Elles disent oui à tout. - histoire érotique

Elles sont trois copines qui, très chaudes, adorent baiser, à près tout c'est normal. Chacune a sa spécialité. Claude adore sucer les bites et se faire sucer, de préférence par une femme. La deuxième, Julie, aime les doubles pénétrations. La dernière Claire aime baiser tout simplement quelque soit le sexe ou l'endroit où elle se fait prendre. Les trois se masturbent souvent, quelque fois seule, mais souvent ensemble: l'atmosphère est plus chaude et surtout elle peuvent se voir et donner des envies aux copines. Il est très rare qu'une des filles reçoive seule. Ou alors le ou la participante doit partager avec les autres: c'est la règles non écrite.
Leur intérieur est décoré de sexe de femmes ou d'hommes en érection ou de couples baisant. Bien en vue sont disposés les divers objets sexuels qu'elles se partagent. Le visiteur dès sa rentrée sait à qui il a affaire. Ces femmes sont jeunes, entre 20 et 25 ans. Elles se sont rencontrées dans une soirée dégénérant en partouze. Cette soirée était la première où elles se font fait l'amour. Rapidement elles se sont installées ensembles. Depuis rares sont les nuits calmes.
Les réveils sont très sexuels: elle ne peuvent déjeuner que nues. C'est presque toujours Claire qui ouvre la porte à l'organisation de la première baise matinale: Elle aime bien en buvant son café au lait se mettre un main sur le sexe et ouvrir les cuisses pour se toucher le clitoris. Elle s'exhibe pour bien montrer aux copines ce qu'elle se fait. Julie l'imite et jouit rapidement. Quand à Claude elle va chercher un godemiché, s'assoit, s'ouvre bien ses jambes, pose ses pieds sur la table et se baise. Bien entendu les autres ne perdent pas une miette de sa masturbation. D'autant plus que Claude change souvent d'envie, une fois dans le con et une autre fois dans le cul.
Ensuite elles font leurs toilettes et c'est encore le moment de se donner du plaisir: A tour de rôle elles prennent un bain et bien sur elles se branlent dans l'eau chaude. Les autres n'ont droit qu'à une douche à deux. Mais c'est encore le moment d'astiquer la chatte de sa camarade.
Elles vont travailler et sortent à 17 heures. C'est enfin l'heure de chercher un ou une partenaire pour baiser. Les jours sans sont très rares. Dans ce cas elles sont bien obligées de s'occuper entre elles. La plus contente est Claude qui aime mieux une langue féminine sur son con. Elle désigne celle qui devra la sucer. Elle n'a jamais eu de refus. Elles sont suffisamment chaudes pour aider une copine en prenant soit même du plaisir. Celle qui suce est branlée par un godemiché. Et celle qui manie l'engin s'en met un autre dans le con.
Un soir de la semaine dernière, elles avaient invité plusieurs copains et copines à venir chez elles pour une belle partouze. Le salon était recouvert de coussins pour permettre aux gens de baiser à l'aise. Elles on reçu une dizaine de personnes. Claude disait que s'il fallait qu'elles baisent tous les participants elles en aurait pour plus d'une nuit. C'était Julie qui ouvrait la porte en embrassait sur la bouche, homme ou femmes qui arrivait. Ensuite Claire faisait les présentations. A ce moment là les couples provisoires se formaient. Claude, elle cherchait celui qui aurait une bonne grosse bite pour la sucer, et une fille qui accepterait de venir lui faire un cunnilingus. Elle trouvait plus facilement l'homme avec la bite qui lui convenait qu'une fille candidate. Elle trouvait toutefois son bonheur. Elle repérait un type bien monté. Et elle voyait une femme d'une trentaine d'année qui avait une belle paire de nichons. Mais cette fille était en train de baiser avec un gars de son âge qu'elle connaissait certainement. Elle avait pris son futur amant pas la main et lui expliquait qu'elle voulait être sucée par la fille repérée. Ils attendaient: Claude branlait doucement la grosse bite et enfin la femme visée jouissait: elle baisait et maintenant elle devait sucer une fille qu'elle ne connaissait absolument pas.
Mais une partouze est une partouze. Elle allait donc donner du plaisir à Claude. Celle-ci s'installait de telle façon qu'elle ai les jambes suffisamment écartées pour que cette fille puisse la sucer et qu'elle même puisse sucer cette bite et avaler le sperme. Elle avait enfin ce qu'elle voulait: une bite et un langue. La langue féminine lui passait tout le long de l'abricot. La femme savait bien sucer une chatte. Elle en était très excitée: elle se branlait et le trio jouissait ensemble. Pour Claude à la recherche d'une autre langue experte ne trouvait que celle d'un homme qui la faisait jouir aussi bien qu'une femme. Elle baisait de plus avec son suceur. Il baisait tellement bien qu'elle lui demandait de la lui mettre dans le cul. Il l'enculait et de plus la branlait. Elle était au septième ciel. Elle lui proposait de se revoir ailleurs: elle ne voulait pas le partager.
Julie de son coté baisait avec un couple d'homos ou bi et avait dans le con la bite du bi et dans le cul celle de l'homo. Elle avait repéré le couple en les regardant se faire l'amour, debout au milieu de tous les autres. Elle se branlait en les regardant et en voyant cette bite rentrer et sortir du cul d'un autre homme qui se branlait. Ils l'avaient vue et quand elle leur proposait de lui faire une double pénétration, ils étaient d'accord d'avance: leurs bites se touchaient presque pendant cette pénétration. De plus comme elle aimait ça, il ne la ménageait pas du tout. Julie se plaignait sans arrêt du plaisir qu'elle prenait. Si seulement elle avait pu se branler à la fois..... Les deux hommes jouissaient en elle: elle n'était pas satisfaite, elle n'avait jouit que trois fois. Le bas ventre toujours prêt elle cherchait et remarquait qu'une femme était isolée et se branlait seule dans son coin. Elle allait vers elle et lui demandait si un 69 la comblerait. Bien sur: elle n'avait pas trouvé de fille pour partager avec elle leurs moules. Julie commençait par l'embrasser et enfin elle lui mettait directement la main au panier. Elle trouvait le bouton. Sa voisine en faisait tout autant. Enfin, elles se tournaient et chacune prenait dans sa bouche le sexe de l'autre. Elles se faisaient jouir pratiquement sans arrêt tout le reste de la nuit.
Pour Claire la nuit commençait très bien elle avait trouvé un jeune homme très bien monté et elle lui montrait ce qu'elle voulait, c'est à dire tout. Le garçon remonté l'embrassait rapidement sur la bouche, lui embrassait les mamelons. Enfin il écartait les jambes de Claire qui les ouvrait sans problème pour la branler. Il branlait très bien puisque il la faisait jouir plusieurs fois. Claire voulait être baisée tout simplement, avant de passer à une autre façon. Elle branlait son homme et au moment de la jouissance elle le faisait jaillir dans sa bouche. Pour exciter encore son amant, elle lui suçait le sexe, caressait les couilles et enfin lui mettait un doigt dans le cul. Il bandait à nouveau. Claire lui prenait la pine dans ses mains et l'entraînait vers son con. Il était au bord mais d'un seul coup de rein elle s'enfilait la bite à fond. Elle jouissait en poussant un léger cri. Elle jouissait plusieurs fois de suite. Heureusement que son amant bandait encore: elle se tournait et lui demandait de l'enculer. Elle aimait bien cette formule parce qu'elle pouvait se branler en même temps. Ce garçon avait les reins solides: il la satisfaisait plusieurs fois;
La soirée finissait, les participants partaient et pourtant les filles en voulaient encore. Elles prenait leur godemiché et chacune les jambes bien ouvertes pour que les autres puissent bien voir leurs sexes, elle se masturbaient sans fin. A la fin elles décidaient de faire ensemble une dernière partouze: Chacune devait en baiser une pendant qu'elle était baisée par l'autre.
Enfin satisfaites de leurs nuits elles s'endormaient là où elles se trouvaient.