Il y a du monde ici !

Récit érotique écrit par GingerSoum [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Il y a du monde ici !
À peine la porte fermée je m'empresse de repasser, la grosse chaleur n'est pas encore installée, au moins pourrai je me rafraîchir par la suite en lavant à grandes eaux, parce que je ne compte pas me contenter des tâches que tu m'as imposé, il faut que j'occupe mon esprit pour ne pas devenir dingue, ne pas t'imaginer tomber amoureuse, ne pas te perdre, il faut que tu te sentes heureuse de rentrer.
Un véritable soldat, je ne supporterais même pas de la musique, je dois être concentré sur ma tâche,
Un robot, toutes ces tâches qui me répugnent tant elles sont infinies et répétitives, je les enchaîne une après l'autre.
Il est maintenant 23 heures je suis abattu, ivre de fatigue, affamé, je n'ai même pas pensé à manger, mon téléphone sonne.
"Tu devineras jamais où on est ?
Dans ce nouveau bar dont le patron à les mains si expertes, tout le monde veut te rencontrer, j'espère que tu n'as pas mangé encore, ici on te promet un buffet à volonté, c'est feux d'artifice !
Ne me remercie pas, DÉPÊCHE TOI maintenant !"
Une demie-heure après, juste eu le temps de me doucher et d'enfiler un pantalon de lin et la chemise écrue assorti, je pousse la porte.
Accoudée, comme un homme, tu es au centre de l'attention !
Le patron est derrière le bar, j'avance, une serveuse vient descendre les volets, verrouiller la porte. Soirée privée.
Sept hommes, trois femmes, le patron et Toi, tu irradies l'assemblée.
"Et voilà mon chéri " balances tu goguenarde.
"Bonsoir Judas" balance une des femmes hilarde, ça rit, ça gesticule, on m'indique une table seule dans un coin,
il y a un verre de menthe à l'eau et une chaise. Je m'assois, tu te lèves, t'avances, alors que tu te penches sur moi pour m'embrasser tu me glisses à l'oreille, "profite".
Un premier homme, ton voisin de droite, s'approche et je l'entends te dire :
"Je vais bien le baiser, ne t'inquiète pas, je vais en faire une vraie putain "
Tu retournes au bar.
Je suis complètement bloqué, me voilà seul face à un homme à qui tu m'as confié pour qu'il me baise. Pétri de peur. Il parle de moi au féminin.
"Elle a peur la petite lopette ? "
"Non", ma voix tremble,
à l'avenir je vais me taire et acquiescer plutôt qu'elle ne me ridiculise de la sorte.
"accompagne moi"
Je suis l'homme.
il me demande de l'attendre.
Je suis debout à attendre, ridicule,
tout le monde peut me voir, je me tourne vers le bar, tu roules une pelle au patron deux des filles se gouinent doucement,
les hommes parlent et la dernière femme toutes en rondeurs se lève et vient vers moi,
elle s'arrête à ma hauteur, me gifle violemment et arrache mon pantalon.
Je suis stupéfait, je ne m'y attendais pas
"Lopette, petite pute ! qu'est ce que tu fais encore habillé"
Je me baisse pour remonter mon pantalon et je prends un coup de pied dans le service.
"T'aimes ça parait-il, ça tombe bien on a carte blanche"
La porte privée s'ouvre, il sort avec deux cordes à la main, on me pousse dans les WC.
Rapidement je suis déshabillé et entravé très serré, c'est la première fois, je suis complètement bouleversé.
Les mains dans le dos, les jambes entravées par deux bracelets chacun à l'extrémité d'une longue barre on me pli en deux, la Vénus aux formes généreuses sort alors de son sac un plug énorme, après lui avoir craché dessus, elle joue avec en massant mon anus, elle tourne autour de mon trou et commence à forcer pour le faire rentrer, elle sent que ça résiste,
"détends toi", je me penche, je l'entends cracher et me l'enfonce avec une force toute mesurée, elle appuie progressivement sans s’arrêter une véritable force hydraulique, ce ne sont pas des rondeurs, ceux sont des muscles !
Elle force je ne peux pas résister, mon anus s'ouvre, elle crache elle pousse et m'encule magistralement, c'est douloureux, mais enfin en place.
Pendant ce temps l'homme s'est mis à l'aise sur le bord du lavabo, il attendait, une queue monstrueusement gonflée
"allez approche toi, vient là ma jolie, oui c'est bien ouvre bien la bouche et bouffe moi la queue"
Je pompe, j'avale tout son gland, puis la hampe, il me prend la tête et me baise littéralement la bouche, je suffoque, je suis un objet, un vide couilles, en effet une merveilleuse décharge de foutre m’inonde la bouche les lèvres le visage.
Durant ce temps ma geôlière qui n'a rien ratée de la scène :
"t'as lair douée Trainée"
elle me pousse dans les wc à la turque
"allonge toi à ta place"
Je suis allongé dans les toilettes elle appuie ma tête bien au fond l'arrière du crâne dans le trou"
J'ai honte, la faience froide se réchauffe, je me sens miraculeusement bien.
je m'entends lui dire
"Là oui, je suis à ma place"
"Je le savais, un plug dans le cul tu résistes à rien nous a dit ta Femme"
Maintenant tu vas continuer ce que tu as entrepris aujourd'hui, faire le ménage et laver, vider les surplus, et comme tu n'a pas touché ta menthe à l'eau, je vais commencer par te servir une bonne dose de ce dont ta Déesse aime tant t'abreuver"
"Ouvre ta bouche salope, j'ai envie de pisser, et il y a du monde derrière moi qui attend !"
Je redresse un peu la tête, tu es derrière elle une main sur son épaule, tu me souris, je suis serein, d'un seul coup plus aucune crainte, je n'ai plus peur tu me souris.
"je te laisse petite queu, on m'attend pour une bonne partie de baise, je vois que tu es bien installée, c'est bien tu m'as obéis, je vois que tu profites"
Tes derniers mots sont prononcé sous les premiers jets de pisse de la lutteuse,
elle m’inonde entièrement, ma bouche est pleine, elle se déplace pour bien me salir entièrement les yeux me piquent elle s'essuie la chatte rugueusement sur ma bouche, elle n'a pas de poil.
"tu vas mieux en profiter tout à l'heure, j'ai une forte capacité à garder le foutre de mes amants , j'ai un périnée bien solide, pas comme le tiens que j'ai démonté aisément"
elle se lève, sort une craie et fait un baton sur la porte.
c'est la première me semble t-il.
La suite si vous le désirez, dites en commentaire.
Un véritable soldat, je ne supporterais même pas de la musique, je dois être concentré sur ma tâche,
Un robot, toutes ces tâches qui me répugnent tant elles sont infinies et répétitives, je les enchaîne une après l'autre.
Il est maintenant 23 heures je suis abattu, ivre de fatigue, affamé, je n'ai même pas pensé à manger, mon téléphone sonne.
"Tu devineras jamais où on est ?
Dans ce nouveau bar dont le patron à les mains si expertes, tout le monde veut te rencontrer, j'espère que tu n'as pas mangé encore, ici on te promet un buffet à volonté, c'est feux d'artifice !
Ne me remercie pas, DÉPÊCHE TOI maintenant !"
Une demie-heure après, juste eu le temps de me doucher et d'enfiler un pantalon de lin et la chemise écrue assorti, je pousse la porte.
Accoudée, comme un homme, tu es au centre de l'attention !
Le patron est derrière le bar, j'avance, une serveuse vient descendre les volets, verrouiller la porte. Soirée privée.
Sept hommes, trois femmes, le patron et Toi, tu irradies l'assemblée.
"Et voilà mon chéri " balances tu goguenarde.
"Bonsoir Judas" balance une des femmes hilarde, ça rit, ça gesticule, on m'indique une table seule dans un coin,
il y a un verre de menthe à l'eau et une chaise. Je m'assois, tu te lèves, t'avances, alors que tu te penches sur moi pour m'embrasser tu me glisses à l'oreille, "profite".
Un premier homme, ton voisin de droite, s'approche et je l'entends te dire :
"Je vais bien le baiser, ne t'inquiète pas, je vais en faire une vraie putain "
Tu retournes au bar.
Je suis complètement bloqué, me voilà seul face à un homme à qui tu m'as confié pour qu'il me baise. Pétri de peur. Il parle de moi au féminin.
"Elle a peur la petite lopette ? "
"Non", ma voix tremble,
à l'avenir je vais me taire et acquiescer plutôt qu'elle ne me ridiculise de la sorte.
"accompagne moi"
Je suis l'homme.
il me demande de l'attendre.
Je suis debout à attendre, ridicule,
tout le monde peut me voir, je me tourne vers le bar, tu roules une pelle au patron deux des filles se gouinent doucement,
les hommes parlent et la dernière femme toutes en rondeurs se lève et vient vers moi,
elle s'arrête à ma hauteur, me gifle violemment et arrache mon pantalon.
Je suis stupéfait, je ne m'y attendais pas
"Lopette, petite pute ! qu'est ce que tu fais encore habillé"
Je me baisse pour remonter mon pantalon et je prends un coup de pied dans le service.
"T'aimes ça parait-il, ça tombe bien on a carte blanche"
La porte privée s'ouvre, il sort avec deux cordes à la main, on me pousse dans les WC.
Rapidement je suis déshabillé et entravé très serré, c'est la première fois, je suis complètement bouleversé.
Les mains dans le dos, les jambes entravées par deux bracelets chacun à l'extrémité d'une longue barre on me pli en deux, la Vénus aux formes généreuses sort alors de son sac un plug énorme, après lui avoir craché dessus, elle joue avec en massant mon anus, elle tourne autour de mon trou et commence à forcer pour le faire rentrer, elle sent que ça résiste,
"détends toi", je me penche, je l'entends cracher et me l'enfonce avec une force toute mesurée, elle appuie progressivement sans s’arrêter une véritable force hydraulique, ce ne sont pas des rondeurs, ceux sont des muscles !
Elle force je ne peux pas résister, mon anus s'ouvre, elle crache elle pousse et m'encule magistralement, c'est douloureux, mais enfin en place.
Pendant ce temps l'homme s'est mis à l'aise sur le bord du lavabo, il attendait, une queue monstrueusement gonflée
"allez approche toi, vient là ma jolie, oui c'est bien ouvre bien la bouche et bouffe moi la queue"
Je pompe, j'avale tout son gland, puis la hampe, il me prend la tête et me baise littéralement la bouche, je suffoque, je suis un objet, un vide couilles, en effet une merveilleuse décharge de foutre m’inonde la bouche les lèvres le visage.
Durant ce temps ma geôlière qui n'a rien ratée de la scène :
"t'as lair douée Trainée"
elle me pousse dans les wc à la turque
"allonge toi à ta place"
Je suis allongé dans les toilettes elle appuie ma tête bien au fond l'arrière du crâne dans le trou"
J'ai honte, la faience froide se réchauffe, je me sens miraculeusement bien.
je m'entends lui dire
"Là oui, je suis à ma place"
"Je le savais, un plug dans le cul tu résistes à rien nous a dit ta Femme"
Maintenant tu vas continuer ce que tu as entrepris aujourd'hui, faire le ménage et laver, vider les surplus, et comme tu n'a pas touché ta menthe à l'eau, je vais commencer par te servir une bonne dose de ce dont ta Déesse aime tant t'abreuver"
"Ouvre ta bouche salope, j'ai envie de pisser, et il y a du monde derrière moi qui attend !"
Je redresse un peu la tête, tu es derrière elle une main sur son épaule, tu me souris, je suis serein, d'un seul coup plus aucune crainte, je n'ai plus peur tu me souris.
"je te laisse petite queu, on m'attend pour une bonne partie de baise, je vois que tu es bien installée, c'est bien tu m'as obéis, je vois que tu profites"
Tes derniers mots sont prononcé sous les premiers jets de pisse de la lutteuse,
elle m’inonde entièrement, ma bouche est pleine, elle se déplace pour bien me salir entièrement les yeux me piquent elle s'essuie la chatte rugueusement sur ma bouche, elle n'a pas de poil.
"tu vas mieux en profiter tout à l'heure, j'ai une forte capacité à garder le foutre de mes amants , j'ai un périnée bien solide, pas comme le tiens que j'ai démonté aisément"
elle se lève, sort une craie et fait un baton sur la porte.
c'est la première me semble t-il.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chacun ses goûts et ses attentes. Moi il me plait ce Jacob. J'aimerais bien savoir s'il y a eu d'autres bâtons sur cette porte.
De l'humiliation, de torture et de sexe en plus serais pas mal du tous.
Les femmes soie les pires sadiques et que les mec soit les plus crad.
Les femmes soie les pires sadiques et que les mec soit les plus crad.
c'est nul, on attend du sexe
Histoire beaucoup trop romantique, limite fleur bleue (...)

