Ecole des beaux arts - histoire érotique

Après le Lycée j’ai fait une école des beaux-arts pendant 2 ans avec deux amis à moi, Boubacar et Jean Marc. Nous avions décidé de louer un appartement ensemble. Dès les premières cours de théâtre, notre professeur nous informe qu’en parallèle de la théorie nous allions interpréter une pièce pour la fin d’année et que ça serait notre test final. Il a choisi pour nous la pièce « un point c’est tout ». Une pièce assez récente de Laurent Baffi.
L’histoire d’ un motard, un routier, un travesti brésilien, un black star de la chanson et 4 automobilistes hauts en couleur viennent passer un stage de deux jours de récupération de points du permis de conduire. Les deux moniteurs du stage vont avoir bien du mal à leur faire comprendre les dangers de la route, sans compter sur les retrouvailles des uns, les disputes des autres, les quiproquos et les caractères bien trempés des stagiaires.
Le prof a procédé à la distribution des rôles : Mon pote Boubacar a eu le rôle de la star black (vu que lui aussi est black), moi j’ai eu celui de travesti brésilien. J’ai rouspété mais le prof a procédé logiquement. J’étais le seul brun de peau qui peut passer pour un brésilien, tous les autres étant blanc de peau. À la fin de la séance il nous demande de prendre attache avec Mme Pauline la chef du magasin pour la prise des mesures pour les costumes et accessoires.
Nous allons mes amis et moi pour voir Pauline et elle prend nos mesures et nos tailles pour préparer nos costumes…
- Pauline : c’est bon vos costumes devraient être prêt dans une quinzaine de jours
Quinze jours après nous passons chacun récupérer nos costumes. Le prof est avec elle au moment ou je récupère mes affaires :
- Le prof : tu devrais mettre les escarpins chez toi tous les soirs jusqu’à ce que tu apprennes à marcher avec des talons. C’est du théâtre et tout doit être parfait. Ok ?
- Moi : oui Monsieur
Une fois arrivé à la maison Boubacar et Jean Marc m’ont un peu charrié au sujet du port des talons. Boubacar dit :
- Boubacar : on te taquine Karim, tu peux mettre les talons le temps qu’il faut, je te promets qu’on ne dira plus un mot. N’est-ce pas Jean Marc
- Jean Marc : Promis
- Moi : Merci les gars
- Boubacar : vas-y essaies de voir si tu peux marcher avec ?
Je sors les escarpins de la boite et je les enfile assis sur le canapé. Ça doit être du 10cm de hauteur. Je me lève et j’essaie de marcher. Je titube, j’ai failli me casser la figure.
- Boubacar : va près du mur et marche comme ça si tu perds l’équilibre tu as le mur à côté.
C’est ce que je fais. Je fais des allez retour près du mur et ça n’est pas facile. Après deux semaines d’exercice quotidien je commence à m’en sortir.
- Jean Marc : ça va là je pense que tu gères. Tu es plus à l’aise.
- Moi : oui là je sens que c’est plus facile.
À vrai dire plus je portais les talons et plus je trouvais ça cool. Cette sensation de hauteur et en plus ça me fait des jambes longues et une silhouette sympa. J’ai aussi regardé pas mal de vidéos sur les travestis pour voir un peu comment ils marchent comment ils bougent. Je tiens à réussir le test de fin d’année. À la fin du mois le prof nous a conseiller de faire des répétitions régulières pour être plus à l’aise le jour J. On en a fait quelques-unes à l’école et les collègues ont décidé d’en faire une chez nous dans les conditions réelles (avec les costumes…etc). On a donc demandé à la costumière et maquilleuse si elles pouvaient venir le Samedi après-midi pour nous y aider. Le rendez-vous est pris et le samedi elles commencent par moi, vu que ma transformation est la plus compliquée. Elles m’accompagnent dans la salle de bain et me demande de me déshabiller.
- La Maquilleuse : on va commencer d’abord par une épilation et ensuite l’habillage et le maquillage
- Moi : Quoi épilation ? il n’en a jamais été question ?
- La Maquilleuse : c’est toi qui voit, si tu veux ressembler à Demis Roussos en robe avec des poils qui dépassent de partout c’est ton problème. Tu sais les poils ça repousse ne t’en fait pas
Je repense au test de fin d’année et je ne voudrais pas avoir une note éliminatoire à cause de ce détail.
- Moi : bon ok allons y
Après plus d’une heure, me voilà épilé, habillé d’une robe rouge foncé, des dessous noires avec une paire de faux seins en silicone, des collants noirs, une perruque mi longue noire, maquillé avec mes faux ongles rouges, des faux cils, des bijoux (bague, bracelet collier) et les fameux escarpins. Je me lève et me dirige vers le miroir et quand je vois mon reflet j’ai une réaction de stupeur et une érection instantanée.
Je rejoins les autres dans le salons et ils sont tous surpris de ma transformation. Aussi bien les filles que les mecs. Boubacar s’approche de moi et me dit doucement :
- Boubacar : quelle transformation, wow tu es une vraie bombe.
Je rougis et je ne sais pas quoi répondre. On commence les répétitions qui durent tout l’après-midi et une partie de la soirée. On s’est dit que puisqu’on est tous en costume on en profite pour répéter le plus possible. Au moment de la pause, Jean Marc viens près de moi avec son café et sa cigarette et me dit :
- Jean Marc : ça va ce n’est pas trop contraignant les talons ?
- Moi : non ça va tranquille
- Jean Marc : en tout cas bravo pour la transformation tu es magnifique et j’attends avec impatience la scène ou on est tous les deux.
En effet Jean Marc a le rôle du petit bourgeois et son frère jumeau. Mon personnage va s’apercevoir de la supercherie…. Et donc à un moment je me frotte a lui et fait semblant de l’embrasser….
- Moi : tu n’es qu’un petit pervers.
- Jean Marc : non ne dit pas ça s’est juste qu’habillée comme ça tu es trop bandante
- Boubacar : s’il vous plait on reprend
Les répétitions finissent vers 20h00. Dès que les collègues partent tous, je m’affale sur le canapé fatigué. Boubacar amène une bouteille de vin rouge et 3 verres. Et nous serre et dit :
- Boubacar : on a bien avancé aujourd’hui je crois non ?
- Jean Marc : oui on est sur la bonne voie
Moi je en dis rien je prends mon verre de vin et je bois. On trinque et après quelques verres je dis :
- Moi : Bon je vais me changer et je reviens
- Boubacar : non reste comme ça, pour une fois qu’on a une présence féminine le samedi soir
Je n’ai pas le temps de répondre quand Jean Marc s’y met aussi en lançant de la musique sur la stéréo :
- Jean Marc : oui on est bien là, du bon vin, de la bonne musique et surtout une superbe compagnie.
- Moi : hé les gars vous allez bien ? Je ne savais pas que vous aviez des penchants
Là Boubacar me coupe la parole et dit :
- Boubacar : moi j’avoue que je suis open, la preuve c’est que ma dernière relation c’était avec un travesti.
- Jean Marc : ah bon, je ne le savais pas ça.
- Moi : tu nous as caché ça tout ce temps.
- Boubacar : oui j’avais peur de vos réactions, ça n’est pas évident
- Jean Marc : puisqu’on est dans les confidences je vous avoue que moi aussi j’ai déjà couché avec une transgenre. Et toi Karim tu as déjà eu des relations autres qu’avec une nana ?
- Moi : non jamais.
- Jean Marc : allez tu peux dire la vérité.
- Moi : non c’est vrai je vous jure.
- Jean Marc : et tu n’y as jamais pensé ? je sais que tu es ouvert d’esprit.
- Moi : heu, franchement ça m’a traversé une fois ou deux l’esprit pendant que je regardais des films, dans certains passage quand deux mecs s’embrassent.
Boubacar va chercher une autre bouteille et nous resserre. Jean Marc va aux toilettes et Boubacar me prend par la main et le me dit :
- Boubacar : tu peux m’accorder une danse.
- Moi : non, arrêtes.
- Boubacar : allez s’il te plait ça n’est qu’une danse.
Et il me tire presque de force pour me faire lever. Il est beaucoup plus baraqué et fort que moi. Je n’ai pas le temps de rouspéter quand il me serre contre lui pour danser un slow.
- Boubacar : ça n’est qu’une danse chérie.
Il place mes mains sur ses épaules et me serre contre lui. Je sens sont souffle chaud près de mon cou.
- Boubacar : relaxe, détends-toi. Tu sens bon
Il s’approche du bas de mon oreille en me reniflant. C’est là que Jean Marc reviens des toilettes s’approche de nous, essaie de nous séparer et il dit :
- Jean Marc : ah non moi aussi je veux danser avec elle.
Boubacar le repousse et lui dit :
- Boubacar : pas question de céder ma place. Je l’ai invité le premier.
J’étais comme un objet, une marionnette qu’ils se disputent. Ça me faisait marrer. Là Jean Marc se colle à moi dans le dos et passe ses mains autour de nous et dit :
- Jean Marc : ok puisque c’est comme ça alors on danse à trois.
Je suis pris en sandwich entre mes deux amis qui se battent pour moi. C’est la première fois qu’on me porte autant d’intérêt. J’adore, je me laisse faire. Après un moment de danse, Jean Marc se met à m’embrasser la nuque. Ses lèvres chaudes et douces me caressent la nuque. Mon corps est traversé par des frissons et des choses que je trouve plutôt agréables. Boubacar voyant que je ne réagis pas au baiser de Jean Marc pose ses lèvres sur ma joue et m’embrasse une fois, puis une deuxième fois … Il continu de poser des petit bisous en s’approchant de ma bouche. Je suis en extase. Je ne sais pas si l’alcool aide aussi, mais je ne réagis pas et me laisse emporter par des frissons et des ondes super agréables.
Il pose ses lèvres sur les miennes et envoie sa langue dans ma bouche. Nos langues se croisent et là c’est le choc des sensations. On danse en s’embrassant comme ça un long moment. Boubacar finit par me lâcher et m’emmener vers le canapé. Là il dit :
- Boubacar : mets-toi a genou sur le canapé face au dossier.
Il se tourne vers Jean Marc et lui dit :
- Boubacar : toi fait le tour de l’autre côté.
Jean Marc fait le tour et se retrouve face a moi. Il retire son pantalon et son caleçon et me présente devant le visage son pénis bien dur. J’hésite un moment et là Boubacar me pousse la tête vers lui et me dit :
- Boubacar : vas y prend le en bouche ma salope.
Je ne sais vraiment pas pourquoi je me laisse faire. J’avais envie peut-être d’avoir ma première expérience. Je n’aurais jamais pensé le faire avec deux mecs en même temps et en plus avec mes amis.
J’obéis, je le prends en bouche en essayant de faire comme sur les pornos. Pendant ce temps derrière moi Boubacar a relevé ma robe et fait un trou dans mes collants. Il m’enlève mon slip et me lubrifie mon intimité avec de la crème Nivea. Je suis concentré sur le pénis de Jean Marc. Le gout n’est pas mauvais, je dirais même que c’est bon. Boubacar pose son énorme pénis dur et chaud sur ma rondelle. Il pousse tout doucement. Les premiers centimètres sont douloureux. Je pousse un gémissement de douleur et je me crispe. Il s’arrête me laisse le temps de m’y habituer et dit :
-Boubacar : ça va bébé relaxe j’y vais doucement. Ton petit cul de salope et tout serré. Je vais m’en occuper tu vas voir ce que tu vas prendre petite pute.
J’adore quand il me traite de salope de pute. Ça m’excite. Après un moment il a vu que je n’avais plus mal, il s’est remis à pousser. La douleur revient mais moins forte. Je résiste, il pousse encore. Je me sens envahie, remplie de son énorme bout de chair. Je ne saurais pas décrire le plaisir de se sentir prise comme une nana. J’en perd la tête de plaisir. Une bite en bouche et une autre en moi. Ça y est je sens son corps contre mes fesses, ça veut dire qu’il l’a rentré en entier. J’ai le souffle coupé. Je me remets à sucer Jean Marc doucement. Il m’attrape la tête et pousse en me forçant à avaler un max. Boubacar commence un va et vient lent. C’est trop bon. Il m’attrape par les hanches et commence à me limer de plus en plus fort. Son corps claque contre mes fesses. Jean Marc commence à râler fort, il accélère le rythme. Il me serre la tête contre lui pour me baiser le visage et il me lance plusieurs giclées de sperme au fond de ma gorge.
- Jean Marc : Avale tout et nettoie la bien salope
Je m’exécute, j’avale tout son sperme chaud et lui nettoie son pénis comme il faut.
Mon érection n’a jamais été aussi dur, à tel point que j’éjacule sans me toucher pendant que Boubacar me remplis les entrailles de son liquide chaud.
Je m’allonge sur le canapé à bout de force. Boubacar s’allonge près de moi et me dit :
- Boubacar : c’était bon petite salope, tu as assurée comme une pro. Viens là
Il me prend dans ses bras et on reste allongé un moment. Jean Marc nous serre à boire et dit en regardant Boubacar :
- Jean Marc : je suis d’accord, elle suce bien la pute.
On descend encore une deuxième bouteille de vin. Mes idées sont toutes embrouillées. Je viens de me faire sauter par mes deux potes et on a tous adoré ça apparemment. On regarde un film en buvant du vin et à la fin du film Boubacar nous dit :
- Boubacar : on y va, je vous invite à dormir dans ma chambre, Mon lit est assez grand pour trois.
Il se lève et me prend la main pour m’y conduire. Jean Marc nous suit ; une fois dans sa chambre Boubacar dit à Jean Marc :
- Boubacar : Allonge-toi sur ton dos.
Il se retourne vers moi et me dit :
- Boubacar : mets-toi sur lui, face à lui, chevauche-le.
Je m’exécute, je me mets à genou sur Jean Marc déjà bien excité, il dirige son pénis avec sa main et viens me pénétrer. La petite douleur est camouflée par l’immense plaisir. Il m’attrape et me donne des coups de hanche. Boubacar vient sur le côté et me donne sa queue à sucer. Là je vois qu’elle est énorme. Je n’arrive même pas à en avaler la moitié tellement elle est énorme. Là il me dit :
- Boubacar : mmm salope il va falloir que tu apprennes à en avaler plus
Il m’attrape la tête et pousse de plus en plus jusqu’à ce que j’étouffe. Après un moment il se retire de ma bouche et se place derrière moi. Il me tape sur les fesses avec sa queue pendant que Jean Marc me lime. Après avoir mis du nivea sur son énorme pénis il vient le coller à celui de Jean Marc.
- Boubacar : tu vas les prendre les deux en même temps petit pute
Et il me donne une claque sur les fesses. Cette claque m’excite au plus haut point et je lui dis sans m’en rendre compte :
- Moi : oui encore
- Boubacar : ah tu aimes ça la fessée salope, tiens
Il m’en donne deux ou trois autre avant de pousser sur mon intimité déjà prise par Jean Marc. Ça rentre difficilement, je pousse un cri de douleur, ça y est le bout est entré. Je me sens déchirée écartelée. Il ne bouge pas un moment le temps que la douleur passe et il se remet à pousser. Je sens son corps contre le mien et je sens deux bites me remplir les entrailles. La douleur disparait petit à petit et mes deux amis font des va et viens en moi. Mon sexe aussi est dur, j’ai une érection de malade. Je ne sais pas combien de temps ça dure. Boubacar m’attrape par les hanches et accélèrent le rythme. Moi je râle de plaisir et j’éjacule sur le torse de Jean Marc sans même me toucher. Jean marc crie de plaisir et éjacule en premier suivi de Boubacar 30 secondes après. Quand ils se retirent je sens un courant d’air en moi tellement mon anus s’est ouvert.
Je jette mes escarpins à terre et je m’allonge au milieu. Jean Marc d’un côté et Boubacar de l’autre.
À suivre…