Deux doigts coupe faim.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2011 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Deux doigts coupe faim.
Il se fait tard. Ma mère est en retard et je suis seule à la maison. je
n'ai que 18 ans et je ne connais rien aux arts ménagers. Pour l'attendre je
regarde la télévision. Je trouve les programmes débiles, surtout ceux de
TF1 décidément bons pour les attardés mentaux. Je vais à la cuisine, ouvre
le frigo et je ne trouve rien de très appétissant. Je retourne dans ma
chambre: j'ai des études à faire. Je m'installe et commence à travailler,
j'ai toujours faim. que faire dans ce cas. Ben attendre ma maman !
Je me demande ce qu'il se passe et il me vient une bonne idée: je m'enlève
la culotte et cul nu je retourne au frigo: je pensais y trouver au moins un
concombre ou une aubergine: rien pas de légume pouvant combler ma moule.
J'ai de plus en plus envie de jouir. Je remonte chez moi; ferme la porte
pour ne pas être surprise et me déshabille avant de m'allonger sur
le lit. Je me caresse les seins longuement: je mouille largement. Je mets
la main droite sur mon sexe. Je touche partout, je vais jusqu'à mon anus
que je caresse un peu. La machine à fantasme se met en route: je rêve que
je suis avec un des garçon du lycée: il est grand, fort, presque balèze. Il
me semble qu'il a une queue bien longue et grosse pour me remplir comme je
le veux maintenant. Ma main gauche ne me sert dans ce cas là qu'à écarter
les lèvres et faire bien ressortir mon clitoris. Je me sert de deux doigts
que je mouille avec ma salive et les pose là où ça fait du bien depuis que
j'ai 13 ans.
J'ai commencé mes masturbations à le suite d'une conversation avec une
copine qui m'expliquait comme elle trouvait du plaisir en se touchant entre
les jambes. J'étais septique quand à ses dires et pourtant le soir même en
me couchant je me mettais une main entre mes cuisses. Je ne trouvais aucun
plaisir à me tripoter la sortie du pipi, quand je trouvais, justement pas
loin de cet endroit un petit organe pas très gros et qui sous mon doigt
devenait sensible et me donnait une drôle d'impression. Je recommençais le
lendemain et cette fois je sentais venir une chaleur dans mon corps entier
avant de pousser un cri d'étonnement : je venais de jouir pour la première
fois. Le lendemain bien sur je le disais à ma copine qui ne me répondait
qu'une chose: je te l'avais bien dit. Pratiquement tous les soirs je
perdais une demi heures à me masturber. Quand j'ai eu 15 ans, un garçon du
collège m'a prise dans un coin et m'a demander de faire l'amour avec lui.
Je refusais en le regardant de haut. Je ne lui cédais qu'après un mois
d'attente et après avoir demandé à ma copine si elle avait déjà baisé. Elle
l'avais fait et trouvait que c'était aussi bon sinon plus que le plaisir
solitaire.
Ce jeune garçon n'avait sans doute pas l'expérience voulue: il m'a fait mal
et je l'ai envoyé à la pêche. Ce n'est que pendant les vacances, à la plage
qu'un autre plus âgé que moi m'a décidé à recommencer: il m'a bien caressé
partout à tel point que je me sentais trop mouillée. Il m'a déshabillé
lentement et j'avais envie qu'il me prenne pour baiser. Il a mit une
bonne heure à me chauffer. Il m'a couché sur le sable et m'a fait écarter
les jambes avant de venir sur moi. J'ai senti un soulagement quand sa bite
est venue dans ma moule. Il limait sans arrêt et j'ai joui comme jamais.
Surtout je sentais en moi le sperme qui jaillissait. Nous avons recommencé
plusieurs fois. Hélas les vacances ont une fin: je ne l'ai plus jamais
revu. Dommage. je n'ai pas eu d'autre garçon dans ma vie.
Cette fois, donc je pense à un copain et je l'imagine sur moi. Mes deux
doigts s'agitent sur mon clitoris et je vais jouir. J'arrête avec beaucoup
de difficultés et recommence peu après: j'aime faire durer mon plaisir.
Cette fois je ne pense plus à rien: mes deux doigts vont à une rapidité
folle. et enfin dans une grand soupir je sens mon orgasme éclater. Je suce
mes deux doigts quand l'entends ma mère rentrer. je me lève et m'habille en
vitesse, je laisse même le slip sur mon lit et je descends. Ma mère
apporte des plats prêts et me dit qu'elle n'a pas eu le temps de faire des
courses. Je me contente de ce qu'il y a et je pense que grâce à son retard
j'ai pu avoir un bel orgasme. Nous visons ensemble depuis que mon père
est parti. Je la regarde en me demandant si elle aussi se mastrurbe, vu son
âge, elle doit bien le faire encore.
n'ai que 18 ans et je ne connais rien aux arts ménagers. Pour l'attendre je
regarde la télévision. Je trouve les programmes débiles, surtout ceux de
TF1 décidément bons pour les attardés mentaux. Je vais à la cuisine, ouvre
le frigo et je ne trouve rien de très appétissant. Je retourne dans ma
chambre: j'ai des études à faire. Je m'installe et commence à travailler,
j'ai toujours faim. que faire dans ce cas. Ben attendre ma maman !
Je me demande ce qu'il se passe et il me vient une bonne idée: je m'enlève
la culotte et cul nu je retourne au frigo: je pensais y trouver au moins un
concombre ou une aubergine: rien pas de légume pouvant combler ma moule.
J'ai de plus en plus envie de jouir. Je remonte chez moi; ferme la porte
pour ne pas être surprise et me déshabille avant de m'allonger sur
le lit. Je me caresse les seins longuement: je mouille largement. Je mets
la main droite sur mon sexe. Je touche partout, je vais jusqu'à mon anus
que je caresse un peu. La machine à fantasme se met en route: je rêve que
je suis avec un des garçon du lycée: il est grand, fort, presque balèze. Il
me semble qu'il a une queue bien longue et grosse pour me remplir comme je
le veux maintenant. Ma main gauche ne me sert dans ce cas là qu'à écarter
les lèvres et faire bien ressortir mon clitoris. Je me sert de deux doigts
que je mouille avec ma salive et les pose là où ça fait du bien depuis que
j'ai 13 ans.
J'ai commencé mes masturbations à le suite d'une conversation avec une
copine qui m'expliquait comme elle trouvait du plaisir en se touchant entre
les jambes. J'étais septique quand à ses dires et pourtant le soir même en
me couchant je me mettais une main entre mes cuisses. Je ne trouvais aucun
plaisir à me tripoter la sortie du pipi, quand je trouvais, justement pas
loin de cet endroit un petit organe pas très gros et qui sous mon doigt
devenait sensible et me donnait une drôle d'impression. Je recommençais le
lendemain et cette fois je sentais venir une chaleur dans mon corps entier
avant de pousser un cri d'étonnement : je venais de jouir pour la première
fois. Le lendemain bien sur je le disais à ma copine qui ne me répondait
qu'une chose: je te l'avais bien dit. Pratiquement tous les soirs je
perdais une demi heures à me masturber. Quand j'ai eu 15 ans, un garçon du
collège m'a prise dans un coin et m'a demander de faire l'amour avec lui.
Je refusais en le regardant de haut. Je ne lui cédais qu'après un mois
d'attente et après avoir demandé à ma copine si elle avait déjà baisé. Elle
l'avais fait et trouvait que c'était aussi bon sinon plus que le plaisir
solitaire.
Ce jeune garçon n'avait sans doute pas l'expérience voulue: il m'a fait mal
et je l'ai envoyé à la pêche. Ce n'est que pendant les vacances, à la plage
qu'un autre plus âgé que moi m'a décidé à recommencer: il m'a bien caressé
partout à tel point que je me sentais trop mouillée. Il m'a déshabillé
lentement et j'avais envie qu'il me prenne pour baiser. Il a mit une
bonne heure à me chauffer. Il m'a couché sur le sable et m'a fait écarter
les jambes avant de venir sur moi. J'ai senti un soulagement quand sa bite
est venue dans ma moule. Il limait sans arrêt et j'ai joui comme jamais.
Surtout je sentais en moi le sperme qui jaillissait. Nous avons recommencé
plusieurs fois. Hélas les vacances ont une fin: je ne l'ai plus jamais
revu. Dommage. je n'ai pas eu d'autre garçon dans ma vie.
Cette fois, donc je pense à un copain et je l'imagine sur moi. Mes deux
doigts s'agitent sur mon clitoris et je vais jouir. J'arrête avec beaucoup
de difficultés et recommence peu après: j'aime faire durer mon plaisir.
Cette fois je ne pense plus à rien: mes deux doigts vont à une rapidité
folle. et enfin dans une grand soupir je sens mon orgasme éclater. Je suce
mes deux doigts quand l'entends ma mère rentrer. je me lève et m'habille en
vitesse, je laisse même le slip sur mon lit et je descends. Ma mère
apporte des plats prêts et me dit qu'elle n'a pas eu le temps de faire des
courses. Je me contente de ce qu'il y a et je pense que grâce à son retard
j'ai pu avoir un bel orgasme. Nous visons ensemble depuis que mon père
est parti. Je la regarde en me demandant si elle aussi se mastrurbe, vu son
âge, elle doit bien le faire encore.
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jaime
