Elle me prostitue - histoire érotique

J'ai exécuté le voeu de mon Essentielle, je vous livre ce récit en m'adressant à elle, c'est également son souhait de le voir publié :

C'est une journée ensoleillée.
À ta demande, je flâne à l'orée de ce bois de Boulogne Lillois où se croisent joggeurs, famille, flâneurs et amoureux.
Moi, je suis d'une autre sorte, tu l'as voulu ainsi.
Tantôt assis sur un banc,tantôt faisant les cent pas, je m'arrête parfois, accoudé à un arbre, mimant la consultation d'un sms.
Aux observateurs les plus attentifs ça n'échappe pas que je maraude, sur un espace que j'ai volontairement délimité et qui me semble être assez grand pour ne pas éveiller les soupçons des flics en civils, qui doivent rôder dans le parc mais assez restreint pour être toujours dans le collimateur des éventuels hommes en chasse.
À l'occasion d'une halte sur un tronc couché qui fait office de banc public, un homme me dérange dans la consultation d'un quelconque message téléphonique :
- Je peux prendre place ?
- Tremblant, je lâche prestement un "oui" un peu trop fort à mon goût, de peur de la suite, conscient de la folie que j'ai accepté de réaliser pour assouvir ton désir de m'abaisser.
- Vous attendez quelqu'un peut-être ?
- ... Je cherche de la compagnie.
Tu me l'avais donné cette réplique, elle a claqué dans ma tête comme un coup de fouet, la suite sera plus claire maintenant.
- de la compagnie que m'a demandé de trouver ma dominatrice, poursuivis je, tout aussi rapidement.
L'homme devant moi, une petite quarantaine, assez épais à un léger sursaut, il est encore plus surpris que moi même je pense, mais il a faim !
-Tu racoles ?
- Vous-êtes de la Police ?
- Pas du tout !
Alors j'explique
- Nous échangeons principalement par SMS, ou par mails, parfois en vocal.
Je lui appartiens, elle aime me soumettre et m'a demandé de trouver un ami masculin pour lui apporter le réconfort d'un moment.
Surpris mais inquisiteur, il me lance après un petit temps de réflexion :
- Prouve moi ça !
Il pose une main sur mon genou.
Je t'envoie un SMS, mes mains tremblent atrocement.
- Yep.
- Hey.
- Tu veux bien parler un peu avec un homme que je viens de rencontrer ?
L'homme regarde nos échanges par dessus mon épaule, de loin les promeneurs voient deux amis regardant un écran, rien d'anormal.
Tu me réponds :
- PASSE LE MOI !
Il prend le téléphone, pianote, attend, lit.
Le temps est interminable, pourtant cinq minutes se sont écoulées tout au plus.
Je ne vois pas vos échanges puis...
Après m'avoir rendu le téléphone, il a effacé toute votre conversation :
- Suis moi, nous attendons un appel me dit-il.
Marche,
attente,
sonnerie.
Enfin.
Nous sommes sortis du bois, sur un pont qui enjambe la Deule, je décroche et tu me dis :
- Mets le haut parleur mon Amour !
Je m'exécute.
- Bonjour, je vous propose de passer un moment avec mon bien, mon chien pardon, vous êtes là pour ça non ?
- Je l'emmène déjà chez moi.
- Ce cochon me confesse souvent l'envie de goûter une vraie queue, je vous le fais pour 50€ la passe.
Seriez-vous prêt à m'offrir ce plaisir de l'entendre vous avaler entièrement ?
Il est docile et volontaire quoique puceau de toute expérience avec un homme.
- ce n'est pas une pipe que je veux, c'est son cul !
Alors je t'entends me négocier.
- c'est beaucoup plus cher de dépuceler une catin, que diriez vous de... 51€ ?
Je flagelle sur mes jambes,
1 € de plus pour mon cul !
Je vais saigner avoir mal...
Je pense à moi là, je me reprends, tu n'aimes pas ça, seul ton plaisir importe.
Il te répond :
- Que diriez vous de cinq euros plutôt ? Ça semble suffisant pour un coup avec un débutant.
- J'attends ça avec impatience !
- Rappelez moi vite.
Il me rend mon téléphone.
- Mon Amour,
- Tu as la monnaie bien sûr ?
- Bip bip bip...

15 minutes se sont écoulées, nous rentrons dans un appartement, un peu en désordre, relativement propre.
Nous avons à peine parlé sur la route, il m'a posé deux questions, j'ai tenté de réfréner ma peur, une vraie pucelle, en effet.
- Enlève ton pantalon et mets toi à quatre pattes sur le lino.
Je t'appelle sur haut parleur, après trois sonneries :
- Allô
Ta voix est émue comme à notre premier appel,
je te retrouve comme au premier jour mon Amour, alors je pose le téléphone prêt de moi.
L'homme est derrière moi, il me caresse le cul et rapidement écarte mes fesses .
Il parle fort pour que tu l'entendes bien :
- C'est encore bien serré,
je vais vous le défoncer,
j'adore les culs serrés.
- Superbe !
Je suis ébahi de ta réponse,
Je penche la tête vers le bas quand il m'agrippe les hanches.
Je sens ses doigts me fouiller et carrément écarté mon trou, comme si il voulait le déchirer, j'ai mal, c'est très rude.
Ma queue reste molle.
D'un coup de poing violent dans les reins, il me cambre, la douleur et la surprise me surprennent,
mais pas autant que la première longueur qu'il me met dans la même seconde.
II en a profité pour empaler la moitié de sa queue dans mon cul.
Tu as tout entendu ma respiration courte, mes gémissements et mon cri de douleur et son énorme cri
- TIENS !
Je reconnais le son que j'entends, tu es à point et tu commences à jouer avec ton clito gonflé.
Ça y est, il commence à se retirer, juste un peu, pour se renfoncer plus loin, j'essaie de me détendre, je perds la tête, il force un peu il ne gagne rien me semble-t-il, nous entendons tous deux son râle, tu es excité, je subis, sa main gauche appuie sur mon épaule.
Je reconnais ce geste, je le faisais également, quand je savais encore monter une fille et que je voulais tout mettre.
Je plonge la tête, pousse un peu pour élargir et assouplir au maximum mon anus et enfin, une explosion, sa queue fait tout craquer, il rentre entièrement en moi, je le sens fort.
- Oh PUTAIN !!!
Je hurle, Il me lime.
Toi je ne t'entends plus, tu dois écouter ou j'ai perdu l'ouïe.
Il me bourre, accélère et alors que je redresse la tête un peu, je regarde le téléphone quand je t'entends crier de plaisir, tu jouis puissamment en même temps que pour la première fois, je découvre ce que c'est de se faire décharger dans le cul.
Il gicle énormément, j'ai chaud.
Ma queue est raide et suinte
Quand il se retire, il me claque les fesses
Tu me dis :
- Raccroche maintenant, on a notre compte.

-Dégage de chez moi, Catin !
Mais on n'en a pas fini ensemble...
me lance cet homme qui vient de me défoncer.
Je sors sans claquer la porte, je t'ai fait jouir comme tu le désirais depuis si longtemps, je suis heureux.
Et inconscient de la suite.