Lucie et le gendarme - histoire érotique

Après plusieurs mois d’abstinence dans le libertinage, Lucie a envie de séduire, et j’ai très envie de la voir dans les bras d’un autre. En ce début d’été les fêtes de villages se multiplient et nous en choisissons une à une cinquantaine de kilomètres de Toulouse, pour ne pas croiser des connaissances principalement. Nous optons pour un petit village avec un bal en plein air. Lucie porte une jupe légère de saison avec un joli string en dessous, un bustier sans bretelles et sans soutien-gorge qui laisse pointer légèrement ses tétons durcis de désir. Elle chausse des nu-pieds avec des talons assez hauts qui mettent ses belles jambes et ses fines chevilles en valeur. Je suis très excité en la voyant sortir ainsi habillée et venir m’embrasser amoureusement. Nous prenons la route assez tôt pour diner en chemin à quelques kilomètres du village en fête. Quand nous arrivons au restaurant, tous les hommes présents se retournent sur notre passage pour mater Lucie. Après un bon repas nous arrivons vers 22h30 au bal qui a commencé. Nous arrivons sur cette place entourée de platanes où pas mal de monde est déjà en train de danser sur les morceaux à la mode. Lucie adorant danser, elle rentre dans la foule, me laissant seul à la buvette. Elle commence à danser en regardant de temps à autre dans ma direction pour être sûre de rester toujours à vue.
Petit à petit de plus en plus de monde se met à danser et je la perds parfois un peu de vue. La buvette étant bien bondée aussi je finis par me rapprocher de l’estrade, et je me mêle au groupe qui regarde les autres danser. Je remarque que pas mal de gars dansent autour de ma chérie, prêts à lui sauter dessus si jamais l’orchestre venait à jouer un slow. Le temps passe et elle continue à danser, s’écartant parfois de garçons un peu trop pressants qui ne doivent pas lui plaire. Après une bonne heure, l’orchestre entame quelques morceaux de paso doble, elle arrête de danser mais reste sur le bord de l’estrade à regarder les couples d’un certain âge prendre la place des jeunes. Je suis à trois mètres d’elle et je vois un grand gaillard se mettre juste à côté d’elle et engager de la conversation. Je connais bien ses goûts et je pense que c’est le type d’homme qui lui plaît, grand, costaud, un peu le style rugbymen dans les 25 – 30 ans. Elle lui répond, signe que j’ai raison. Ils parlent et de grands éclats de rire de ma belle sont le signe que le courant passe entre eux. Le gars ne se gêne d’ailleurs pas pour promener son regard sur le corps de Lucie. Je deviens de plus en plus impatient au fur et à mesure que le temps passe.
Après les musiques de guinguette, l’orchestre démarre une série de rock, Lucie et son cavalier commencent à danser, elle adore le rock et il semble bon danseur ce qui semble un bon signe de plus. Après une vingtaine de minutes, ils sont en sueur et se dirigent vers la buvette. Alors qu’il fend la foule pour accéder au comptoir, Lucie reste en arrière et j’en profite pour m’approcher d’elle. Elle me dit qu’il lui plaît bien, que c’est un gendarme en permission et qu’elle espère qu’il passe à l’action. Je m’écarte en le voyant revenir avec deux gobelets de bière à la main. Il entraîne Lucie un peu à l’écart de la foule et ils s’installent sur un banc public pour boire tranquillement. En essayant de ne pas les perdre de vue je commande aussi une bière pour moi. Quand je ressorts du comptoir et de la foule, je les vois dans les bras l’un de l’autre en train de s’embrasser. Je suis un peu frustré d’avoir raté ce premier baiser. Je sens instantanément ma braguette se gonfler devant ce spectacle. Ils continuent un long moment à se bécoter en sirotant leur bière et je n’en perds pas une miette. Je constate qu’il devient de plus en plus entreprenant, une de ses mains s’est discrètement glissée sous la jupe de Lucie et il caresse sa cuisse. L’heure tourne vite et il est une heure du matin quand ils se lèvent et partent en se tenant par la taille vers l’église du village qui se devine à une centaine de mètres. Je les suis discrètement, ce qui n’est pas simple car la pleine lune éclaire largement le ciel, surtout qu’ils s’arrêtent régulièrement pour s’embrasser.
A quelques mètres de l’église, ils rentrent dans ce qui semble être un jardin public avec des jeux pour enfants et vers le fond une pelouse avec de grands arbres et de grands massifs de fleurs. Je parviens à me rapprocher en passant derrière une haie fleurie. Ils s’arrêtent contre un gros hêtre, Lucie adossée au tronc de l’arbre, et les bras autour du cou de son cavalier et ils s’embrassent. Les mains du gars explorent le corps de ma chérie, il baisse son bustier pour dégager ses seins nus qu’il titille. Puis une main se glisse sous la jupe qu’il relève jusqu’à la taille pour caresser ses fesses. Je suis à une dizaine de mètres avec un point de vue parfait au travers de la haie. La lune éclaire toujours autant qu’un lampadaire et je ne manque rien du spectacle tout en caressant mon sexe sorti de sa cachette. Je vois le string de Lucie descendre le long de ses cuisses jusqu’à ses pieds, je distingue même quelques gémissements quand la main du gars caresse son entre cuisse. Puis ils s’écartent l’un de l’autre, il enlève son pantalon, puis son slip et son tee-shirt pendant qu’elle retire sa jupe et son bustier. Elle est superbe, nue avec juste ses chaussures. Lui bande comme un taureau, elle s’accroupi et le prend dans sa bouche. Petit à petit elle l’enfonce dans sa bouche jusqu’à la garde. Il lui caresse les cheveux en poussant quelques grognements de satisfaction. Puis elle l’aide à enfiler un préservatif, il la pénètre en levrette, courbée vers l’avant en appui sur le tronc de l’arbre. Il la bourre énergiquement et elle crie de plus en plus fort, fidèle à son habitude quand on la baise bien. Je comprends à ses cris qu’un premier orgasme secoue son corps, je vois ses jambes trembler de manière incontrôlable. Ils changent de position, il la prend de face, tenant une de ses cuisses en l’air avec son bras droit. Au bout de quelques courtes minutes ils quittent cette position, Lucie s’agenouille devant lui, lui retire sa capote et le prend dans sa bouche. Je comprends qu’elle veut son jus et elle est experte pour faire jouir un homme ainsi. En moins de 5 minutes il se soulage en elle en grognant de plaisir, elle le tient par les fesses pour l’empêcher de se retirer afin de ne pas perdre une goutte de son précieux breuvage. Puis elle le suce encore un peu pour nettoyer son sexe qui se dégonfle petit à petit. Ils passent cinq minutes dans les bras l’un de l’autre contre l’arbre, le temps de reprendre leur souffle et d’échanger quelques baisers langoureux. Puis ils se rhabillent et reprennent le chemin de la place du village.
Le bal est fini et il reste les derniers récalcitrants autour de la buvette. Lucie et son amant boivent une bière puis elle lui dit qu’elle doit rentrer, ils échangent deux ou trois derniers baisers, puis elle me rejoint au parking où je l’attends. Elle est satisfaite de sa soirée et une fois rentrés nous passons le reste de la nuit à discuter et à faire l’amour… Il lui tarde même de remettre ça…. Et moi donc !