Le temoin génant - histoire érotique

Je m’appelle Karim, je suis le financier d’un grand groupe Italien avec des filiales dans tous les domaines : construction, chaine de garage mécanique automobile, restaurants, bars… la direction m’a demandé d’auditer un des plus grands garages de la région, soupçonné de fraudes. Les délais fixés par la direction m’obligent à rester tard pour finir mon contrôle.
Ce vendredi soir je suis encore dans les bureaux situés à l’étage, quand j’entends deux voitures arriver en trombe. Je continu mon travail quand j’entends des personnes parlants fort. Je sors du bureau je regarde par-dessus la rambarde. 4 sorte de gardes du corps accompagnent un homme, c’est le grand patron du groupe. Un autre homme est à terre. C’est le gérant du garage. Le patron lui cris dessus puis sort un pistolet avec une crosse en ivoire blanche et tire plusieurs coups de feu dans la poitrine. Je suis choqué, effrayé je recule en arrière je trébuche sur un tonneau d’huile vide. Le patron regarde dans ma direction et dis à ces gardes :
- Ramenez-le-moi mort ou vif.
Je suis pris de panique je rentre dans le bureau et je cours vers la sortie de secours qui donne dans la rue de derrière. Je cours comme un malade pendant un moment en tournant dans les ruelles pour que les gardes ne me trouvent pas. Un homme sort d’un immeuble, j’en profite pour y entrer avant que la porte ne se referme. Je monte au dernier étage et je me cache dans un coin près de la cage d’ascenseur.
Je passe la nuit assis par terre la peur au ventre. Vers 6 heures du matin je commande un uber pour me conduire de l’autre côté de la ville. J’ai un très bon copain de Lycée, Adil, qui y habite et personne ne le connait dans mon entourage professionnel, donc zéro risque. J’arrive devant chez lui vers 6h25. Vu mon état de panique, je sonne. Adil me répond avec une voix de quelqu’un qui vient de se réveiller.
Une fois à l’intérieur de son appartement il me dit :
- Adil : qu’est ce qui se passe, tu es dans un état
D’une voix tremblante :
- Moi : Ils veulent me tuer, ils sont à ma recherche
- Adil : qui ça ? pourquoi ? qu’est ce qui s’est passé ?
- Moi : je travaillais hier tard au bureau et j’ai assisté à un meurtre. Le patron de la boite ou je travaille à tuer de sang-froid un de ses employés et là ils veulent m’éliminer vu que j’ai été témoin. Je n’ai nulle part où aller, toi ils ne te connaissent pas.
- Adil : putain la vache. Bon reste la moi je dois aller au boulot. Le réfrigérateur est plein. On en reparle ce soir. N’appelles personne, repose-toi.
- Moi : Merci tu me sauves.
Je prends une douche dès que Adil s’en va et je me mets devant la télévision. Je finis par m’endormir sur le sofa.
En fin de journée Adil arrive et m’annonce :
- Adil : j’ai des mauvaises nouvelles pour toi. Ils sont à ta recherche. Dans tous les coins de la ville l’info circule à propos de toi. Donc je pense qu’il faut éviter que tu sortes, enfin pour le moment.
- Moi : Merde je suis cuis. Ils me retrouveront à coup sûr. Ils ont des indics partout.
Je passe donc plus d’une semaine sans mettre le nez dehors, et ça commence à me gonfler. Pendant le weekend j’en parle à Adil :
- Moi : je ne peux pas rester éternellement enfermé et en plus je suis un poids pour toi.
- Adil : oui c’est claire. Justement à ce propos, hier j’ai déjeuné avec un ami de confiance, qui possède une Assurance avec pas moins d’une quarantaine d’employés et il est à la recherche d’un financier comptable et je lui ai parlé de toi.
- Moi : oui c’est gentil, mais tu sais que si je mets le nez dehors, je suis mort.
- Adil : justement j’y ai pensé et je me suis rappelé du film de Dustin Hoffman « tootsie » tu sais là où il est obligé de se déguiser en femme pour trouver un job.
- Moi : oui je l’ai vu
- Adil : ben pourquoi tu ne ferais pas la même chose. Ça te permettrais de sortir incognito et en même temps de travailler.
- Moi : heu…. Je je ne sais pas. Et ton ami acceptera d’embaucher un travesti ?
- Adil : oui il est lui-même gay et il a une politique de diversité dans son assurance. Réfléchis et dis-moi si ça te va, comme ça j’appelle Emilie.
- Moi : c’est qui Emilie ?
- Adil : c’est une amie qui est maquilleuse, habilleuse et coach personnelle….
- Moi : vu les choses je pense que je vais faire ça. Sinon je ne vois pas d’autres solutions.
- Adil : ok je préviens Emilie et Mon ami pour le job.
Lundi matin Adil m’appelle pour me prévenir de la visite d’Emilie dans l’après-midi. Elle arrive effectivement vers 14h30.
- Moi : Bonjour c’est Emilie c’est ça ?
- Emilie : oui vous c’est Karim ?
- Moi : oui enchanté
- Emilie : et vous devez devenir Karima.
- Moi : heu oui c’est ça
- Emilie : je vais prendre vos mesures pour vous préparer une garde-robe et votre pointure aussi
Une fois qu’elle finit de me prendre les mesures elle me tend une clef USB et dit :
- Emilie : tu trouveras des vidéos à voir et à revoir pour demain ok. Je serais là demain vers 9h30.
Une fois partie je commence à visionner les vidéos : comment adopter des attitudes et gestes pour être féminine, comment marcher avec des talons, des exercices de féminisation de la voix…là je me demande dans quoi je me suis lancé. Mais après réflexion je n’ai pas d’autre choix pour le moment. Donc je regarde les vidéos en boucle. Le lendemain Emilie arrive comme prévu à 09h30 avec deux grandes valises. Elle les dépose dans ma chambre et me dit :
- Emilie : va prendre un bain bien chaud, ça facilitera l’épilation et le traitement de ta peau.
- Moi : Epilation ? pourquoi ?
- Emilie : écoute si tu veux passer pour une femme, il faut se débarrasser de tous tes poils et ensuite il faut que tu t’habilles de façon féminine : jupe, robe, collant, escarpins….si tu portes des jeans personne ne te prendra pour une femme. Allez exécution
Dit-elle d’une voix autoritaire. Je m’exécute sans plus discuter. Déjà que mon ami m’héberge gratuitement depuis quelque temps et si je ne fais pas ça je ne pourrais pas sortir.
Après un bain bien chaud elle se charge de mon épilation intégrale, puis me passe un lait sur le corps. La sensation est bizarre. Ma peau est lisse et douce comme celle d’une nana. Elle me tend une robe de chambre en satin noir et me demande de la suivre dans la chambre. Le satin caresse ma peau épilée et me procure une sensation magnifique. Une fois dans la chambre, elle me tend une paire de faux sein avec des dessous en dentelle noires, des collants et une robe et me dit d’un air un peu autoritaire :
- Emilie : tiens enfile moi tout ça.
Je suis un peu déboussolé et je sais que je n’ai pas d’autres choix alors je m’exécute. Elle m’aide un peu avec les faux seins et les dessous, puis me dit :
- Emilie : vas-y doucement avec les collants ça s’effile vite.
Une fois finit, elle me fait assoir sur le tabouret et entreprend de me maquiller. Elle y passe une bonne heure, entre le maquillage, les faux cils les faux ongles…etc. Ensuite elle ramène deux paires d’escarpins de 10 cm noirs de taille différentes et elle me dit :
- Emilie : essayes celle-ci, mets-toi debout, est ce ça te serre ?
Je me mets debout en m’appuyant sur elle.
- Moi : non ça va point de vu taille, c’est juste que je n’ai pas l’habitude.
- Emilie : pas grave ça ce n’est pas un problème, il faut juste que ça ne te serre pas. Marches un peu pour voir.
Je fais quelques pas en me tenant à elle et je lui affirme :
- Moi : ça ne me serre pas.
- Emilie : cool, tu dois les porter toute la journée. Tu as vu les vidéos que je t’ai laissé ? il y en a quelques une qui montre comment marcher en talons.
- Moi : oui je les ai vu.
- Emilie : va falloir t’entrainer, Adil m’a confirmé que tu as un entretien d’embauche Lundi prochain.
- Moi : ah bon, ok il ne m’a encore rien dit.
- Emilie : viens te voir dans le miroir.
Je m’approche du miroir et quand je vois mon reflet je suis surpris du résultat :
- Moi : la vache, putain. Euh pardon excuse mon langage
Je ne me reconnais pas, je me trouve top sexy. Emilie vide mon placard et met toute mes fringues d’homme dans un sac et ouvre une valise et sort plein de robes, jupes, chemisier en satin, dessous, chemises de nuit… et les range dans mon placard. J’essaye de comprendre ce qui se passe quand elle me dit :
- Emilie : voilà ta nouvelle garde-robe. À partir d’aujourd’hui tu es Karima. Je te laisse, et n’oublies pas tu dois t’exercer. Lundi tu devras être au top. Je passerai demain pour une séance de maquillage.
Et avant même que je ne puisse placer un mot elle prend le sac contenant mes fringues et claque la porte.
Bon je n’ai plus qu’à m’entrainer. Je fais quelques pas en me tenant au mur. Je revois les vidéos et je marche dans l’appartement. Quand je passe devant le miroir je m’arrête pour me contempler et j’aime ce reflet, je me dis que si je rencontrais une femme comme ce que je vois, je la drague à coup sûr. Je passe la journée ainsi entre aller-retour et visionnage de vidéos. Vers 19h30 Adil arrive et dès qu’il me voit il est aussi surpris de ce qu’il voit et dis :
- Adil : wow, quelle transformation, tu es magnifique. Tu vas en faire craquer des mecs toi
- Moi : arrêtes ça n’est pas drôle.
- Adil : mais je ne rigole pas, sérieux tu vas déchirer. Au fait tu as ton entretien d’embauche Lundi matin
- Moi : oui je suis au courant, merci encore pour ce que tu fais pour moi.
- Adil : maintenant que tu es transformée tu veux qu’on sorte diner ?
- Moi : je ne suis pas encore prêt et je marche encore difficilement avec les escarpins. Une autre fois.
- Adil : ok pas de soucis.
Les jours se suivent et se ressemble : au réveil je m’habille, je me maquille comme Emilie me l’a appris et je commence ma journée d’exercice en talons, avec la gestuelle qui va avec. Le Samedi après-midi Adil voyant comment j’ai progressé me propose une nouvelle fois de partir diner. J’hésite au début puis je finis par accepter. J’ai trop envie de sortir, depuis le temps…
- Adil : on va au resto italien gusto, ça te va
- Moi : oui, ok il n’est pas loin d’ici en plus
- Adil : oui ça te permettra de marcher en talons dans la rue.
À 19h30 on sort et une fois dans la rue je stresse et Adil le voit.
- Adil : prend mon bras, ça ira, relaxe ok
Je prends son bras et on commence à marcher en direction du resto. On dirait un couple. Je sens le vent frais qui caresse mes jambes galbées de nylon. La sensation est magnifique. Ça me fait frissonner et je me dis dans ma tête : elles ont de la chance les femmes, je ne vois pas pourquoi elles ne sont pas tout le temps en collants et jupe ou robe. C’est hyper agréable. Au resto c’est vrai que le serveur me prend pour une lady. Tous se passe bien :
- Adil : tu vois, tu stresses pour rien, personne ne te regarde bizarrement ou quoi que ce soit
- Moi : oui j’avoue, tu as raison, mais bon ça me fait quand même bizarre. Je n’ai pas l’habitude
- Adil : ben il faudra vite t’y habituer, Lundi tu as ton entretien d’embauche. Et à ce sujet, j’ai dit à mon ami l’assureur qu’on était ensemble.
- Moi : pourquoi tu as fait ça
- Adil : il m’a pris de cours je lui ais dis que tu es travestie et que tu vivais chez moi donc il m’a posé la question et sans réfléchir j’ai dit oui. C’est un bon ami ne t’inquiète pas
On finit le diner et sur le chemin du retour j’ai encore les caresses du vent frais sur mes jambes que je kiffe un max. Je passe le weekend end à m’exercer marcher avec les talons et à me maquiller pour être irréprochable. Plus le Lundi approche et plus je stresse.
Lundi matin je me lève tôt pour me préparer : maquillage tailleur noir avec chemise en satin blanche, collants, escarpins noir ongles vernis rouge, faux cils et je finis par un parfum de femme. Adil en me voyant siffle un coup et dit :
- Adil : wow la classe, tu es magnifique
- Moi : Merci
Il m’accompagne pour le premier rendez-vous. Il me dépose sur place sans descendre de la voiture et me souhaite bon courage.
Une fois sur place, je suis reçu par l’ami de Adil, Mr Martinez.
- Martinez : Bonjour Madame, c’est Karima c’est ça.
- Moi : Bonjour Mr, oui c’est ça
- Martinez : Dit donc Adil a vraiment bon gout pour les femmes.
- Moi : Merci
Je ne crains rien Adil m’a prévenu que Martinez était gay. L’entretien se passe très bien et Martinez me charge de faire une analyse de leurs finances et des processus interne et me donne 15 jours pour ça et carte blanche, une sorte d’audit financier. Il me présente toute l’équipe (une trentaine de personnes) et leur demande de collaborer avec moi. À la fin il me conduit dans un bureau vide et dit :
- Marinez : vous commencez tout de suite et je compte sur vous, voilà votre bureau
- Moi : Ok Merci Mr.
Je pose mon sac à main et me mets au travail. Les jours se suivent et se ressemble. Je suis tous les jours en tailleur ou robe, en collant et escarpins. Dès la première semaine je remarque pas mal d’anomalies et de processus qui ne sont pas adaptés. Après 12 jours je remets mon rapport à Martinez et il me dit en y jetant un œil :
- Martinez : Déjà, ça c’est du bon boulot.
- Moi : Merci Mr
- Martinez : dès Lundi prochain je veux que toutes les mesures que tu préconises dans ta conclusion soit misent en place. Prépare-moi une note que je la fasse circuler.
- Moi : oui Mr
Je me fais vite une place privilégiée dans l’assurance et j’aide et soutient les employés. Ils sont tous gentils et prévenant. Le responsable Marketing un certain Paul, n’arrête pas de me faire des avances depuis le début. Je lui ais dis que je n’étais pas seule mais il continu. Le soir j’en parle à Adil et il me dit :
- Adil : écoute si tu veux je t’accompagne le matin et au moment où il arrive on lui montre que tu es avec moi.
- Moi : oui j’espère qu’il comprendra.
Le lendemain matin Adil m’accompagne, on arrive sur place. Paul a l’habitude de venir dans le bus de 8h20. Donc à ce moment on s’approche du bureau et le voilà qui descend du bus. Il nous voit Adil et moi. Adil me prend par le bras et m’embrasse sur la bouche et dit :
- Adil : Bonne journée chéri
Sur le coup je suis mort de honte intérieurement parce que je n’ai jamais été embrassé par un homme. Dans l’après-midi Martinez envois un mail d’invitation pour le Samedi soir pour tous les employés et leurs conjoints. La boite fête ses 10 ans d’existence. Au programme diner de gala avec live band et open bar. Pour lui et les employés mon conjoints est Adil. Donc en rentrant je le préviens :
- Moi : Bonsoir
- Adil : Bonsoir beauté.
- Moi : on est invité Samedi pour fêter les 10 ans de l’assurance.
- Adil : comment ça on ?
- Moi : ben tous les employés avec leurs conjoints sont conviés et comme tu lui as dit qu’on était ensemble ben il faudra que tu m’y accompagnes.
- Adil : ah ok je comprends, ça sera un plaisir d’être ton cavalier Samedi. Attends mais il te faut une robe de soirée, non ?
- Moi : oui c’est vrai.
- Adil : demain je passe te prendre après le boulot et on va te trouver une belle robe.
- Moi : ok Merci
Le lendemain Adil m’attend à la sortie du bureau et m’emmène vers un mall pas loin. Là il me choisit deux belles robes de soirées noires et je lui dis:
- Moi : elles sont un peu cher non ?
- Adil : elles te vont à merveille et c’est mon cadeau pour toi puisque je suis ton homme.
- Moi : Merci mais c’est trop.
Une fois à la maison Adil me dit :
- Adil : faudra que ça ait l’air vrai.
- Moi : comment ça je ne comprends pas
- Adil : ben il faudra qu’on soit un couple, c’est-à-dire, se prendre la main, danser ensemble et bien sûr s’embrasser.
- Moi : ça ne va pas non ?
- Adil : quoi c’est rien dit toi que ce soir-là tu es une actrice et tu vas jouer un rôle, ça n’est pas la fin du monde. Je te croyais plus ouvert que ça
- Moi : si je suis open mais bon tu me prends de cours c’est tout.
- Adil : ok, tiens viens près de moi on va répéter.
Dit-il en tapotant sur le canapé.
- Moi : répéter ? tu es sérieux ? pas question on avisera une fois sur place
- Adil : J’ai parlé ce matin à Matinez pour la soirée et le programme est le suivant. 18H accueil, 19h Diner de gala avec remise des prix, ensuite open bar avec live band, piste de danse etc. et à la fin il y aura surement une session slow mmmmm.
Dit-il en se frottant les mains.
- Moi : tu es un petit pervers toi.
Il me prend par la main et m’emmène devant le miroir et dit :
- Adil : écoute, mets-toi à ma place, regarde-toi. Tu ferais quoi toi devant une beauté pareille
C’est vrai, en y pensant il n’a pas tort. Moi-même je suis excité par mon reflet.
Le jour J je mets mes dessous, bas porte jarretelles noirs, robe de soirée sexy noire à mi-cuisse, escarpins 11 cm noirs, je me maquille bien façon soirée…On se dirige vers le lieu de la soirée et Adil n’arrête pas de me reluquer tellement je suis sexy. On est reçu par Martinez et son compagnon et quand on entre dans la salle, j’attire le regard de tout le monde. Adil me dit me serrant contre lui :
- Adil : tu vois l’effet que tu leur fais. Ils doivent m’envier là tu sais
La soirée se passe bien, de temps en temps Adil m’embrasse la main et me lance des regards douillets. Avec quelques verres dans le nez je commence à apprécier ses compliments et ses attentions envers moi. Après le repas, ils libèrent la piste de danse et le live band démarre. Adil m’emmène danser sur du disco des années 80. On danse avec les collègues, Adil m’enlace par derrière et me fait danser. Je ne peux pas réagir devant tout le monde. Il me murmure à l’oreille :
- Adil : tu es superbe ma chérie
Et il m’embrasse derrière l’oreille. Je joue le jeu pour éviter tous soupçons. On passe la soirée à danser et à boire. Ça fait longtemps que je ne me suis pas amusé ainsi. Le moment que je redoute arrive, la séance slow. Adil me prend immédiatement et me serre contre lui. Et il me murmure à l’oreille :
- Adil : là on doit s’embrasser pour que ça fasse vrai
- Moi : heu oui je ne sais pas si….
- Adil : je t’avais demandé de s'entraîner tu vois, pas grave ferme les yeux et laisse-toi aller ok
- Moi : ok
Il approche son visage de moi, je sens son souffle et nos lèvres se croisent. J’ai les yeux fermés, on s’embrasse langoureusement pendant que lui me caresse le dos. Un frisson traverse mon corps et je m’inquiète un peu parce que je commence à apprécier ça. On reste collé l’un à l’autre pendant toute la session de slow. Mon cerveau et en ébullition, mais avec l’alcool je me laisse aller.
Une fois la soirée finit au moment de quitter, Martinez nous salut et dit :
- Martinez : Bonne nuit les amoureux, à Lundi Karima.
On rentre en taxi et pendant tout le trajet Adil me tient la main et l’embrasse de temps en temps en me faisant compliment après compliment. Une fois chez nous il me propose un dernier verre que j’accepte. J’en ai besoin. Pendant qu’on prend ce dernier verre, il continu de me complimenter et me baiser la main et il me raconte qu’à une époque de sa vie il a vécu avec un travestie et que c’est quelque chose qui ne le dérange pas du tout. Là je lui dis :
- Moi : tu ne serais pas en train de me faire des avances là. La soirée est finie.
- Adil : oui ma chérie, tu me plais énormément et je serais honoré d’avoir une femme comme toi.
- Moi : mais je…
- Adil : ne dis rien prends le temps d’y réfléchir avant de te prononcer. J’attendrais le temps qu’il faudra. Et sincèrement quelles sont tes options aujourd’hui, tu as pensé à ton avenir?
- Moi : pas vraiment mais…
- Adil : alors je t’explique, soit tu reviens à ta vie d’avant et là tu ne survivras pas plus d’une semaine. Soit tu quittes le pays et là il te faut une fortune pour te refaire une identité et une nouvelle vie ; soit tu acceptes de vivre ta vie en femme et il faudra te laisser aller et vivre pleinement ta vie de femme, avoir un amant ou un mari qui prendra soin de toi et qui t’aimera…
Là c’est comme si je venais de prendre une gifle. Il n’a pas tort. La solution la plus simple pour moi c’est de vivre ainsi, en femme. Je ne pense pas que je trouverai une femme qui accepte que je vive en femme aussi. Donc soit je reste seul soit je fais un effort et je vois ce que ça donne.
- Moi : je crois que tu as raison mais je dois encore y réfléchir.
- Adil : prends ton temps bébé.
- Moi : je vais aller dormir j’ai besoin d’être seul.
- Adil : bien sur ma belle, bonne nuit, je suis là si tu as besoin d’en parler.
Les jours et les semaines se suivent, et quand j’ai le temps je me documente sur les travesties, les relations sexuelles anales…On est vendredi 05 Mai et c’est mon anniversaire. Une collègue de bureau me propose de l’accompagner pour faire une course et qu’elle me déposerait après chez moi. Après la course une fois arrivé chez moi je lui propose de prendre un verre. Une fois la porte de l’appartement ouverte j’allume la lumière et là j’ai tous les collègues et Adil qui crient « Joyeux anniversaiiiiiire ». L’appart est décoré, sur la table un buffet avec des bouteilles et de la nourriture.
Adil a tout organisé sans m’en parler, ça me touche. Et au moment d’éteindre les bougies il me tend un cadeau et me donne un baiser et me dit :
- Adil : Bonne anniversaire chérie
Je suis obligé de jouer le jeu, je suis toute émue je lui dis en ouvrant le cadeau :
- Moi : tu es un amour
J’ouvre et j’y trouve un bracelet en or de chez C….. une célèbre marque. Il m’aide à le porter et je me jette à son cou pour lui donner un baiser. Je suis comblée. La soirée est bien arrosée et au moment de danser un slow je lui murmure à l’oreille.
- Moi : j’ai réfléchis et j’accepte ta proposition
- Adil : c’est vrai, wow je suis comblé.
Il m’embrasse langoureusement et me dit :
- Adil : c’est le plus beau cadeau que j’ai reçu ces dernières années. Et en plus on aura une seule date pour fêter deux évènement ; ton anniversaire et notre union.
- Moi : c’est vrai. Juste il faudra y aller tout doucement, je n’ai jamais eu d’amant tu comprends
- Adil : bien sur ma chérie, et comme on s’est mis d’accord, pas de cachoterie et ça ira super bien entre nous.
Je le regarde et cette fois c’est moi qui l’embrasse amoureusement. Lui rétorque :
- Adil : ça ce n’est pas de la comédie c’est un vrai baiser
- Moi : oui la ça vient du fond de mon cœur
La soirée se termine vers 1h. on décide de ramasser un peu pour éviter de se retrouver devant un bazar le matin.
Je suis penché en train de mettre les verres et couvert dans le lave-vaisselle, quand Adil passe près de moi et me donne une tape bien franche sur ma fesse droite. Je sursaute de surprise et je pousse un léger « aie ». Mon corps est traversé par un frisson existant. Il me dit :
- Adil : pardon je t’ai fait mal ? c’est que tu étais dans une position provocante, comment veux-tu que je résiste. Pardon encore une fois
- Moi : non ça va j’ai pas mal, mais…
- Adil : Mais quoi ? ne me dis pas que ça t’a plu ?
- Moi : heu je ne sais pas mais ça m’a fait frissonné de malade
- Adil : cool c’est bon à savoir
- Moi : pervers va
Une fois le ménage terminé il me propose un verre. On boit et on discute surtout de moi et de ma condition féminine et là il me dit :
- Adil : j’ai remarqué que depuis un moment tu aimes être en femme.
- Moi : qu’est ce qui te fait dire ça
- Adil : bien, tu as laissé pousser tes cheveux, tes ongles et au début dès que tu rentrais du travail tu t’empressais de retirer les vêtements féminins les escarpins. Et depuis quelque temps tu restes avec tes escarpins assez tard et tu les portes même durant le weekend à la maison alors que tu n’es pas obligé.
- Moi : tu es observateur, oui c’est vrai au fur et à mesure je trouve mon bonheur avec les collants en nylons et les escarpins. Les escarpins me donnent une sensation de hauteur et de domination et en plus j’adore le bruit des talons et le fait que ça attire l’attention des hommes. Et les collants je trouve ça très doux, j’adore sentir le vent frais caresser mes jambes et j’adore la douceur du frottement de mes jambes avec les collants c’est hyper doux et sexy.
- Adil : ah bon je peux toucher.
Il avance ça main près de mes jambes et attend mon ok :
- Moi : oui bien sur
Il pose sa main sur ma cuisse au niveau du genou et descend vers mon tibia et mon mollet et il remonte doucement vers ma cuisse. Ça m’excite tellement que j’en ferme les yeux, j’en ai honte mais je ne le montre pas, il continu ses caresses et dit :
- Adil : c’est hyper doux et c’est excitant aussi, j’adore wow
Sa main continu ses caresses, j'en ai le souffle coupé et il pose ses lèvres sur les miennes et on reste allongé là sur le canapé à s’embrasser langoureusement, sa main remonte entre mes jambes et mon excitation et tellement forte que je gémis comme une nana. Je bande comme je n’ai jamais bandé, mon sexe est tellement dur que j’en ai mal. Il continue de m’embrasser, et sa main remonte encore jusqu’à ce qu’il me caresse mon pénis. Mon cœur bat tellement fort. On finit par se séparer et il se lève pour nous servir à boire et dit :
- Adil : tu es en train de me rendre fou tu sais. Je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi
- Moi : ah bon.
- Adil : oui il y a quelque chose de spéciale dès qu’on s’embrasse je ne sais pas si tu ressens la même chose
- Moi : oui je ressens un frisson qui traverse tout mon corps dès que nos lèvres se touchent et après je ne suis plus de ce monde, je suis dans une sorte d’état de transe. Je n’ai jamais ressenti ce genre de chose
- Adil : super donc on est sur la même longueur d’onde, tiens santé
Dit-il en me donnant un verre bien tassé. Avant de boire je regarde le verre et je lui dis en rigolant :
- Moi : tu ne serais pas en train d’essayer de me saouler ?
- Adil : Jamais, je veux juste qu’on soit bien tous les deux, et en plus jamais je ne te toucherai si tu n’es pas consciente ok ?
- Moi : tu es vraiment un homme bien je ne vois pas comment tu as pu rester seul si longtemps.
- Adil : il faut dire que c’est toi le genre de femme que j’attendais peut-être. En tout cas je n’aurais pas trouvé mieux que toi ma chérie. J’aime la féminité chez la femme. J’ai horreur des femmes qui s’habillent comme des mecs. À ta santé ma chérie.
On continu de discuter et à boire assez tard. Au moment d’aller dormir en me levant je manque de tomber, il me rattrape et dit :
- Adil : attention, ça va? Attends je te tiens.
- Moi : heu j'ai un peu trop bu je crois....
Je me repose sur lui pour aller dans ma chambre. Une fois assise sur le lit il dit :
- Adil : allonge-toi.
Je m'allonge et il retire mes escarpins, me couvre et ne me sentant pas très bien je lui dis :
- Moi : reste près de moi.
Il me prend la main et reste assis près de moi. Je m'endors rapidement. Le matin je me réveille et Adil est allongé dans mon dos collé à moi. Ça me fait bizarre et en même temps du bien de me réveiller dans les bras de quelqu'un. Je reste allongée dans ses bras et savoure ses moments jusqu'à son réveil. Moi pour montrer mon étonnement :
- Moi : que fais-tu là
- Adil : Bonjour chéri.
- Moi : heu oui bonjour
- Adil : tu ne te sentais pas bien hier soir et tu m'as demandé de rester près de toi. Mais ne t'inquiète pas il ne s'est rien passé
- Moi : non je ne suis pas inquiète, mais plutôt surprise.
Je me surprends à parler de moi au féminin. Mon cerveau est en ébullition. Je commence à aimer les fringues de femmes, je parle comme une nana, j'ai aimé le baiser échangé avec Adil, j'ai l'impression que la femme en moi prend le dessus. Au moment du petit déjeuner Adil me dit:
- Adil : tu as quelque chose de prévu aujourd'hui
- Moi : non rien de spécial, pourquoi
- Adil : il fait beau aujourd’hui ça te dirais d’aller à la mer, on déjeune là-bas?
- Moi : oui bonne idée.
- Adil : ok va te changer moi je débarrasse.
Je mets une robe moulante grena avec des motifs beiges, des collants couleur chair et des escarpins grenas. Je me recoiffe passe un coup de maquillage et de parfum et me voilà prête. En me voyant Adil siffle et dit :
- Adil : wow tu es superbe chérie
- Moi : Merci tu es gentil.
On a à peu près une heure de route pendant laquelle on parle de travail essentiellement. Une fois sur place on entame une balade sur la corniche. Il me tend son bras, on marche comme un couple. En fait nous sommes devenu un couple. Le vent marin caresse mes jambes galbées de nylon, j’adore cette sensation et j’adore aussi le bruit des talons sur le sol.
Au bout d’un moment Adil me dit :
- Adil : ça va la marche avec les talons c’est pas trop dur, si tu veux on se pose dans un café.
- Moi : non ça va, au contraire j’aime et je m’y suis habitué.
L’heure du déjeuner approche, on s’installe dans un restaurant face à la mer. C’est beau, et je me sens super bien. Ça faisait longtemps que je n’ai pas eu du bon temps, même avant l’incident. Le déjeuner se passe à merveille, friture de poisson et vin blanc, j’adore. On reste posé là un bon moment à contempler le soleil se coucher.
Sur la route du retour, on parle un peu de nous et surtout de son passé, de l’histoire qu’il a eue avec le travesti :
- Moi : ça a duré longtemps ?
- Adil : 2 ans et demi
- Moi : et pourquoi vous vous êtes séparé
- Adil : elle a décidé de s’installer aux USA pour faire une carrière d’actrice et je n’ai pas voulu tout abandonner pour la suivre.
Le soir, on se programme une soirée cinéma tranquille. A la fin du film Adil se lève me tend sa main et dit :
- Adil : il se fait tard, on y va bébé?
Je prends sa main je me lève je me dirige vers la chambre et il dit :
- Adil : j’arrive, je range ça et je te rejoins
Pendant qu’il débarrasse les verres je passe une chemise de nuit en satin noire et je garde mes bas couleur chair. Je dors souvent avec des bas ou collants vu la douceur qu’ils me procurent. Je m’assoie sur le bord du lit le temps de programmer le réveil et Adil en entrant dans la chambre dit :
- Adil : wow même en pyjama tu es magnifique, je dirais même plus sexy
Et là en regardant vers son pantalon ou on distingue facilement une grosse érection il dit :
- Adil : regarde l’effet que tu me fais
J’ai honte et je réponds :
- Moi : non tu exagères un peu non ?
- Adil : pas du tout regarde
Il défait son pantalon pour rester en caleçon et oui là on voit bien une grosse érection. Il s’approche de moi et me prends le visage, m’embrasse langoureusement et en me relâchant il dit :
- Adil : tu voudrais la toucher ? ou peut-être lui faire un bisou ?
Je le regarde morte de honte pendant qu’il descend son caleçon. Quand je baisse les yeux il se rapproche encore un peu plus, prend ma main et la pose sur son pénis et dit :
- Adil : il est tout à toi ma chérie
Il est grand, dur et chaud et entièrement rasé. Je n’ai jamais eu de pénis en main à part le mien. Etrangement, comme ça rasé c’est joli. Je suis tétanisée, avec son pénis en main je ne sais pas quoi faire ni quoi dire. C’est lui qui dit :
- Adil : tu peux le caresser doucement et même lui faire un bisou si tu veux, vas-y je suis sûr que tu vas aimer
Là il s’approche un peu plus et me colle son pénis sur mes lèvres. Il est super doux et chaud, et il sent bon en plus. Je me dis après tout je vais le faire et si je n’aime pas j’arrête. Je finis par lui donner un bisou, puis deux et il secrète un liquide transparent et Adil me dit :
- Adil : goutes la chérie, vas-y goutes
Sans réfléchir je sors ma langue et lèche le bout de son pénis. Et il a raison, le gout est super. Je donne plusieurs coups de langue et je trouve ça bon et excitant. Là Adil me fait allonger sur le dos retire son tee-shirt et vient se mettre sur moi en 69. Il prend mon pénis déjà en érection dans sa bouche directe. Au-dessus de moi j’ai le sien qui est bien raide et humide, je l’attrape de ma main droite et le mets dans ma bouche. Et là je me mets à le sucer et à gémir tellement j’adore. Je ne pense plus à Adil ni à mon érection mais je m’applique à sucer son membre dur et chaud tellement la sensation est magnifique. Je le rentre dans ma bouche le plus possible, plus je l’avale profond et plus ça m’excite. Pendant qu’il me suce il passe sa main sur ma raie. Je sursaute, me crispe. Ça m’excite encore plus. Puis il vient me titiller mon intimité, il enfonce le bout de son doigt et là je suis traversé par une onde de choc, une excitation intense et je bande encore plus fort. Je ne sais pas combien de temps ça dure jusqu’à ce qu’il m’envoie plusieurs giclées de sperme chaud au fond de ma gorge. J’avale tout sans hésitation tellement j’aime et pendant que je le nettoie avec des coups de langue j’explose à mon tour dans sa bouche. Adil se remet près de moi et me serre contre lui en m’embrassant langoureusement. Puis il me dit :
- Adil : wow c’était sensationnel chérie. Et toi ça va ?
Malgré la confusion dans ma tête à cause de cette première expérience et un peu de honte je lui dis :
- Moi : pour une première expérience c’était magnifique
Je lui rends son baiser et on finit par s’endormir.
Le lendemain je passe la plupart de ma journée à revivre ces moments merveilleux. Je suis de bonne humeur, et je comprends pourquoi.
Le vendredi soir en rentrant je trouve l’appartement plongé dans une lumière tamisée et la table à manger dressée avec une jolie nappe, des couverts, deux bougies et au centre un bouquet de roses rouge. Adil sort de la cuisine et dit :
- Adil : Bonsoir chérie, va te changer j’ai préparé un petit diner au chandelle.
- Moi : ah tu es trop gentil tu n’aurais pas dû te déranger.
- Adil : au contraire ça me fait plaisir de m’occuper de toi. Allez va te changer le diner sera prêt dans 45 minutes.
Je me presse de prendre une douche, je mets une jolie robe de soirée rouge avec des bas et porte-jarretelles noirs des escarpins rouge, je me parfume et me maquille. Une fois dans le salon Adil me dévore des yeux, siffle et dit :
- Adil : Wow tu es magnifique, super sexy, le rouge te va à merveille, je vais avoir du mal à me retenir
- Moi : arrêtes n’exagérons rien
- Adil : non mais tu es tellement sexy que je te sauterais bien dessus de suite ha ha ha. Passons à table
Il passe derrière moi et me tire la chaise pour que je m’installe. Il est si prévenant et galant. Le diner est super bon, accompagner de vin rouge. On parle de tout et de rien et il n’arrête pas de me complimenter de temps en temps sur ma beauté, ma tenue…après le diner on part dans le salon, mets de la musique douce et me dit en me tendant la main :
- Adil : m’accordez-vous cette danse ma chère.
Je ne réponds pas, je lui prends sa main et me laisse guider. Il me serre contre lui, j’enroule mes mains autour de sa nuque. On commence à danser un slow et il me murmure à l’oreille :
- Adil : mm en plus tu sens bon
Il approche son visage de mon cou pour mieux sentir mon parfum, je sens son souffle chaud sur mon cou. Il dépose un bisou sur mon cou puis remonte vers ma joue, puis vers ma bouche. Nos lèvres se touchent un moment puis sa langue vient chercher la mienne. Il me serre plus fort pendant le baiser. Je suis aux anges, je me sens bien dans ses bras, protégée, chérie, aimée. Une main me serre contre lui, l’autre caresse mon dos en descendant vers mes fesses. Je frissonne de partout et nous avons tous les deux une érection. Après un long baisé, il me regarde, la main qui était sur ma fesse me caresse la joue et il dit :
- Adil : j’ai trop envie de toi chérie
Je ne sais pas quoi répondre, je baisse les yeux de honte, il me relève la tête et m’embrasse à nouveau. Ça dure comme ça 3 ou 4 slow d’affilé. Puis il prend la bouteille de vin et nos deux verres et me prends par la main et m’emmène vers ma chambre. Il remplit mon verre me le donne et remplis le sien et on trinque :
- Adil : tchin, a nous
Il prend mon verre et le sien et les pose sur la table de chevet, me prend dans ses bras pour m’embrasser à nouveau. On s’embrasse langoureusement, puis lentement me fait allonger sur mon dos. Il se met sur moi et m’embrasse encore. Sa main droit caresse ma cuisse galbée de nylon. Il relève lentement ma robe. Il se redresse légèrement en gardant nos bouches collées, et se déshabille complètement. Nos bouches se séparent, il m’embrasse sur le ventre et descend de plus en plus. De ses deux mains il relève ma robe ensuite il retire mon string et viens prendre mon pénis dans sa bouche pendant qu’il me caresse le ventre et mon buste. Je suis toute excitée et je me cambre en gémissant. Il relâche mon pénis, m’écarte les jambes en les relevant légèrement et vient me lécher mon intimité. Je perds tous mes moyens et je frissonne de partout, ses coups de langue sur mon intimité me rendent folle. Après quelques instants il remonte vers moi, m’embrasse en positionnant son pénis sur mon intimité. Je sens son énorme pénis dur, humide et chaud pousser légèrement sur mon intimité. Je suis crispé, tétanisée et excitée. Il me regarde et dit :
- Adil : cool relaxe toi, n’est pas peur je vais y aller tout doucement.
Il repose sa bouche sur la mienne et me caresse. Avec ses genoux il redresse mes jambes pour avoir un meilleur angle. Il guide mes jambes pour que je les croise sur son dos. Il pousse doucement, la tête de son pénis entre en moi. Je ressens une douleur très vite camouflée par un plaisir énorme. Ma respiration s’accélère, lui s’arrête de pousser et m’embrasse langoureusement. Je suis tellement excitée que je lui rends son baiser avec vigueur et passion. Il se remet à pousser doucement. Je sens son membre chaud et dur me remplir petit à petit. Plus il entre en moi et plus ça me rend dingue d’excitation. Je gémis de plaisir comme une nana. Je le tire vers moi par sa nuque pour l’embrasser encore plus fort. Il continu jusqu’à ce que nos deux corps soient complément coller l’un a l’autre. Je la sens au plus profond de moi, dur, chaude. Il ne bouge plus. Je le serre contre moi avec mes jambes tellement c’est bon. Il commence bouger doucement et entame un va et vient très lent. Mon corps tremble, traversé par des frissons de plaisir intense. Je bande comme je n’ai jamais bandé. Je gémis de plaisir, pendant qu’il fait ses aller retours lent. Il m’embrasse le cou en accélérant la cadence, je continu de gémir comme une femme et je ne sais pas comment c’est sorti mais je lui dis :
- Moi : oui mmm c’est bon vas y
Il continu d’accélérer, se redresse légèrement, m’attrape par les hanches et à chaque fois qu’il entre en moi il ne s’arrête que quand son corps vient buter contre le mien. Je cris littéralement de plaisir, il accélère encore plus le rythme, mon corps tremble de plaisir, je finis par jouir en gémissant sans même me toucher. Quelques secondes après il m’envoi plusieurs giclées chaudes dans mes entrailles. C’était tellement intense et fort que je suis lessivé. Il s’allonge près de moi me regarde et dis :
- Adil : la vache c’était trop bon, tu es magnifique
Je le regarde, l’embrasse et lui répond :
- Moi : Je n’ai jamais joui aussi fort tu sais
- Adil : cool tu as aimé alors.
- Moi : et comment je ne pensais pas que cette partie de mon corps pouvait générer autant de plaisir c’est incroyable
Après un moment Adil se lève passe par les toilettes et vient près de moi et nous serre à boire. Je baisse ma robe et m’assoie pour boire un coup.
- Adil : ça n’est que la première fois, tu verras que ça sera encore meilleur avec le temps et l’apprentissage
- Moi : ah bon tu crois.
- Adil : tu verras, tu seras surprise quand tu vas mieux connaitre ton corps et te lâcher.
On boit deux ou trois verres, puis Adil pose sa main sur ma cuisse galbée de nylon et dit :
- Adil : j’adore te caresser avec les bas, c’est hyper doux en plus tu es très féminine.
- Moi : oui c’est doux et c’est surtout excitant
- Adil : ah bon ça t’excite si je te caresse comme ça
Il passe sa main sur mes cuisse en remontant vers mon intimité. J’écarte légèrement mes jambes pour lui céder le passage et je dis :
- Moi : oui regarde elle se réveille là.
Il continu un moment ses caresses puis se lève tout nu et se met près du lit face à moi et dis :
- Adil : Moi aussi ça m’excite regarde
Il est tout près du lit avec un début d’érection. Et je lui dis :
- Moi : attend je m’occupe d’elle.
Je m’assoie sur le bord du lit et de ma main droite je dirige son pénis droit dans ma bouche. Je n’y ai pas gouté depuis la dernière fois et ça fait 2 ou 3 jours que j’en avais envie. Il pose ses mais derrière ma tête et pousse doucement. J’essaie d’en avaler le maximum, jusqu’à ce que j’ai des hauts le cœur. J’adore ce liquide qui en sort et sa texture en même temps douce, dure et chaude dans ma bouche. Je le pompe ainsi pendant de bonne minutes en gémissant comme une nana. Lui aussi pousse des râles de plaisir. Ça y est l’excitation est à son maximum, aussi bien pour lui que pour moi. Il se retire de ma bouche et me fait retourner sur le lit et me demande de me mettre à 4 pattes. Il me prend par les hanches et vient me pénétrer d’un coup sec. Je pousse un cri et me cambre en arrière. Il entame rapidement des va et vient et son corps vient buter contre le mien. On n’entend plus que nos râles de plaisir et le claquement de son corps sur mes fesses. Pendant qu’il me baise il me donne une claque sur ma fesse droite et le je cri encore plus de plaisir. Je me surprends à dire choses :
- Moi : oh oui oui plus fort
Il continu de me limer fort et je me cambre et me tourne vers lui pour lui faire un baiser, il m’embrasse en me limant toujours aussi intensément. De temps en temps il me donne un coup sur la fesse et ça ne fait qu’augmenter mon excitation.
Je me repenche en avant en posant carrément la tête sur le lit pour mieux la sentir au fond de moi. Puis je me redresse me cambre, il m’attrape par la gorge et me tire vers lui pour m’embrasser tout en me baisant fort. Je cris de plaisir et dis :
- Moi : mmm oui putain que c’est bon, vas-y, vas y
Il accélère le rythme et je commence par avoir un premier orgasme mais interne, j’ai l’impression de jouir de l’intérieur, c’est intense. Je gémis de plaisir comme une vraie nana. Je le sens venir aussi, sauf que cette fois au lieu d’éjaculer en moi, il me fait assoir sur le lit et me donne son pénis pour qu’il jouisse dans ma bouche. Je le prends en bouche, de ma mais droite je le maintien pour le sucer correctement et je me branle de la main gauche. Il finit par jouir dans ma bouche, j’avale tout sans laisser la moindre goute et pendant que je le nettoie de ma langue je jouie dans ma main. Il se penche vers moi m’embrasse et dit :
- Adil : putain que c’était bon, je t’adore
- Moi : tu m’as tué
On finit nos verres et on s’allonge. Lui s’endort aussitôt. Moi je repense à tout ça et la confusion commence à se dissiper. Je me dis, j’ai trop kiffer me faire prendre comme une nana, je n’ai jamais eu autant de plaisir avec une femme. J’ai aussi adorer sucer sa bite, c’est trop bon, en plus Adil est un gars super gentil, prévenant, c’est un homme bien. Sur ces pensées je m’endors aussi profondément.
Le Samedi je me réveille vers 10h30, fatiguée. Adil dort encore. Je me lève doucement pour ne pas le réveiller et je pars prendre une douche. Je suis toute nu sous l’eau chaude quand je sens une présence derrière moi. Je n’ai pas le temps de me retourner, il se colle à moi m’enlace et me dit :
- Adil : Bonjour ma chérie.
Agréablement surprise par la chaleur de nos deux corps collés je lui réponds :
- Moi : Bonjour, bien dormis ?
Lui, en me serrant contre lui et me caressant sous l’eau chaude : oui bébé très bien et toi.
- Moi : oui très bien merci
Il prend le gel douche et vient m’en mettre partout sur le corps. C’est magnifique cette sensation de deux corps qui glissent l’un contre l’autre. Il me caresse ainsi un moment, me tourne la tête pour me donner un baiser, puis me fait cambrer en avant avec les mains sur le mur (comme pour un contrôle de police) et commence à faire glisser son pénis sur ma raie avant de me pénétrer ainsi debout. Je la sens entrer au plus profond de moi et je me cambre bien pour la sentir encore plus en moi. Comme il est plus grand que moi, quand il pousse fort je tiens à peine sur la pointe de mes pieds. Il me lime ainsi pendant un bon moment. Je bande fort et je lance des râles de plaisir. Le rythme s’accélère, il me redresse vers lui, me serre fort en continuant de faire des va et vient d’une puissance telle que mon corps tremble de plaisir. D’une main il me serre, de l’autre il me masturbe pendant qu’il accélère encore plus. Son souffle s’accélère, je gémis comme une nana et dit :
- Moi : mmmmm oui, oui
Et d’un coup il me lance son sperme dans mes entrailles en jouissant fort et en me serrant contre lui. Je jouie en même temps que lui en poussant des cris. Il me fait tourner face à lui, se colle à moi et m’embrasse langoureusement puis dit :
- Adil : c’est une belle façon de se réveiller non ?
Je le regarde, l’embrasse à mon tour et lui dit :
- Moi : on ne peut pas rêver mieux.
Je me rends compte qu’on a fait l’amour 3 fois en une nuit, c’est du jamais vu pour moi. Après le petit déjeuner on est sorti faire une ballade dans un parc pas loin de chez nous puis on a déjeuner dans une petite pizzeria. De retour a la maison Adil me dit :
- Adil : une petite sieste s’impose après cette nuit, non ? qu’en penses-tu ?
- Moi : je ne dirais pas non, je suis lessivée
Il ouvre le canapé lit en face de la Télé, mets un film et on s’allonge.

à suivre