils ne peuvent pas me voir.
Agenouillé devant mon épouse, Jacques lui tient les jambes relevées et écartées, et la
pénètre avec une belle vigueur, en poussant des « han » de satisfaction.
C’est bien mon ami, mon meilleur ami depuis le lycée, qui secoue sa bedaine en donnant
des coups de reins qui font claquer ses cuisses contre les fesses nues de ma femme.
- tu sais que Pierre m’a demandé de te faire des avances ! rigole-t-il.
Il a des soupçons sur ta fidélité, et il voulait que je vérifie !
- Il t’a donné des détails ? S’inquiète-t-elle.
- Non, il m’a simplement fait part de ses doutes, mais sans préciser vers qui… !
En tout cas ce n’est pas envers moi, sinon il ne m’aurait pas choisi pour vérifier… !
Un curieux sentiment s’empare de moi mêlant la colère, la jalousie et l’envie.
Bien que préparé à cette éventualité, j’ai du mal à l’accepter car la scène que j’ai
sous les yeux fait voler en éclat l’idée que je me fais de l’amitié, piétinant
allégrement son côté sacré.
Je regarde Martine, la tête sur le bord du canapé, les yeux mi-clos, sa chevelure
brune rejetée vers l’arrière.
Sa poitrine généreuse se soulève en cadence, secouée par les assauts énergiques son
partenaire.
Les questions se bousculent.
Quels atouts a-t-il pu mettre en avant pour la séduire, et réussir à gagner ses
faveurs ?
Pas son physique de père pantouflard quand même !
Nous avons le même âge, pourtant il parait dix ans de plus.
Ce que je découvre là me laisse pantois car elle semble prendre son pied la garce !
- Ouiii… ouiii … Jacques ! Vas-y plus fort. L’encourage-t-elle.
- Tu me sens bien, ma belle ? Tu aimes, hein ?
- Ohhh… Jacques… oui… !
Je me demande si leur liaison date du week-end en Ardèche, ou bien si elle est plus
ancienne.
En tout cas je n’ai jamais rien remarqué.
Alors que je culpabilise à chacun de mes déplacements, la laissant seule à la maison,
peut-être en profite-t-elle pour se faire sauter par ce salaud.
La colère gronde en moi à la pensée qu’il l’a peut-être déjà baisée, ici, pendant mes
absences, ou chez lui quand sa femme part voir sa mère.
Immobile, je continue d’observer passivement la scène.
Jacques se retire, en invitant mon épouse à se relever.
- Viens goûter notre petit ami, lui dit-il, il t’attend avec impatience, tu sais
!
Le changement de position me permet de découvrir son anatomie, que sa position me
cachait jusque là.
Son corps n’est pas celui d’un Apollon, loin s’en faut, avec son ventre rebondi et ses
jambes courtes, mais au milieu de la toison pubienne bien fournie se dresse une verge
épaisse et courbée, terminé par un gland effilé, d’un diamètre assez conséquent.
Je n’avais jamais vu Jacques complètement nu, et découvrir ainsi son intimité me fait
une impression bizarre, presque gênante.
Sans être très long, son sexe est quand même loin d’être insignifiant et semble
présenter un réel intérêt pour ma femme.
Martine s’agenouille devant notre ami et saisit le membre érigé à pleine main,
refermant ses lèvres sur le gland turgescent.
Elle le suce délicatement, faisant tourner sa langue autour du bourrelet, puis se met
à le pomper activement, les lèvres glissant sur la tige de chair, l’avalant presque
totalement, faisant gémir son amant de plaisir.
- Oohhh, c’est bon…. ! Souffle-t-il. Ouii..! Vas-y, suce-moi bien !
Il y a longtemps que Martine ne m’a pas sucé de cette façon, avec un aussi vif
plaisir.
Je suis stupéfait par la gloutonnerie qu’elle montre à avaler son sexe, le visage
collé à son bas-ventre, tandis qu’il lui caresse les cheveux.
La bite disparaît presque complètement dans la bouche affamée.
Complètement hypnotisé, je regarde ma femme lécher le sexe de son amant, avec une rare
gourmandise, passant et repassant sa langue le long de la verge, lui prenant les
bourses dans sa bouche et suçant les testicules tandis que ses mains courent sur les
fesses et les cuisses replètes.
- Tu es bien dur, mon chéri, dit-elle, en le branlant vigoureusement. Tu aimes ?
- Oh oui, c’est bon, continue comme ça !
Jacques grimace de plaisir en regardant ma femme, déchaînée, s’activer sur sa bite qui
se dresse fièrement.
Tout autre mari, à ma place, aurait fait irruption et bouté le malfaisant hors de la
maison, avec pertes et fracas.
Mais la vision de mon épouse engloutissant le sexe d’un autre homme m’excite et je
n’ai pas envie de l’interrompre.
Je dois vraiment être un pervers !
- J’ai envie de toi! dit Jacques en se dégageant.
Et il l’aide à changer de position.
Martine me tourne maintenant le dos, agenouillée sur le canapé, les bras posés sur
l’accoudoir, les jambes écartées.
Je la regarde avec envie, admiratif de sa trentaine épanouie, de ses courbes
généreuses qui damneraient un saint.
Jacques s’est approché et pose ses mains noueuses sur les fesses rebondies, pressant
la chair tendre et souple, puis les écarte, dégageant largement la vulve bombée.
- Tu as vraiment un beau cul, tu sais! S’exclame-t-il en la caressant.
Le salaud !
J’aurai payé cher pour être à sa place à cet instant, mais ce n’est pas moi qui
profiterais cette fois-ci de ce cul superbe.
Je me contente de savourer la vue de cette croupe généreusement offerte.
L’effet de surprise passé, la colère a disparu, cédant à la place à une excitation
grandissante ainsi qu’en témoigne le durcissement de mon sexe.
Ils ne sont qu’à quelques mètres de moi, j’entends et je vois parfaitement tout ce
qu’ils font.
Il s’agenouille, et du plat de sa langue lèche voluptueusement la vulve les lèvres
roses, brillantes et humides qu’il tient écartées de ses doigts.
- Hum….ça sent bon ! dit-il entre deux passages.
Sa langue fouille activement la chatte offerte, s’introduisant dans l’orifice trempé.
- Qu’est ce que tu mouilles, dis donc ! J’adore quand tu mouilles comme ça.
C’est vrai que Martine mouille beaucoup, surtout quand on lui lèche longuement le
clitoris, lequel grossit alors dans des proportions assez incroyables.
Il a du d’ailleurs le trouver car il s’exclame à nouveau :
- Whaou.., quel clito ! Hum…hum… c’est bon !
La tête en arrière, ma femme se cambre de plaisir sous les titillements de la langue
qui fouille allègrement son intimité, lui agaçant son petit bouton nacré.
Elle gémit doucement quand Jacques lui pince le clitoris entre deux doigts, et le
branle délicatement.
- Qu’est-ce que j’aime ta chatte, ma chérie !…..
- Oohhhh…..Jacques…..oui…! Continue, c’est bon…!
La tête enfouie entre les fesses, il la lèche longuement, glissant doucement le long
de la raie, titillant de la pointe de la langue la petite rosace brune et plissée.
Martine, très sensible à ces caresses, répond en ondulant voluptueusement du bassin.
Jacques se relève se relève, pose un genou sur le divan, caresse la croupe nue et
rebondie, puis guidant d’une main son sexe bien raide, il pénètre mon épouse,
s’enfonçant lentement jusqu’à la garde.
J’imagine aisément ce qu’il doit ressentir en glissant dans en elle.
Martine a gémi pendant la plongée du membre durci dans ses chairs, tandis que je sens
naître en moi un sentiment de jalousie et d’envie mêlées.
- Qu’est ce que t’es bonne…! Souffla-t-il. Hummm….tu est douce !
A petits coups de rein, il fouille le ventre chaud et accueillant de sa partenaire de
façon très
efficace à en juger les cris de plaisirs qui fusent au rythme de la verge.
Les mains accrochées aux hanches de mon épouse, il enchaîne des va et vient réguliers,
plongeant sa bite gonflée dans l’étui douillet que je connais si bien.
- Ohh…Ohhh….oui…. Tu es dur ! Je te sens bien ! s’exclame Martine.
- J’ai envie de toi, dit-il,…. je veux te prendre.
- Ahhh, Ahhhh….Oui….vas-y mon chéri, Ahhh…prends moi bien fort !
- Ohh…je veux te baiser….! ….t’es trop bonne…!!
Je suis fasciné par le spectacle de mon ami baisant ma femme, chez moi, sur le canapé
ou je l’ai aussi souvent prise, en pleine journée, grisé par le risque d’être vus à
travers la baie vitrée qui donne chez les voisins un couple de retraité.
Cela ne m’étonnerait d’ailleurs pas qu’ils nous aient déjà surpris, elle surtout,
toujours à l’affût derrière ses fenêtres.
Jacques la pénètre avec une belle ardeur, en lui tirant des cris de plaisir qui
résonnent à mes oreilles comme autant d’aiguillons.
Le claquement des cuisses contre les fesses nues rythme les soubresauts de son corps
secoué.
D’une main il tient Martine par la hanche, et de l’autre il lui caresse la poitrine,
passant d’un sein à l’autre, pressant les globes lourds et fermes.
- Tu as de sacrés melons….! Qu’est-ce que j’ai adoré te caresser pendant le bain
de minuit ! L’eau les avait rendu bien fermes, un vrai délice !
Nous y sommes !
Il la baise au moins depuis l’Ardèche, le salaud.
Je me rends compte que j’ai à mon tour une superbe érection.
Je dégage ma verge du pantalon et commence à me masturber doucement.
Les seins généreux de Martine ballottent sous les coups de boutoir du traître, lequel
alterne les rythmes rapides et lents, fouillant profondément l’intimité abandonnée à
son désir.
- Ouiii…! Jacques!…Je te sens bien !
- Qu’est-ce que tu es bonne, nom d’un chien ! Il en a de la chance Pierre,
putain… !
- Ahhh!…Oui, viens, prends-moi fort ! baises moi !
- Oohh… J’aime te baiser ! J’aime ta chatte, elle est douce!
- Aouhhh.!…oui,….. baises-moi, prends ma chatte… !
- Il doit l’aimer ta chatte Pierre, hein… ?
- Oui…Oui…. !
- Oui quoi… ? Allez, dis le…. !
- Il aime ma chatte…. !
- Qui ça… ?
- Pierre… ! dit-elle en couinant sous les assauts de Jacques
Je me rends compte que j’aime l’entendre utiliser un langage cru, assez nouveau chez
elle, mais qui la rend terriblement excitante.
Mon regard ne peut se détacher de ce sexe qui défonce ma femme en la faisant crier de
plaisir.
Le membre plonge en elle complètement, disparaissant de ma vue, et je l’imagine
fouillant l’intérieur des chairs délicates.
- Ahh… ! Oouh… ! Tu es une sacré salope ! s’écria Jacques
- Ouiii… J’aime quand tu me baises Jacques….!
- Et Pierre il ne te baise pas ?
- Si, mais ce n’est pas pareil. Ça fait longtemps maintenant, on est habitué.
- Ah… Ta chatte est bonne, nom d’un chien ! Répète-t-il, j’aime ta chatte ! Je vais te
bourrer petite salope !
- Oui…. Baises-moi ! Bourres-moi bien fort Jacques !
Par moment il sort son sexe complètement du vagin avant de replonger à nouveau, très
lentement.
Sa verge parait avoir encore gonflé, et quand le gland, énorme et rouge, force sa
vulve, Martine pousse des cris de contentement, attestant du plaisir qu’elle prend à
sentir le pieu d’insinuer en elle.
Tout en la pilonnant avec régularité, il lui caresse doucement l’anus avec son index,
après y avoir déposé un long filet de salive.
Envieux, je comprends qu’il veut profiter du « petit trésor » comme elle dit, qu’elle
m’a si souvent refusé, malgré mes nombreuses demandes.
Mais soyons juste, depuis quelques temps elle y accède de plus en plus souvent, pour
mon plus grand plaisir.
Lentement il enfonce son doigt dans le petit orifice, tandis que Martine se cambre
légèrement.
Il le fait aller et venir, assouplissant ainsi la petite rosette.
C’est bientôt deux puis trois doigts qu’il introduit dans son intimité, la fouillant
fiévreusement.
Celle-ci gémit de plus en plus, totalement abandonnée aux caresses de son amant.
Quelle salope !
- Oohhh… Jacques…… Ouuhh ! C’est bon ! Souffle-elle.
- Dis donc, ton petit trou est bien souple ! Pierre doit y passer souvent, non ?
Elle ne répond pas, se contentant de hocher la tête en signe de dénégation.
- Ah bon… dit-il étonné. Pourtant j’aurai juré le contraire !
Consciencieusement il lui doigte l’anus, avec des petits mouvements de moulinet.
- Aouhh…..Ouiii… Ahhh Jacques!
Les doigts accélèrent, sous les cris de Martine qui ondule sa croupe de plus en plus,
les reins cambrés, la tête en arrière.
- Ouiii…! Ouiii….ouhhh Jacques.!
- Voyons cela de plus prés ! dit-il en dégageant son sexe du vagin et en le mouillant
de salive.
Puis il l’appuie sur la rosette plissée, et je vois le gland presser les chairs, et
lentement disparaître dans l’orifice, tandis que ma femme pousse un cri de douleur et
de plaisir mêlés.
Le sexe d’Jacques est d’un bon diamètre, et la pression pour Martine doit être très
importante.
Il s’arrête, la laissant s’adapter, puis reprend sa lente plongée dans les profondeurs
les plus intimes de mon épouse.
- Aahhhh…..Nom d’un chien, quel cul ! S’exclame-t-il après l’avoir pénétrée
totalement. Qu’est que c’est bon !
Il se retire lentement puis la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul
coup, qui fit de nouveau hurler Martine.
- Aaaahh…Oooouhhh ! crie-t-elle, tandis que la verge s’enfouit en elle,
plongeant vers les trésors cachés.
- Ohhh…. quel cul ma belle, ce n’est pas croyable ! crie-t-il en la bourrant
maintenant avec vigueur. Qu’est-ce qu’il est doux !
-
Pendant de longues minutes Jacques la sodomise, n’hésitant pas à lui claquer les
fesses, ce qui a l’air de lui plaire.
- Ohhh…! ouii…. ouiii! Ohh….. Jacques!!
- Oui, jouis ma belle, vas-y jouis !
- Ouhhh…! ouhhh, c’est bon…..! Tu me baises bien Jacques !
Les cris de jouissance de mon épouse résonnent dans ma tête, et je la contemple,
fasciné par le membre épais qui va et vient entre ses fesses rebondies.
L’excitation de mon ami est à son comble et il lui martèle le cul avec une vigueur
incroyable.
- Allez, jouis…! Crie-t-il. Vas-y, jouis de ma bite !
-
Tout cela me parait complètement irréel.
Le claquement de ses cuisses contre les fesses de ma femme à chaque pénétration
résonne à mes oreilles, et m’excite encore plus.
- Tu aimes que je te prenne par le cul, hein ? Tu aimes …?
- Oui Jacques, j’aime ça….. C’est trop bon…!
Ma queue était dure comme elle ne l’avait plus été depuis longtemps.
Un grand cri résonne soudain dans le salon, et je comprends qu’il vient de jouir,
profondément planté dans le cul de Martine.
- Putain, que c’est bon…. !
Il s’est cambré, les yeux fermés, et la pilonne violemment, en la tenant fermement par
les hanches.
J’imagine la semence qui fuse en jets saccadés, inondant l’intimité douillette qui l’a
accueilli.
Dans la foulée Martine a crié également, son corps secoué de soubresauts, témoin d’un
orgasme particulièrement intense.
Leur jouissance provoque la mienne et j’éjacule en silence dans le couloir obscur,
maculant le mur de mon sperme brûlant.
Mon orgasme a été particulièrement fort, et je reprends mon souffle peu à peu, le
front mouillé de sueur.
Après s’être longuement vidé les couilles au fond de son rectum, Jacques s’est affalé
sur le dos sa partenaire, son sexe toujours planté entre ses fesses, en la caressant
de ses mains noueuses.
- Ohh Jacques, dit-elle, c’était bon, tu sais !
- Oui ma chérie, c’était bon…... j’aime te baiser, tu es vraiment bonne !
- Jacques….. !
La tension retombe lentement.
J’ai du mal à réaliser ce dont je viens d’être témoin, pourtant ce n’est pas un rêve,
et j’ai la réponse à mes interrogations.
Je suis définitivement un beau cocu et j’enrage de ne plus être le seul à profiter
des charmes de mon épouse, ni le seul à qui elle donne du plaisir.
Mais nom d’un chien, j’ai triqué comme un forcené à la regarder se faire baiser et
l’expression de sa jouissance résonne encore dans ma tête.
Je sais que je peux aller plus loin avec mon épouse dans la recherche du plaisir, car
elle est demandeuse, c’est une évidence, et l’expérience avec Rachid et François est
démontre qu’elle a de la ressource.
Je pense que je vais leur faire une petite surprise….
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