Domination de Madame et Monsieur 3
Récit érotique écrit par Maître Cocufieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Domination de Madame et Monsieur 3
RESUMÉ : avant Internet et le téléphone mobile, les candaulistes et les libertins d'une manière générale utilisaient les magazines spécialisés. Il y a longtemps de cela, je tombe sur l'annonce d'un couple de bourgeois cherchant un maître cocufieur pour s'occuper de leurs trous. Je tente une première expérience fort réussie. L'épouse est aux anges. Elle en redemande. Tendance maso ainsi que son cocu. J'en profite bien étant de nature dominateur, un mâle alpha puissant et bon manieur du martinet !
Partie 3J'appelle les deux slaves pour leur dire de se préparer pour le weekend. J'ai deux amis Blacks bien membrés qui sont en manque et je crois que les deux putes feront leur affaire. J'ai bien compris que le couple préférait par dessus tout la baise dans la maltraitance. Et il va être servi car mes deux lascars sont des voyous peu attirés par les bonnes manières. Ils ont à leur service un bon troupeau de pétasses prêtes à tout pour recevoir leurs verges dans tous les trous. Ils ont aussi quelques cocus travestis qu'ils baisent à satiété avant de les offrir aux jeunes des cités qui leur font subir les pires outrages dans les caves dégoûtantes de leurs immeubles.
C'est que ces bourgeois qui ont tout sauf un pénis bien ferme à leur disposition, acceptent la descente aux enfers pour en trouver un ou plusieurs qui les font monter au septième ciel. Ils cherchent l'humiliation et la dégradation. Ils ne trouvent leur plaisir que lorsqu'ils sont en position inférieure, maltraités par un mâle alpha. Les dames veulent se comporter en putes prises par plusieurs hommes dépourvus des bonnes manières qu'elles rencontrent dans leur monde habituel. Le plaisir est décuplé par cette humiliation, cet abandon de soi à quelqu'un qui ne vous respecte pas et ne pense qu'à vous abaisser. Elles s'abandonnent à plus fort et sont prêtes à tout pour satisfaire leurs maîtres. J'en connais quelques-unes qui ont commencé par jouer aux putes avant de devenir des professionnelles au service de leurs maîtres proxénètes. Elles n'avaient pas besoin d'argent mais satisfaisaient deux plaisirs immenses pour elles : se faire prendre par des inconnus contre de l'argent et se faire dominer par celui dont elles adorent le pénis et qui devient l'élément essentiel de leur vie sexuelle.
Quant au cocu lopette, il est juste là pour contempler sa femme, se faire dominer et servir de vide-couilles en cas de besoin. Mes copains blacks, arabes et turcs ne sont pas très tendres vis-à-vis de ces lopes mais je crois que c'est ce que préfèrent ces derniers. Ils aiment être fouettés, que l'on crache sur leurs visages, qu'on leur donne la fessée et qu'on leur pisse dessus. J'en ai connu beaucoup qui sont comme ça. Certains se font pisser dessus en couple. Les voyous qui les arrosent boivent beaucoup de bières pour avoir une quantité suffisante de jus doré à leur servir.
Quand j'arrive à l'appartement du couple en compagnie de mes deux blacks, on trouve la dame à quatre pattes dans le hall, le cul tourné vers la porte. Les instructions sont respectés. Paul, l'un des deux gars, hurle :- Putain ! Quel fessier ! De la classe bourgeoise. Une putain de la haute société, voilà ce que je cherchais depuis longtemps !
- Sers-toi, mon ami, et toi Abdoul, tu peux aussi utiliser cette moins de rien, ce cul de merde qui n'attend que vos sexes bien tendus.
Paul et Abdoul ouvrent leurs braguettes et sortent deux pénis géants qu'ils mettent devant la belle bouche de l'épouse impressionnée par la taille des engins.
-Comment s'appelle cette pute?
- Océane, mais, pour nous, ce sera Slave 18 car j'en ai déjà 17 comme ça dans les beaux quartiers de la ville. Toutes prêtes à me suivre au Sahara pour servir d'avaloirs au jus des Africains.
- Allez, Slave 18, au boulot et vite.
Paul gifle la putain qui avale d'un coup le premier sexe avant de saisir les deux engins pour les embrasser et les lécher.
Abdoul crache à la figure de la pute :- Plus vite, salope ! Puis se tournant vers moi :- Est-ce qu'il y a un fouet ici ? J'ai bien envie de lacérer ce beau cul. Tu aimes ça, salope?
- Je suis à votre disposition puisque maître le veut.
Il la gifle à son tour :- Ce n'est pas ce que je t'ai demandé ! Je veux savoir si tu aimes te faire fouetter par maître Abdoul. C'est moi !
- Oui, j'adore être fouettée par maître Abdoul...
Paul se dirige vers l'arrière de la pute. Il lui fourre un doigt, puis deux dans la vulve. Elle s'agite et commence à couiner. Il lui palpe les fesses, leur donne quelques claques - C'est de la belle marchandise ! Une bourge à plusieurs centaines d'Euros la nuit ! Je te ferai cravacher dur, pétasse de bourge!
Puis, n'y tenant plus, il enfonce son pénis dans le vagin bien mouillé de la pute qui n'attendait que cela. Il la pénètre doucement, se retire, puis revient à la charge. Cela excite la dame au plus haut point. N'y tenant plus, elle hurle :- Enfonce-toi en moi, chéri !
Abdoul arrête tout, gifle la dame et lui lance :- C'est grave ! C'est quoi ça, dis !Pourquoi tu parles comme ça? Qui t'a autorisé à parler. Où est ce putain de fouet ?
Je vais chercher le fouet. Je le trouve au salon près du cocu qui se tient toujours à quatre pattes, suivant attentivement ce qui se passe à côté. Il a la verge bien tendu :-Salaud! Tu en profites ! Il faudrait t'acheter un cage pour ton petit zizi !
Je tends le fouet à Abdoul qui commence à flageller le cul de la dame. Il n'y va pas de main morte :- C'est comme ça qu'il faut les dresser, ces putes de la haute !
Alors que Paul est toujours en train de se faire lécher la bite par l'épouse qui a du mal à se concentrer sur sa tâche avec tous les coups qu'elle reçoit, je reviens à la lopetteTout cela m'a bien excité. Pas de préliminaire. Je crache sur la rondelle et le gars cambre son fessier qui reçoit aussitôt ma verge. Il hurle de douleur mais je m'en fiche. Je cherche mon plaisir et mon plaisir est de l'enfoncer au plus profond. Ensuite, je le laboure, le chevauche durant de longues minutes. La douleur se transforme en plaisir. Il couine comme une pute. Je me retire à temps et lui sers tout le jus sur la gueule :- Avale, pute ! Tu me remercieras de t'avoir préparé pour les deux monstres qui vont te fouiller tout à l'heure !
Dans le hall et une fois terminée la flagellation, le vagin de l'épouse semble rassasié par l'immense pieu qui le pistonne. Elle hurle de plaisirs, ne tient plus, jouit une fois, deux... Ce n'est plus la dame que j'ai connue. Elle s'agite dans tous les sens, parle dans une langue inconnue, mais je saisis quelques mots :- Je suis à vous, maître Abdoul! Baisez-moi ! Labourez-moi! Faites de moi ce que vous voulez ! Je suis votre pute blanche ! Je ferai la pute pour vous ! Oui, oui, oui...
Abdoul décharge abondamment puis se dirige vers le cocu pour se faire nettoyer. Paul prend sa place aussitôt :- Je suis là, la pute. Ton vagin ne restera pas vide.
Il la pistonne un moment avant de doigter son autre trou qu'il ne tarde pas à envahir de son sexe conquérant. La dame se crispe avant de se libérer totalement. C'est la pute parfaite dans tous ses états.
Abdoul se fait nettoyer la queue par le cocu. Il ne tarde pas à retrouver sa forme mais, pour bien se faire exciter, il va chercher le fouet pour rabaisser encore plus le travesti. Après quelques coups qui visent les fesses, Abdul abandonne le fouet et demande au cocu de lui mouiller le sexe avec sa salive pour faciliter l'introduction.
Il me regarde du coin de l'œil et me lance :- c'est vraiment le plus beau cul que j'ai jamais vu ! Lisse, blanc opalin, bien cambré, j'en tirerai une fortune en le mettant au boulot.
- Tu sais Abdoul, depuis que j'ai découvert ces larves, je me dis la même chose. Le fessier de ce cocu est la plus belle chose qui me soit arrivé depuis longtemps. C'est pour ça que je pense féminiser davantage cette lope. Il est plus femme que toutes les femmes. Quand je viens ici, je m'occupe plus de son fessier que de celui de la dame ! Tu verras en jouissant de son trou du cul.
Abdoul était déjà en train de fouiller le cul avec son immense verge qui met mal à l'aise le cocu. Puis, ce dernier trouve enfin son plaisir. Il couine et, du hall, nous parvient un autre hurlement de plaisir. La dame est aux anges. Elle est maintenant étendue dos au sol, les jambes repliées, subissant les assauts de Paul. Ce dernier a le visage collé à celui de la pute. Il l'embrasse sauvagement. Leurs langues se mélangent dans un échange de bave impressionnant.
Abdoul décharge dans le cul du travesti. Il se fait nettoyer la verge par ce dernier qui semble très heureux. Paul décharge à son tour. Puis, nous conduisons le couple vers la salle de bain, toujours à quatre pattes, le collier bien accroché aux laisses que nous tenons de main ferme.
Nous les faisons s'asseoir dans la baignoire. Abdoul gifle la dame, lui crache au visage. Paul se fait nettoyer la bite encore dégoulinante de sperme par la lopette. Il le gifle également et lui crache au visage. Ensuite, nous dirigeons nos sexes vers leurs corps pour les inonder de jus doré. Ils semblent adorer cette douche. Je regarde la pute s'abreuver carrément de pisse. Je bande comme un taureau. Je demande à la pétasse de se mettre en position. Le coup part trop vite. C'est le fait de prendre une telle décision rapidement et que la pute s'exécute sans demander quoi que ce soit, qui m'excite!
C'est le propre des maîtres d'agir à leur guise et au moment où l'on s'y attend le moins, dans les endroits les plus inattendus. C'est mon plaisir à moi. Je décharge très vite et demande au cocu de nettoyer le vagin tout mouillé. Abdoul se fait sucer par le cocu et Paul par l'épouse. Ensuite, douche pour tout le monde. Je me dirige vers la chambre à coucher qui dispose d'une grande salle de bains.
Avant de sortir, la bourgeoise me demande de céder à son caprice : nous embrasser les sexes qu'elle dorlote, sert tendrement contre ses joues et ses seins :-C'est ma raison de vivre. Pour ces couilles et ces vrais engins de mâles, je suis prête à tout...
A SUIVRENB : pour ne pas alourdir le premier post où figurent les deux premières parties, j'ai préféré consacrer à chaque nouvelle partie un post à part.
Partie 3J'appelle les deux slaves pour leur dire de se préparer pour le weekend. J'ai deux amis Blacks bien membrés qui sont en manque et je crois que les deux putes feront leur affaire. J'ai bien compris que le couple préférait par dessus tout la baise dans la maltraitance. Et il va être servi car mes deux lascars sont des voyous peu attirés par les bonnes manières. Ils ont à leur service un bon troupeau de pétasses prêtes à tout pour recevoir leurs verges dans tous les trous. Ils ont aussi quelques cocus travestis qu'ils baisent à satiété avant de les offrir aux jeunes des cités qui leur font subir les pires outrages dans les caves dégoûtantes de leurs immeubles.
C'est que ces bourgeois qui ont tout sauf un pénis bien ferme à leur disposition, acceptent la descente aux enfers pour en trouver un ou plusieurs qui les font monter au septième ciel. Ils cherchent l'humiliation et la dégradation. Ils ne trouvent leur plaisir que lorsqu'ils sont en position inférieure, maltraités par un mâle alpha. Les dames veulent se comporter en putes prises par plusieurs hommes dépourvus des bonnes manières qu'elles rencontrent dans leur monde habituel. Le plaisir est décuplé par cette humiliation, cet abandon de soi à quelqu'un qui ne vous respecte pas et ne pense qu'à vous abaisser. Elles s'abandonnent à plus fort et sont prêtes à tout pour satisfaire leurs maîtres. J'en connais quelques-unes qui ont commencé par jouer aux putes avant de devenir des professionnelles au service de leurs maîtres proxénètes. Elles n'avaient pas besoin d'argent mais satisfaisaient deux plaisirs immenses pour elles : se faire prendre par des inconnus contre de l'argent et se faire dominer par celui dont elles adorent le pénis et qui devient l'élément essentiel de leur vie sexuelle.
Quant au cocu lopette, il est juste là pour contempler sa femme, se faire dominer et servir de vide-couilles en cas de besoin. Mes copains blacks, arabes et turcs ne sont pas très tendres vis-à-vis de ces lopes mais je crois que c'est ce que préfèrent ces derniers. Ils aiment être fouettés, que l'on crache sur leurs visages, qu'on leur donne la fessée et qu'on leur pisse dessus. J'en ai connu beaucoup qui sont comme ça. Certains se font pisser dessus en couple. Les voyous qui les arrosent boivent beaucoup de bières pour avoir une quantité suffisante de jus doré à leur servir.
Quand j'arrive à l'appartement du couple en compagnie de mes deux blacks, on trouve la dame à quatre pattes dans le hall, le cul tourné vers la porte. Les instructions sont respectés. Paul, l'un des deux gars, hurle :- Putain ! Quel fessier ! De la classe bourgeoise. Une putain de la haute société, voilà ce que je cherchais depuis longtemps !
- Sers-toi, mon ami, et toi Abdoul, tu peux aussi utiliser cette moins de rien, ce cul de merde qui n'attend que vos sexes bien tendus.
Paul et Abdoul ouvrent leurs braguettes et sortent deux pénis géants qu'ils mettent devant la belle bouche de l'épouse impressionnée par la taille des engins.
-Comment s'appelle cette pute?
- Océane, mais, pour nous, ce sera Slave 18 car j'en ai déjà 17 comme ça dans les beaux quartiers de la ville. Toutes prêtes à me suivre au Sahara pour servir d'avaloirs au jus des Africains.
- Allez, Slave 18, au boulot et vite.
Paul gifle la putain qui avale d'un coup le premier sexe avant de saisir les deux engins pour les embrasser et les lécher.
Abdoul crache à la figure de la pute :- Plus vite, salope ! Puis se tournant vers moi :- Est-ce qu'il y a un fouet ici ? J'ai bien envie de lacérer ce beau cul. Tu aimes ça, salope?
- Je suis à votre disposition puisque maître le veut.
Il la gifle à son tour :- Ce n'est pas ce que je t'ai demandé ! Je veux savoir si tu aimes te faire fouetter par maître Abdoul. C'est moi !
- Oui, j'adore être fouettée par maître Abdoul...
Paul se dirige vers l'arrière de la pute. Il lui fourre un doigt, puis deux dans la vulve. Elle s'agite et commence à couiner. Il lui palpe les fesses, leur donne quelques claques - C'est de la belle marchandise ! Une bourge à plusieurs centaines d'Euros la nuit ! Je te ferai cravacher dur, pétasse de bourge!
Puis, n'y tenant plus, il enfonce son pénis dans le vagin bien mouillé de la pute qui n'attendait que cela. Il la pénètre doucement, se retire, puis revient à la charge. Cela excite la dame au plus haut point. N'y tenant plus, elle hurle :- Enfonce-toi en moi, chéri !
Abdoul arrête tout, gifle la dame et lui lance :- C'est grave ! C'est quoi ça, dis !Pourquoi tu parles comme ça? Qui t'a autorisé à parler. Où est ce putain de fouet ?
Je vais chercher le fouet. Je le trouve au salon près du cocu qui se tient toujours à quatre pattes, suivant attentivement ce qui se passe à côté. Il a la verge bien tendu :-Salaud! Tu en profites ! Il faudrait t'acheter un cage pour ton petit zizi !
Je tends le fouet à Abdoul qui commence à flageller le cul de la dame. Il n'y va pas de main morte :- C'est comme ça qu'il faut les dresser, ces putes de la haute !
Alors que Paul est toujours en train de se faire lécher la bite par l'épouse qui a du mal à se concentrer sur sa tâche avec tous les coups qu'elle reçoit, je reviens à la lopetteTout cela m'a bien excité. Pas de préliminaire. Je crache sur la rondelle et le gars cambre son fessier qui reçoit aussitôt ma verge. Il hurle de douleur mais je m'en fiche. Je cherche mon plaisir et mon plaisir est de l'enfoncer au plus profond. Ensuite, je le laboure, le chevauche durant de longues minutes. La douleur se transforme en plaisir. Il couine comme une pute. Je me retire à temps et lui sers tout le jus sur la gueule :- Avale, pute ! Tu me remercieras de t'avoir préparé pour les deux monstres qui vont te fouiller tout à l'heure !
Dans le hall et une fois terminée la flagellation, le vagin de l'épouse semble rassasié par l'immense pieu qui le pistonne. Elle hurle de plaisirs, ne tient plus, jouit une fois, deux... Ce n'est plus la dame que j'ai connue. Elle s'agite dans tous les sens, parle dans une langue inconnue, mais je saisis quelques mots :- Je suis à vous, maître Abdoul! Baisez-moi ! Labourez-moi! Faites de moi ce que vous voulez ! Je suis votre pute blanche ! Je ferai la pute pour vous ! Oui, oui, oui...
Abdoul décharge abondamment puis se dirige vers le cocu pour se faire nettoyer. Paul prend sa place aussitôt :- Je suis là, la pute. Ton vagin ne restera pas vide.
Il la pistonne un moment avant de doigter son autre trou qu'il ne tarde pas à envahir de son sexe conquérant. La dame se crispe avant de se libérer totalement. C'est la pute parfaite dans tous ses états.
Abdoul se fait nettoyer la queue par le cocu. Il ne tarde pas à retrouver sa forme mais, pour bien se faire exciter, il va chercher le fouet pour rabaisser encore plus le travesti. Après quelques coups qui visent les fesses, Abdul abandonne le fouet et demande au cocu de lui mouiller le sexe avec sa salive pour faciliter l'introduction.
Il me regarde du coin de l'œil et me lance :- c'est vraiment le plus beau cul que j'ai jamais vu ! Lisse, blanc opalin, bien cambré, j'en tirerai une fortune en le mettant au boulot.
- Tu sais Abdoul, depuis que j'ai découvert ces larves, je me dis la même chose. Le fessier de ce cocu est la plus belle chose qui me soit arrivé depuis longtemps. C'est pour ça que je pense féminiser davantage cette lope. Il est plus femme que toutes les femmes. Quand je viens ici, je m'occupe plus de son fessier que de celui de la dame ! Tu verras en jouissant de son trou du cul.
Abdoul était déjà en train de fouiller le cul avec son immense verge qui met mal à l'aise le cocu. Puis, ce dernier trouve enfin son plaisir. Il couine et, du hall, nous parvient un autre hurlement de plaisir. La dame est aux anges. Elle est maintenant étendue dos au sol, les jambes repliées, subissant les assauts de Paul. Ce dernier a le visage collé à celui de la pute. Il l'embrasse sauvagement. Leurs langues se mélangent dans un échange de bave impressionnant.
Abdoul décharge dans le cul du travesti. Il se fait nettoyer la verge par ce dernier qui semble très heureux. Paul décharge à son tour. Puis, nous conduisons le couple vers la salle de bain, toujours à quatre pattes, le collier bien accroché aux laisses que nous tenons de main ferme.
Nous les faisons s'asseoir dans la baignoire. Abdoul gifle la dame, lui crache au visage. Paul se fait nettoyer la bite encore dégoulinante de sperme par la lopette. Il le gifle également et lui crache au visage. Ensuite, nous dirigeons nos sexes vers leurs corps pour les inonder de jus doré. Ils semblent adorer cette douche. Je regarde la pute s'abreuver carrément de pisse. Je bande comme un taureau. Je demande à la pétasse de se mettre en position. Le coup part trop vite. C'est le fait de prendre une telle décision rapidement et que la pute s'exécute sans demander quoi que ce soit, qui m'excite!
C'est le propre des maîtres d'agir à leur guise et au moment où l'on s'y attend le moins, dans les endroits les plus inattendus. C'est mon plaisir à moi. Je décharge très vite et demande au cocu de nettoyer le vagin tout mouillé. Abdoul se fait sucer par le cocu et Paul par l'épouse. Ensuite, douche pour tout le monde. Je me dirige vers la chambre à coucher qui dispose d'une grande salle de bains.
Avant de sortir, la bourgeoise me demande de céder à son caprice : nous embrasser les sexes qu'elle dorlote, sert tendrement contre ses joues et ses seins :-C'est ma raison de vivre. Pour ces couilles et ces vrais engins de mâles, je suis prête à tout...
A SUIVRENB : pour ne pas alourdir le premier post où figurent les deux premières parties, j'ai préféré consacrer à chaque nouvelle partie un post à part.
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