En état de manque - histoire érotique

Je n'ai pas baisé depuis une semaine, depuis que mon copain m'a laissé tomber. Mis à part la déception j'ai surtout mon corps qui a besoin d'orgasme. Je me branle bien, souvent dans la journée. Aussi dès mon réveil en prenant une douche et le soir. J'aime à ce moment me servir de mon bon gode qui me donne tant de jouissance. Il n'empêche que j'ai absolument d'avoir une vraie bite en moi, n'importe où, mais dans mon corps. Ce soir je décide de sortir pour me changer les idées et qui sait, trouver une queue. Je vais au restaurant: le maître d'hôtel me place, à ma demande vers le milieu de la salle, pour être bien en vue. Je suis plutôt déshabillée que vêtue: je porte une mini jupe qui laisse apparaître mes fesses si je me penche en arrière et mon pubis et plus, si je me penche en avant. Je ne porte qu'un léger t-shirt transparent. Si je n'arrive pas à coucher ce soir c'est à désespérer. Je sens des regards masculins ou féminins. D'avance je sais que les hommes pensent qu'ils aimeraient me faire des choses pas recommandables alors que les femmes, au moins la plus part doivent penser que je suis une salope qui ne cherche qu'à tirer un coup. Elles ont bien raison, je ne suis là que pour ça. J'appelle le maître d'hôtel, moyennant un bon pourboire, il accepte d'installer les hommes seuls en face de moi. Si l'un deux ou même d'autres ne me plaisent je pourrais bien montrer mes atouts. J'ai à peine le temps de passer la commande quand vient enfin un garçon plutôt mignon. Je le regarde un moment fixement. Nos regards ne se quittent pas. J'écarte mes jambes en grand: il baisse son regard pour voir mon sexe nu. Il semble plus qu'intéressé. Un autre homme va à la table d'à coté, me regarde l'entre cuisse, me fait un grand sourire se lève en demandant les toilettes. Je tiens mon homme: je le suis vers les toilettes, le dépasse pour rentrer chez les femmes en lui faisant un joli sourire. Il me suit. Nous nous embrassons rapidement. J'ai un besoin, presque vital d'une pine dans mon con, ou ailleurs si le cœur lui en dit. Nous rentrons dans une cabine. J'attaque la première en lui sortant la bite qui n'est pas encore bien bandée. Nos lèvres restent soudées. Enfin il me passe une main sous la jupe, monte légèrement, arrive sur mon clitoris: j'écarte les jambes pendant qu'il me branle. Je ferme les yeux pour profiter un instant de sa main. Je le tiens bien par la queue. Je me mets sur la pointe des pieds, lui donne mon con qu'il prend aussitôt. Il ma la met bien à fond. J'ai elle-même envie de jouir que je parts avant lui. Il reste encore dans ma moule jusqu'à ce qu'il jouisse. Je sens son jet de sperme, jet puissant dans le fond de mon vagin. J'en jouis encore. Il remet sa bite en place et sort comme il est venu: je me suis faite tringlée par un inconnu. Je serais incapable de le reconnaître.
Je remonte à ma place. Le premier homme est toujours là : il me sourit, à croire qu’il ne sait faire que ça. Il me fait signe de regarder sous la table: il a sorti son matériel il bande pas mal avec une main qui le caresse. J'aime voir un homme qui se masturbe, je trouve ça très excitant, comme quand je vois une fille le faire. Je lui fais signe que s'il veut il peut venir près de moi. Il doit savoir ce que j'ai fait avec son voisin. Il vient tout près de moi. Je peux sortir sa bite sans que ça se voit trop et le masturbe doucement. Il me laisse faire. Je crois savoir bien masturber une queue. La sienne m'inspire beaucoup, ni trop grosse, ni trop petite. Je le masturbe jusqu'à sa jouissance. Ma main est très serrée sur la bite, aucune goutte de sperme ne coule. Il m'en remercie. Pour qu'il me remercie comme il faut je lui demande directement de me la mettre là où il veut dans les toilettes dames.
Il m'accompagne et me voici pour la seconde fois avec un homme au même endroit. Le premier m'a baisé, j'aimerai que celui-ci m'encule. Dans la stalle je lui sors son engin qui a rétréci depuis tout à l'heure. Je le prends en bouche et le suce jusqu'à ce qu'il bande normalement: sa bite est plus grosse que celle du premier, et surtout plus longue: idéale pour une sodomie. Je relève ma jupe et lui donne mes fesses. Je n'ai pas à faire de dessin: il me met la queue sur mon anus. Je lui demande de patienter juste le temps de me mouiller l'entrée. Ensuite il fait ce qu'il veut, je supporte tout dans mon cul. Il pénètre très lentement comme pour me ménager. Je donne un coup de rein pour qu'il m'encule vite. Ensuite quand son gland est en entier dans mon cul il me la met à fond, comme j'aime. De temps en temps mon sphincter se referme un peu, ajoutant encore au moins pour moi un plaisir supplémentaire. Je ne regrette pas de l'avoir déjà branlé: il est très long à venir. Je peux ainsi avoir une série d'orgasmes. Quand il jouit dans mes boyaux, je jouis moi aussi. Il se retire et s'en va. Je le connais un peu mieux que le premier. Je me demande si je saurais me contenter de ces deux baises.
Je fini mon repas comme une petite fille gentille et m'en vais. Je rode un peu dans les parages en espérant encore une bonne fortune. En guise de fortune je tombe au milieu d'une troupe d'hommes un peu pompettes Je m'en fous: ils ont touts une pine, je saurais bien les satisfaire tous, les uns après le autres ou même à la rigueur par plusieurs à la fois. Le premier qui attaque le fait sans espoir il me semble. Ils croient que je vais les envoyer à la pêche. S'ils savaient que j'ai envie de tous………..
………..°.……..
°
J'aborde directement les six hommes en leur proposant de tirer au moins un coup avec moi. Ils sont tous heureux de l'aubaine. Où aller : je connais un jardin public juste à coté où, à cette heure, personne ne vient ou rarement. Nous allons bras dessus bras dessous dans ce jardin qui est bien isolé. Nous allons vers un banc. Je m'assois au milieu, pour accentuer mes envies, je me mets nue. Je vois surgir sous ma bouche deux pines bien droites. J'en prends une la met en bouche: elle a bon goût: je sens que je vais me régaler de son sperme. J'en met la moitié dans ma bouche, je caresses les couilles, passe une main par derrière pour chercher et trouver le cul où je rentre un doigt. La réaction est qu'il avance vers moi, m'obligeant à prendre presque toute la queue dans me bouche; tant pis, je le lèche à fond: il me tient la tête comme s'il avait peur que je m'en aille alors que je me régale. Enfin il jouit. J'attends qu'il lâche sa dernière goutte avant d'avaler son jus. Je me lève au grand dam de ceux qui attendaient leur tour de fellation. Je choisis le premier venu, le fais asseoir sur le banc me met sur lui. Je rentre sa bite dans mon cul, se ce sera que la deuxième sodomie de la soirée. Je demande à un troisième de me sucer. Il a sa bite dehors, me suce et se branle à la fois. Il me fait jouir, avec plus de plaisir: j'ai toujours une queue dans mon cul. Autour de moi les autres ont aussi leur pine dehors: ils se branlent tous en me regardant baisser avec un autre dans le con. Ils jouissent tous sur moi: ils doivent me viser ce n'est pas possible autrement. Heureusement j'arrive au dernier que je vais gâter particulièrement: Je m'allonge sur le banc, et toujours devant les autres j'ouvre bien mes jambes, lui demande de venir ma la mettre, ce qu'il fait sans trop de délicatesse. J'entoure ses hanches avec mes jambes. Nous bougeons ensemble. Il coulisse bien en moi. Je sens bien sa bite qui laboure le vagin. Je jouis avant lui. Je jouis encore quand il me donne sa semence. Je me lève enfin, je me "rhabille" pour retourner chez moi.
Je pense en avoir pour une semaine: je me trompe à peine rentrée chez moi, je me lave le cul et le vagin. Je m'excite encore: je prends mon gode et sur mon lit je fantasme sur ma soirée: j'en jouis encore deux fois avant de m'écrouler totalement vidée alors que j'ai encore tant de sperme en moi.