Le pont du 14
Récit érotique écrit par GingerSoum [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le pont du 14
Tu me réveilles d'un coup de pied, à peine appuyé, presque tendre.
Je ne tarde pas à me glisser hors du lit.
Nous sommes le Lundi 13 juillet 2026, je fais le pont.
je sors de la chambre directement sur la terrasse, l'air est doux, je m'étires, sur la pointe des pieds, bras jetés au ciel.
Vite, je me passe le visage au tuyau d'arrosage pour effacer les stigmates du sommeil.
Je m'allonge sur la pelouse qui commence à griller au milieu de cet été brulant.
Tu sors de la chambre, sembles jouer avec tes cheveux que tu remets en place, ils sont un peu plus longs qu'à l'accoutumé.
Tu regardes loin devant, marches doucement vers moi sans me regarder.
Quand tu t'immobilises au dessus de moi, je peux admirer ton sexe libre sous ton T-Shirt long,
tu t'accroupis au dessus de mon visage, baisses les yeux et les plantes dans les miens,
je vais recevoir ton urine en plein visage.
Tu t'écartes les lèvres pour que je puisse bien voir ton méat urinaire, enfin tu te soulages,
ton jet est brulant, je suis trempé, ma bouche mon visage, l'urine coule sur mon torse.
"Essuie !"
Je m'exécute et lape ton sexe pour que tu n'aies pas d'inconfort ni de mauvaises odeurs qui puissent te déranger.
"Tu me rejoindras quand tu auras fini de tout ranger"
tu repars comme une Déesse, t'allonger.
Je profite du moment seul pour replacer mon sexe comprimé depuis 15 jours maintenant dans cette mini cage que nous avons commander chez CHILI HOT.
Ma queue ne bande plus à chaque sollicitation, elle ne se débat plus.
Je me douche au tuyau, je me sèche en prenant une serviette sur le fil, elle est déjà chaude des premiers rayons du soleil.
Je viens m'allonger près de toi.
Ton corps est doux et chaud, j'aime m'y blottir, je te sers contre moi.
"Assez revassé jeune homme, tu sais ce que tu dois faire, exécute toi, immédiatement "
Je me glisse au bout du lit, tu écartes les cuisses, et je plonge mon visage entre.
Tu mouilles, tu es trempée, à qui penses-tu pour être dans cet état ?
Je me débats, je n'arrive pas à bien happer ton bouton je suce j'avale je ne sais pas comment positionner mes bras, tu t'impatientes.
"T'ES QU'UN BIDET ?"
Tu me repousses.
"Donnes moi mon téléphone chéri, et va préparer mon petit déjeuner, pas trop grillé le pain Nordique et le miel d'acacia ce matin."
...
C'est quand j'ai fini mon café, que tu lèves la tête de ton écran, tu as finis tes tartines machinalement sans apprécier l'accacia, tu m'offres un superbe sourire maintenant et tout en sirotant ton Christine Dattner, tu me lâches, pensive :
"Repassage, vitres, poussière.
J'aurais envie de dormir dans des draps propres aussi, si je rentre ce soir.
Je file me préparer, je vais le retrouver pour la journée, cinéma, restaurant, vu comme il m'a déjà fait mouiller là, je ne sais pas si j'arriverai à attendre l'obscurité de la salle pour le sucer.
Tu t'exécutes chéri ? Je vais me faire baiser par un vrai mec, mais ne t'inquiète pas, je penserai à toi, sois en sûr. Toi tu vas me préparer un beau nid douillet pour mon retour, je serai exténuée, j'aurais besoin de repos."
Je te vois prête à partir après une bonne heure de préparation, j'ai attendu sagement, en préparant mes divers tâches de la journée, sans trop m'y investir pour ne pas que tu aies le sentiment que l'instant est lourd pour moi, je ne veux pas gâcher ton moment détente.
Alors que je plie les sacs plastiques, tu sais que ça m'aide à me concentrer, tu t'approches et tourne sur toi même.
"Tu es sublime mon Cœur, tu vas faire un carnage"
Tu viens m'embrasser :
"Je t'aime Jacob, travaille bien, tu es un bon ouvrier, tu vas faire des miracles de cette maison négligée, je l'espère bien.
Puisque tu ne sais pas me faire jouir correctement, au moins, occupe toi de mon confort, Moi je m'occupe de notre plaisir ! Parce qu'on est d'accord Lopette ? T'aime ça n'est ce pas quand j'ai dû plaisir ?" Tu me regardes fixement, remonte ta poitrine, pour me provoquer, tu finis par jeter un œil sur la cage, "si j'ai raison de t'imposer la nudité, je finirai par me demander pourquoi tu portes une cage, regarde toi, tu ne bande même pas"...
Je ne tarde pas à me glisser hors du lit.
Nous sommes le Lundi 13 juillet 2026, je fais le pont.
je sors de la chambre directement sur la terrasse, l'air est doux, je m'étires, sur la pointe des pieds, bras jetés au ciel.
Vite, je me passe le visage au tuyau d'arrosage pour effacer les stigmates du sommeil.
Je m'allonge sur la pelouse qui commence à griller au milieu de cet été brulant.
Tu sors de la chambre, sembles jouer avec tes cheveux que tu remets en place, ils sont un peu plus longs qu'à l'accoutumé.
Tu regardes loin devant, marches doucement vers moi sans me regarder.
Quand tu t'immobilises au dessus de moi, je peux admirer ton sexe libre sous ton T-Shirt long,
tu t'accroupis au dessus de mon visage, baisses les yeux et les plantes dans les miens,
je vais recevoir ton urine en plein visage.
Tu t'écartes les lèvres pour que je puisse bien voir ton méat urinaire, enfin tu te soulages,
ton jet est brulant, je suis trempé, ma bouche mon visage, l'urine coule sur mon torse.
"Essuie !"
Je m'exécute et lape ton sexe pour que tu n'aies pas d'inconfort ni de mauvaises odeurs qui puissent te déranger.
"Tu me rejoindras quand tu auras fini de tout ranger"
tu repars comme une Déesse, t'allonger.
Je profite du moment seul pour replacer mon sexe comprimé depuis 15 jours maintenant dans cette mini cage que nous avons commander chez CHILI HOT.
Ma queue ne bande plus à chaque sollicitation, elle ne se débat plus.
Je me douche au tuyau, je me sèche en prenant une serviette sur le fil, elle est déjà chaude des premiers rayons du soleil.
Je viens m'allonger près de toi.
Ton corps est doux et chaud, j'aime m'y blottir, je te sers contre moi.
"Assez revassé jeune homme, tu sais ce que tu dois faire, exécute toi, immédiatement "
Je me glisse au bout du lit, tu écartes les cuisses, et je plonge mon visage entre.
Tu mouilles, tu es trempée, à qui penses-tu pour être dans cet état ?
Je me débats, je n'arrive pas à bien happer ton bouton je suce j'avale je ne sais pas comment positionner mes bras, tu t'impatientes.
"T'ES QU'UN BIDET ?"
Tu me repousses.
"Donnes moi mon téléphone chéri, et va préparer mon petit déjeuner, pas trop grillé le pain Nordique et le miel d'acacia ce matin."
...
C'est quand j'ai fini mon café, que tu lèves la tête de ton écran, tu as finis tes tartines machinalement sans apprécier l'accacia, tu m'offres un superbe sourire maintenant et tout en sirotant ton Christine Dattner, tu me lâches, pensive :
"Repassage, vitres, poussière.
J'aurais envie de dormir dans des draps propres aussi, si je rentre ce soir.
Je file me préparer, je vais le retrouver pour la journée, cinéma, restaurant, vu comme il m'a déjà fait mouiller là, je ne sais pas si j'arriverai à attendre l'obscurité de la salle pour le sucer.
Tu t'exécutes chéri ? Je vais me faire baiser par un vrai mec, mais ne t'inquiète pas, je penserai à toi, sois en sûr. Toi tu vas me préparer un beau nid douillet pour mon retour, je serai exténuée, j'aurais besoin de repos."
Je te vois prête à partir après une bonne heure de préparation, j'ai attendu sagement, en préparant mes divers tâches de la journée, sans trop m'y investir pour ne pas que tu aies le sentiment que l'instant est lourd pour moi, je ne veux pas gâcher ton moment détente.
Alors que je plie les sacs plastiques, tu sais que ça m'aide à me concentrer, tu t'approches et tourne sur toi même.
"Tu es sublime mon Cœur, tu vas faire un carnage"
Tu viens m'embrasser :
"Je t'aime Jacob, travaille bien, tu es un bon ouvrier, tu vas faire des miracles de cette maison négligée, je l'espère bien.
Puisque tu ne sais pas me faire jouir correctement, au moins, occupe toi de mon confort, Moi je m'occupe de notre plaisir ! Parce qu'on est d'accord Lopette ? T'aime ça n'est ce pas quand j'ai dû plaisir ?" Tu me regardes fixement, remonte ta poitrine, pour me provoquer, tu finis par jeter un œil sur la cage, "si j'ai raison de t'imposer la nudité, je finirai par me demander pourquoi tu portes une cage, regarde toi, tu ne bande même pas"...
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