Deux plus un
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2016 dans la catégorie Plus on est
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Deux plus un
Déjà deux jours sans rien. Deux jours sans amour c'est long pour moi. Elles ne s'en rendent pas compte. Parties ensemble pour un séjour d'études elles m'on laissé tout seul: elles savent bien que ma bite à besoin d'elle.
Alors je suis obligé de me soulager à la main. Ce n'est pas désagréable du tout de se branler, surtout nu devant une glace: J'ai poussé un fauteuil devant celle du salon, je m'y suis assis avec un kleenex. Je regarde ma pine bander doucement. Je ne la touche pas encore. Quand je bande complètement j'examine la grosseur de ma bite. Elle me plait et je vais l'astiquer. Avant je me mets un doigt au cul, comme j'aime le faire en baisant . J'ai bien mouillé mon doigt que je rentre totalement dans mon anus. Maintenant que le me doigte le cul, comme elles me l'ont appris, je peux y aller. Je prends ma queue à pleine main droite. Je descends le prépuce pour, avec mon pouce plein de salive, le caresser longuement. Il me semble qu'une langue me suce. Ça n'est pas tout à fait la même chose. Je descends ma main avec la peau vers mes couilles. Je reste ainsi, la peau bien coutre mes couilles. Je sens comme une douleur dans ma bite et mon gland qui en rougit. Je reste ainsi un moment avant de remonter. Je recommence plusieurs fois. Je sais faire durer mon plaisir longtemps. Je regarde ce que je me fais. Vois ma main me branler m'excite beaucoup. Mon doigt dans l'anus va de plus en plus vite. Je crois que je ne vais pas tenir longtemps. Tant pis: j'accélère mon allure: ma main va presque à le vitesse du son. Je regarde le résultat dans la glace: mon sperme jaillit jusqu'à ma figure. Je m'essuie. En restant ainsi, nu devant la glace, j'espère bander encore plusieurs fois. Je serre les dents. Ma queue ne se détend pas. Je la reprends pour la caresser encore. Cette fois je ne me doigte plus. Je vais à l'essentiel. Je consacre ma main uniquement à ma pine. Je ne me regarde presque plus à la glace. Je fantasme sur notre vie à trois.
A dire vrai, je devrais dire notre vie à deux plus un. Quand je les ai rencontrées, elles vivaient ensemble depuis pas mal de mois. D'après ce qu'elles me racontaient elles se contentaient à deux: leur unique sexualité se passait entre elles. Il leur fallait quelques fois une vraie queue pour être encore plus satisfaites pas une baise en trio. J'étais en somme une roue de secours. J'ai horreur d'être une roue de secours: il me faut tout ou rien: ce fut tout.
Notre première baise était le modèle d'un trio bien huilé. Être avec deus adeptes de Lesbos ne me gênait pas du tout au contraire. Elles commençaient par agir comme si je n'étais pas là: baisers, embrassades des seins, caresses sur tous leurs endroits sensible, et enfin les 69 à répétition. Je bandais sans complexe devant ces deux femmes. J'avais envie de les baiser. Je venais sur elles quand elle changeaient de position: elles étaient presque assises, les deux clitoris réunis qui se touchaient elle jouissaient ainsi. J'étais très proche d'elles. Enfin une me prenait la queue dans la main et me branlait avant de donner ma bite à l'autre. Elle aussi me branlait. Pour me faire jouir, leur deux bouches se mettaient en mouvement: les deux langues venaient se disputer la possession de mon gland. Elles se mettaient enfin d'accord: La blonde me prenait totalement dans sa bouche pendant que la brune me suçait les couilles en me mettant un doigts dans le cul (c'est à cause elle si quand je me branle je me doigte) Toutes les deux avaient une façon très spéciale de sucer. En tout cas elles étaient efficaces. Je jouissais non pas dans une bouche, mais dans les deux.
Elles en voulaient plus: il fallait me faire bander fortement pour que je puisse les baiser ou enculer les deux tribades. A deux elles arrivaient facilement à me faire remonter: ma queue dans la bouche de l'une, mes tétons dans celle de l'autre et fin du fin, une main de chaque une sur mes fesses.
Elles ne se disputaient pas: elle voulaient jouir ensemble de moi. Couché sur le dos, j'étais à leur merci. La blonde venait sur moi, les jambes bien écartées pour s'empaler sur ma pine: elle se la mettait au con. L'autre venait sans déplaisir me donner sa fente entière sur la bouche. Je sortait ma langue et léchais là où ça me plaisait, c'est-à-dire partout, surtout vers le cul ou le clitoris Elles étaient face à face, s'embrassaient presque continuellement pendant ce drôle accouplement. Je ne pouvais pas les voir, j'entendais simplement leurs gémissements de jouissance et il y en eu beaucoup. Quand elles sentaient que je jouissait elles s'arrêtaient tout simplement.
Nous reprenions nos esprits lovés, moi entre elles deux. Elles s'amusaient comme des gamines avec mes attributs. Le résultat pas forcément recherché arrivait: je bandait encore.
Cette fois je pouvais dicter la loi: je jouissais le blonde un peu plantureuse, la couchais sous moi, demandais à la brune de guider ma queue vers le con de son amante. Je les avaient surprise en bandant aussi vite. Je devenais le maître de cérémonie. Je pénétrais ce vagin avec plaisir elle savait parfaitement baiser. Elle accompagnait tous mes mouvements. Elle gémissais beaucoup. Son amie venait l'embrasser. Je proposais alors à la brune ne la branler pendant que je baisais son amie. Elle s'approchait de moi. Je lui caressais un peu les cuisses avant de tomber sur son bouton: il était plutôt développé. Je n'avais aucune difficulté à le masturber. Je faisais jouir la blonde. La brune avant besoin d'avoir une queue dans son antre. Je n'hésitais pas à la baiser: elle était très agréable à niquer. Elle savait bien baiser. Nous avons joui ensemble après que je l'ai sodomiséeDepuis cette nuit, je suis leur amant, même si le plus souvent elles baisent entre elles.
Enfin elles reviennent. J'avais un peu peur qu'elles décident de rester entre elles.
Cette nuit nous baisons: au début elles me raconte ce qu'elles se sont fait: baise, baise et baise, même dans le train qui les ramenait. En plus dans ce train avec une troisième fille. Elles ont l'intention de l'inviter souvent pour que si je baise une des trois, il reste toujours une autre fille pour baiser entre ellesD'après ce que je comprends, j'aurai une autre amante à satisfaire.
Nous verrons bien comment ça se passera ?
En attendant j'ai à satisfaire mes deux maîtresses folles de sexe. Elles veulent me sucer rien que pour manger mon sperme. Je ne me laisse pas faire: je prend la brune en levrette: ainsi elle peut faire un 69. Ce qui ne manque pas. Nous arrivons à coordonner nos orgasmes.
Elles en veulent encore. Elle me font bander encore. Je bande toujours mieux la deuxième fois. Je peux les honorer toutes les deux, et surtout là où elles veulent.
La brune aime mieux la sodomie: je l'encule. La blonde préfère l'avoir dans le con: je la baise. De toutes façons nous baisons toujours à trois. Celle dans laquelle je ne suis pas "aide" son amie.
Il ne met arrivé qu'une seule fois de baiser en couple: c'était avec la brune qui en l'absence de son amie voulait une baise normale. Je me souviens lui avoir mis à peu près partout où c'est humainement possible. Je crois même que c'est elle qui a exigé de ma faire une cravate de notaire, simplement poux voir ma bite de tout près quand je jouissais entre ses seins et prendre ma semence dans la bouche. Elle avait exigé de me sucer après lavoir enculée: le goût de son cul lui plait beaucoup. J'en profitais pour à mon tour exigé une façon insolite de l'exciter: je lui pissais dessus. Elle se branlait.
Alors je suis obligé de me soulager à la main. Ce n'est pas désagréable du tout de se branler, surtout nu devant une glace: J'ai poussé un fauteuil devant celle du salon, je m'y suis assis avec un kleenex. Je regarde ma pine bander doucement. Je ne la touche pas encore. Quand je bande complètement j'examine la grosseur de ma bite. Elle me plait et je vais l'astiquer. Avant je me mets un doigt au cul, comme j'aime le faire en baisant . J'ai bien mouillé mon doigt que je rentre totalement dans mon anus. Maintenant que le me doigte le cul, comme elles me l'ont appris, je peux y aller. Je prends ma queue à pleine main droite. Je descends le prépuce pour, avec mon pouce plein de salive, le caresser longuement. Il me semble qu'une langue me suce. Ça n'est pas tout à fait la même chose. Je descends ma main avec la peau vers mes couilles. Je reste ainsi, la peau bien coutre mes couilles. Je sens comme une douleur dans ma bite et mon gland qui en rougit. Je reste ainsi un moment avant de remonter. Je recommence plusieurs fois. Je sais faire durer mon plaisir longtemps. Je regarde ce que je me fais. Vois ma main me branler m'excite beaucoup. Mon doigt dans l'anus va de plus en plus vite. Je crois que je ne vais pas tenir longtemps. Tant pis: j'accélère mon allure: ma main va presque à le vitesse du son. Je regarde le résultat dans la glace: mon sperme jaillit jusqu'à ma figure. Je m'essuie. En restant ainsi, nu devant la glace, j'espère bander encore plusieurs fois. Je serre les dents. Ma queue ne se détend pas. Je la reprends pour la caresser encore. Cette fois je ne me doigte plus. Je vais à l'essentiel. Je consacre ma main uniquement à ma pine. Je ne me regarde presque plus à la glace. Je fantasme sur notre vie à trois.
A dire vrai, je devrais dire notre vie à deux plus un. Quand je les ai rencontrées, elles vivaient ensemble depuis pas mal de mois. D'après ce qu'elles me racontaient elles se contentaient à deux: leur unique sexualité se passait entre elles. Il leur fallait quelques fois une vraie queue pour être encore plus satisfaites pas une baise en trio. J'étais en somme une roue de secours. J'ai horreur d'être une roue de secours: il me faut tout ou rien: ce fut tout.
Notre première baise était le modèle d'un trio bien huilé. Être avec deus adeptes de Lesbos ne me gênait pas du tout au contraire. Elles commençaient par agir comme si je n'étais pas là: baisers, embrassades des seins, caresses sur tous leurs endroits sensible, et enfin les 69 à répétition. Je bandais sans complexe devant ces deux femmes. J'avais envie de les baiser. Je venais sur elles quand elle changeaient de position: elles étaient presque assises, les deux clitoris réunis qui se touchaient elle jouissaient ainsi. J'étais très proche d'elles. Enfin une me prenait la queue dans la main et me branlait avant de donner ma bite à l'autre. Elle aussi me branlait. Pour me faire jouir, leur deux bouches se mettaient en mouvement: les deux langues venaient se disputer la possession de mon gland. Elles se mettaient enfin d'accord: La blonde me prenait totalement dans sa bouche pendant que la brune me suçait les couilles en me mettant un doigts dans le cul (c'est à cause elle si quand je me branle je me doigte) Toutes les deux avaient une façon très spéciale de sucer. En tout cas elles étaient efficaces. Je jouissais non pas dans une bouche, mais dans les deux.
Elles en voulaient plus: il fallait me faire bander fortement pour que je puisse les baiser ou enculer les deux tribades. A deux elles arrivaient facilement à me faire remonter: ma queue dans la bouche de l'une, mes tétons dans celle de l'autre et fin du fin, une main de chaque une sur mes fesses.
Elles ne se disputaient pas: elle voulaient jouir ensemble de moi. Couché sur le dos, j'étais à leur merci. La blonde venait sur moi, les jambes bien écartées pour s'empaler sur ma pine: elle se la mettait au con. L'autre venait sans déplaisir me donner sa fente entière sur la bouche. Je sortait ma langue et léchais là où ça me plaisait, c'est-à-dire partout, surtout vers le cul ou le clitoris Elles étaient face à face, s'embrassaient presque continuellement pendant ce drôle accouplement. Je ne pouvais pas les voir, j'entendais simplement leurs gémissements de jouissance et il y en eu beaucoup. Quand elles sentaient que je jouissait elles s'arrêtaient tout simplement.
Nous reprenions nos esprits lovés, moi entre elles deux. Elles s'amusaient comme des gamines avec mes attributs. Le résultat pas forcément recherché arrivait: je bandait encore.
Cette fois je pouvais dicter la loi: je jouissais le blonde un peu plantureuse, la couchais sous moi, demandais à la brune de guider ma queue vers le con de son amante. Je les avaient surprise en bandant aussi vite. Je devenais le maître de cérémonie. Je pénétrais ce vagin avec plaisir elle savait parfaitement baiser. Elle accompagnait tous mes mouvements. Elle gémissais beaucoup. Son amie venait l'embrasser. Je proposais alors à la brune ne la branler pendant que je baisais son amie. Elle s'approchait de moi. Je lui caressais un peu les cuisses avant de tomber sur son bouton: il était plutôt développé. Je n'avais aucune difficulté à le masturber. Je faisais jouir la blonde. La brune avant besoin d'avoir une queue dans son antre. Je n'hésitais pas à la baiser: elle était très agréable à niquer. Elle savait bien baiser. Nous avons joui ensemble après que je l'ai sodomiséeDepuis cette nuit, je suis leur amant, même si le plus souvent elles baisent entre elles.
Enfin elles reviennent. J'avais un peu peur qu'elles décident de rester entre elles.
Cette nuit nous baisons: au début elles me raconte ce qu'elles se sont fait: baise, baise et baise, même dans le train qui les ramenait. En plus dans ce train avec une troisième fille. Elles ont l'intention de l'inviter souvent pour que si je baise une des trois, il reste toujours une autre fille pour baiser entre ellesD'après ce que je comprends, j'aurai une autre amante à satisfaire.
Nous verrons bien comment ça se passera ?
En attendant j'ai à satisfaire mes deux maîtresses folles de sexe. Elles veulent me sucer rien que pour manger mon sperme. Je ne me laisse pas faire: je prend la brune en levrette: ainsi elle peut faire un 69. Ce qui ne manque pas. Nous arrivons à coordonner nos orgasmes.
Elles en veulent encore. Elle me font bander encore. Je bande toujours mieux la deuxième fois. Je peux les honorer toutes les deux, et surtout là où elles veulent.
La brune aime mieux la sodomie: je l'encule. La blonde préfère l'avoir dans le con: je la baise. De toutes façons nous baisons toujours à trois. Celle dans laquelle je ne suis pas "aide" son amie.
Il ne met arrivé qu'une seule fois de baiser en couple: c'était avec la brune qui en l'absence de son amie voulait une baise normale. Je me souviens lui avoir mis à peu près partout où c'est humainement possible. Je crois même que c'est elle qui a exigé de ma faire une cravate de notaire, simplement poux voir ma bite de tout près quand je jouissais entre ses seins et prendre ma semence dans la bouche. Elle avait exigé de me sucer après lavoir enculée: le goût de son cul lui plait beaucoup. J'en profitais pour à mon tour exigé une façon insolite de l'exciter: je lui pissais dessus. Elle se branlait.
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