Lucie et les saisonniers
Récit érotique écrit par Cocu et sa belle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lucie et les saisonniers
A l’approche des beaux jours Lucie est un peu frustrée du peu d’aventures qu’elle a vécu malgré plusieurs sorties, je le suis tout autant qu’elle d’autant que la seule et unique sortie fructueuse ne lui pas donné autant de plaisir qu’elle en espérait. Lors d’une discussion elle me dit avoir envie d’hommes plus mûrs que les jeunes de notre âge qui n’ont pas toujours l’expérience qu’elle en attend. Je lui propose donc de chercher des hommes plus à même de lui donner du plaisir en testant à nouveau les clubs échangistes, ou en passant par des sites de petites annonces. Elle ne veut plus entendre parler des clubs, mais reste ouverte sur les petites annonces. Elle ne me donne pas de réponse formelle et je comprends qu’elle a besoin de mûrir la décision.
Nous recherchons comme les années précédentes un petit boulot de quelques semaines durant nos longs congés d’été. Nous trouvons un mas du côté de Nîmes qui recherche du personnel pour ramasser des fruits de juillet à septembre. Ils recherchent des cueilleurs et des gens pour le triage et le calibrage à la ferme, travail moins physique peut-être pour Lucie. Je téléphone donc et m’inscris pour tout le mois de juillet, Lucie téléphone à son tour et s’inscrit aussi pour juillet mais au calibrage. Pour peut-être mêler l’utile à l’agréable elle s’inscrit sous son nom de jeune fille, nous irons donc en célibataires chacun de son côté. Le gros avantage c’est qu’ils disposent d’un gîte pour loger ceux qui le souhaitent pour un prix modique. L’avantage de nous inscrire dans les premiers est que nous pourrons bénéficier de cet hébergement limité à une dizaine de personnes. Nous partons donc avec nos deux voitures et nous présentons le lundi dans la matinée pour commencer à travailler dès le lendemain matin. Les propriétaires nous font visiter le mas et les gîtes, il y en a deux différents. Le premier est une dépendance dans une aile du mas, le second est à un kilomètre de là, toujours sur la propriété mais un peu plus isolé et dispose de six chambres seulement. Comme la patronne nous donne le choix et que ce dernier est plus propre que l’autre, nous posons nos bagages dans ce dernier. Il y a une cuisine avec une grande table, deux canapés et une télé. A l’étage six chambres dont une qui a une salle d’eau privative. Comme Lucie est la seule fille tous sont d’accord pour qu’elle se l’attribue. Je m’installe dans la chambre voisine et les quatre autres gars se répartissent les autres. Il y a là Akim, un maghrébin et son ami Franck, deux Lyonnais d’une trentaine d’année qui semblent adeptes des salles de musculation. Akim surtout qui est très grand et bien bâti. Les deux autres sont de jeunes étudiants d’à peine 18 ans et qui vont travailler pour la première fois de leur vie. Une fois les présentations faites, comme nous avons la journée libre nous décidons tous ensembles de faire un pot commun pour tout ce qui est alimentaire plutôt que de faire chacun sa tambouille dans son coin. C’est Lucie qui est désignée pour tenir la caisse et qui va se charger d’aller aux courses avec Franck à la superette du village. Nous établissons une liste et nous serons chargés à tour de rôle de gérer l’intendance en binômes.
En montant se changer pour aller aux courses, Lucie me fait un clin d’œil, signe convenu qu’elle n’est pas insensible au charme de l’un des garçons. Je me doute qu’il ne peut s’agir que de Franck ou Akim… Elle ressort de sa chambre habillée sexy d’un petit short en jean qui laisse entrevoir la naissance de ses fesses, d’un tee-shirt et de tongs. Nous nous retournons tous pour admirer cette jolie fille ! Elle revient des courses deux heures plus tard. Cette première soirée se tient autour de la table, devant un repas préparé en commun, nous en profitons pour faire plus ample connaissance. Je pense que nous allons tous très bien nous entendre et que l’ambiance sera excellente. Le lendemain matin nous rejoignons le Mas à sept heures, sauf Lucie qui ne commence qu’à huit heures au triage. Nous sommes une bonne trentaine au total dont pas mal de retraités et d’étudiants. Ils sont une douzaine dans le dortoir, tous célibataires, dont la moitié de femmes. La patronne en sélectionne quelques-unes qui rejoindront Lucie au tri. Comme je suis le premier à dire que je sais conduire un tracteur, c’est à moi qu’incombera la tâche de ramasser les cagettes de fruits dans les rangées et de venir les décharger au mas. Je suis assez satisfait de ne pas avoir à faire la cueillette. Pour la récolte des pêches les ouvriers sont deux par deux sur un arbre, ce qui permet de discuter tout en travaillant. Celui qui supervise étant assez cool, l’ambiance est plutôt bonne et je comprends vite que mon travail ne consiste pas seulement à des balades en tracteur. Charger les cagettes est assez fatiguant et il me faut à peine 1h30 remplir la remorque, et une heure pour rallier le mas et décharger. Ce qui fait que quand je reviens au verger j’ai déjà beaucoup de cagettes pleines. Je prends quand même un peu de temps pour discuter avec mes colocataires, surtout Akim et Franck car les deux jeunes restent ensembles un peu à l’écart. Les conversations tournent beaucoup autour de Lucie qu’ils aimeraient bien se faire. Je me mets d’emblée hors-jeu en disant que j’ai une petite amie et que je ne compte pas tromper. Par contre, j’abonde dans leur sens en disant que la petite Lucie à l’air d’une coquine gourmande. Comme elle s’est présentée comme célibataire, sans copain, c’est qu’elle est ouverte à une aventure avec l’un d’eux. Pour ma part je mise plus sur Franck, car Akim étant magrébin je ne suis pas convaincu que ma chérie cherche l’exotisme. Les premiers jours se passent très bien, l’entente est parfaite dans le gîte. Akim et Franck se débrouillent toujours pour être près de Lucie et ça sent la compétition de séduction. Les rares fois où je peux parler avec elle sans témoins sont très brèves et elle ne me dit rien de ses intentions, juste qu’elle attend de voir ce qui se passe. Je comprends qu’elle prend un malin plaisir à me laisser dans l’ignorance. Nous n’avons pas prévu de rentrer à Toulouse les week-ends, contrairement aux deux jeunes qui rentrent à Narbonne chez leurs parents. Franck et Akim restent sur place aussi, je les soupçonne d’ailleurs d’avoir changé leurs projets pour rester avec Lucie. Mes soupçons se confirment quand elle me dit qu’ils l’ont invité à passer la journée du samedi avec eux à Nîmes, ce qu’elle a accepté. Quand je lui dis que je ne vais pas pouvoir être derrière eux sans me faire remarquer, elle me dit que ce ne sera pas nécessaire car elle a confiance en eux. Je prévois donc de rester seul, de faire une grasse matinée et d’aller me baigner à la rivière toute proche.
Le samedi matin, Lucie rentre dans ma chambre discrètement vers 10h00 pour me dire qu’ils partent. Elle s’est habillée sexy, elle m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime et me demande si je préfère qu’elle reste avec moi… Je lui dis que non, je suis très excité à l’idée qu’elle va me tromper. Elle me sait un peu déçu de ne pas pouvoir la voir se faire draguer, mais elle m’assure que si elle doit « baiser » ce ne sera pas en dehors du gîte, elle préfère me savoir proche dans ces moments-là. Nous nous embrassons une dernière fois et elle part les rejoindre. Je regarde la voiture de Franck s’éloigner et disparaître au bout du chemin. Je passe ma journée à glander au gîte car je n’ai finalement pas envie de bouger… journée télé et petite balade dans le verger tout proche ramasser quelques fruits. Le soir venu je commence à m’impatienter de les voir rentrer, mais les heures passent et je reste seul. Vers minuit je me décide à monter me coucher, sans parvenir à dormir, guettant le moindre bruit de moteur au loin. Il est quatre heures du matin quand enfin j’entends une voiture sur le chemin, les phares éclairant ma fenêtre ouverte. Je me lève pour regarder par la fenêtre, je vois Lucie descendre la première, je devine à sa démarche qu’elle a dû boire un peu trop, les deux garçons descendent à leur tour et oh surprise ! Je vois Akim la prendre dans ses bras et l’embrasser, puis Franck à son tour se colle à eux et l’embrasse aussi. Je comprends qu’elle est donc sortie avec les deux à la fois et qu’elle va sans doute coucher avec les deux à la fois. Je suis surpris, bien qu’elle ait déjà gouté à la pluralité en club et qu’elle ait aimé ça. J’espère juste qu’elle n’a pas trop bu et qu’elle va s’offrir à eux en sachant ce qu’elle fait. J’entrouvre la porte de la chambre pour voir ce qui se passe en bas, ma chambre donnant sur une mezzanine j’ai une vue directe sur toute la pièce. En entendant leurs dialogues je suis rassuré sur l’état de Lucie, elle a certes un peu bu mais elle semble lucide quand je l’entends dire aux garçons que l’accès à sa chambre ne sera possible que s’ils ont des capotes. Puis elle monte en premier les escaliers en disant qu’elle va aux toilettes. Elle passe devant ma porte, comprends que je suis aux aguets, elle chuchote qu’elle va se faire sauter et qu’elle laissera la fenêtre grande ouverte pour que je n’en perde pas une miette. Puis elle regagne sa chambre, les gars montent à leur tour et la rejoignent. Je m’installe devant la fenêtre grande ouverte sur un fauteuil guettant tous les bruits venus de la fenêtre voisine.
Après un long silence, j’entends quelques gémissements de Lucie, qui rapidement s’amplifient. A un moment j’entends une voie masculine dire : « Putain, elle gobe ma bite jusqu’aux couilles ! » Ce lui qui parle semble émerveillé et je me dis qu’il n’a pas dû souvent être sucé en gorge profonde. A deux ou trois reprises j’entends Lucie tousser, sans doute que l’un d’eux à essayé de s’enfoncer trop brutalement dans sa gorge. Je sais que dans ces moments-là il faut la laisser faire, elle maîtrise parfaitement ses fellations. Les commentaires salaces des gars se multiplient, elle doit apprécier être ainsi traitée et je sais que ça lui manquait avec ses derniers amants. Quand le lit se met à grincer je comprends que l’un d’eux est en train de la prendre, ses cris sont étouffés et je me dis qu’elle doit sucer l’autre en même temps. Les insultes fusent, elle crie plusieurs fois, les orgasmes semblent violents et successifs, je l’entends demander à celui qui la prend de la bourrer plus fort, l’alcool aidant sans doute elle se lâche plus qu’à son habitude et j’en suis très heureux. Je devine les changements de position au bruit du lit qui grince pas mal, je les entends lui donner des ordres et je sais qu’elle aime ça. A un moment l’un des garçons doit être en train de la sodomiser car il s’extasie de la facilité avec laquelle elle prend tout son sexe dans l’anus. J’entends le second dire qu’il va la baiser en même temps, elle hurle de plaisir ! Sa première double depuis deux ans et notre dernière soirée en club. Ils continuent à la faire jouir pendant une bonne heure avant que la partie semble se terminer. Je les entends discuter avec de grands éclats de rire de temps en temps. A un moment Lucie les remercie de l’avoir si bien défoncée, puis le calme revient et au bout de quelques minutes j’entends même des ronflements. Je me couche à mon tour alors que le jour commence à poindre. Il doit être neuf heures quand je me lève, je me retrouve seul à boire mon café, fatigué d’avoir si peu dormi. Quelques minutes plus tard je vois Franck descendre l’escalier en caleçon et il se sert un café en me saluant. Je lui demande s’ils se sont bien amusés, il éclate de rire et me dit : « Un sacré morceau la Lucie, pas farouche en plus, une sacrée salope ! ». Je lui dis : « profitez bien alors ! » et il remonte se coucher.
Une heure plus tard je vois Lucie sortir de la chambre sans faire de bruit et elle descend. Elle me fait signe de la suive sous la mezzanine pour que les autres ne nous voient pas. Elle m’embrasse, elle sent le sperme et la sueur mêlés, j’adore ! Elle me demande si je vais bien, je la rassure en lui disant que tout va bien et que je suis très heureux qu’elle se soit ainsi lâchée. Elle me dit que ses amants sont de très bons coups et qu’ils l’ont fait jouir comme jamais, «mais pas plus que toi mon amour! » Elle me demande si je suis d’accord pour qu’elle couche encore avec eux, je lui dis que je suis bien entendu d’accord qu’elle reste avec eux tant que nous serons là ! Elle m’embrasse encore et quand elle entend marcher sur le parquet au-dessus de la mezzanine, elle remonte ! Les garçons se lèvent enfin et s’attablent devant un bol de café pendant que Lucie se douche. J’ai droit aux commentaires des deux loulous et je suis fier de ma chérie. Heureusement qu’ils ne se doutent pas à qui ils parlent ! Lucie nous rejoint, plus sexy que jamais dans une jupette très courte et un débardeur, toujours sans soutien-gorge. Elle embrasse les garçons sur la bouche et s’installe sur les genoux d’Akim. Ils me racontent tous les trois leur journée à Nîmes et leur soirée en boîte de nuit. Conscients que j’ai dû entendre du bruit pendant la nuit, ils me demandent de rester discrets sur ce qui s’est passé, de peur d’avoir des ennuis avec les patrons. Je les assure de mon silence, et je leur demande ce qu’il en sera avec les deux jeunes qui rentreront le lundi matin. Akim me dit qu’il s’en occupera, ce qui clôt la discussion.
Pendant tout le mois, Lucie va servir de jouet sexuel aux deux compères, tous les soirs et les deux week-ends restant avant la fin de notre contrat. Tous les soirs elle couche avec l’un, ou l’autre et le plus souvent avec les deux en même temps. Nous parvenons à nous isoler quelques minutes par-ci par-là pour nous embrasser mais surtout pour me dire qu’elle apprécie cette situation et que ce sont d’excellents amants. A la fin du mois de juillet nous quittons le mas le vendredi en fin d’après-midi, Lucie part quelques minutes avant moi et nous nous rejoignons sur la première aire d’autoroute en rentrant à Toulouse. Après une demi-heure de retrouvailles nous rentrons chez nous. Le soir même Lucie me raconte ses parties de jambes en l’air avec de multiples détails plus croustillants les uns que les autres. Je constate effectivement qu’elle a eu à faire à deux amants largement meilleurs que ceux trouvés dans les fêtes foraines. Elle m’avoue que pour la première fois elle s’est vraiment sentie chienne comme elle aime, utilisée intensivement et légèrement dominée. Elle espère pouvoir recommencer ce genre de relation, mais peut-être pas durant une période aussi longue. Je lui explique que trouver de bons amants dans les bals de village est très aléatoire, et en trouver deux ensembles est quasiment impossible. Elle en est consciente, mais elle ne veut plus aller en club échangiste. Elle veut bien que nous passions par des annonces internet, avec quelques conditions quand même. Elle veut que je la surprenne et que j’organise quelques soirées sans qu’elle soit au courant avant. Elle préfère que je la mette au pied du mur, elle craint de trop gamberger si elle sait ce qui l’attend trop longtemps avant, et de se dégonfler. Elle a le sentiment qu’elle sera plus contrainte à accepter devant le fait accompli, et se laissera faire plus facilement. Elle veut bien tout de même continuer les sorties drague de temps à autre. Je m’occupe donc de nous inscrire sur le site de rencontre que j’avais repéré quelques semaines plus tôt. Je vais vite constater que je suis submergé de messages, très fantaisistes pour certains, irrespectueux pour un grand nombre et très douteux pour ce qui reste. Mais pour l’instant nous partons en vacances quelques semaines, en couple et sans drague …. Après un mois quasiment séparés nous avons besoin de retrouver quelques temps une vie de couple
Nous recherchons comme les années précédentes un petit boulot de quelques semaines durant nos longs congés d’été. Nous trouvons un mas du côté de Nîmes qui recherche du personnel pour ramasser des fruits de juillet à septembre. Ils recherchent des cueilleurs et des gens pour le triage et le calibrage à la ferme, travail moins physique peut-être pour Lucie. Je téléphone donc et m’inscris pour tout le mois de juillet, Lucie téléphone à son tour et s’inscrit aussi pour juillet mais au calibrage. Pour peut-être mêler l’utile à l’agréable elle s’inscrit sous son nom de jeune fille, nous irons donc en célibataires chacun de son côté. Le gros avantage c’est qu’ils disposent d’un gîte pour loger ceux qui le souhaitent pour un prix modique. L’avantage de nous inscrire dans les premiers est que nous pourrons bénéficier de cet hébergement limité à une dizaine de personnes. Nous partons donc avec nos deux voitures et nous présentons le lundi dans la matinée pour commencer à travailler dès le lendemain matin. Les propriétaires nous font visiter le mas et les gîtes, il y en a deux différents. Le premier est une dépendance dans une aile du mas, le second est à un kilomètre de là, toujours sur la propriété mais un peu plus isolé et dispose de six chambres seulement. Comme la patronne nous donne le choix et que ce dernier est plus propre que l’autre, nous posons nos bagages dans ce dernier. Il y a une cuisine avec une grande table, deux canapés et une télé. A l’étage six chambres dont une qui a une salle d’eau privative. Comme Lucie est la seule fille tous sont d’accord pour qu’elle se l’attribue. Je m’installe dans la chambre voisine et les quatre autres gars se répartissent les autres. Il y a là Akim, un maghrébin et son ami Franck, deux Lyonnais d’une trentaine d’année qui semblent adeptes des salles de musculation. Akim surtout qui est très grand et bien bâti. Les deux autres sont de jeunes étudiants d’à peine 18 ans et qui vont travailler pour la première fois de leur vie. Une fois les présentations faites, comme nous avons la journée libre nous décidons tous ensembles de faire un pot commun pour tout ce qui est alimentaire plutôt que de faire chacun sa tambouille dans son coin. C’est Lucie qui est désignée pour tenir la caisse et qui va se charger d’aller aux courses avec Franck à la superette du village. Nous établissons une liste et nous serons chargés à tour de rôle de gérer l’intendance en binômes.
En montant se changer pour aller aux courses, Lucie me fait un clin d’œil, signe convenu qu’elle n’est pas insensible au charme de l’un des garçons. Je me doute qu’il ne peut s’agir que de Franck ou Akim… Elle ressort de sa chambre habillée sexy d’un petit short en jean qui laisse entrevoir la naissance de ses fesses, d’un tee-shirt et de tongs. Nous nous retournons tous pour admirer cette jolie fille ! Elle revient des courses deux heures plus tard. Cette première soirée se tient autour de la table, devant un repas préparé en commun, nous en profitons pour faire plus ample connaissance. Je pense que nous allons tous très bien nous entendre et que l’ambiance sera excellente. Le lendemain matin nous rejoignons le Mas à sept heures, sauf Lucie qui ne commence qu’à huit heures au triage. Nous sommes une bonne trentaine au total dont pas mal de retraités et d’étudiants. Ils sont une douzaine dans le dortoir, tous célibataires, dont la moitié de femmes. La patronne en sélectionne quelques-unes qui rejoindront Lucie au tri. Comme je suis le premier à dire que je sais conduire un tracteur, c’est à moi qu’incombera la tâche de ramasser les cagettes de fruits dans les rangées et de venir les décharger au mas. Je suis assez satisfait de ne pas avoir à faire la cueillette. Pour la récolte des pêches les ouvriers sont deux par deux sur un arbre, ce qui permet de discuter tout en travaillant. Celui qui supervise étant assez cool, l’ambiance est plutôt bonne et je comprends vite que mon travail ne consiste pas seulement à des balades en tracteur. Charger les cagettes est assez fatiguant et il me faut à peine 1h30 remplir la remorque, et une heure pour rallier le mas et décharger. Ce qui fait que quand je reviens au verger j’ai déjà beaucoup de cagettes pleines. Je prends quand même un peu de temps pour discuter avec mes colocataires, surtout Akim et Franck car les deux jeunes restent ensembles un peu à l’écart. Les conversations tournent beaucoup autour de Lucie qu’ils aimeraient bien se faire. Je me mets d’emblée hors-jeu en disant que j’ai une petite amie et que je ne compte pas tromper. Par contre, j’abonde dans leur sens en disant que la petite Lucie à l’air d’une coquine gourmande. Comme elle s’est présentée comme célibataire, sans copain, c’est qu’elle est ouverte à une aventure avec l’un d’eux. Pour ma part je mise plus sur Franck, car Akim étant magrébin je ne suis pas convaincu que ma chérie cherche l’exotisme. Les premiers jours se passent très bien, l’entente est parfaite dans le gîte. Akim et Franck se débrouillent toujours pour être près de Lucie et ça sent la compétition de séduction. Les rares fois où je peux parler avec elle sans témoins sont très brèves et elle ne me dit rien de ses intentions, juste qu’elle attend de voir ce qui se passe. Je comprends qu’elle prend un malin plaisir à me laisser dans l’ignorance. Nous n’avons pas prévu de rentrer à Toulouse les week-ends, contrairement aux deux jeunes qui rentrent à Narbonne chez leurs parents. Franck et Akim restent sur place aussi, je les soupçonne d’ailleurs d’avoir changé leurs projets pour rester avec Lucie. Mes soupçons se confirment quand elle me dit qu’ils l’ont invité à passer la journée du samedi avec eux à Nîmes, ce qu’elle a accepté. Quand je lui dis que je ne vais pas pouvoir être derrière eux sans me faire remarquer, elle me dit que ce ne sera pas nécessaire car elle a confiance en eux. Je prévois donc de rester seul, de faire une grasse matinée et d’aller me baigner à la rivière toute proche.
Le samedi matin, Lucie rentre dans ma chambre discrètement vers 10h00 pour me dire qu’ils partent. Elle s’est habillée sexy, elle m’embrasse longuement, me dit qu’elle m’aime et me demande si je préfère qu’elle reste avec moi… Je lui dis que non, je suis très excité à l’idée qu’elle va me tromper. Elle me sait un peu déçu de ne pas pouvoir la voir se faire draguer, mais elle m’assure que si elle doit « baiser » ce ne sera pas en dehors du gîte, elle préfère me savoir proche dans ces moments-là. Nous nous embrassons une dernière fois et elle part les rejoindre. Je regarde la voiture de Franck s’éloigner et disparaître au bout du chemin. Je passe ma journée à glander au gîte car je n’ai finalement pas envie de bouger… journée télé et petite balade dans le verger tout proche ramasser quelques fruits. Le soir venu je commence à m’impatienter de les voir rentrer, mais les heures passent et je reste seul. Vers minuit je me décide à monter me coucher, sans parvenir à dormir, guettant le moindre bruit de moteur au loin. Il est quatre heures du matin quand enfin j’entends une voiture sur le chemin, les phares éclairant ma fenêtre ouverte. Je me lève pour regarder par la fenêtre, je vois Lucie descendre la première, je devine à sa démarche qu’elle a dû boire un peu trop, les deux garçons descendent à leur tour et oh surprise ! Je vois Akim la prendre dans ses bras et l’embrasser, puis Franck à son tour se colle à eux et l’embrasse aussi. Je comprends qu’elle est donc sortie avec les deux à la fois et qu’elle va sans doute coucher avec les deux à la fois. Je suis surpris, bien qu’elle ait déjà gouté à la pluralité en club et qu’elle ait aimé ça. J’espère juste qu’elle n’a pas trop bu et qu’elle va s’offrir à eux en sachant ce qu’elle fait. J’entrouvre la porte de la chambre pour voir ce qui se passe en bas, ma chambre donnant sur une mezzanine j’ai une vue directe sur toute la pièce. En entendant leurs dialogues je suis rassuré sur l’état de Lucie, elle a certes un peu bu mais elle semble lucide quand je l’entends dire aux garçons que l’accès à sa chambre ne sera possible que s’ils ont des capotes. Puis elle monte en premier les escaliers en disant qu’elle va aux toilettes. Elle passe devant ma porte, comprends que je suis aux aguets, elle chuchote qu’elle va se faire sauter et qu’elle laissera la fenêtre grande ouverte pour que je n’en perde pas une miette. Puis elle regagne sa chambre, les gars montent à leur tour et la rejoignent. Je m’installe devant la fenêtre grande ouverte sur un fauteuil guettant tous les bruits venus de la fenêtre voisine.
Après un long silence, j’entends quelques gémissements de Lucie, qui rapidement s’amplifient. A un moment j’entends une voie masculine dire : « Putain, elle gobe ma bite jusqu’aux couilles ! » Ce lui qui parle semble émerveillé et je me dis qu’il n’a pas dû souvent être sucé en gorge profonde. A deux ou trois reprises j’entends Lucie tousser, sans doute que l’un d’eux à essayé de s’enfoncer trop brutalement dans sa gorge. Je sais que dans ces moments-là il faut la laisser faire, elle maîtrise parfaitement ses fellations. Les commentaires salaces des gars se multiplient, elle doit apprécier être ainsi traitée et je sais que ça lui manquait avec ses derniers amants. Quand le lit se met à grincer je comprends que l’un d’eux est en train de la prendre, ses cris sont étouffés et je me dis qu’elle doit sucer l’autre en même temps. Les insultes fusent, elle crie plusieurs fois, les orgasmes semblent violents et successifs, je l’entends demander à celui qui la prend de la bourrer plus fort, l’alcool aidant sans doute elle se lâche plus qu’à son habitude et j’en suis très heureux. Je devine les changements de position au bruit du lit qui grince pas mal, je les entends lui donner des ordres et je sais qu’elle aime ça. A un moment l’un des garçons doit être en train de la sodomiser car il s’extasie de la facilité avec laquelle elle prend tout son sexe dans l’anus. J’entends le second dire qu’il va la baiser en même temps, elle hurle de plaisir ! Sa première double depuis deux ans et notre dernière soirée en club. Ils continuent à la faire jouir pendant une bonne heure avant que la partie semble se terminer. Je les entends discuter avec de grands éclats de rire de temps en temps. A un moment Lucie les remercie de l’avoir si bien défoncée, puis le calme revient et au bout de quelques minutes j’entends même des ronflements. Je me couche à mon tour alors que le jour commence à poindre. Il doit être neuf heures quand je me lève, je me retrouve seul à boire mon café, fatigué d’avoir si peu dormi. Quelques minutes plus tard je vois Franck descendre l’escalier en caleçon et il se sert un café en me saluant. Je lui demande s’ils se sont bien amusés, il éclate de rire et me dit : « Un sacré morceau la Lucie, pas farouche en plus, une sacrée salope ! ». Je lui dis : « profitez bien alors ! » et il remonte se coucher.
Une heure plus tard je vois Lucie sortir de la chambre sans faire de bruit et elle descend. Elle me fait signe de la suive sous la mezzanine pour que les autres ne nous voient pas. Elle m’embrasse, elle sent le sperme et la sueur mêlés, j’adore ! Elle me demande si je vais bien, je la rassure en lui disant que tout va bien et que je suis très heureux qu’elle se soit ainsi lâchée. Elle me dit que ses amants sont de très bons coups et qu’ils l’ont fait jouir comme jamais, «mais pas plus que toi mon amour! » Elle me demande si je suis d’accord pour qu’elle couche encore avec eux, je lui dis que je suis bien entendu d’accord qu’elle reste avec eux tant que nous serons là ! Elle m’embrasse encore et quand elle entend marcher sur le parquet au-dessus de la mezzanine, elle remonte ! Les garçons se lèvent enfin et s’attablent devant un bol de café pendant que Lucie se douche. J’ai droit aux commentaires des deux loulous et je suis fier de ma chérie. Heureusement qu’ils ne se doutent pas à qui ils parlent ! Lucie nous rejoint, plus sexy que jamais dans une jupette très courte et un débardeur, toujours sans soutien-gorge. Elle embrasse les garçons sur la bouche et s’installe sur les genoux d’Akim. Ils me racontent tous les trois leur journée à Nîmes et leur soirée en boîte de nuit. Conscients que j’ai dû entendre du bruit pendant la nuit, ils me demandent de rester discrets sur ce qui s’est passé, de peur d’avoir des ennuis avec les patrons. Je les assure de mon silence, et je leur demande ce qu’il en sera avec les deux jeunes qui rentreront le lundi matin. Akim me dit qu’il s’en occupera, ce qui clôt la discussion.
Pendant tout le mois, Lucie va servir de jouet sexuel aux deux compères, tous les soirs et les deux week-ends restant avant la fin de notre contrat. Tous les soirs elle couche avec l’un, ou l’autre et le plus souvent avec les deux en même temps. Nous parvenons à nous isoler quelques minutes par-ci par-là pour nous embrasser mais surtout pour me dire qu’elle apprécie cette situation et que ce sont d’excellents amants. A la fin du mois de juillet nous quittons le mas le vendredi en fin d’après-midi, Lucie part quelques minutes avant moi et nous nous rejoignons sur la première aire d’autoroute en rentrant à Toulouse. Après une demi-heure de retrouvailles nous rentrons chez nous. Le soir même Lucie me raconte ses parties de jambes en l’air avec de multiples détails plus croustillants les uns que les autres. Je constate effectivement qu’elle a eu à faire à deux amants largement meilleurs que ceux trouvés dans les fêtes foraines. Elle m’avoue que pour la première fois elle s’est vraiment sentie chienne comme elle aime, utilisée intensivement et légèrement dominée. Elle espère pouvoir recommencer ce genre de relation, mais peut-être pas durant une période aussi longue. Je lui explique que trouver de bons amants dans les bals de village est très aléatoire, et en trouver deux ensembles est quasiment impossible. Elle en est consciente, mais elle ne veut plus aller en club échangiste. Elle veut bien que nous passions par des annonces internet, avec quelques conditions quand même. Elle veut que je la surprenne et que j’organise quelques soirées sans qu’elle soit au courant avant. Elle préfère que je la mette au pied du mur, elle craint de trop gamberger si elle sait ce qui l’attend trop longtemps avant, et de se dégonfler. Elle a le sentiment qu’elle sera plus contrainte à accepter devant le fait accompli, et se laissera faire plus facilement. Elle veut bien tout de même continuer les sorties drague de temps à autre. Je m’occupe donc de nous inscrire sur le site de rencontre que j’avais repéré quelques semaines plus tôt. Je vais vite constater que je suis submergé de messages, très fantaisistes pour certains, irrespectueux pour un grand nombre et très douteux pour ce qui reste. Mais pour l’instant nous partons en vacances quelques semaines, en couple et sans drague …. Après un mois quasiment séparés nous avons besoin de retrouver quelques temps une vie de couple
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