Domination de Madame et Monsieur 6
Récit érotique écrit par Maître Cocufieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Domination de Madame et Monsieur 6
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le week-end suivant, j'avais emmené avec moi un ami lyonnais grand maître de salopes raffinées. Connu dans les milieux libertins de la ville comme un maître sadique doté d'un membre impressionnant et couru par toutes les nymphomanes, il était le propriétaire d'un château ouvert à tous les vices.
Comme d'habitude, la bourgeoise se tenait à quatre pattes dans le hall. Maître Arthur siffla d'admiration et lui donna quelques claques:
- bravo pour cette prise. Un beau fessier. Elle doit apprécier le martinet et la sodomie. Je les connais, ces putes avaleuses de chibres ! Répond à tes maîtres : tu aimes les gros et longs pénis?
- Oui, maître, je les aime...
Il la gifla :
- tu aimes quoi ?
- J'aime les gros et longs pénis.
- Voilà. C'est bien. Maintenant, ouvre ton cul avec tes mains.
Elle obtempéra. Maître Arthur inspecta la rondelle toute rose. Il cracha dans la raie et entreprit une fouille en règle. Il appela le cocu qui vint à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Il lui intima l'ordre d'ouvrir sa braguette, de tirer l'engin et de le mettre dans sa bouche, histoire de bien le mouiller et de le préparer à prendre d'assaut la belle. Impressionné, le cocu se hasarda à siffler. Ce qui déplut à maître Arthur qui donna deux puissantes claques au visage du travesti avant de lui fourrer le sexe dans la bouche :
- qui t'a autorisé à siffler ? Avale salope.
Il continuait à doigter le cul de l'épouse et quand il fut à point, il retira son chibre de la bouche du cocu pour l'enfoncer au plus profond du trou féminin. Océane hurlait de toutes ses forces. Elle n'a jamais reçu un engin de cette taille. Maître Arthur retirait de temps à autre son sexe pour le fourrer dans la bouche du cocu qu'il voulut ouverte pendant toute l'opération.
La dame est maintenant sous l'emprise de la domination du mâle qui va au plus profond d'elle. Elle crie de plaisir ! Je ne tiens plus. Je demande au cocu d'avancer son cul vers moi. Putain, quel admirable fessier. Je bande rien qu'à le voir. Je baise ce beau cul de femmelette et décharge rapidement. Maître Arthur continuait de labourer les fesses de madame qui semblait avoir perdu connaissance. Je l'arrête un moment et lui demande de voir si l'esclave est dans son état normal :
- t'inquiètes, me répond-il. Réaction normale quand elles reçoivent le petit Arthur.
Puis, s'adressant à la pute :
- tu aimes ma verge, salope ! Dis, elle s'occupe bien de ton cul.
Il lui donna de vigoureuses claques sur les fesses :
- oui, maître, j'aime votre puissant sexe, le meilleur de tous ! Il me donne beaucoup de plaisir au cul et partout... Baisez-moi encore. Enfoncez votre engin au plus profond de moi, je suis votre esclave, votre pute. Aaaah... Aaahhh!
Après quelques instants de repos, Maître Arthur mène les deux putes au salon où il les dispose, cul en l'air, sur le divan. Il prend le fouet et commence à les flageller :
- salopes ! Culs de merde ! Recevez ce cadeau de maître Arthur. Vous me supplierez d'arrêter et je n'arrêterai pas !
Il fouettait les fesses offertes de plus belle. Le cocu et son épouse se trémoussaient, criaient, suppliaient le lyonnais d'arrêter; ce dernier, déchaîné, poursuivait sa flagellation. Il bandait comme un âne. Il baisa tour à tour le cocu et la femme. Ensuite, il déchargea sur les deux visages et ordonna aux deux esclaves de se nettoyer les visages à l'aide de leurs langues.
On s'est assis un moment au salon, nous faisant lécher les pieds par les esclaves quand on sonna à la porte. Maître Arthur m'avait informé qu'il avait invité deux jeunes esclaves mâles actifs à profiter des deux corps. Il ouvrit la porte et fit entrer deux gars de bonne taille, l'un roux, l'autre de type méditerranéen. Vincent et François viennent du milieu des marginaux qui vivent de larcins et de revente de drogue. Sans salamalecs, ils soulevèrent Océane toute nue et la palpèrent, s'attardant sur les seins qu'ils écrasèrent, arrachent à la dame un cri de douleur. François la gifla et lui donna des claques aux fesses :
- tais-toi poufiasse. Allez penches-toi en avant et ouvre tes fesses avec tes mains. Tiens, putain !
Il la gifla de nouveau et dirigea ses mains vers les fesses. Il semblait heureux et très excité de profiter de la chair blanche de la haute bourgeoisie. Il tira son sexe et le planta dans la vulve de madame. Il ne pouvait attendre plus longtemps. Pendant qu'il la baisait sauvagement, maître Arthur s'occupa de sa bouche qui eut du mal à avaler le gros chibre.
Quant à Vincent, il chevauchait le cocu en lui donnant de grands coups aux fesses. La lope, heureuse de recevoir un si beau sexe, ondulait des fesses. Elle les tendait à l'extrême, les collant au bassin de Vincent qui s'enfonçait au plus profond de la pute. Il la chevaucha un bon moment avant de se retirer et de décharger dans sa bouche.
François se retira du vagin d'Océane et l'encula vigoureusement. Elle en redemandait. Il la baisa longuement avant de la céder a Vincent qui la fit monter au septième ciel plusieurs fois. François baisa le cocu avant de le mettre sur le divan et le fouetter longuement.
Après un bon repos, maître Arthur demanda au couple de s'habiller. Il choisit une mini-jupe en cuir très courte pour la pute et un fuseau transparent pour le cocu qui portera des talons aiguilles et un tee-shirt blanc. Nous descendîmes dans la rue et des passants sifflérent en voyant le couple dans ses tenues déshabillées.
Maître Arthur avait son idée. "Je connais un lieu libertin privé à Auteuil. C'est une villa tranquille où personne ne nous dérangera. On va profiter de ces deux putes d'autant plus qu'il y a un bon matériel sado-maso là-bas. En plus, on les offrira à des libertins qui vont les baiser et les rebaiser."
Une fois arrivés, nous fûmes accueillis par une grosse dame qui a dépassé la cinquantaine mais qui gardait des formes attrayantes. Le couple fut déshabillé rapidement et Vincent s'occupa à nouveau d'Océane alors que le cocu fut fouetté par François qui le plaça sur une espèce de cheval en bois couvert de cuir. Couché sur le ventre, il avait le cul bien exposé. François le baisa avant de nous inviter maître Arthur et moi, à le chevaucher. Nous déchargeames dans son cul qui dégoulinait de sperme.
Vincent plaça ensuite Océane sur un lit et lui attacha les pieds à des anneaux qui tombaient du plafond. Elle avait les jambes bien ouverte et la vulve en vue. Ensuite, il tira un rideau qui cacha le visage de l'épouse, de telle sorte qu'on ne voyait que ses seins laiteux et son vagin bien exposé. Elle ne saura pas qui la baisera.
La matronne chercha quelques hommes qui se trouvaient dans la pièce d'à-côté. Ils furent dirigés vers le lit où s'élevaient les jambes fuselées d'Océane sous un halo de lumière provenant d'un projecteur suspendu au plafonf. Il fit agenouiller le cocu devant le lit. Son rôle était de mettre en forme et de bien mouiller les sexes dressés devant lui et qui vont finir dans le vagin et le cul de sa femme. Océane, heureuse d'assouvir un vieux fantasme, mouillait à l'extrême. Le premier homme, un vieux retraité retira rapidement sa verge de la bouche du cocu et l'introduisit rapidement dans la fente qui s'offrait à lui. Il malaxa les seins et ne tarda pas à jouir. Il y eut beaucoup d'autres sexes à prendre le même chemin. A certains moments, il y avait la queue : les gars se tenaient l'un derrière l'autre, les verges bien tendus.
Plus tard, le cocu fut traîné à quatre pattes pour réoccuper son cheval. Les libertins profitèrent de son fessier royal. Ils le chevauchaient tout en le fessant et en l'insultant. Certains lui faisaient tourner le visage pour lui cracher dessus. Un black au sexe hors norme le fit hurler de douleur. La lope suppliait le baiseur d'arrêter mais ce dernier n'avait qu'une envie : prendre possession jusqu'aux couilles de ce très beau cul, une splendeur sans pareille. Après une demie heure d'occupation forcenée du trou anal, le black éjacula. Entre temps, le cocu oublia sa douleur et exprima sa satisfaction en remuant les fesses et en couinant de plaisir.
Maître Arthur ne tarissait pas d'éloges sur les fesses du cocu : " une vraie merveille. Il faut le passer aux hormones, le siliconner et l'obliger à porter un gode en permanence pour l'élargir. Il faut en faire une vraie femme !"
On fit venir Océane, toujours à quatre pattes, et on lui demanda de nettoyer le cul de son mari. Elle s'acquitta de la tâche admirablement bien. Ensuite, on fit descendre du plafond deux anneaux dorés qui reçurent les mains délicates de l'épouse. On lui attacha également les pieds bien écartés à une barre en fer et ce fut la patronne qui eut le privilège de la flageller en premier. Elle maniait le fouet avec dextérité mais surtout avec rage. Les coups pleuvaient sur le fessier, le ventre et les seins d'Océane qui semblait éprouver du plaisir mêlé de douleur intense. Ou plutôt du plaisir intense à cause de la douleur. Un homme masqué prit la relève et fit claquer le fouet sur les fesses blanches de la pute. Excitée, la propriétaire des lieux se mit à quatre pattes, releva sa jupe, baissa sa culotte et hurla :
- baisez-moi ! Foutez-moi vite! Je veux vos queues ! Allez les hommes, Montrez vos capacités !
Trois libertins prirent d'assaut les trous qui s'offraient à eux pendant que la maso se faisait flageller. Mais on ne tarda pas à la mettre à quatre pattes, près de la matronne, pour la baiser et la rebaiser. Le black s'en donnait à cœur joie. Quant au cocu, il fut fouetté par le reste de la bande. La proprio étonna tout le monde en se plaçant sous les anneaux. Elle voulait être fouettée !
La soirée se prolongea jusqu'à une heure tardive de la nuit. Ensuite, le couple fut placé au centre de la pièce et reçut nos jets de pisse sur toutes les parties du corps. Même la proprio s'agenouilla sur le visage d'Océane et lui offrit une bonne douche dorée.
Quant tout s'acheva, Océane demanda à cajoler nos sexes, comme d'habitude. Elle prit les engins de Maître Arthur, Vincent, François et le mien. Elle les embrassa, les fit passer plusieurs fois sur ses joues, se frappa le visage avec et dit :
- Faites de moi la pute la plus salope! Pour ces missiles de mâles alpha, je descendrai au plus bas de la déchéance. Souillez-moi, ne laissez aucune partie de mon corps propre. Vous êtes mes maîtres ! Occupez-vous du cocu. Offrez-le à une meute affamée de jeunes de ces cités. Il adore.
L'idée plût a François qui conduisait la voiture. Il fit un détour par une cité beur où quelques jeunes s'encanaillaient à la bière sous les arbres. Il fit descendre le cocu et le présenta à la bande qui s'en occupèrent sur le champ, devant nous. Il fut baisé par une dizaine de chibres assoiffés de trous. Il fut fessé et insulté. On lui crachait sur le visage en le traitant de tous les noms. Il acceptait tout pourvu que son cul soit occupé par les sexes juvéniles. Quant à Océane, elle nous pria de lui offrir nos sexes pour une fellation à l'intérieur même de la bagnole. Nous éjaculâmes presque en même temps, au moment même où les beurs finissaient de pisser sur le corps blanc du cocu étendu dans l'herbe.
Soirée magique de libertinage. Le couple nu descendit de la voiture en pleine rue et grimpa vers l'appartement.
Maître Arthur me lança une invitation mais en compagnie de mes deux salopes : "le château te plaira. Si tu es aussi sadique que moi, tu sauras profiter de ses installations sophistiquées. Mais demande au couple jusqu'où ils peuvent supporter la souffrance ?"
Le week-end suivant, j'avais emmené avec moi un ami lyonnais grand maître de salopes raffinées. Connu dans les milieux libertins de la ville comme un maître sadique doté d'un membre impressionnant et couru par toutes les nymphomanes, il était le propriétaire d'un château ouvert à tous les vices.
Comme d'habitude, la bourgeoise se tenait à quatre pattes dans le hall. Maître Arthur siffla d'admiration et lui donna quelques claques:
- bravo pour cette prise. Un beau fessier. Elle doit apprécier le martinet et la sodomie. Je les connais, ces putes avaleuses de chibres ! Répond à tes maîtres : tu aimes les gros et longs pénis?
- Oui, maître, je les aime...
Il la gifla :
- tu aimes quoi ?
- J'aime les gros et longs pénis.
- Voilà. C'est bien. Maintenant, ouvre ton cul avec tes mains.
Elle obtempéra. Maître Arthur inspecta la rondelle toute rose. Il cracha dans la raie et entreprit une fouille en règle. Il appela le cocu qui vint à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Il lui intima l'ordre d'ouvrir sa braguette, de tirer l'engin et de le mettre dans sa bouche, histoire de bien le mouiller et de le préparer à prendre d'assaut la belle. Impressionné, le cocu se hasarda à siffler. Ce qui déplut à maître Arthur qui donna deux puissantes claques au visage du travesti avant de lui fourrer le sexe dans la bouche :
- qui t'a autorisé à siffler ? Avale salope.
Il continuait à doigter le cul de l'épouse et quand il fut à point, il retira son chibre de la bouche du cocu pour l'enfoncer au plus profond du trou féminin. Océane hurlait de toutes ses forces. Elle n'a jamais reçu un engin de cette taille. Maître Arthur retirait de temps à autre son sexe pour le fourrer dans la bouche du cocu qu'il voulut ouverte pendant toute l'opération.
La dame est maintenant sous l'emprise de la domination du mâle qui va au plus profond d'elle. Elle crie de plaisir ! Je ne tiens plus. Je demande au cocu d'avancer son cul vers moi. Putain, quel admirable fessier. Je bande rien qu'à le voir. Je baise ce beau cul de femmelette et décharge rapidement. Maître Arthur continuait de labourer les fesses de madame qui semblait avoir perdu connaissance. Je l'arrête un moment et lui demande de voir si l'esclave est dans son état normal :
- t'inquiètes, me répond-il. Réaction normale quand elles reçoivent le petit Arthur.
Puis, s'adressant à la pute :
- tu aimes ma verge, salope ! Dis, elle s'occupe bien de ton cul.
Il lui donna de vigoureuses claques sur les fesses :
- oui, maître, j'aime votre puissant sexe, le meilleur de tous ! Il me donne beaucoup de plaisir au cul et partout... Baisez-moi encore. Enfoncez votre engin au plus profond de moi, je suis votre esclave, votre pute. Aaaah... Aaahhh!
Après quelques instants de repos, Maître Arthur mène les deux putes au salon où il les dispose, cul en l'air, sur le divan. Il prend le fouet et commence à les flageller :
- salopes ! Culs de merde ! Recevez ce cadeau de maître Arthur. Vous me supplierez d'arrêter et je n'arrêterai pas !
Il fouettait les fesses offertes de plus belle. Le cocu et son épouse se trémoussaient, criaient, suppliaient le lyonnais d'arrêter; ce dernier, déchaîné, poursuivait sa flagellation. Il bandait comme un âne. Il baisa tour à tour le cocu et la femme. Ensuite, il déchargea sur les deux visages et ordonna aux deux esclaves de se nettoyer les visages à l'aide de leurs langues.
On s'est assis un moment au salon, nous faisant lécher les pieds par les esclaves quand on sonna à la porte. Maître Arthur m'avait informé qu'il avait invité deux jeunes esclaves mâles actifs à profiter des deux corps. Il ouvrit la porte et fit entrer deux gars de bonne taille, l'un roux, l'autre de type méditerranéen. Vincent et François viennent du milieu des marginaux qui vivent de larcins et de revente de drogue. Sans salamalecs, ils soulevèrent Océane toute nue et la palpèrent, s'attardant sur les seins qu'ils écrasèrent, arrachent à la dame un cri de douleur. François la gifla et lui donna des claques aux fesses :
- tais-toi poufiasse. Allez penches-toi en avant et ouvre tes fesses avec tes mains. Tiens, putain !
Il la gifla de nouveau et dirigea ses mains vers les fesses. Il semblait heureux et très excité de profiter de la chair blanche de la haute bourgeoisie. Il tira son sexe et le planta dans la vulve de madame. Il ne pouvait attendre plus longtemps. Pendant qu'il la baisait sauvagement, maître Arthur s'occupa de sa bouche qui eut du mal à avaler le gros chibre.
Quant à Vincent, il chevauchait le cocu en lui donnant de grands coups aux fesses. La lope, heureuse de recevoir un si beau sexe, ondulait des fesses. Elle les tendait à l'extrême, les collant au bassin de Vincent qui s'enfonçait au plus profond de la pute. Il la chevaucha un bon moment avant de se retirer et de décharger dans sa bouche.
François se retira du vagin d'Océane et l'encula vigoureusement. Elle en redemandait. Il la baisa longuement avant de la céder a Vincent qui la fit monter au septième ciel plusieurs fois. François baisa le cocu avant de le mettre sur le divan et le fouetter longuement.
Après un bon repos, maître Arthur demanda au couple de s'habiller. Il choisit une mini-jupe en cuir très courte pour la pute et un fuseau transparent pour le cocu qui portera des talons aiguilles et un tee-shirt blanc. Nous descendîmes dans la rue et des passants sifflérent en voyant le couple dans ses tenues déshabillées.
Maître Arthur avait son idée. "Je connais un lieu libertin privé à Auteuil. C'est une villa tranquille où personne ne nous dérangera. On va profiter de ces deux putes d'autant plus qu'il y a un bon matériel sado-maso là-bas. En plus, on les offrira à des libertins qui vont les baiser et les rebaiser."
Une fois arrivés, nous fûmes accueillis par une grosse dame qui a dépassé la cinquantaine mais qui gardait des formes attrayantes. Le couple fut déshabillé rapidement et Vincent s'occupa à nouveau d'Océane alors que le cocu fut fouetté par François qui le plaça sur une espèce de cheval en bois couvert de cuir. Couché sur le ventre, il avait le cul bien exposé. François le baisa avant de nous inviter maître Arthur et moi, à le chevaucher. Nous déchargeames dans son cul qui dégoulinait de sperme.
Vincent plaça ensuite Océane sur un lit et lui attacha les pieds à des anneaux qui tombaient du plafond. Elle avait les jambes bien ouverte et la vulve en vue. Ensuite, il tira un rideau qui cacha le visage de l'épouse, de telle sorte qu'on ne voyait que ses seins laiteux et son vagin bien exposé. Elle ne saura pas qui la baisera.
La matronne chercha quelques hommes qui se trouvaient dans la pièce d'à-côté. Ils furent dirigés vers le lit où s'élevaient les jambes fuselées d'Océane sous un halo de lumière provenant d'un projecteur suspendu au plafonf. Il fit agenouiller le cocu devant le lit. Son rôle était de mettre en forme et de bien mouiller les sexes dressés devant lui et qui vont finir dans le vagin et le cul de sa femme. Océane, heureuse d'assouvir un vieux fantasme, mouillait à l'extrême. Le premier homme, un vieux retraité retira rapidement sa verge de la bouche du cocu et l'introduisit rapidement dans la fente qui s'offrait à lui. Il malaxa les seins et ne tarda pas à jouir. Il y eut beaucoup d'autres sexes à prendre le même chemin. A certains moments, il y avait la queue : les gars se tenaient l'un derrière l'autre, les verges bien tendus.
Plus tard, le cocu fut traîné à quatre pattes pour réoccuper son cheval. Les libertins profitèrent de son fessier royal. Ils le chevauchaient tout en le fessant et en l'insultant. Certains lui faisaient tourner le visage pour lui cracher dessus. Un black au sexe hors norme le fit hurler de douleur. La lope suppliait le baiseur d'arrêter mais ce dernier n'avait qu'une envie : prendre possession jusqu'aux couilles de ce très beau cul, une splendeur sans pareille. Après une demie heure d'occupation forcenée du trou anal, le black éjacula. Entre temps, le cocu oublia sa douleur et exprima sa satisfaction en remuant les fesses et en couinant de plaisir.
Maître Arthur ne tarissait pas d'éloges sur les fesses du cocu : " une vraie merveille. Il faut le passer aux hormones, le siliconner et l'obliger à porter un gode en permanence pour l'élargir. Il faut en faire une vraie femme !"
On fit venir Océane, toujours à quatre pattes, et on lui demanda de nettoyer le cul de son mari. Elle s'acquitta de la tâche admirablement bien. Ensuite, on fit descendre du plafond deux anneaux dorés qui reçurent les mains délicates de l'épouse. On lui attacha également les pieds bien écartés à une barre en fer et ce fut la patronne qui eut le privilège de la flageller en premier. Elle maniait le fouet avec dextérité mais surtout avec rage. Les coups pleuvaient sur le fessier, le ventre et les seins d'Océane qui semblait éprouver du plaisir mêlé de douleur intense. Ou plutôt du plaisir intense à cause de la douleur. Un homme masqué prit la relève et fit claquer le fouet sur les fesses blanches de la pute. Excitée, la propriétaire des lieux se mit à quatre pattes, releva sa jupe, baissa sa culotte et hurla :
- baisez-moi ! Foutez-moi vite! Je veux vos queues ! Allez les hommes, Montrez vos capacités !
Trois libertins prirent d'assaut les trous qui s'offraient à eux pendant que la maso se faisait flageller. Mais on ne tarda pas à la mettre à quatre pattes, près de la matronne, pour la baiser et la rebaiser. Le black s'en donnait à cœur joie. Quant au cocu, il fut fouetté par le reste de la bande. La proprio étonna tout le monde en se plaçant sous les anneaux. Elle voulait être fouettée !
La soirée se prolongea jusqu'à une heure tardive de la nuit. Ensuite, le couple fut placé au centre de la pièce et reçut nos jets de pisse sur toutes les parties du corps. Même la proprio s'agenouilla sur le visage d'Océane et lui offrit une bonne douche dorée.
Quant tout s'acheva, Océane demanda à cajoler nos sexes, comme d'habitude. Elle prit les engins de Maître Arthur, Vincent, François et le mien. Elle les embrassa, les fit passer plusieurs fois sur ses joues, se frappa le visage avec et dit :
- Faites de moi la pute la plus salope! Pour ces missiles de mâles alpha, je descendrai au plus bas de la déchéance. Souillez-moi, ne laissez aucune partie de mon corps propre. Vous êtes mes maîtres ! Occupez-vous du cocu. Offrez-le à une meute affamée de jeunes de ces cités. Il adore.
L'idée plût a François qui conduisait la voiture. Il fit un détour par une cité beur où quelques jeunes s'encanaillaient à la bière sous les arbres. Il fit descendre le cocu et le présenta à la bande qui s'en occupèrent sur le champ, devant nous. Il fut baisé par une dizaine de chibres assoiffés de trous. Il fut fessé et insulté. On lui crachait sur le visage en le traitant de tous les noms. Il acceptait tout pourvu que son cul soit occupé par les sexes juvéniles. Quant à Océane, elle nous pria de lui offrir nos sexes pour une fellation à l'intérieur même de la bagnole. Nous éjaculâmes presque en même temps, au moment même où les beurs finissaient de pisser sur le corps blanc du cocu étendu dans l'herbe.
Soirée magique de libertinage. Le couple nu descendit de la voiture en pleine rue et grimpa vers l'appartement.
Maître Arthur me lança une invitation mais en compagnie de mes deux salopes : "le château te plaira. Si tu es aussi sadique que moi, tu sauras profiter de ses installations sophistiquées. Mais demande au couple jusqu'où ils peuvent supporter la souffrance ?"
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore !
En plus lorsque c'est public.
Bientôt des transformations physiques ?
Allongement des lèvres vaginales, élongation des couilles, injections dans les seins, piercings multiples etc etc etc
Rudy
En plus lorsque c'est public.
Bientôt des transformations physiques ?
Allongement des lèvres vaginales, élongation des couilles, injections dans les seins, piercings multiples etc etc etc
Rudy
Vivement la féminisation de la lope :)