Drague à la plage
Récit érotique écrit par Cocu et sa belle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Drague à la plage
Nous faisons ainsi plusieurs sorties dans différentes fêtes de village, et Lucie s’offre deux nouveaux amants durant les beaux jours, le premier la prend sur la banquette arrière de sa voiture et le second sous une tente dans le camping municipal. Plusieurs de ces sorties se terminent sans qu’un seul homme soit parvenu à la séduire. Nous avons pris l’habitude durant nos études de travailler durant l’été principalement des petits boulots de cueillette de fruits ou de légumes dans des exploitations agricoles. Nos emplois d’enseignants nous laissant beaucoup de temps libre, nous décidons de continuer une partie de nos vacances dans le but de faire des économies en vue de l’achat d’une maison dans quelques années. Cette année-là nous ramassons des fruits du côté de Montauban pendant un mois. Dans le lot des collègues de travail, un garçon plait bien à Lucie, mais hélas le fait de la savoir mariée décourage ses ardeurs et il ne se passe rien. Lucie en est frustrée et nous décidons que nous agirons différemment l’année suivante.
Lucie prend de l’assurance petit à petit et se montre de plus en plus aguichante quand un homme lui plaît, le fait que je sois toujours présent à proximité la fait se sentir en sécurité. Après un mois de travail, nous décidons de partir deux semaines en congés au pays basque après le 15 août. Ses parents possèdent un appartement à Hendaye qu’ils nous prêtent. Le temps est encore superbe en cette fin août et nous profitons d’un repos bien mérité. Lucie est capable de passer ses journées entières à bronzer sur la plage, mais pour ma part je suis plus intéressé par plusieurs baignades de quelques minutes par jour et je ne suis pas très porté sur la bronzette. Je la laisse donc seule pour aller faire du VTT dans la montagne toute proche. Après une de mes balades je rentre vers 17h00 et je descends à la plage à pied pour rejoindre ma chérie. Je constate qu’elle n’est pas seule, un bel Appolon a posé sa serviette à côté d’elle et ils semblent en pleine discussion tout en dégustant une glace. Je passe donc à quelques mètres d’eux pour aller me rafraîchir dans les vagues. Comme elle ne m’appelle pas en me voyant passer je suppose qu’elle a dû succomber aux charmes du jeune homme. Je reste dans l’eau une bonne demi-heure en essayant de voir ce qui se passe, mais ils continuent juste à discuter sans que rien d’autre ne vienne conforter mes pensées.
En sortant de l’eau je les vois se lever et ramasser leurs affaires, discuter quelques minutes de plus et se séparer, lui longe la plage vers les rochers, elle semble remonter vers l’appartement. Le temps de me sécher je la rattrape juste devant la porte d’entrée. Nous prenons une douche et en buvant une bière sur la terrasse elle me raconte comment Maxime est venue l’aborder dans l’eau. Elle me précise qu’elle n’a pas cédé à ses avances sur la plage, elle voulait mon accord préalable, et elle doit le rappeler le lendemain pour confirmer l’invitation à dîner qu’il lui a proposé pour le soir. Je lui demande si elle veut coucher avec lui, ce qu’elle confirme. Elle me demande si j’accepterai qu’elle le fasse venir à l’appartement après dîner. Je comprends donc que je devrais m’éclipser pour la soirée, peut-être dormir dans la voiture. Mais l’appartement situé au rez de chaussée en bout de bâtiment, la pièce de vie et la chambre ont une fenêtre qui donne sur l’arrière dans un petit jardin privatif, séparé de celui du voisin par une haie. De plus en cette fin août l’appartement voisin est fermé et inhabité. Elle pourra donc laisser les fenêtres ouvertes et les stores entrouverts pour que je ne rate rien du spectacle.
Comme convenu elle téléphone à Maxime le lendemain matin et ils conviennent d’aller dîner dans le restaurant de l’ancien casino, il réserve une table en terrasse. Je décide avec l’accord de Lucie d’en réserver aussi une pour moi seul. Maxime est dans un camping de Saint-Jean de Luz en mobil-home avec ses parents et ne peut donc pas ramener Lucie, d’où le fait qu’elle préfère l’inviter à l’appartement. Le soir venu, pendant qu’elle se fait belle je fais mon sac pour le mettre dans la voiture et ne pas laisser soupçonner la présence d’un homme. Quand elle sort de la salle de bain, elle enfile un string, une robe courte et sexy, toujours sans soutien-gorge car sa poitrine n’en a pas besoin pour se tenir fièrement, le décolleté laisse deviner la naissance de ses seins à faire craquer n’importe quel homme, elle met une paire de nu-pieds à talon et la voilà prête à séduire. Après quelques baisers tendres je la laisse partir à pied vers le bas de la rue où Maxime l’attends. Par une autre rue je rejoins la promenade du front de mer pour toujours rester à vue. Le restaurant est au milieu de l’avenue en bord de mer à peine à trois cents mètres de l’appartement. J’arrive sur le trottoir juste quand ils se font la bise, sur la joue, et commencent à marcher lentement vers le restaurant. Ils s’installent sur la terrasse, je suis à trois tables d’eux mais si la vue est idéale, je ne parviens pas à entendre leurs conversations entre le brouhaha des autres clients et le bruit des vagues sur les rochers en contrebas. Lucie s’est intelligemment placée face à moi afin qu’il ne me remarque pas. Je ne sais pas de quoi ils parlent mais ma femme a l’air très intéressée par ce qu’il lui raconte. Je termine de boire mon café avant eux et je paye mon addition pour sortir en premier. J’attends leur sortie en m’éloignant du restaurant afin de pouvoir les suivre de loin. Ils ne tardent pas et commencent à remonter le bord de mer sans se presser, puis s’arrêtent regarder la mer avant de traverser pour remonter vers l’appartement. Maxime re colle à Lucie et passe son bras autour de son cou, elle se retourne vers lui et se laisse embrasser. Enfin ce que j’espérais. Ils restent debout à s’embrasser pendant un bon quart d’heure, puis ils repartent vers l’immeuble en se tenant par la taille. En empruntant la rue parallèle j’arrive juste avant eux et je m’installe à l’arrière, les fenêtres sont ouvertes et les stores fermés de façon que je puisse voir entre les lattes sans me faire remarquer. Il fait nuit noire et le temps est couvert et je prie tous les dieux de la météo pour qu’il ne pleuve pas ! Lucie n’allume pas la lumière principale mais une lampe d’appoint, créant ainsi une ambiance tamisée propice à l’intimité. Je l’entends proposer un verre à son invité, elle ouvre une bouteille de vin blanc et sers deux verres, puis s’installe à ses côtés sur le canapé. Ils s’embrassent entre deux gorgées et Maxime glisse sa main sous sa robe, elle ouvre ses cuisses pour savourer la caresse et l’encourager à aller plus loin. Son autre main passée autour du cou plonge dans son décolleté et dégage ses seins. Visiblement très excitée elle l’aide à dégrafer sa robe qu’elle jette sur une chaise. Après deux verres de vin, c’est même elle qui propose de passer dans la chambre.
Son amant se met nu, puis la rejoint sur le lit qu’elle à défait. La lampe de chevet allumée éclaire suffisamment pour que je ne perde rien du spectacle entre les lattes du store. Ils se caressent mutuellement en s’embrassant, Lucie a les cuisses largement ouvertes et se laisse faire tout en caressant le sexe dressé de Maxime. Puis il enfonce un, puis deux doigts dans son vagin, elle gémit de bonheur. Il entreprend ensuite de lui faire un cunnilingus, elle lui demande son sexe à sucer, ils entament un 69. Lucie gémit de plus en plus fort tout en avalant le sexe de son partenaire. Il semble apprécier la gorge profonde qu’elle lui prodigue. Au bout de quelques minutes il se redresse et vient l’embrasser en lui disant qu’elle suce merveilleusement bien. Elle lui murmure de la prendre, il sort un préservatif qu’il enfile en quelques secondes avec dextérité. Il la pénètre d’un coup, elle pousse un cri de plaisir et enroule ses jambes autour de sa taille. Il la baise énergiquement, la faisant crier fort dès les premiers coups de rein. Il parvient à la faire jouir en quelques minutes, un orgasme violent vu l’intensité de ses cris et les spasmes qui traversent ses cuisses et ses jambes. Il ralentit la cadence pour la laisser reprendre ses esprits tout en la regardant. Elle enroule ses bras autour du cou de Maxime et soulève sa tête pour l’embrasser en guise de remerciement. Puis il se retire et la fait mettre à quatre pattes, au moment où il s’apprête à la pénétrer, elle lui demande de la prendre par le cul. Il semble enchanté de cette invitation et ne se fait pas prier pour passer à l’acte. Lucie l’aide en ouvrant ses fesses à deux mains. Il lui défonce l’anus aussi fort qu’il l’a baisée et elle crie à chaque coup de rein. En quelques minutes il pousse des grognements de plus en plus fort, puis se plante bien au fond du cul de Lucie pour jouir en elle. Ils s’allongent côte à côte et restent silencieux, collés l’un à l’autre et en sueur, le temps de reprendre leur souffle. Le sexe de Maxime a bien dégonflé, Lucie lui retire le préservatif qu’elle pose sur le chevet après en avoir vidé le contenu sur sa poitrine. Elle l’étale d’une main sur ses deux seins, sans doute pour que j’en sente bien l’odeur quand je la retrouverai. Ils discutent un long moment et quand Maxime lui demande si elle souhaite qu’ils se revoient, je l’entends répondre qu’elle ne cherche pas une relation qui dure, mais juste des rencontres ponctuelles sans lendemain. Elle conclue d’une phrase qui met fin à tout espoir du jeune homme : « Ce soir c’est toi, demain, dans deux jours ou dans trois mois ce sera un autre ! » Il est trois heures du matin quand enfin il quitte l’appartement, Lucie le raccompagne à la porte, l’embrasse une dernière fois en le remerciant de l’avoir bien fait jouir. Puis elle ouvre le store de la chambre pour que je puisse enjamber la fenêtre et la rejoindre. Maxime ne doit pas encore avoir rejoint sa voiture que nous faisons déjà l’amour passionnément. Nous terminons nos vacances en amoureux sans autre aventure. Durant l’année scolaire qui suit nous faisons plusieurs sorties et Lucie s’offre un nouvel amant lors d’une soirée en boite de nuit, mais qui ne justifie pas qu’on s’attarde dessus vu sa médiocre performance. Il nous faudra attendre l’été suivant pour vivre plusieurs très belles aventures…
Lucie prend de l’assurance petit à petit et se montre de plus en plus aguichante quand un homme lui plaît, le fait que je sois toujours présent à proximité la fait se sentir en sécurité. Après un mois de travail, nous décidons de partir deux semaines en congés au pays basque après le 15 août. Ses parents possèdent un appartement à Hendaye qu’ils nous prêtent. Le temps est encore superbe en cette fin août et nous profitons d’un repos bien mérité. Lucie est capable de passer ses journées entières à bronzer sur la plage, mais pour ma part je suis plus intéressé par plusieurs baignades de quelques minutes par jour et je ne suis pas très porté sur la bronzette. Je la laisse donc seule pour aller faire du VTT dans la montagne toute proche. Après une de mes balades je rentre vers 17h00 et je descends à la plage à pied pour rejoindre ma chérie. Je constate qu’elle n’est pas seule, un bel Appolon a posé sa serviette à côté d’elle et ils semblent en pleine discussion tout en dégustant une glace. Je passe donc à quelques mètres d’eux pour aller me rafraîchir dans les vagues. Comme elle ne m’appelle pas en me voyant passer je suppose qu’elle a dû succomber aux charmes du jeune homme. Je reste dans l’eau une bonne demi-heure en essayant de voir ce qui se passe, mais ils continuent juste à discuter sans que rien d’autre ne vienne conforter mes pensées.
En sortant de l’eau je les vois se lever et ramasser leurs affaires, discuter quelques minutes de plus et se séparer, lui longe la plage vers les rochers, elle semble remonter vers l’appartement. Le temps de me sécher je la rattrape juste devant la porte d’entrée. Nous prenons une douche et en buvant une bière sur la terrasse elle me raconte comment Maxime est venue l’aborder dans l’eau. Elle me précise qu’elle n’a pas cédé à ses avances sur la plage, elle voulait mon accord préalable, et elle doit le rappeler le lendemain pour confirmer l’invitation à dîner qu’il lui a proposé pour le soir. Je lui demande si elle veut coucher avec lui, ce qu’elle confirme. Elle me demande si j’accepterai qu’elle le fasse venir à l’appartement après dîner. Je comprends donc que je devrais m’éclipser pour la soirée, peut-être dormir dans la voiture. Mais l’appartement situé au rez de chaussée en bout de bâtiment, la pièce de vie et la chambre ont une fenêtre qui donne sur l’arrière dans un petit jardin privatif, séparé de celui du voisin par une haie. De plus en cette fin août l’appartement voisin est fermé et inhabité. Elle pourra donc laisser les fenêtres ouvertes et les stores entrouverts pour que je ne rate rien du spectacle.
Comme convenu elle téléphone à Maxime le lendemain matin et ils conviennent d’aller dîner dans le restaurant de l’ancien casino, il réserve une table en terrasse. Je décide avec l’accord de Lucie d’en réserver aussi une pour moi seul. Maxime est dans un camping de Saint-Jean de Luz en mobil-home avec ses parents et ne peut donc pas ramener Lucie, d’où le fait qu’elle préfère l’inviter à l’appartement. Le soir venu, pendant qu’elle se fait belle je fais mon sac pour le mettre dans la voiture et ne pas laisser soupçonner la présence d’un homme. Quand elle sort de la salle de bain, elle enfile un string, une robe courte et sexy, toujours sans soutien-gorge car sa poitrine n’en a pas besoin pour se tenir fièrement, le décolleté laisse deviner la naissance de ses seins à faire craquer n’importe quel homme, elle met une paire de nu-pieds à talon et la voilà prête à séduire. Après quelques baisers tendres je la laisse partir à pied vers le bas de la rue où Maxime l’attends. Par une autre rue je rejoins la promenade du front de mer pour toujours rester à vue. Le restaurant est au milieu de l’avenue en bord de mer à peine à trois cents mètres de l’appartement. J’arrive sur le trottoir juste quand ils se font la bise, sur la joue, et commencent à marcher lentement vers le restaurant. Ils s’installent sur la terrasse, je suis à trois tables d’eux mais si la vue est idéale, je ne parviens pas à entendre leurs conversations entre le brouhaha des autres clients et le bruit des vagues sur les rochers en contrebas. Lucie s’est intelligemment placée face à moi afin qu’il ne me remarque pas. Je ne sais pas de quoi ils parlent mais ma femme a l’air très intéressée par ce qu’il lui raconte. Je termine de boire mon café avant eux et je paye mon addition pour sortir en premier. J’attends leur sortie en m’éloignant du restaurant afin de pouvoir les suivre de loin. Ils ne tardent pas et commencent à remonter le bord de mer sans se presser, puis s’arrêtent regarder la mer avant de traverser pour remonter vers l’appartement. Maxime re colle à Lucie et passe son bras autour de son cou, elle se retourne vers lui et se laisse embrasser. Enfin ce que j’espérais. Ils restent debout à s’embrasser pendant un bon quart d’heure, puis ils repartent vers l’immeuble en se tenant par la taille. En empruntant la rue parallèle j’arrive juste avant eux et je m’installe à l’arrière, les fenêtres sont ouvertes et les stores fermés de façon que je puisse voir entre les lattes sans me faire remarquer. Il fait nuit noire et le temps est couvert et je prie tous les dieux de la météo pour qu’il ne pleuve pas ! Lucie n’allume pas la lumière principale mais une lampe d’appoint, créant ainsi une ambiance tamisée propice à l’intimité. Je l’entends proposer un verre à son invité, elle ouvre une bouteille de vin blanc et sers deux verres, puis s’installe à ses côtés sur le canapé. Ils s’embrassent entre deux gorgées et Maxime glisse sa main sous sa robe, elle ouvre ses cuisses pour savourer la caresse et l’encourager à aller plus loin. Son autre main passée autour du cou plonge dans son décolleté et dégage ses seins. Visiblement très excitée elle l’aide à dégrafer sa robe qu’elle jette sur une chaise. Après deux verres de vin, c’est même elle qui propose de passer dans la chambre.
Son amant se met nu, puis la rejoint sur le lit qu’elle à défait. La lampe de chevet allumée éclaire suffisamment pour que je ne perde rien du spectacle entre les lattes du store. Ils se caressent mutuellement en s’embrassant, Lucie a les cuisses largement ouvertes et se laisse faire tout en caressant le sexe dressé de Maxime. Puis il enfonce un, puis deux doigts dans son vagin, elle gémit de bonheur. Il entreprend ensuite de lui faire un cunnilingus, elle lui demande son sexe à sucer, ils entament un 69. Lucie gémit de plus en plus fort tout en avalant le sexe de son partenaire. Il semble apprécier la gorge profonde qu’elle lui prodigue. Au bout de quelques minutes il se redresse et vient l’embrasser en lui disant qu’elle suce merveilleusement bien. Elle lui murmure de la prendre, il sort un préservatif qu’il enfile en quelques secondes avec dextérité. Il la pénètre d’un coup, elle pousse un cri de plaisir et enroule ses jambes autour de sa taille. Il la baise énergiquement, la faisant crier fort dès les premiers coups de rein. Il parvient à la faire jouir en quelques minutes, un orgasme violent vu l’intensité de ses cris et les spasmes qui traversent ses cuisses et ses jambes. Il ralentit la cadence pour la laisser reprendre ses esprits tout en la regardant. Elle enroule ses bras autour du cou de Maxime et soulève sa tête pour l’embrasser en guise de remerciement. Puis il se retire et la fait mettre à quatre pattes, au moment où il s’apprête à la pénétrer, elle lui demande de la prendre par le cul. Il semble enchanté de cette invitation et ne se fait pas prier pour passer à l’acte. Lucie l’aide en ouvrant ses fesses à deux mains. Il lui défonce l’anus aussi fort qu’il l’a baisée et elle crie à chaque coup de rein. En quelques minutes il pousse des grognements de plus en plus fort, puis se plante bien au fond du cul de Lucie pour jouir en elle. Ils s’allongent côte à côte et restent silencieux, collés l’un à l’autre et en sueur, le temps de reprendre leur souffle. Le sexe de Maxime a bien dégonflé, Lucie lui retire le préservatif qu’elle pose sur le chevet après en avoir vidé le contenu sur sa poitrine. Elle l’étale d’une main sur ses deux seins, sans doute pour que j’en sente bien l’odeur quand je la retrouverai. Ils discutent un long moment et quand Maxime lui demande si elle souhaite qu’ils se revoient, je l’entends répondre qu’elle ne cherche pas une relation qui dure, mais juste des rencontres ponctuelles sans lendemain. Elle conclue d’une phrase qui met fin à tout espoir du jeune homme : « Ce soir c’est toi, demain, dans deux jours ou dans trois mois ce sera un autre ! » Il est trois heures du matin quand enfin il quitte l’appartement, Lucie le raccompagne à la porte, l’embrasse une dernière fois en le remerciant de l’avoir bien fait jouir. Puis elle ouvre le store de la chambre pour que je puisse enjamber la fenêtre et la rejoindre. Maxime ne doit pas encore avoir rejoint sa voiture que nous faisons déjà l’amour passionnément. Nous terminons nos vacances en amoureux sans autre aventure. Durant l’année scolaire qui suit nous faisons plusieurs sorties et Lucie s’offre un nouvel amant lors d’une soirée en boite de nuit, mais qui ne justifie pas qu’on s’attarde dessus vu sa médiocre performance. Il nous faudra attendre l’été suivant pour vivre plusieurs très belles aventures…
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