Elle aime me réveiller
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle aime me réveiller
Je suis un gros dormeur et je vis avec une femme très sensuelle. Le matin je me réveille difficilement parce qu'il faut bien aller gagner sa croute. Je ne suis en très grande forme que je soir: je peux veiller tard. Suffisamment tard pour bien baiser mon épouse. Il faut dire que j'ai affaire à une femme particulièrement active. Pour elle le plaisir n'attend pas: dès son réveil elle se masturbe longuement, recommence sous la douche et se met des boules de geisha dont je profite indirectement. Elle me dit qu'elle aime sentir en elle ces objets qui la tiennent en une grande excitation toute la journée pas les mouvements interne. Elle utilise
au bureau un oeuf vibrant qu'elle se met sur le clitoris et elle jouit ainsi encore plusieurs fois.
La vrai fête commence le soir, si nous restons à la maison. Elle est tellement excitée qu'elle se déshabille avant de me demander de la sucer. Elle enlève ses boules qu'après ce premier orgasme que je lui donne. Elle reste nue jusqu'au lendemain matin, avant de partir.
J'aime la voir ainsi vaquer à ses occupations ménagères, surtout quand elle prépare la cuisine où je l'aide comme je peux. Là elle ne porte qu'un simple tout petit tablier de soubrette qui laisse voir tous ses secrets. Je ne peux m'empêcher de lui mettre la main au fesses: elle pousse toujours une petit cri de surprise. Je l'embrasse dans le cou, elle frémit
partout à tel point qu'elle a la chair de poule. Nous ne sortons de la cuisine que pour commencer enfin les choses sérieuses: de sexe à gogo.
Je crois être assez bien monté: 19 centimètres sur 6. Elle aussi est bien montée coté seins. elle fait un bon 90 C. Nous avons donc chacun des avantages certains. C'est bien pour ça que nous aimons baiser.
Nos baises commencent toujours à peu près de la même façon: c'est elle qui vient m'asticoter: comme elle vit nue, elle vient promener ses seins contre mes lèvres quand je suis assis. Je ne résiste jamais à une telle invite. Je lui prend la taille et lui mouille les tétons avant de les sucer. Mes lèvres descendent très lentement le long de son corps enfin
j'arrive sur les petits poils du pubis. Mes mains sont sur ses fesses: j'adore lui mettre mes mains aux fesses: je les caresse toujours très lentement, ça l'excite toujours: elle sait que une main va aller se nicher vers son petit trou. Je ne lui mets jamais comme ça un doigt au
cul: je lui caresse les petite ridules qui entourent son joli cul.
Ma bouche descend encore pour survoler les lèvres de son sexe, lui rentrer le bout de ma langue dans son vagin et enfin aller lui sucer le clitoris. Elle ouvre les jambes pour que je la lèche comme elle aime. Quand je dis que je lui suce le clito, c'est faux: en réalité mes lèvres se pose sur lui et l'aspirent dans la bouche. Il est assez long pour supporter: ma langue ne fait que le lécher. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle ne veut pas que je sorte ma tête d'entre ses jambes avant que je ne l'ai faite jouir au moins deux fois.
Ensuite commence l'autre chanson: elle me veux dans sa bouche. je lui donne volontiers ma queue: elle me fait des fellations d'enfer. Elle peut les faire durer longtemps: elle me caresse les couilles, me met dans le cul un doigt ou deux. Elle sait que même si je jouis je ne débanderais pas et que je pourrais la baiser encore. Malgrè tout elle ne me fait jouir
que rarement comme ça.
Ce qu'elle aime ensuite c'est être baiser pour sentir dans son con la grosseur de ma bite. Juste avant je lui passe un coup de langue sur le con. Simplement pour qu'elle mouille un peu plus. Elle me prend la bite en main pour me diriger et mener mon gland en elle. Je connais ce chemin par coeur, elle tient quand même à me prendre la pine dans sa main.
Elle commence sa sérénade quand je rentre dans sa féminité: au début de ne sont que des oui, oui............... ensuite ces oui se transforme en c'est bon et ensuite en mets la moi à fond, alors que j'y suis justement à fond. Elle finit par hurler, au grand dam des voisins un simple je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis très, très fort. En musique on dirait fortissimo.
Je jouis moi aussi dans son con et si j'y reste, c'est que je ne débande pas encore. Je vise maintenant son arrière train. Elle le sait que j'aime la sodomiser, et je sais qu'elle aime ça. Je traine un peu avant de nous satisfaire: je commence par lui sucer le cul, d'abord autour et ensuite je rentre ma langue de quelques millimètres. Elle me supplie de la lui rentrer plus. Je pointe donc le bout de ma langue et l'enfonce le plus possible. J'ai trop envie de son anus: elle se met en levrette le plus souvent et écarte ses fesses. Je vois ses deux mains sur son postérieur qui attendent que je m'approche. Quand je pose ma queue sur son cul, elle le mouille le plus possible: c'est elle qui me demande d'entrer. Je passe le sphincter sans forcer et lentement je rentre toute la longueur de ma pine en elle. Je lui mets mes 19 centimètre de bite en totalité. Elle dit encore oui, ouiiiiiiii, c'est bon, plus fort, arrête un instant, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis et encore, oui, oui, c'est bon et je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Je sens autour de ma bite ses crispations à chaque jouissance. A la fin je jouis en même temps qu'elle. Si je bande encore, elle veux me lécher la bite pour la nettoyer, sinon, comme elle
en veux encore, elle se fourre le godemiché dans le con. Elle commence à se donner du plaisir seule et me demande de prendre sa place, elle préfère parce que je le fais mieux qu'elle, c'est sa version, je sais moi, qu'elle se branle très bien, m'avoir à sa place est simplement plus excitant.
Nous allons nous coucher en nous embrassant sur les joues. Nous dormons. Souvent elle a envie pendant mon sommeil. Il lui arrive de me mordre les fesses pour que je me réveille.
Elle ne veut pas grand chose: un simple 69 lui suffit. Elle me jouit sur la figure et moi dans sa bouche, nous nous embrassons sur la bouche pour échanger entre nous le goût de l'autre. Quelques fois elle m'en demande ou impose plus: elle veut une baise complète, de son con à son cul, avec des hurlements à chaque jouissance.
Le lendemain elle recommence comme si la nuit elle n'avait absolument pas baisé.
Et un jour elle avoue qu'elle a un secret à me dire: elle était tellement excitée cet après-midi
qu'elle s'est branlée ( jusque là rien de neuf) à son bureau et qu'elle a été surprise par.........une collègue qui lui a fait du chantage: ou tu me suces et je te le fait aussi, ou je dit que c'est toi qui m'a fait des propositions.
Elle a préféré sucer cette fille et finalement n'a pas trouvé que c'était inacceptable: son con avait bon goût. Elle la léché et la fille a jouit. Elle le lui a bien rendu: elle était les fesses sur son bureau, les jambes ouvertes son string écarté et la langue de la collègue a son tour est
venu sur son clitoris. elle lui mettait en plus deux doigts dans le cul et elle a jouit. le revers de cet après-midi est qu'il lui faut maintenant baiser cette fille tous le jours,
sinon..............
Je lui dit que le principal est qu'elle jouisse: ce devait être bien meilleur qu'en se branlant, bien sur, mais quand même , une autre fille.
Je ne sais si l'autre aurait dénoncé mon amie, je suis sur que maintenant qu'elle a goûté au fruit défendu d'un autre con, elle va y prendre une autre façon de baiser, sans doute à part mais, je l'espère avec moi. Je lui demande d'inviter cette collègue à venir un soir à la maison. Je bien précise que je compte baiser cette nouvelle venue. Pourquoi pas si je jouis et que tu continue à ma la mettre au cul.
J'en reparlerai bientôt sans doute, si ça s'est bien passé.
au bureau un oeuf vibrant qu'elle se met sur le clitoris et elle jouit ainsi encore plusieurs fois.
La vrai fête commence le soir, si nous restons à la maison. Elle est tellement excitée qu'elle se déshabille avant de me demander de la sucer. Elle enlève ses boules qu'après ce premier orgasme que je lui donne. Elle reste nue jusqu'au lendemain matin, avant de partir.
J'aime la voir ainsi vaquer à ses occupations ménagères, surtout quand elle prépare la cuisine où je l'aide comme je peux. Là elle ne porte qu'un simple tout petit tablier de soubrette qui laisse voir tous ses secrets. Je ne peux m'empêcher de lui mettre la main au fesses: elle pousse toujours une petit cri de surprise. Je l'embrasse dans le cou, elle frémit
partout à tel point qu'elle a la chair de poule. Nous ne sortons de la cuisine que pour commencer enfin les choses sérieuses: de sexe à gogo.
Je crois être assez bien monté: 19 centimètres sur 6. Elle aussi est bien montée coté seins. elle fait un bon 90 C. Nous avons donc chacun des avantages certains. C'est bien pour ça que nous aimons baiser.
Nos baises commencent toujours à peu près de la même façon: c'est elle qui vient m'asticoter: comme elle vit nue, elle vient promener ses seins contre mes lèvres quand je suis assis. Je ne résiste jamais à une telle invite. Je lui prend la taille et lui mouille les tétons avant de les sucer. Mes lèvres descendent très lentement le long de son corps enfin
j'arrive sur les petits poils du pubis. Mes mains sont sur ses fesses: j'adore lui mettre mes mains aux fesses: je les caresse toujours très lentement, ça l'excite toujours: elle sait que une main va aller se nicher vers son petit trou. Je ne lui mets jamais comme ça un doigt au
cul: je lui caresse les petite ridules qui entourent son joli cul.
Ma bouche descend encore pour survoler les lèvres de son sexe, lui rentrer le bout de ma langue dans son vagin et enfin aller lui sucer le clitoris. Elle ouvre les jambes pour que je la lèche comme elle aime. Quand je dis que je lui suce le clito, c'est faux: en réalité mes lèvres se pose sur lui et l'aspirent dans la bouche. Il est assez long pour supporter: ma langue ne fait que le lécher. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle ne veut pas que je sorte ma tête d'entre ses jambes avant que je ne l'ai faite jouir au moins deux fois.
Ensuite commence l'autre chanson: elle me veux dans sa bouche. je lui donne volontiers ma queue: elle me fait des fellations d'enfer. Elle peut les faire durer longtemps: elle me caresse les couilles, me met dans le cul un doigt ou deux. Elle sait que même si je jouis je ne débanderais pas et que je pourrais la baiser encore. Malgrè tout elle ne me fait jouir
que rarement comme ça.
Ce qu'elle aime ensuite c'est être baiser pour sentir dans son con la grosseur de ma bite. Juste avant je lui passe un coup de langue sur le con. Simplement pour qu'elle mouille un peu plus. Elle me prend la bite en main pour me diriger et mener mon gland en elle. Je connais ce chemin par coeur, elle tient quand même à me prendre la pine dans sa main.
Elle commence sa sérénade quand je rentre dans sa féminité: au début de ne sont que des oui, oui............... ensuite ces oui se transforme en c'est bon et ensuite en mets la moi à fond, alors que j'y suis justement à fond. Elle finit par hurler, au grand dam des voisins un simple je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis très, très fort. En musique on dirait fortissimo.
Je jouis moi aussi dans son con et si j'y reste, c'est que je ne débande pas encore. Je vise maintenant son arrière train. Elle le sait que j'aime la sodomiser, et je sais qu'elle aime ça. Je traine un peu avant de nous satisfaire: je commence par lui sucer le cul, d'abord autour et ensuite je rentre ma langue de quelques millimètres. Elle me supplie de la lui rentrer plus. Je pointe donc le bout de ma langue et l'enfonce le plus possible. J'ai trop envie de son anus: elle se met en levrette le plus souvent et écarte ses fesses. Je vois ses deux mains sur son postérieur qui attendent que je m'approche. Quand je pose ma queue sur son cul, elle le mouille le plus possible: c'est elle qui me demande d'entrer. Je passe le sphincter sans forcer et lentement je rentre toute la longueur de ma pine en elle. Je lui mets mes 19 centimètre de bite en totalité. Elle dit encore oui, ouiiiiiiii, c'est bon, plus fort, arrête un instant, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis et encore, oui, oui, c'est bon et je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Je sens autour de ma bite ses crispations à chaque jouissance. A la fin je jouis en même temps qu'elle. Si je bande encore, elle veux me lécher la bite pour la nettoyer, sinon, comme elle
en veux encore, elle se fourre le godemiché dans le con. Elle commence à se donner du plaisir seule et me demande de prendre sa place, elle préfère parce que je le fais mieux qu'elle, c'est sa version, je sais moi, qu'elle se branle très bien, m'avoir à sa place est simplement plus excitant.
Nous allons nous coucher en nous embrassant sur les joues. Nous dormons. Souvent elle a envie pendant mon sommeil. Il lui arrive de me mordre les fesses pour que je me réveille.
Elle ne veut pas grand chose: un simple 69 lui suffit. Elle me jouit sur la figure et moi dans sa bouche, nous nous embrassons sur la bouche pour échanger entre nous le goût de l'autre. Quelques fois elle m'en demande ou impose plus: elle veut une baise complète, de son con à son cul, avec des hurlements à chaque jouissance.
Le lendemain elle recommence comme si la nuit elle n'avait absolument pas baisé.
Et un jour elle avoue qu'elle a un secret à me dire: elle était tellement excitée cet après-midi
qu'elle s'est branlée ( jusque là rien de neuf) à son bureau et qu'elle a été surprise par.........une collègue qui lui a fait du chantage: ou tu me suces et je te le fait aussi, ou je dit que c'est toi qui m'a fait des propositions.
Elle a préféré sucer cette fille et finalement n'a pas trouvé que c'était inacceptable: son con avait bon goût. Elle la léché et la fille a jouit. Elle le lui a bien rendu: elle était les fesses sur son bureau, les jambes ouvertes son string écarté et la langue de la collègue a son tour est
venu sur son clitoris. elle lui mettait en plus deux doigts dans le cul et elle a jouit. le revers de cet après-midi est qu'il lui faut maintenant baiser cette fille tous le jours,
sinon..............
Je lui dit que le principal est qu'elle jouisse: ce devait être bien meilleur qu'en se branlant, bien sur, mais quand même , une autre fille.
Je ne sais si l'autre aurait dénoncé mon amie, je suis sur que maintenant qu'elle a goûté au fruit défendu d'un autre con, elle va y prendre une autre façon de baiser, sans doute à part mais, je l'espère avec moi. Je lui demande d'inviter cette collègue à venir un soir à la maison. Je bien précise que je compte baiser cette nouvelle venue. Pourquoi pas si je jouis et que tu continue à ma la mettre au cul.
J'en reparlerai bientôt sans doute, si ça s'est bien passé.
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