Douche impertinente - histoire érotique

Ce matin-là, je n’avais pas eu besoin de la bienveillance de ma mère pour me venir me réveiller. Et alors que je m’apprêtais de quitter ma chambre pour rejoindre la cuisine en passant par le couloir je fus interpeler par la porte légèrement entrebâillée de la salle de bain.
La curiosité me dicta d’y jeter un œil. J’y trouvais ma mère sous les jets de la douche. Ses yeux étaient fermés, comme si elle savourait les caresses de l’eau chaude sur son corps. Je ne sais pourquoi, je décidais de rester devant la porte encore quelques instants pour apprécier la scène qui s’offrait à mes yeux.
Malgré que ce soit ma mère, ma faction de voyeur commençait sérieusement à m’exciter. Mes yeux se centralisaient sur cette ses faits et gestes. Là par exemple, elle faisait tourner la savonnette entre les paumes et très vite de la mousse engendrée par ces frictions commençait à couler entre ses doigts et à descendre sur ses avant-bras.
Lentement, elle l’étala sur ses bras, ses épaules, pour arriver enfin sur sa grosse poitrine. Puis, prenant un sein dans chaque main, profitait de la mousse pour les caresser avec une gestuelle des plus excitante. Ses doigts s’enfonçaient dans ses chaires mammaires avant de venir attraper leur pointe déjà bien étendu. Elle jouait quelques instants avec celles-ci en les pressant, en les tirant doucement… À mon poste d’observation, je remarquais que tout ça me faisait bander. Je fis descendre la fermeture Eclair de ma braguette et pas sans mal, je fis sortir mon oiseau de sa prison, et je commençais lentement à me masturber tout en continuant à regarder ma génitrice se savonner.
En toute innocence, ne sachant pas qu’un intrus l’espionnait elle continuait ses caresses. Peu à peu des gémissements sortirent de sa bouche. Alors qu’elle s’adossait au mur de la douche, elle faisait descendre une main vers ses fesses alors que l’autre, avec ses doigts, continuait de presser et pincer ses mamelons fièrement dressés.
La main située sur son postérieur câlinait ses fesses lentement, passant de l’une à l’autre des sphères, et parfois, faisait de légers allers et retours dans leur raie.
À cet instant, personnellement, je devenais de plus en plus fou devant ce tableau. Je devais prendre sur moi pour pouvoir jubiler devant la suite des caresses, si suite il y avait !… Ma mère se tourna alors doucement et colla ses seins contre le mur peint au-dessus de la baignoire. Pour mon plus grand plaisir, ses deux menottes étaient à présent en train de caresser son large postérieur. Une main passait par-devant et l’autre restait sur la surface de son séant. À voir ses déhanchements j’imaginais que ses doigts commencé à caresser son con. Ses gémissements montaient d’un ton. Je dû à plusieurs reprises arrêter mon branlage pour ne pas éjaculer et par la même occasion faire retomber mon excitation. Ce qui serait plus que dommage !
D’un bloc, ma mère se retourna pour poser son fessier sur le rebord de la baignoire. Rapidement ses deux mains revinrent entre ses cuisses et ses doigts reprenaient leur ballet. Faisant aller un doigt entre ses grandes lèvres quelques instants, pour par la suite le faire doucement tourner autour de son bourgeon tout en savourant le massage des jets de la douche. Ses gémissements reprenaient de plus belle.
Comme emporté dans un toboggan d’allégresse, j’avoue sans honte d’avoir joui du moment, là, à seulement quelques mètres de moi, j’avais une vue imprenable sur ses caresses. Un vrai ravissement ! Mon sexe était ankylosé, mais pas question de jouir. J’en voulais encore !
Depuis quelques secondes elle faisait danser son corps avec plus d’ampleur. Je discernais clairement ses doigts enfoui dans son antre tandis qu’avec deux autres elle se paluchait le clitoris. De doux et beaux cris emplissaient la salle de bain. Sa croupe accompagnait ses doigts dans une farandole bien plus qu’excitante. Elle se branlait la chatte doucement mais profondément. Je pouvais entendre, par moments, ses fesses claquer contre le mur.
Tout ses séquences avaient pour tendance à m’exciter au plus haut point, m’obligeant à cesser toute manipulation sur ma verge un moment. Puis tendant sa main, elle s’empara de la brosse à cheveux posée sur le lavabo.
Reprenant sa place initiale, elle reprit ses doux touchers. Elle écarta ses jambes et faisait lentement glisser son gode de fortune entre ses grandes lèvres tout en prenant soin, de bien le presser contre son clitoris.
Deux de ses doigts remontaient pour pincer tendrement ses mamelons. Après plusieurs allers et retours sur la surface de son sexe, ma mère décida de faire aller le manche de la brosse plus en profondeur. Cela pour son plus grand plaisir, comme pour celui du voyeur que j’étais.
Je la vis lentement amener l’arrondie du manche à l’entrée de son antre de plaisir, elle le faisait disparaître doucement. Cette introduction lui arracha un doux râle. Elle le faisait entrer jusqu’à la limite des poils. Le fis presque ressortir pour le rentrer entièrement à nouveau. Sa main, antérieurement sur son sein, redescendait et caressait frénétiquement son bouton. Cet ensemble de caresses la faisait gémir abondamment, son souffle s’accélérait depuis un bon moment déjà. Sa croupe se mit alors à vibrer, à sursauter, à bouger en tous sens.
Au bout d’un instant, alors qu’elle avait l’air d’être emportée par le plaisir, ma maman quitta son clitoris pour amener un de ses doigts aux abords de son petit trou. Dans le même mouvement, elle fit disparaître en elle la queue de la brosse et son long doigt. Ainsi doublement prise, elle exaltait et criait harmonieusement son bien-être. Son corps se tordit et ondula sensuellement.
S’en était trop pour moi, et j’avais joui. Me servant de ma main gauche comme coupe. Sitôt ma libido redescendu, je filais honteusement jusqu’à mon lit, où je fis semblant de dormir, attendant patiemment l’intrusion de ma mère.
Je n’étais pas des plus fringuant en train de prendre le petit déjeuner en sa compagnie, gardant même le silence. Elle s’en était même inquiéter. La seule excuse que j’avais trouver à lui dire, c’était que j’avais mal dormi…