Drôle de clinique
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Drôle de clinique
Dans cet établissement se passent de drôles d'histoire. C'est parait-il une clinique. En un sens c'est vrai, sauf que les soins donnés sont particuliers: il s'agit de faire connaître aux femmes frigides les plaisirs de l'amour. Ces femmes ont entre 18 et 40 ans, elles logent sur place et le séjour est de 3 semaines obligatoires. A 90% les "malades" sortent guéries et très désireuses de baiser.
Dès leur arrivée les jeunes femmes sont prises en charges par une équipe composée d'un médecin sexologue, de femmes sexuellement très actives, de démonstratrices et d'étrangers ou étrangères à l'établissement qui volontairement viennent pour aider.
Les patientes sont toutes là de leur plein gré, poussées par leur proches ou simplement pour la découverte d'un quelque chose qui leur manque. Les bagages doivent obligatoirement comporter au moins un gode de taille normale, un autre doubles, des boules de geisha. Dès l'arrivée elles doivent oublier ce qu'est un vêtement. Si elles sont trop pudiques il ne leur reste qu’une seule solution: le départ. Pour la majorité elles sont prises en main par groupe: découverte de leur corps, principalement des points les plus sensibles. Ce stade est le plus intensif. Elles doivent se toucher, se caresser l'ensemble du corps seule ou accompagnée. Souvent quelques-unes découvre avec satisfaction qu'elles réagissent favorablement. C'est soit une caresse sur un sein, soit le plus souvent par une prise de conscience qu'elles ont un sexe qui ne demande qu'à être caressé.
Les premières qui réagissent ne se gênent pas pour se masturber, sans pudeur devant les autres entraînant ainsi l'excitation des autres qui commencent elles aussi à se branler. A ce moment là intervient une femme qui nue comme les autres s'accroupit devant elles, le sexe bien ouvert, qui écarte le plus possible son con pour que toutes aient la même vues sur son entrejambe.
Lentement, pour elle c'est excitant, elle se caresse l'intérieur des cuisses en remontant très lentement vers sa fente. Touts les assistantes en font autant. L'intervenante agit comme si elle n'était là que pour prendre son plaisir (ce qui d'un sens est vrai). Quand elle arrive presque sur son con, elle dévie un peu pour se caresser le tour du petit trou. Pour elle s'est le début de ses orgasmes. Elle se fait toujours jouir en se caressant ainsi. Elle continu en remontant vers son minou. Elle met deux doigts dans son vagin et se doigte longuement imitée toujours par le groupe qu'elle a en charge. La plupart ne ressentent pas encore de différence pour la monitrice, si, elle jouit encore cette fois en gémissant et fermant les yeux. Enfin elle arrive à son bouton qu'elle caresse légèrement en indiquant bien aux autres femmes ce qu'elle fait pou qu'elles en profitent. Elle accélère et appuie de plus en plus. Elle jouit encore. Quelques une des femmes arrivent encore à jouir.
Les séances suivantes sont consacrées aux caresses à donner aux autres. Pour que le traitement marche bien, elles doivent commencer par masturber une autre des femmes. Les débuts sont plus difficiles Branler une voisine que l'on connaît à peine est pour la plus part un geste déplacé. Pourtant il leur faut en passer par là. La monitrice montre l'exemple avec une intervenante extérieure: elle fait partie des volontaires étrangères à l'établissement. Elles vont se faire branler devant les autres et s'il le faut, branler d'autres filles. La plus part sont bisexuelles et ne viennent là que pour le plaisir. Elles doivent toutes être assises, écarter les jambes devant les autres, passer une main sur la cuisse de la voisine en caresser l'intérieur très lentement à partir de genoux et remonter lentement en caressant légèrement jusqu'à faire frissonner quelque fois la compagne du moment, pour arriver vers le con de l'autre. Il leur faut passer les doigts dans tous les recoins de l'intimité pour chercher les points sensibles, la doigter avec plusieurs doigts et enfin lui caresser, comme si elle le faisait pour elle le clitoris. Elles sont rares celles qui n'arrivent pas à jouir ou faire jouir.
Pour parfaire leur entraînement, un peu comme dans les commandos, elles doivent passer au stade supérieur: se servir de leur langue pour faire jouir une autre fille. Elles ne se mettent jamais en couple pour éviter des attachements inévitables. Toujours groupées elles se mettent en couple non stable. La première se couche sur le dos, la tête sur un coussin pour bien voir la tête de l'autre qui vient se mettre entre leurs jambes. Elles sont excitées dès le départ par la sensation que leu sonne les chevelures sur leurs cuisses. Elles sentent touts les langues sur leurs cons qui les fouillent et qui arrivent sur leur bouton. Elles se laissent toutes aller vers le plaisir montant quand les langues les lèchent largement. Elles se tiennent presque toutes les lèvres écartées pour bien faire ressortir les clitoris.
La suite est simple, celle qui a été sucée en suce un autre. Elles connotation ainsi le double plaisir de goûter la cyprine des autres et celui de s'être abandonnée à un plaisir lesbien. L'après midi est consacré à d'autres caresses entre filles: c'est le moment de trouver un autre plaisir plus intense avec une compagne en faisant un 69. Ce n'est qu'à ce moment là que ce termine la première semaine. Libre aux femmes de continuer seule ou à plusieurs les exercices. Le dimanche est vite passé.
La deuxième semaine commence comme avait fini l'autre: elles doivent se brouter le minou. Certaines ont déjà prit goût à la chose et avoir une bouche sur son con est devenu une chose presque normale. Les positions doivent changer: il s'agit maintenant de se faire jouir avec le con de l'autre. Au début elles ne savent pas trop comment se mettre: elles apprennent vite à trouver le con de la voisine avec le sien. Elles savent qu'elles peuvent échanger en même temps des baisers profonds, ce qu'elles n'osaient pas se faire.
Elles servent se branler, se donner des plaisirs interdits entre filles.
Elles doivent maintenant apprendre à baiser normalement avec un homme. Oh, il ne vient pas de suite: elles doivent se servir des godes qu'elles ont portés. Toujours disposée en cercle, les jambes ouvertes, maintenant sans pudeur, elles doivent apprivoiser l'intérieur de leurs cons et de leurs culs. Elles doivent commencer par se branler pour être excitées le plus possible. Elles se regardent se branler. La monitrice, une autre que la semaine précédente, vient leur démontrer comme faire pour accepter un gode dans le con. Elle écarte bien ses jambes, pose le gode sur le clitoris, le manipule un moment avant de leur montrer comment elle se le met. Elle fait les allers et venues qui bien sur la font jouir. Avec plus ou moins de succès, elles arrivent toutes à se mettre le gode là où il faut, elles le font aller et venir en elles. Elles sont encore rares celles qui en jouissent. Tant qu'elles n'y arrivent pas, elles recommencent: à la fin de la journée elles ont toutes joui au moins une fois. Celles qui ont joui du premier coup en profitent pour recommencer ou pour s'amuser entre elles: elles aiment souvent faire des 69. Le lendemain c'est au tour d'une autre de mettre le gode dans le con d'une autre. Là, c'est bien rare qu'elles ne jouissent pas. La journée continue par d'autres baises du même type.
Le lendemain commence l'opération sodomie. Toutes les participante redoute cette épreuve: se faire mettre un gode dans le cul, c'est plus sérieux que dans le con. Elles doivent de mettre ne couple: une doit se mettre en levrette et l'autre doit tout en lui caressant les seins lui mettre le gode dans le cul. La monitrice, accompagnée d'une volontaire leur montre comment d'abord comment procéder. Elle commence par bien chauffée sa partenaire la branle pour la faire jouir une première fois, avant de lui mettre d'abord un doigt puis plusieurs dans l'anus avant de pose le gode bien mouillé par la cyprine de sa partenaire. Elle leur demande de l'enfoncer très lentement et demande à la future enculée de se décontracter complètement. Elle dit aussi à ces dernières qu'elles peuvent se caresser le clitoris pour avoir encore plus de plaisir.
Les travaux pratiques commencent d'abord par cette première jouissance toujours bien venue et par de légères plaintes de douleurs. Souvent ces plaintes se transforment en gémissements de plaisir, surtout quand celle qui encule est attentive au plaisir qu'elle donne. En fin de journée, elles ont toutes joui par leur cul.
Arrive enfin le grand jour: celui du premier rapport avec un homme, un vrai, avec une bite et une paire de couilles. Elles connaissent toutes ces attributs qui pour le moment ne leur ont jamais donné de plaisir particulier, au mieux un peu de chaleur.
Cette fois ce ne sont plus des volontaires féminines, mais des hommes qui peuvent jouir des corps féminins, avec une seule restriction: ne pas jouir plus de trois fois par jour.
Dès le premier matin elles regardent les corps de ses hommes qui, rien que de penser à leurs futures baises, bandent déjà. Certaines en sont émoustillées, ce qui est bon signe, d'autres toujours enfermées dans leur préjugés sont réticentes à se faire mettre où que ce soit pas un homme. Là encore l'exemple est encore le meilleur des enseignements. Toujours prête, les monitrices commencent par se coucher sur le dos, les jambes bien ouvertes, offertes aux pines. Les hommes s'approchent d'elles, les caressent longuement, les branlent avant de venir sur elles. Ils sont aidés par ces femmes qui ne demandent pas mieux que de se faire mettre, au contraire. Quand elles ont le con bien rempli par une bite elles se mettent à bouger en cadence. Les jouissances sont simultanées. C'est au tour des participantes de se faire baiser. Certaines sont immédiatement prêtes à se faire baiser et jouir avec une queue dans leur con. Les autres sont plus rétives. Pourtant toutes sont obligées de se faire mettre. A la fin du premier jour, elles ont eu toutes trois fois une bite, jamais la même en elle. A la fin de ce jour il n'en reste que deux ou trois qui n'arrivent décidément pas à jouir avec un homme, alors qu'elles participaient avec plaisir aux jeux saphiques. Ce n'est pas bien grave, du moment qu'elles jouissent, maintenant peu importe avec qui.
Le lendemain il s'agit de se faire enculer par une vraie queue. Le scénario est le même qu'avec les godes. Toutes ou presque jouissent maintenant que ce soit par devant ou par derrière. Elles sont bien d'accord sur un point précis: rien de vaut une bonne bite.
Enfin arrive le moment de subir une double pénétration. Toutes sont effrayées. Pourtant les hommes qui doivent les faire jouir sont très doux, même s'ils vont prendre la plus grande part de la jouissance, au moins dans un premier temps. C'est toujours la même femme qui leur montre le chemin. Elle se met elle-même une bite dans le con, s'allonge complètement sur son amant, ouvre bien ses fesses et attend tranquillement que son autre amant se mette sur elle pour lui mettre sa pine au cul. Elle ne peut se retenir de soupirer, de gémir et de crier des "encore, oui, plus profond". Les "stagiaires" la regardent se trémousser, certaines toujours avec envie et d'autres avec un peu de dégoût pourtant elles vont touts y passer. Si les unes sont définitivement dégoûtées les autres au contraire sont ravies.
Enfin arrive le dernier soir. C'est la grande partouze. Sans tenir compte des sexes, tous, hommes ou femmes se livrent à leurs baises favorites. Certaine adorent se faire brouter, en ayant une queue dans le cul, d'autres sont avec deux hommes et enfin certaines femmes se satisfassent à deux.
Dès leur arrivée les jeunes femmes sont prises en charges par une équipe composée d'un médecin sexologue, de femmes sexuellement très actives, de démonstratrices et d'étrangers ou étrangères à l'établissement qui volontairement viennent pour aider.
Les patientes sont toutes là de leur plein gré, poussées par leur proches ou simplement pour la découverte d'un quelque chose qui leur manque. Les bagages doivent obligatoirement comporter au moins un gode de taille normale, un autre doubles, des boules de geisha. Dès l'arrivée elles doivent oublier ce qu'est un vêtement. Si elles sont trop pudiques il ne leur reste qu’une seule solution: le départ. Pour la majorité elles sont prises en main par groupe: découverte de leur corps, principalement des points les plus sensibles. Ce stade est le plus intensif. Elles doivent se toucher, se caresser l'ensemble du corps seule ou accompagnée. Souvent quelques-unes découvre avec satisfaction qu'elles réagissent favorablement. C'est soit une caresse sur un sein, soit le plus souvent par une prise de conscience qu'elles ont un sexe qui ne demande qu'à être caressé.
Les premières qui réagissent ne se gênent pas pour se masturber, sans pudeur devant les autres entraînant ainsi l'excitation des autres qui commencent elles aussi à se branler. A ce moment là intervient une femme qui nue comme les autres s'accroupit devant elles, le sexe bien ouvert, qui écarte le plus possible son con pour que toutes aient la même vues sur son entrejambe.
Lentement, pour elle c'est excitant, elle se caresse l'intérieur des cuisses en remontant très lentement vers sa fente. Touts les assistantes en font autant. L'intervenante agit comme si elle n'était là que pour prendre son plaisir (ce qui d'un sens est vrai). Quand elle arrive presque sur son con, elle dévie un peu pour se caresser le tour du petit trou. Pour elle s'est le début de ses orgasmes. Elle se fait toujours jouir en se caressant ainsi. Elle continu en remontant vers son minou. Elle met deux doigts dans son vagin et se doigte longuement imitée toujours par le groupe qu'elle a en charge. La plupart ne ressentent pas encore de différence pour la monitrice, si, elle jouit encore cette fois en gémissant et fermant les yeux. Enfin elle arrive à son bouton qu'elle caresse légèrement en indiquant bien aux autres femmes ce qu'elle fait pou qu'elles en profitent. Elle accélère et appuie de plus en plus. Elle jouit encore. Quelques une des femmes arrivent encore à jouir.
Les séances suivantes sont consacrées aux caresses à donner aux autres. Pour que le traitement marche bien, elles doivent commencer par masturber une autre des femmes. Les débuts sont plus difficiles Branler une voisine que l'on connaît à peine est pour la plus part un geste déplacé. Pourtant il leur faut en passer par là. La monitrice montre l'exemple avec une intervenante extérieure: elle fait partie des volontaires étrangères à l'établissement. Elles vont se faire branler devant les autres et s'il le faut, branler d'autres filles. La plus part sont bisexuelles et ne viennent là que pour le plaisir. Elles doivent toutes être assises, écarter les jambes devant les autres, passer une main sur la cuisse de la voisine en caresser l'intérieur très lentement à partir de genoux et remonter lentement en caressant légèrement jusqu'à faire frissonner quelque fois la compagne du moment, pour arriver vers le con de l'autre. Il leur faut passer les doigts dans tous les recoins de l'intimité pour chercher les points sensibles, la doigter avec plusieurs doigts et enfin lui caresser, comme si elle le faisait pour elle le clitoris. Elles sont rares celles qui n'arrivent pas à jouir ou faire jouir.
Pour parfaire leur entraînement, un peu comme dans les commandos, elles doivent passer au stade supérieur: se servir de leur langue pour faire jouir une autre fille. Elles ne se mettent jamais en couple pour éviter des attachements inévitables. Toujours groupées elles se mettent en couple non stable. La première se couche sur le dos, la tête sur un coussin pour bien voir la tête de l'autre qui vient se mettre entre leurs jambes. Elles sont excitées dès le départ par la sensation que leu sonne les chevelures sur leurs cuisses. Elles sentent touts les langues sur leurs cons qui les fouillent et qui arrivent sur leur bouton. Elles se laissent toutes aller vers le plaisir montant quand les langues les lèchent largement. Elles se tiennent presque toutes les lèvres écartées pour bien faire ressortir les clitoris.
La suite est simple, celle qui a été sucée en suce un autre. Elles connotation ainsi le double plaisir de goûter la cyprine des autres et celui de s'être abandonnée à un plaisir lesbien. L'après midi est consacré à d'autres caresses entre filles: c'est le moment de trouver un autre plaisir plus intense avec une compagne en faisant un 69. Ce n'est qu'à ce moment là que ce termine la première semaine. Libre aux femmes de continuer seule ou à plusieurs les exercices. Le dimanche est vite passé.
La deuxième semaine commence comme avait fini l'autre: elles doivent se brouter le minou. Certaines ont déjà prit goût à la chose et avoir une bouche sur son con est devenu une chose presque normale. Les positions doivent changer: il s'agit maintenant de se faire jouir avec le con de l'autre. Au début elles ne savent pas trop comment se mettre: elles apprennent vite à trouver le con de la voisine avec le sien. Elles savent qu'elles peuvent échanger en même temps des baisers profonds, ce qu'elles n'osaient pas se faire.
Elles servent se branler, se donner des plaisirs interdits entre filles.
Elles doivent maintenant apprendre à baiser normalement avec un homme. Oh, il ne vient pas de suite: elles doivent se servir des godes qu'elles ont portés. Toujours disposée en cercle, les jambes ouvertes, maintenant sans pudeur, elles doivent apprivoiser l'intérieur de leurs cons et de leurs culs. Elles doivent commencer par se branler pour être excitées le plus possible. Elles se regardent se branler. La monitrice, une autre que la semaine précédente, vient leur démontrer comme faire pour accepter un gode dans le con. Elle écarte bien ses jambes, pose le gode sur le clitoris, le manipule un moment avant de leur montrer comment elle se le met. Elle fait les allers et venues qui bien sur la font jouir. Avec plus ou moins de succès, elles arrivent toutes à se mettre le gode là où il faut, elles le font aller et venir en elles. Elles sont encore rares celles qui en jouissent. Tant qu'elles n'y arrivent pas, elles recommencent: à la fin de la journée elles ont toutes joui au moins une fois. Celles qui ont joui du premier coup en profitent pour recommencer ou pour s'amuser entre elles: elles aiment souvent faire des 69. Le lendemain c'est au tour d'une autre de mettre le gode dans le con d'une autre. Là, c'est bien rare qu'elles ne jouissent pas. La journée continue par d'autres baises du même type.
Le lendemain commence l'opération sodomie. Toutes les participante redoute cette épreuve: se faire mettre un gode dans le cul, c'est plus sérieux que dans le con. Elles doivent de mettre ne couple: une doit se mettre en levrette et l'autre doit tout en lui caressant les seins lui mettre le gode dans le cul. La monitrice, accompagnée d'une volontaire leur montre comment d'abord comment procéder. Elle commence par bien chauffée sa partenaire la branle pour la faire jouir une première fois, avant de lui mettre d'abord un doigt puis plusieurs dans l'anus avant de pose le gode bien mouillé par la cyprine de sa partenaire. Elle leur demande de l'enfoncer très lentement et demande à la future enculée de se décontracter complètement. Elle dit aussi à ces dernières qu'elles peuvent se caresser le clitoris pour avoir encore plus de plaisir.
Les travaux pratiques commencent d'abord par cette première jouissance toujours bien venue et par de légères plaintes de douleurs. Souvent ces plaintes se transforment en gémissements de plaisir, surtout quand celle qui encule est attentive au plaisir qu'elle donne. En fin de journée, elles ont toutes joui par leur cul.
Arrive enfin le grand jour: celui du premier rapport avec un homme, un vrai, avec une bite et une paire de couilles. Elles connaissent toutes ces attributs qui pour le moment ne leur ont jamais donné de plaisir particulier, au mieux un peu de chaleur.
Cette fois ce ne sont plus des volontaires féminines, mais des hommes qui peuvent jouir des corps féminins, avec une seule restriction: ne pas jouir plus de trois fois par jour.
Dès le premier matin elles regardent les corps de ses hommes qui, rien que de penser à leurs futures baises, bandent déjà. Certaines en sont émoustillées, ce qui est bon signe, d'autres toujours enfermées dans leur préjugés sont réticentes à se faire mettre où que ce soit pas un homme. Là encore l'exemple est encore le meilleur des enseignements. Toujours prête, les monitrices commencent par se coucher sur le dos, les jambes bien ouvertes, offertes aux pines. Les hommes s'approchent d'elles, les caressent longuement, les branlent avant de venir sur elles. Ils sont aidés par ces femmes qui ne demandent pas mieux que de se faire mettre, au contraire. Quand elles ont le con bien rempli par une bite elles se mettent à bouger en cadence. Les jouissances sont simultanées. C'est au tour des participantes de se faire baiser. Certaines sont immédiatement prêtes à se faire baiser et jouir avec une queue dans leur con. Les autres sont plus rétives. Pourtant toutes sont obligées de se faire mettre. A la fin du premier jour, elles ont eu toutes trois fois une bite, jamais la même en elle. A la fin de ce jour il n'en reste que deux ou trois qui n'arrivent décidément pas à jouir avec un homme, alors qu'elles participaient avec plaisir aux jeux saphiques. Ce n'est pas bien grave, du moment qu'elles jouissent, maintenant peu importe avec qui.
Le lendemain il s'agit de se faire enculer par une vraie queue. Le scénario est le même qu'avec les godes. Toutes ou presque jouissent maintenant que ce soit par devant ou par derrière. Elles sont bien d'accord sur un point précis: rien de vaut une bonne bite.
Enfin arrive le moment de subir une double pénétration. Toutes sont effrayées. Pourtant les hommes qui doivent les faire jouir sont très doux, même s'ils vont prendre la plus grande part de la jouissance, au moins dans un premier temps. C'est toujours la même femme qui leur montre le chemin. Elle se met elle-même une bite dans le con, s'allonge complètement sur son amant, ouvre bien ses fesses et attend tranquillement que son autre amant se mette sur elle pour lui mettre sa pine au cul. Elle ne peut se retenir de soupirer, de gémir et de crier des "encore, oui, plus profond". Les "stagiaires" la regardent se trémousser, certaines toujours avec envie et d'autres avec un peu de dégoût pourtant elles vont touts y passer. Si les unes sont définitivement dégoûtées les autres au contraire sont ravies.
Enfin arrive le dernier soir. C'est la grande partouze. Sans tenir compte des sexes, tous, hommes ou femmes se livrent à leurs baises favorites. Certaine adorent se faire brouter, en ayant une queue dans le cul, d'autres sont avec deux hommes et enfin certaines femmes se satisfassent à deux.
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