dressage d'un gardien 2
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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dressage d'un gardien 2
Fabien a demandé sa mutation dans le sud de la France. Il a accepté, conservant tout ses avantages, y compris un poste pour son épouse Aurélie. Mais elle a posé des conditions quant à cette mutation.
-Fais bien attention, mon chéri. Il n'est pas question de changer nos habitudes. Tu reste
soumis à moi, et à mes amants. Est-ce bien clair? Ou alors, je te suis pas.
-Mais non mon amour. Tu sais que tu es tout pour moi. Tout sera comme avant. Même
peut être mieux, on fera d'autre connaissance.
Ce jour là, il est dix huit heure quand Aurélie rentre du travail. Elle est accompagnée de Jessie, une sculpturale brune de vingt quatre ans, assistant sociale au pénitencier. Jessie s'est faite surprendre un jour dans la cellule de la doyenne des détenues, une énorme black, assise sur ses genoux, entièrement nue, jambes écartées, en train de se faire doigter. La prisonnière lui avait muselé la bouche pour que les cris ne traversent pas la prison. Depuis ce jour là, il n'est pas rare de la trouver, jouant les gouines dans d'autres cellules. Et Aurélie n'est pas contre une relation lesbienne. Elle en a souvent parlé à son mari. Elle invite Jessie à se mettre à l'aise.
-Chéri, appelle-t-elle, ou es-tu. J'ai une invitée à diner.
-Je suis au garage mamour, je répare les outils du jardin.
-Venez, poursuit Aurélie, je vais vous présenté Fabien, mon mari.
Effectivement, Fabien est a l'établi. Jessie reste scotché devant le tableau. Fabien est vêtu de sa minijupe, qui ne cache trois fois rien. Aurélie arrive derrière lui, le prend par la taile, et lui saisit les couilles. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts.
-Oh, mais les coucous sont dit dont. Il va falloir les purger. Je te présente Jessie, une
nouvelle relation. Vous pouvez vous embrassez, bien sur.
-Heu..bégaie Jessie..je suis confuse..mais.bonjour..je ne vous dérange pas au moins.
Fabien et Jessie s'embrasse. Elle est très gênée en voyant la queue qui dépasse de la jupette.
-Pas du tout, rassure Aurélie. Bien sur, tu lui doit respect et obéissance, sinon...
En disant çà, elle fait glisser une main sur l'étau, en le fixant dans les yeux.
-Non, recule-t-il, j'espère que tu n'imagines pas une seconde me...
-Broyer tes couilles dans les mâchoires, poursuit Aurélie, s'il le faut, pourquoi pas. Allez,
pendant que tu met la table et que tu prépare le diner, on va prendre une douche. Tu
serviras l'apéritif aussi.
Les deux femmes restent une demi heure à glousser dans la salle de bain. Elles sortent en riant, roulant contre le mur, peignoir a moitié ouvert, lèvres contre lèvres. Elles sont magnifiques.
-Je vais te faire passer une nuit de feu, promet Jessie. Regarde ce que j'ai dans mon sac.
-Hum...salive Aurélie, un gode ceinture. Putain, quel engin. Ma chatte en est toute mouillée.
Les deux femmes s'avancent de la table en se tenant par la taille.
Aurélie et Jessie s'installent. C'est Fabien, en petit tablier qui cache encore moins que la minijupe. Là, on lui voit carrément les couilles et la raie du cul.
-Il est a toi aussi, dit Aurélie, Tu peux jouer avec lui si tu veux. Il est dressé pour çà.
A chaque passage, il subit les attouchements des deux femmes. Et a chaque fois, la queue se raidit d'avantage. Si Jessie se montre assez câline, Aurélie, elle, n'hésite pas a lui serrer les testicules pour le faire couiner.
-On peut pas le laisser comme çà, fait remarqué Jessie, Tu as vu comme ses bourses
sont grosses.
-Fait lui une petite gâterie si tu veux, répond Aurélie. Une petite pipe par exemple.
-C'est vrai, se réjouit Jessie, çà fait longtemps que j'ai pas sucé un mec. Vient mon chat,
que je te soulage. je vais tout avaler en guise d'amuse gueule.
Fabien n'en revient pas. Pour que Aurélie lui accorde cette faveur, elle doit avoir une idée derrière la tête. Jessie fait tourner sa chaise pour se trouver en face la bite de Fabien. Elle le décalotte du bout des lèvres, et le branle avec sa bouche, tout en lui caressant les couilles. Aurélie ne perd rien du spectacle, elle a ouvert son peignoir, et se fait frissonner le corps avec ses doigts. Fabien, lui, a ouvert celui de Jessie, et lui caresse sa superbe poitrine. Il sent la sève qui monte, il ne tient plus. La semence gicle dans la gorge de Jessie. Depuis qu'on lui avait pas taillé une pipe.
-Putain, souffle Jessie, c'était urgent. Tu t'es régalé salaud. Regarde comme çà excité
Aurélie. Tu vas venir dans la chambre avec nous. Je te ferai voir comme je gouine ta
femme. N'est-ce pas chérie?
-Si tu savais comme j'ai hâte, répond Aurélie. Devant mon mari en plus. Si on y allait.
Fabien s'installe confortablement sur le fauteuil de la chambre. Il jubile de savoir que sa femme va se faire dominer. Dominer? le mot est faible. Jessie s'amuse avec elle. Aurélie est vraiment mal menée, humiliée, voire martyrisée. Elle supplie son mari du regard comme pour lui demander de l'aide. Il reste imperturbable, savourant la scène.
-Saaloopeee, hurle Aurélie, je jouiii, tu es en train de me tuer. assez..assez..ha....
Aurélie, en larmes, s'accroche aux bras de Jessie, en vain. Elle a décidé de jouer avec elle, de lui faire subir les pires sévices sexuels. Elle est capable de faire jouir une femme jusqu'à l'évanouissement. C'est ce qui produit, Aurélie tombe dans les bras de Morphée
Jessie, un sourire vicieux, saisit Fabien par l'oreille, et l'emmène d'autorité dans la chambre d'à côté. Le tablier a disparu. Il est tiré par la queue et les couilles.
-Aie..aie..ne me faite pas mal, je ferai ce que vous vous voudrez.
-Viens, ordonne-t-elle, tu vas voir comme j'encule les mecs. Toi aussi tu vas gueuler.
Jessie sors le gode ceinture, et le promène entre les cuisses de Fabien. Puis elle le fixe à sa taille.
-Allez, dit-elle, en levrette. comme çà je pourrai te prendre les couilles, et te branler. Tu vas
voir, je vais bien te décalotter. Je veux que ta femme t'entende hurler. Je vais te mettre le
petit trou en sang. Tu vas voir comme tu vas aimer.
Au bout d'une heure, Aurélie est réveillée par les cris et les pleurs de son mari.
A leur réveil, le couple trouve un mot sur la table de chevet.
" Je me suis bien amusée, je vous aime. A très bientôt. Jessie"
-Fais bien attention, mon chéri. Il n'est pas question de changer nos habitudes. Tu reste
soumis à moi, et à mes amants. Est-ce bien clair? Ou alors, je te suis pas.
-Mais non mon amour. Tu sais que tu es tout pour moi. Tout sera comme avant. Même
peut être mieux, on fera d'autre connaissance.
Ce jour là, il est dix huit heure quand Aurélie rentre du travail. Elle est accompagnée de Jessie, une sculpturale brune de vingt quatre ans, assistant sociale au pénitencier. Jessie s'est faite surprendre un jour dans la cellule de la doyenne des détenues, une énorme black, assise sur ses genoux, entièrement nue, jambes écartées, en train de se faire doigter. La prisonnière lui avait muselé la bouche pour que les cris ne traversent pas la prison. Depuis ce jour là, il n'est pas rare de la trouver, jouant les gouines dans d'autres cellules. Et Aurélie n'est pas contre une relation lesbienne. Elle en a souvent parlé à son mari. Elle invite Jessie à se mettre à l'aise.
-Chéri, appelle-t-elle, ou es-tu. J'ai une invitée à diner.
-Je suis au garage mamour, je répare les outils du jardin.
-Venez, poursuit Aurélie, je vais vous présenté Fabien, mon mari.
Effectivement, Fabien est a l'établi. Jessie reste scotché devant le tableau. Fabien est vêtu de sa minijupe, qui ne cache trois fois rien. Aurélie arrive derrière lui, le prend par la taile, et lui saisit les couilles. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts.
-Oh, mais les coucous sont dit dont. Il va falloir les purger. Je te présente Jessie, une
nouvelle relation. Vous pouvez vous embrassez, bien sur.
-Heu..bégaie Jessie..je suis confuse..mais.bonjour..je ne vous dérange pas au moins.
Fabien et Jessie s'embrasse. Elle est très gênée en voyant la queue qui dépasse de la jupette.
-Pas du tout, rassure Aurélie. Bien sur, tu lui doit respect et obéissance, sinon...
En disant çà, elle fait glisser une main sur l'étau, en le fixant dans les yeux.
-Non, recule-t-il, j'espère que tu n'imagines pas une seconde me...
-Broyer tes couilles dans les mâchoires, poursuit Aurélie, s'il le faut, pourquoi pas. Allez,
pendant que tu met la table et que tu prépare le diner, on va prendre une douche. Tu
serviras l'apéritif aussi.
Les deux femmes restent une demi heure à glousser dans la salle de bain. Elles sortent en riant, roulant contre le mur, peignoir a moitié ouvert, lèvres contre lèvres. Elles sont magnifiques.
-Je vais te faire passer une nuit de feu, promet Jessie. Regarde ce que j'ai dans mon sac.
-Hum...salive Aurélie, un gode ceinture. Putain, quel engin. Ma chatte en est toute mouillée.
Les deux femmes s'avancent de la table en se tenant par la taille.
Aurélie et Jessie s'installent. C'est Fabien, en petit tablier qui cache encore moins que la minijupe. Là, on lui voit carrément les couilles et la raie du cul.
-Il est a toi aussi, dit Aurélie, Tu peux jouer avec lui si tu veux. Il est dressé pour çà.
A chaque passage, il subit les attouchements des deux femmes. Et a chaque fois, la queue se raidit d'avantage. Si Jessie se montre assez câline, Aurélie, elle, n'hésite pas a lui serrer les testicules pour le faire couiner.
-On peut pas le laisser comme çà, fait remarqué Jessie, Tu as vu comme ses bourses
sont grosses.
-Fait lui une petite gâterie si tu veux, répond Aurélie. Une petite pipe par exemple.
-C'est vrai, se réjouit Jessie, çà fait longtemps que j'ai pas sucé un mec. Vient mon chat,
que je te soulage. je vais tout avaler en guise d'amuse gueule.
Fabien n'en revient pas. Pour que Aurélie lui accorde cette faveur, elle doit avoir une idée derrière la tête. Jessie fait tourner sa chaise pour se trouver en face la bite de Fabien. Elle le décalotte du bout des lèvres, et le branle avec sa bouche, tout en lui caressant les couilles. Aurélie ne perd rien du spectacle, elle a ouvert son peignoir, et se fait frissonner le corps avec ses doigts. Fabien, lui, a ouvert celui de Jessie, et lui caresse sa superbe poitrine. Il sent la sève qui monte, il ne tient plus. La semence gicle dans la gorge de Jessie. Depuis qu'on lui avait pas taillé une pipe.
-Putain, souffle Jessie, c'était urgent. Tu t'es régalé salaud. Regarde comme çà excité
Aurélie. Tu vas venir dans la chambre avec nous. Je te ferai voir comme je gouine ta
femme. N'est-ce pas chérie?
-Si tu savais comme j'ai hâte, répond Aurélie. Devant mon mari en plus. Si on y allait.
Fabien s'installe confortablement sur le fauteuil de la chambre. Il jubile de savoir que sa femme va se faire dominer. Dominer? le mot est faible. Jessie s'amuse avec elle. Aurélie est vraiment mal menée, humiliée, voire martyrisée. Elle supplie son mari du regard comme pour lui demander de l'aide. Il reste imperturbable, savourant la scène.
-Saaloopeee, hurle Aurélie, je jouiii, tu es en train de me tuer. assez..assez..ha....
Aurélie, en larmes, s'accroche aux bras de Jessie, en vain. Elle a décidé de jouer avec elle, de lui faire subir les pires sévices sexuels. Elle est capable de faire jouir une femme jusqu'à l'évanouissement. C'est ce qui produit, Aurélie tombe dans les bras de Morphée
Jessie, un sourire vicieux, saisit Fabien par l'oreille, et l'emmène d'autorité dans la chambre d'à côté. Le tablier a disparu. Il est tiré par la queue et les couilles.
-Aie..aie..ne me faite pas mal, je ferai ce que vous vous voudrez.
-Viens, ordonne-t-elle, tu vas voir comme j'encule les mecs. Toi aussi tu vas gueuler.
Jessie sors le gode ceinture, et le promène entre les cuisses de Fabien. Puis elle le fixe à sa taille.
-Allez, dit-elle, en levrette. comme çà je pourrai te prendre les couilles, et te branler. Tu vas
voir, je vais bien te décalotter. Je veux que ta femme t'entende hurler. Je vais te mettre le
petit trou en sang. Tu vas voir comme tu vas aimer.
Au bout d'une heure, Aurélie est réveillée par les cris et les pleurs de son mari.
A leur réveil, le couple trouve un mot sur la table de chevet.
" Je me suis bien amusée, je vous aime. A très bientôt. Jessie"
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