Un decouverte innatendue

Récit érotique écrit par KatirmaTV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Un decouverte innatendue
Je m’appelle Karim j’ai 28ans, Je vis seule depuis quelques semaines après la rupture avec ma copine. Je suis svelte avec une corp plutôt androgyne.
Ce soir-là il est 21h00, je rentrais chez moi après un déplacement professionnel sous un froid et une pluie battante. A une vingtaine de kilomètre de ma ville je m’arrête pour pisser un coup. Au moment de repartir ma voiture ne répond plus, rien pas de jus. Je regarde autour de moi et je ne vois que des champs et sur la gauche une lumière de ce qui semble être une ferme avec une maison de plain-pied. Je décide d’aller demander de l’aide. Un Monsieur (qu’on va appeler Jean) d’environ 1.9m et baraqué comme un rugbyman ouvre la porte et me dit d’un ton autoritaire en regardant sa montre :
- Jean : oui c’est pourquoi ?
- Moi : bonsoir monsieur désolé de vous déranger, je suis tombé en panne juste là. Pourriez-vous m’aider
- Jean : c’est quoi le problème ?
- Moi : je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes et au moment de repartir la voiture n’a plus de courant.
- Jean : vous dégourdir les jambes hein, allons voir ça de près
Il prend une lampe torche et me suit vers la voiture. Une fois arrivé il me dit :
- Jean : ouvrez le capot.
Je m’exécute il jette un œil sous le capot et me dit :
- Jean : il n’y a pas de batterie sur cette voiture ?
- Moi : si si, sur ce modèle ils l’ont mise dans le coffre.
- Jean : drôle de conception, ouvre le coffre.
J’ouvre le coffre et il y voit une petite valise et deux paires d’escarpins. Jean me dit :
- Jean : c’est a vous ça ?
- Moi : oui, enfin non c’est les affaires de mon ex petite amie qui m’a quitté, je devais m’en débarrasser mais je n’ai pas eu trop le temps.
- Jean : oui c’est ça
Apres une petite inspection de câbles de la batterie il me dit :
- Jean : tout a l’aire normal. Essayez de démarrer.
J’essaie mais toujours pas de courant.
- Jean : bon ça doit être plus grave. Il faudra attendre les dépanneurs demain.
- Moi : demain ? mais comment je fais moi je ne peux pas rester là jusqu’à demain.
- Jean : vous pouvez dormir chez moi si vous voulez
- Moi : oh c’est trop gentil
Je n’ai pas le temps de finir de le remercier qu’il me dit :
- Jean : mais il y a une condition
- Moi : ah bon ? c’est quoi je dois payer quelque chose ?
- Jean : la condition c’est que vous mettiez ça avec les fringues de la valise
Dit-il en me montrant les escarpins.
- Moi : vous n’êtes pas sérieux, je vous ai dis que ce ne sont pas mes affaires
- Jean : vous voulez dormir au chaud, prendre une bonne douche chaude et manger un bon repas chaud ? c’est la condition. Sinon je vous laisse.
Il se retourne et s’en va. Un éclair éclate, la pluie s’intensifie, Je n’ai pas envie de passer la nuit trempé dans ma voiture et je lui dis :
- Moi : c’est bon vous avez gagné je vais le faire.
- Jean : alors prends la valise et les escarpins et suis-moi.
En chemin sous la pluie je me dis vaut mieux ça que rester dans la voiture alors que je suis déjà tout trempé. Une fois à l’intérieur, il me dit en pointant du doigt la chambre à coucher :
- Jean : va prendre une douche chaude, tu trouveras sur le lit ce que tu devras porter.
Je prends une douche bien chaude et quand je sors je trouve sur le lit : une paire de collant noir, une robe noire un string noir et les deux paires d’escarpins au sol. J’hésite un moment, je réfléchis quand je l’entends dire à voix haute :
- Jean : dépêches toi le diner est prêt dans 15 minutes.
Je commence par me sécher et je mets le string en premier. Je sens la ficelle entre mes fesses. C’est une sensation bizarre. Je m’assoie sur le lit et commence à enfiler le collant. Sentir ce tissue me caresser les jambes a fait naitre en moi un frisson très agréable. Je finis par mettre la robe qui me colle au corps, puis les escarpins. Il y a deux paires une de 9cm et une de 12cm. J’ai mis les plus basses questions d’équilibre. J’en ai mis une fois dans le passé a l’occasion d’une soirée déguisée.
La porte de la chambre s’ouvre et Jean en me voyant dit :
- Jean : wow, j’en étais sûr, tout est à ta taille, tu es superbe
Il me prend par la main et m’emmène vers le miroir :
- Jean : regarde-toi, tu es magnifique
Je me regarde dans le miroir et je suis étonné par mon reflet. Sans maquillage ni perruque je ressemble a une nana.
Là il me donne une tape sur les fesses et me dit :
- Jean : allons-y le diner va refroidir
Normalement j’aurais dû réagir a cette claque sur mes fesses, mais j’étais tellement surpris et étonné par la sensation que ça m’a procuré que je n’ai rien dit.
On se met a table il nous serre du vin et il approche sa chaise près de la mienne et dit toujours d’un ton autoritaire :
- Jean : bonne appétit ma belle, mange
Pendant le diner, on discute de nos vies de nos jobs de l’actualité. A un moment il pose sa main sur ma cuisse galbée de nylon, la caresse et dit :
- Jean : tu as de magnifiques jambes, tu t’épiles ?
- Moi : non pas du tout
- Jean : elles sont si douces qu’on dirait que tu t’épiles.
C’est vrai que je suis de nature presque imberbe. Il continu de me caresser la cuisse, je ne réagis pas. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi : est ce que parce qu’il est dominateur et que je suis plutôt soumis, est ce parce que j’aime ça. Ou peut-être les deux.
On finit de diner et je l’aide à tout débarrasser. Il pose les assiettes et couvert près du lave-vaisselle et me dit toujours d’un air autoritaire :
- Jean : tiens mets les dans le lave-vaisselle.
Je m’exécute et pendant que je suis penché en train de remplir la machine, il vient derrière moi me prend par les hanches et se colle a mes fesses et dit :
- Jean : tu fais tout pour me chauffer hein petite salope
Je comprends que ma posture l’excite et j’essaie de me redresser. Il appuie sur mon dos et dit :
- Jean : finis de remplir la machine d’abord, salope
Son autoritarisme et ses injures ne me laisse pas de glace. Je ne sais pas pourquoi mais j’aime comment il me domine. Même avec mon ex petite amie j’étais un homme plutôt timide et soumis. Là c’est plus puissant vu que c’est un homme qui me donne des ordres. Je ne suis pourtant pas gay.
Je finis de remplir la machine, je me redresse, il lâche mes hanches et passe ses mains autour de moi et me serre contre lui. Je sens son sexe durcir sur mes fesses. Je sens son souffle près de ma nuque, il dépose plusieurs baisers sur ma nuque et derrière mon oreille. Je ne réagis toujours pas, je commence même a avoir une petite érection. Il me retourne face a lui comme une marionnette et me serre contre lui en déposant un baiser sur ma bouche. Puis il introduit sa langue dans ma bouche. Au début je reste sans réaction, mais vu comment il me serre et la fougue avec laquelle il m’embrasse, je lui rends son baiser en fermant les yeux. C’est aussi bon que d’embrasser une nana. Il me caresse le dos puis les fesses en me roulant une pelle d’enfer. Je me surprends à gémir comme une gonzesse.
Au bout d’un moment, il me relâche, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me fait assoir sur le lit face a lui et commence a se déshabiller.
Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui m’arrive que son énorme bite est déjà devant mon visage. Il me dit toujours avec autorité :
- Jean : vas-y lèche la salope
Il avance vers moi et me colle sa bite sur mes lèvres et dit en me donnant une petite gifle :
- Jean : lèche je te dis
Je sors ma langue et je lui lèche son pénis. Le liquide transparent qui en sort est légèrement salé et je le trouve étrangement bon. Apres quelques coups de langue il me dit :
- Jean : ouvre ta bouche allez, ouvre salle pute
J’ouvre ma bouche et il me pénètre. Il pousse doucement son pénis dans ma bouche et ressort lentement. Il est en train de me baiser le visage.
- Jean : regarde-moi quand tu suce salope.
J’avais vu ça dans des films porno, l’homme aime bien que sa pute le regarde pendant une fellation. Le lève les yeux vers lui pendant qu’il me baise par la bouche. Je suis dans un état second. C’est ma première fois avec un homme et j’adore comment il me contrôle. Apres un bon moment il me dit :
- Jean : ça suffit, monte sur le lit et met toi a 4 pattes salope
Je m’exécute sans broncher. Dès que je me positionne a 4 pattes il m’envois deux claques sur les fesses qui me font bondir et qui m’excite énormément. Il remonte ma robe, écarte mes fesses avec ses mains et viens me lécher mon intimité. Ça me met le feu au cul et ça m’excite comme pas possible. Jamais je n’aurais imaginé que mon trou de balle pouvait me procurer autant d’excitation.
Il me titille avec sa langue un bon moment, puis se relève et me dit en me mettant un doigt :
- Jean : tu aimes ça salope hein
Je ne réponds pas, mais vu ma façon de gémir et de me tortiller, il sait que j’aime ça. Il me travaille la rondelle avec un doigt, puis deux pendant quelques minutes. Il s’approche de moi m’attrape par les hanches et me pénètre d’un coup sec. Je pousse un cri de douleur et je me crispe. Il se colle à mes fesses en me tenant fort par les hanches et dit :
- Jean : ce n’est rien ça va passer petite salope. Tu as le cul bien serré hein. Relaxe-toi ça va aller
Quand il voit que je me relaxe à il entame un va et viens lent et régulier. La douleur a disparu laissant place a un plaisir indescriptible. Je gémis et je me cambre pour bien la sentir en moi, c’est incroyablement bon.
- Jean : je vois que tu aimes ça hein salle pute
- Moi : oui vas-y oui
Je ne sais pas mais ces mots sont sortis tout seul. Il me chevauche ainsi pendant dix bonnes minutes en m’insultant (salope, salle pute, pétasse…) jusqu’à ce qu’il envoie en moi plusieurs giclées de sperme chaud. J’éjacule presque en même temps sans même me toucher. On s’écroule tout les deux sur le lit. Il m’enlace et m’embrasse à nouveau et dit :
- Jean : wow c’était trop bon, tu es magnifique ma chérie
Il me caresse le visage et me regarde dans les yeux et dit :
- Jean : même sans maquillage tu es belle. C’est ton premier rapport avec un homme ?
Je réponds timidement :
- Moi : oui
- Jean : alors comment c’était ? Sans mentir
- Moi : sans mentir j’ai trouvé ça bizarrement bon.
- Jean : bon ? c’est tout
- Moi : trop, trop bon, j’étais loin de m’imaginer qu’on puisse prendre autant de plaisir ainsi
- Jean : j’ai vraiment pensé que tu étais travestie vu les affaires dans ta voiture.
- Moi : non je t’ai dit que c’était à mon ex
- Jean : oui mais comme tu n’as opposé aucune résistance j’ai cru que tu avais l’habitude
- Moi : en fait je suis de nature timide et soumis même avec mon ex copine je lui étais totalement soumis.
- Jean : oui j’ai vu ça tu aimes être dirigé et soumise. Tu vas être ma petite salope soumise alors.
- Moi : heu oui
……………………à suivre
Ce soir-là il est 21h00, je rentrais chez moi après un déplacement professionnel sous un froid et une pluie battante. A une vingtaine de kilomètre de ma ville je m’arrête pour pisser un coup. Au moment de repartir ma voiture ne répond plus, rien pas de jus. Je regarde autour de moi et je ne vois que des champs et sur la gauche une lumière de ce qui semble être une ferme avec une maison de plain-pied. Je décide d’aller demander de l’aide. Un Monsieur (qu’on va appeler Jean) d’environ 1.9m et baraqué comme un rugbyman ouvre la porte et me dit d’un ton autoritaire en regardant sa montre :
- Jean : oui c’est pourquoi ?
- Moi : bonsoir monsieur désolé de vous déranger, je suis tombé en panne juste là. Pourriez-vous m’aider
- Jean : c’est quoi le problème ?
- Moi : je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes et au moment de repartir la voiture n’a plus de courant.
- Jean : vous dégourdir les jambes hein, allons voir ça de près
Il prend une lampe torche et me suit vers la voiture. Une fois arrivé il me dit :
- Jean : ouvrez le capot.
Je m’exécute il jette un œil sous le capot et me dit :
- Jean : il n’y a pas de batterie sur cette voiture ?
- Moi : si si, sur ce modèle ils l’ont mise dans le coffre.
- Jean : drôle de conception, ouvre le coffre.
J’ouvre le coffre et il y voit une petite valise et deux paires d’escarpins. Jean me dit :
- Jean : c’est a vous ça ?
- Moi : oui, enfin non c’est les affaires de mon ex petite amie qui m’a quitté, je devais m’en débarrasser mais je n’ai pas eu trop le temps.
- Jean : oui c’est ça
Apres une petite inspection de câbles de la batterie il me dit :
- Jean : tout a l’aire normal. Essayez de démarrer.
J’essaie mais toujours pas de courant.
- Jean : bon ça doit être plus grave. Il faudra attendre les dépanneurs demain.
- Moi : demain ? mais comment je fais moi je ne peux pas rester là jusqu’à demain.
- Jean : vous pouvez dormir chez moi si vous voulez
- Moi : oh c’est trop gentil
Je n’ai pas le temps de finir de le remercier qu’il me dit :
- Jean : mais il y a une condition
- Moi : ah bon ? c’est quoi je dois payer quelque chose ?
- Jean : la condition c’est que vous mettiez ça avec les fringues de la valise
Dit-il en me montrant les escarpins.
- Moi : vous n’êtes pas sérieux, je vous ai dis que ce ne sont pas mes affaires
- Jean : vous voulez dormir au chaud, prendre une bonne douche chaude et manger un bon repas chaud ? c’est la condition. Sinon je vous laisse.
Il se retourne et s’en va. Un éclair éclate, la pluie s’intensifie, Je n’ai pas envie de passer la nuit trempé dans ma voiture et je lui dis :
- Moi : c’est bon vous avez gagné je vais le faire.
- Jean : alors prends la valise et les escarpins et suis-moi.
En chemin sous la pluie je me dis vaut mieux ça que rester dans la voiture alors que je suis déjà tout trempé. Une fois à l’intérieur, il me dit en pointant du doigt la chambre à coucher :
- Jean : va prendre une douche chaude, tu trouveras sur le lit ce que tu devras porter.
Je prends une douche bien chaude et quand je sors je trouve sur le lit : une paire de collant noir, une robe noire un string noir et les deux paires d’escarpins au sol. J’hésite un moment, je réfléchis quand je l’entends dire à voix haute :
- Jean : dépêches toi le diner est prêt dans 15 minutes.
Je commence par me sécher et je mets le string en premier. Je sens la ficelle entre mes fesses. C’est une sensation bizarre. Je m’assoie sur le lit et commence à enfiler le collant. Sentir ce tissue me caresser les jambes a fait naitre en moi un frisson très agréable. Je finis par mettre la robe qui me colle au corps, puis les escarpins. Il y a deux paires une de 9cm et une de 12cm. J’ai mis les plus basses questions d’équilibre. J’en ai mis une fois dans le passé a l’occasion d’une soirée déguisée.
La porte de la chambre s’ouvre et Jean en me voyant dit :
- Jean : wow, j’en étais sûr, tout est à ta taille, tu es superbe
Il me prend par la main et m’emmène vers le miroir :
- Jean : regarde-toi, tu es magnifique
Je me regarde dans le miroir et je suis étonné par mon reflet. Sans maquillage ni perruque je ressemble a une nana.
Là il me donne une tape sur les fesses et me dit :
- Jean : allons-y le diner va refroidir
Normalement j’aurais dû réagir a cette claque sur mes fesses, mais j’étais tellement surpris et étonné par la sensation que ça m’a procuré que je n’ai rien dit.
On se met a table il nous serre du vin et il approche sa chaise près de la mienne et dit toujours d’un ton autoritaire :
- Jean : bonne appétit ma belle, mange
Pendant le diner, on discute de nos vies de nos jobs de l’actualité. A un moment il pose sa main sur ma cuisse galbée de nylon, la caresse et dit :
- Jean : tu as de magnifiques jambes, tu t’épiles ?
- Moi : non pas du tout
- Jean : elles sont si douces qu’on dirait que tu t’épiles.
C’est vrai que je suis de nature presque imberbe. Il continu de me caresser la cuisse, je ne réagis pas. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi : est ce que parce qu’il est dominateur et que je suis plutôt soumis, est ce parce que j’aime ça. Ou peut-être les deux.
On finit de diner et je l’aide à tout débarrasser. Il pose les assiettes et couvert près du lave-vaisselle et me dit toujours d’un air autoritaire :
- Jean : tiens mets les dans le lave-vaisselle.
Je m’exécute et pendant que je suis penché en train de remplir la machine, il vient derrière moi me prend par les hanches et se colle a mes fesses et dit :
- Jean : tu fais tout pour me chauffer hein petite salope
Je comprends que ma posture l’excite et j’essaie de me redresser. Il appuie sur mon dos et dit :
- Jean : finis de remplir la machine d’abord, salope
Son autoritarisme et ses injures ne me laisse pas de glace. Je ne sais pas pourquoi mais j’aime comment il me domine. Même avec mon ex petite amie j’étais un homme plutôt timide et soumis. Là c’est plus puissant vu que c’est un homme qui me donne des ordres. Je ne suis pourtant pas gay.
Je finis de remplir la machine, je me redresse, il lâche mes hanches et passe ses mains autour de moi et me serre contre lui. Je sens son sexe durcir sur mes fesses. Je sens son souffle près de ma nuque, il dépose plusieurs baisers sur ma nuque et derrière mon oreille. Je ne réagis toujours pas, je commence même a avoir une petite érection. Il me retourne face a lui comme une marionnette et me serre contre lui en déposant un baiser sur ma bouche. Puis il introduit sa langue dans ma bouche. Au début je reste sans réaction, mais vu comment il me serre et la fougue avec laquelle il m’embrasse, je lui rends son baiser en fermant les yeux. C’est aussi bon que d’embrasser une nana. Il me caresse le dos puis les fesses en me roulant une pelle d’enfer. Je me surprends à gémir comme une gonzesse.
Au bout d’un moment, il me relâche, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me fait assoir sur le lit face a lui et commence a se déshabiller.
Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui m’arrive que son énorme bite est déjà devant mon visage. Il me dit toujours avec autorité :
- Jean : vas-y lèche la salope
Il avance vers moi et me colle sa bite sur mes lèvres et dit en me donnant une petite gifle :
- Jean : lèche je te dis
Je sors ma langue et je lui lèche son pénis. Le liquide transparent qui en sort est légèrement salé et je le trouve étrangement bon. Apres quelques coups de langue il me dit :
- Jean : ouvre ta bouche allez, ouvre salle pute
J’ouvre ma bouche et il me pénètre. Il pousse doucement son pénis dans ma bouche et ressort lentement. Il est en train de me baiser le visage.
- Jean : regarde-moi quand tu suce salope.
J’avais vu ça dans des films porno, l’homme aime bien que sa pute le regarde pendant une fellation. Le lève les yeux vers lui pendant qu’il me baise par la bouche. Je suis dans un état second. C’est ma première fois avec un homme et j’adore comment il me contrôle. Apres un bon moment il me dit :
- Jean : ça suffit, monte sur le lit et met toi a 4 pattes salope
Je m’exécute sans broncher. Dès que je me positionne a 4 pattes il m’envois deux claques sur les fesses qui me font bondir et qui m’excite énormément. Il remonte ma robe, écarte mes fesses avec ses mains et viens me lécher mon intimité. Ça me met le feu au cul et ça m’excite comme pas possible. Jamais je n’aurais imaginé que mon trou de balle pouvait me procurer autant d’excitation.
Il me titille avec sa langue un bon moment, puis se relève et me dit en me mettant un doigt :
- Jean : tu aimes ça salope hein
Je ne réponds pas, mais vu ma façon de gémir et de me tortiller, il sait que j’aime ça. Il me travaille la rondelle avec un doigt, puis deux pendant quelques minutes. Il s’approche de moi m’attrape par les hanches et me pénètre d’un coup sec. Je pousse un cri de douleur et je me crispe. Il se colle à mes fesses en me tenant fort par les hanches et dit :
- Jean : ce n’est rien ça va passer petite salope. Tu as le cul bien serré hein. Relaxe-toi ça va aller
Quand il voit que je me relaxe à il entame un va et viens lent et régulier. La douleur a disparu laissant place a un plaisir indescriptible. Je gémis et je me cambre pour bien la sentir en moi, c’est incroyablement bon.
- Jean : je vois que tu aimes ça hein salle pute
- Moi : oui vas-y oui
Je ne sais pas mais ces mots sont sortis tout seul. Il me chevauche ainsi pendant dix bonnes minutes en m’insultant (salope, salle pute, pétasse…) jusqu’à ce qu’il envoie en moi plusieurs giclées de sperme chaud. J’éjacule presque en même temps sans même me toucher. On s’écroule tout les deux sur le lit. Il m’enlace et m’embrasse à nouveau et dit :
- Jean : wow c’était trop bon, tu es magnifique ma chérie
Il me caresse le visage et me regarde dans les yeux et dit :
- Jean : même sans maquillage tu es belle. C’est ton premier rapport avec un homme ?
Je réponds timidement :
- Moi : oui
- Jean : alors comment c’était ? Sans mentir
- Moi : sans mentir j’ai trouvé ça bizarrement bon.
- Jean : bon ? c’est tout
- Moi : trop, trop bon, j’étais loin de m’imaginer qu’on puisse prendre autant de plaisir ainsi
- Jean : j’ai vraiment pensé que tu étais travestie vu les affaires dans ta voiture.
- Moi : non je t’ai dit que c’était à mon ex
- Jean : oui mais comme tu n’as opposé aucune résistance j’ai cru que tu avais l’habitude
- Moi : en fait je suis de nature timide et soumis même avec mon ex copine je lui étais totalement soumis.
- Jean : oui j’ai vu ça tu aimes être dirigé et soumise. Tu vas être ma petite salope soumise alors.
- Moi : heu oui
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