Domination de Madame et Monsieur 11
Récit érotique écrit par Maître Cocufieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Domination de Madame et Monsieur 11
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le colonel avait adoré, dès le premier jour, les magifiques fesses de Lilly Rose. Porté sur les travestis et tirant un plaisir extrême de leur féminisation, il se faisait un devoir de veiller aux grands et petits détails qui concourent à transformer ces mâles bisexuels en femmes parfaites. Il veillait à ce que le corps change doucement mais sûrement et pour cela, il y a des méthodes éprouvées tels que l'utilisation d'hormones, l'injection de silicone et des séances de gymnastique et de massages spécifiques dont le but est de faire rebondir les fesses qui reçoivent quotidiennement des passages de pommades diverses destinées à les rendre plus blanches et plus lisses. Il faut dire que, dans le cas du cocu, la tâche est aisée puisque son postérieur n'a pas besoin de beaucoup de travail pour ressembler à celui d'une femme.
Mais le colonel sait que le plus important n'est pas dans les opérations physiques mais dans la préparation psychique. On ne forme pas ces futures femmes pour des tâches routinières de femmes ! Il s'agit de former des putes ouvertes aux queues des vrais mâles. Sinon, cette transformation n'aurait servi à rien. C'est pourquoi, la méthode propre au colonel repose sur une utilisation sexuelle abusive des travestis à féminiser. Il dit souvent qu'il ne faut pas laisser ces trous longtemps inoccupés. Pour cela, il va à la tâche lui même, baisant Lilly Rose trois fois par jour et dans toutes les positions. Il sait qu'une partie de jambes en l'air ordinaire n'aura pas l'effet escompté. Pour former la future pute, il faut la rabaisser, la dominer et lui faire sentir la force et la brutalité du vrai mâle. A chaque moment, elle doit savoir où est sa véritable place. Il utilise le martinet et sa propre ceinture pour dompter ces vide-couilles qui deviendront bientôt de véritable esclaves obéissantes et serviles.
Il est aidé dans cette tâche par une équipe de gardiens baiseurs, de véritables brutes casseurs de culs. Ils n'ont rien dans la cervelle mais tout dans leurs queues démesurées ! Il en a sélectionné quatre : trois blacks et un arabe. Dès le matin, ils se mettent au boulot. Au réveil, les vide-couilles reçoivent un copieux petit déjeuner sous forme de jets de sperme dans leurs cafés au lait. Ensuite, elles doivent pomper les sexes enduits de yaourt et de beurre.
Après la douche, les vide-couilles se mettent à quatre pattes pour recevoir dans leurs culs les chibres en érection. La séance dure des heures puisque chacun des baiseurs doit ravager les culs de toutes les lopes. Ordre est donné aux gardiens de fouetter les fesses des futures femmes et de les dominer en les insultant et en leur crachant sur le visage.
Le colonel dirige lui-même les opérations. Il tourne autour des vide-couilles, leur palpe les fesses, leur tire les bouts des seins, leur demandent d'ouvrir la bouche pour y envoyer ses crachats, etc. Parfois, trop excité, il pousse un gardien baiseur pour prendre sa place et assaillir les fesses offertes en levrette ! Il arrive aussi que les putes soient conduites aux étables où elles sont parquées derrière un mur aux nombreux trous. Leurs culs bien cambrés débordent des trous, offrant un beau spectacle de l'autre côté du mur. On fait appel aux gardiens baiseurs chargés des étables pour occuper les trous béants qui s'offrent à eux.
Le colonel est satisfait :" on peut utiliser toutes les techniques de chirurgie esthétique, tous les produits chimiques, on peut tout faire mais rien ne peut remplacer l'acte sexuel et l'humiliation pour former une véritable pute. La transformation réelle n'est pas dans le physique et le vestimentaire mais dans l'acceptation par le mâle féminisé de son statut de vide-couilles au service des vrais mâles. Elle doit devenir une pute parfaite, une femelle qui s'incline devant le chibre levé d'un mâle dominant. Sa tendance naturelle sera de ne rien refuser à tout mâle qui se présente devant elle : elle doit s'ouvrir dès qu'elle voit un sexe en érection. Peu importe à qui il appartient ! Son rôle est de le happer! Elle ne doit pas beaucoup réfléchir et si le mâle est indifférent ou récalcitrant, son rôle de pute est de le mettre en condition. Parfaitement maquillée, la perruque bien accrochée sur sa tête, le corps dénudé, elle doit chercher à saisir l'engin mâle pour le masturber ou le sucer. C'est ça le rôle d'une pute!"Dans l'étable, Lilly Rose couine sous les coups d'une meute de gardiens baiseurs qui s'en donnent à cœur joie derrière le mur où sont exposés les culs en transformation ! A quelques pas de là, dans l'aile mitoyenne de l'étable, on prépare Lucie, l'ex féministe, à faire son premier tour de Ponygirl. Son maître, le gardien marocain, bien calé dans son attelage, attend qu'on en finisse avec l'habillement de la nouvelle esclave. Dans le box, deux gardiens s'activent pour que le cheval humain soit le plus beau.
Lucie a la tête ornée d'un beau licol en cuir noir qui permettra au Marocain de la conduire. Sa bouche a reçu un mors maintenu par un bridon également en cuir noir. Pour ce premier test, Lucie avait du mal à maintenir dans sa bouche le mors bien que des rondelles aient été rajoutées pour protéger ses lèvres d'un éventuel pincement. Lucie est bien tenue par les rênes qui seront contrôlées à l'autre bout par le gardien. Ces rênes lui permettront de contrôler la direction de l'attelage et sa vitesse.
Un casque noir monté d'une plume de la même couleur encadre le joli minois de Lucie. Son corps esr ceinturé par une armure en cuir qui laisse apparaître ses seins d'albâtre et ses fesses rebondies. Des bottes en cuir noir montent très haut, découvrant des cuisses laiteuses alors que, plus bas, elles se terminent par des talons dorés.
L'un des gardiens ne se retient plus. Il fourre ses doigts dans la toison de Lucie. Cette dernière ne semble pas apprécier et s'éloigne. Ce qui irrite le gars qui prend aussitôt son fouet pour lacérer le beau cul. Il demande à son copain de tenir la Ponygirl rebelle et de la plier. Il passe sa pommade dans le trou du cul de Lucie qui se débat de toutes ses forces mais, retenue par les bras puissants du second gardien, elle finit par accepter son sort. Le premier gardien fourre directement son pénis tendu à l'extrême, dans l'anus de Lucie. Elle hurle à réveiller les morts mais, bientôt, ne ressent plus aucune douleur. Rien qu'un plaisir nouveau, la jouissance sexuelle doublée par la soumission à la brutalité du vrai mâle. Elle ondule des hanches en signe de satisfaction, ce qui excite davantage le gardien qui lâche aussitôt une quantité impressionnante de sperme dans le l'intimité de la dame. Quand le second gardien fourre à son tour son sexe dans le cul béant et humide, Lucie n'oppose aucune résistance. Elle ouvre ses fesses en s'aidant de ses mains.
Et quand elle se présente enfin devant son maître pour le conduire dans la forêt, il y a, sur son visage, un bonheur dont il devine l'origine... Bien harnachée et attachée au carosse, Lucie chevauche sur place en hénissant. Le Marocain utilise son fouet pour cingler les belles fesses qui s'offrent à sa vue, donnant le départ de la cavalcade.
Cela fait un demi kilomètre que la belle Lucie chevauche à travers la forêt, heureuse de se retrouver dans cette tenue, heureuse de recevoir ces coups de fouet qui la rabaissent, heureuse d'être un jouet sexuel au service des maîtres. Au plus profond d'elle même, elle n'attend qu'une chose : que le gardien marocain lui ordonne de s'arrêter et qu'il vienne abuser d'elle, posséder ce corps qui n'attend que ses caresses et ses assauts. Mais le Marocain ne cédera pas. Il ne donnera pas ce plaisir à la pute! Pour la rabaisser davantage, il la mène dans une grande baraque éloignée qui sert à l'hébergement des ouvriers qui s'occupent du nettoiement et des travaux agricoles. Là, il trouve trois maghrébins, probablement, des immigrés clandestins qu'il rassemble à l'intérieur de la baraque en leur montrant Lucie :" cette pute est à vous ! Ravagez ses trous et ne la ménagez pas !"Étonnée d'abord, Lucie trouva quelques avantages dans la situation : s'offrir pour son maître tout en assouvissant son énorme besoin de soumission. Les trois maghrébins se jettent sur elle. Ils la traitent de tous les noms alors que leurs sexes s'activent dans tous ses trous. La lope , la nouvelle vide-couilles, jouit trop vite, trop bien ! Elle s'envole vers les cimes d'un bonheur inconnu en se disant :" ma place est ici ! Je suis née pour recevoir la bite, la vraie bite, la grosse bites des hommes qui savent ce que veut une femme ! C'est ma voie toute tracée et je la suivrai jusqu'au bout car elle me donne tant de plaisirs! Allez-y les vrais mâles, jouissez dans votre poupée, souillez-là!"Se tenant dans un coin, le Marocain admirait le beau tableau de la proie sans défense assaillie par des queues ravageuses. Il tira la sienne et se masturba. Quand Lucie vit l'objet de son adoration, elle rampa vers lui, prête à le happer de la bouche. Mais le Marocain recula et la gifla en demandant aux autres maghrébins de sanctionner cet écart. Il arrosa le sol de son sperme et l'un des ouvriers demanda à Lucie de le lécher. " C'est un nectar pour moi ! C'est un honneur de lécher ce précieux liquide sorti de mon maître!"Le Marocain lui cracha sur le visage et sortit prendre l'air. Il ne faisait pas exprès d'agir comme ça. C'est sa nature. Il ne peut pas être doux et n'imagine les rapports d'un homme et d'une femme que sous l'angle de la domination-soumission. Macho, irrespectueux, il ne voit dans la femme qu'un sexe à posséder et un corps à dominer. Il ne sait pas que c'est justement ce comportement qui fait craquer les putes !
Pendant ce temps là, maître Lopez et moi-même étions en train de préparer la nuit des milles verges pour mettre à l'épreuve Océane, vedette de la soirée. Maître Lopez proposa la participation de Lucie:- j'ai hâte de voir cette chippie austère et accrochée à des valeurs morales surannées, se faire trouer par les queues des maîtres et des gardiens. J'attends de la voir boire notre sperme et subir nos fouets ! C'est un plaisir rare de la voir muer en pute vide-couilles avide de chibres !
- Et Mélissa ? Votre femme sera parfaite pour cette soirée !
- Non ? Elle restera derrière les glaces sans tain...
Lopez ignorait que sa Mélissa était la pute du Marocain et qu'elle se donnait sous un masque à tous les gardiens baiseurs... Je le savais de la bouche du Marocain et j'attends de profiter de la belle épouse masquée tout en la laissant croire que je ne sais pas qui elle est.
Le colonel avait adoré, dès le premier jour, les magifiques fesses de Lilly Rose. Porté sur les travestis et tirant un plaisir extrême de leur féminisation, il se faisait un devoir de veiller aux grands et petits détails qui concourent à transformer ces mâles bisexuels en femmes parfaites. Il veillait à ce que le corps change doucement mais sûrement et pour cela, il y a des méthodes éprouvées tels que l'utilisation d'hormones, l'injection de silicone et des séances de gymnastique et de massages spécifiques dont le but est de faire rebondir les fesses qui reçoivent quotidiennement des passages de pommades diverses destinées à les rendre plus blanches et plus lisses. Il faut dire que, dans le cas du cocu, la tâche est aisée puisque son postérieur n'a pas besoin de beaucoup de travail pour ressembler à celui d'une femme.
Mais le colonel sait que le plus important n'est pas dans les opérations physiques mais dans la préparation psychique. On ne forme pas ces futures femmes pour des tâches routinières de femmes ! Il s'agit de former des putes ouvertes aux queues des vrais mâles. Sinon, cette transformation n'aurait servi à rien. C'est pourquoi, la méthode propre au colonel repose sur une utilisation sexuelle abusive des travestis à féminiser. Il dit souvent qu'il ne faut pas laisser ces trous longtemps inoccupés. Pour cela, il va à la tâche lui même, baisant Lilly Rose trois fois par jour et dans toutes les positions. Il sait qu'une partie de jambes en l'air ordinaire n'aura pas l'effet escompté. Pour former la future pute, il faut la rabaisser, la dominer et lui faire sentir la force et la brutalité du vrai mâle. A chaque moment, elle doit savoir où est sa véritable place. Il utilise le martinet et sa propre ceinture pour dompter ces vide-couilles qui deviendront bientôt de véritable esclaves obéissantes et serviles.
Il est aidé dans cette tâche par une équipe de gardiens baiseurs, de véritables brutes casseurs de culs. Ils n'ont rien dans la cervelle mais tout dans leurs queues démesurées ! Il en a sélectionné quatre : trois blacks et un arabe. Dès le matin, ils se mettent au boulot. Au réveil, les vide-couilles reçoivent un copieux petit déjeuner sous forme de jets de sperme dans leurs cafés au lait. Ensuite, elles doivent pomper les sexes enduits de yaourt et de beurre.
Après la douche, les vide-couilles se mettent à quatre pattes pour recevoir dans leurs culs les chibres en érection. La séance dure des heures puisque chacun des baiseurs doit ravager les culs de toutes les lopes. Ordre est donné aux gardiens de fouetter les fesses des futures femmes et de les dominer en les insultant et en leur crachant sur le visage.
Le colonel dirige lui-même les opérations. Il tourne autour des vide-couilles, leur palpe les fesses, leur tire les bouts des seins, leur demandent d'ouvrir la bouche pour y envoyer ses crachats, etc. Parfois, trop excité, il pousse un gardien baiseur pour prendre sa place et assaillir les fesses offertes en levrette ! Il arrive aussi que les putes soient conduites aux étables où elles sont parquées derrière un mur aux nombreux trous. Leurs culs bien cambrés débordent des trous, offrant un beau spectacle de l'autre côté du mur. On fait appel aux gardiens baiseurs chargés des étables pour occuper les trous béants qui s'offrent à eux.
Le colonel est satisfait :" on peut utiliser toutes les techniques de chirurgie esthétique, tous les produits chimiques, on peut tout faire mais rien ne peut remplacer l'acte sexuel et l'humiliation pour former une véritable pute. La transformation réelle n'est pas dans le physique et le vestimentaire mais dans l'acceptation par le mâle féminisé de son statut de vide-couilles au service des vrais mâles. Elle doit devenir une pute parfaite, une femelle qui s'incline devant le chibre levé d'un mâle dominant. Sa tendance naturelle sera de ne rien refuser à tout mâle qui se présente devant elle : elle doit s'ouvrir dès qu'elle voit un sexe en érection. Peu importe à qui il appartient ! Son rôle est de le happer! Elle ne doit pas beaucoup réfléchir et si le mâle est indifférent ou récalcitrant, son rôle de pute est de le mettre en condition. Parfaitement maquillée, la perruque bien accrochée sur sa tête, le corps dénudé, elle doit chercher à saisir l'engin mâle pour le masturber ou le sucer. C'est ça le rôle d'une pute!"Dans l'étable, Lilly Rose couine sous les coups d'une meute de gardiens baiseurs qui s'en donnent à cœur joie derrière le mur où sont exposés les culs en transformation ! A quelques pas de là, dans l'aile mitoyenne de l'étable, on prépare Lucie, l'ex féministe, à faire son premier tour de Ponygirl. Son maître, le gardien marocain, bien calé dans son attelage, attend qu'on en finisse avec l'habillement de la nouvelle esclave. Dans le box, deux gardiens s'activent pour que le cheval humain soit le plus beau.
Lucie a la tête ornée d'un beau licol en cuir noir qui permettra au Marocain de la conduire. Sa bouche a reçu un mors maintenu par un bridon également en cuir noir. Pour ce premier test, Lucie avait du mal à maintenir dans sa bouche le mors bien que des rondelles aient été rajoutées pour protéger ses lèvres d'un éventuel pincement. Lucie est bien tenue par les rênes qui seront contrôlées à l'autre bout par le gardien. Ces rênes lui permettront de contrôler la direction de l'attelage et sa vitesse.
Un casque noir monté d'une plume de la même couleur encadre le joli minois de Lucie. Son corps esr ceinturé par une armure en cuir qui laisse apparaître ses seins d'albâtre et ses fesses rebondies. Des bottes en cuir noir montent très haut, découvrant des cuisses laiteuses alors que, plus bas, elles se terminent par des talons dorés.
L'un des gardiens ne se retient plus. Il fourre ses doigts dans la toison de Lucie. Cette dernière ne semble pas apprécier et s'éloigne. Ce qui irrite le gars qui prend aussitôt son fouet pour lacérer le beau cul. Il demande à son copain de tenir la Ponygirl rebelle et de la plier. Il passe sa pommade dans le trou du cul de Lucie qui se débat de toutes ses forces mais, retenue par les bras puissants du second gardien, elle finit par accepter son sort. Le premier gardien fourre directement son pénis tendu à l'extrême, dans l'anus de Lucie. Elle hurle à réveiller les morts mais, bientôt, ne ressent plus aucune douleur. Rien qu'un plaisir nouveau, la jouissance sexuelle doublée par la soumission à la brutalité du vrai mâle. Elle ondule des hanches en signe de satisfaction, ce qui excite davantage le gardien qui lâche aussitôt une quantité impressionnante de sperme dans le l'intimité de la dame. Quand le second gardien fourre à son tour son sexe dans le cul béant et humide, Lucie n'oppose aucune résistance. Elle ouvre ses fesses en s'aidant de ses mains.
Et quand elle se présente enfin devant son maître pour le conduire dans la forêt, il y a, sur son visage, un bonheur dont il devine l'origine... Bien harnachée et attachée au carosse, Lucie chevauche sur place en hénissant. Le Marocain utilise son fouet pour cingler les belles fesses qui s'offrent à sa vue, donnant le départ de la cavalcade.
Cela fait un demi kilomètre que la belle Lucie chevauche à travers la forêt, heureuse de se retrouver dans cette tenue, heureuse de recevoir ces coups de fouet qui la rabaissent, heureuse d'être un jouet sexuel au service des maîtres. Au plus profond d'elle même, elle n'attend qu'une chose : que le gardien marocain lui ordonne de s'arrêter et qu'il vienne abuser d'elle, posséder ce corps qui n'attend que ses caresses et ses assauts. Mais le Marocain ne cédera pas. Il ne donnera pas ce plaisir à la pute! Pour la rabaisser davantage, il la mène dans une grande baraque éloignée qui sert à l'hébergement des ouvriers qui s'occupent du nettoiement et des travaux agricoles. Là, il trouve trois maghrébins, probablement, des immigrés clandestins qu'il rassemble à l'intérieur de la baraque en leur montrant Lucie :" cette pute est à vous ! Ravagez ses trous et ne la ménagez pas !"Étonnée d'abord, Lucie trouva quelques avantages dans la situation : s'offrir pour son maître tout en assouvissant son énorme besoin de soumission. Les trois maghrébins se jettent sur elle. Ils la traitent de tous les noms alors que leurs sexes s'activent dans tous ses trous. La lope , la nouvelle vide-couilles, jouit trop vite, trop bien ! Elle s'envole vers les cimes d'un bonheur inconnu en se disant :" ma place est ici ! Je suis née pour recevoir la bite, la vraie bite, la grosse bites des hommes qui savent ce que veut une femme ! C'est ma voie toute tracée et je la suivrai jusqu'au bout car elle me donne tant de plaisirs! Allez-y les vrais mâles, jouissez dans votre poupée, souillez-là!"Se tenant dans un coin, le Marocain admirait le beau tableau de la proie sans défense assaillie par des queues ravageuses. Il tira la sienne et se masturba. Quand Lucie vit l'objet de son adoration, elle rampa vers lui, prête à le happer de la bouche. Mais le Marocain recula et la gifla en demandant aux autres maghrébins de sanctionner cet écart. Il arrosa le sol de son sperme et l'un des ouvriers demanda à Lucie de le lécher. " C'est un nectar pour moi ! C'est un honneur de lécher ce précieux liquide sorti de mon maître!"Le Marocain lui cracha sur le visage et sortit prendre l'air. Il ne faisait pas exprès d'agir comme ça. C'est sa nature. Il ne peut pas être doux et n'imagine les rapports d'un homme et d'une femme que sous l'angle de la domination-soumission. Macho, irrespectueux, il ne voit dans la femme qu'un sexe à posséder et un corps à dominer. Il ne sait pas que c'est justement ce comportement qui fait craquer les putes !
Pendant ce temps là, maître Lopez et moi-même étions en train de préparer la nuit des milles verges pour mettre à l'épreuve Océane, vedette de la soirée. Maître Lopez proposa la participation de Lucie:- j'ai hâte de voir cette chippie austère et accrochée à des valeurs morales surannées, se faire trouer par les queues des maîtres et des gardiens. J'attends de la voir boire notre sperme et subir nos fouets ! C'est un plaisir rare de la voir muer en pute vide-couilles avide de chibres !
- Et Mélissa ? Votre femme sera parfaite pour cette soirée !
- Non ? Elle restera derrière les glaces sans tain...
Lopez ignorait que sa Mélissa était la pute du Marocain et qu'elle se donnait sous un masque à tous les gardiens baiseurs... Je le savais de la bouche du Marocain et j'attends de profiter de la belle épouse masquée tout en la laissant croire que je ne sais pas qui elle est.
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