EN VACANCES, SOIREE GANG BANG
Récit érotique écrit par Frenchcokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2008 dans la catégorie Plus on est
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EN VACANCES, SOIREE GANG BANG
<p>Ce jeudi soir d'août 2004, il y a une soirée mixte à l'Oustaou du moulin et je propose à Marie de tenter l'expérience. Elle accepte ma proposition mais semble réservée.
Il y a beaucoup plus d'hommes seuls que de couples présents. Marie n'a l'air ni surprise ni perturbée, au contraire son regard se porte de tous les cotés.
Dés que nous risquons un visite des coins câlins du sous sol, une quinzaine de garçons nous emboîtent le pas. Lorsque nous y parvenons, en dehors des garçons qui nous ont suivis, ils sont encore dépeuplés. Nous rebroussons chemin au grand dam des coquins.
Nous reprenons un verre au bar en attendant que les salons s'animent un peu.
Un peu plus tard Marie me dit qu'il y avait un gars assez mignon derrière nous pendant que nous buvions notre verre. A ma demande elle me le montre. Il n'est pas très grand, ses cheveux courts, les yeux clairs, il parait avoir moins de trente ans. Il semble un peu réservé. Alors qu'il la matte du coin de l'oeil, je propose à ma femme d'aller faire un tour dans les salons du haut.
Pour accéder aux coins câlins de l'étage, nous avons du mal à nous frayer un chemin parmi tous les mâles présents, cependant, Marie semble déterminée à atteindre le petit salon du fonds où se trouve la stèle. Dés que nous y parvenons, elle se tourne face à moi, m'embrasse et me palpe l'entrecuisse. Une douzaine de mâles nous entourent déjà dont son petit préféré. Je la sens prête à pousser plus loin notre petit jeu aussi je remonte son caraco d'une main et plonge l'autre sous sa jupe pour lui caresser ostensiblement la chatte. Des mains se tendent vers elle pour la toucher et la peloter. Je laisse faire. Spontanément elle s'allonge sur le dos en travers de l'autel se livrant ainsi aux nombreuses mains avides de la toucher. Très vite elle repère son préféré. Elle tend la main vers lui et ouvre rapidement son pantalon, sort sa queue et l'engloutie profondément dans sa bouche gourmande. En même temps, plusieurs mains avides se portent sur elle, malaxent ses seins et son ventre. Deux autres garçons entreprennent de m'aider à lui caresser la chatte. Elle suce son amant voracement. Parfois il lui tient la tête et oscille du bassin pour mieux baiser sa bouche. Sa bite fait des allers et retours entre ses lèvres. Ils y mettent tant d"ardeur que pendant un moment je crois qu'il jouit au fonds de sa gorge et qu'elle se délecte de son nectar. Après un moment, ils échangent quelques paroles puis elle se tourne vers moi pour me dire qu'il n'a pas de capote. Alors que j'en ai dans ma poche, je fais comme si je n'y pouvais rien. Du coup, pour s'approprier Marie, se la réserver, alors qu'il laisse sa verge fichée au fonds de sa gorge, il investit et monopolise autoritairement sa chatte de trois doigts qu'il plonge au plus profond d'elle pour la branler à défaut de la baiser. Les autres garçons sont un peu dépités et moi un peu agacé. Fermement je lui écarte la main et, en guise d'invitation, j'écarte bien la chatte de ma femme vers un des garçons qui la branlait avec moi. C'est un jeune d'environ 25 ans, il est très svelte de type nordique. Comprenant rapidement mon signe, il sort une capote et me la montre en quête d'assentiment. Je hoche positivement la tête. Il se prépare puis enfile mon épouse avec fermeté. Il la tient fermement par les hanches et la baise vigoureusement. Je vois sa longue bite pistonner l'intimité de ma chérie. A entendre ses soupirs, ses gémissements et sa respiration haletante, elle semble satisfaite du traitement qu'on lui inflige. Il la fait jouir plusieurs fois pendant qu'elle persiste à sucer goulûment son protégé. Comme j'ai très envie de la voir se faire baiser plusieurs fois, je passe discrètement à celui ci une capote. Son visage s'éclaire et il me remercie. Du coup, il semble impatient de changer d'orifice. Aussi, dés que le premier amant de Marie prend son pied puis finit par libérer sa vulve, il le remplace aussitôt. Moins en forme que le précédent, il la prend plus en douceur. Parfois il sort sa bite pour la branler et l'explorer avec ses doigts, puis il plonge à nouveau sa queue au fond de son ventre. Marie râle de plaisir.
Pendant ce temps, un copain du premier baiseur se rapproche à nouveau. Il monte à genoux sur la stèle et se place à cheval au dessus du visage de Marie. Il sort sa queue de son pantalon, d'une main se décalotte et exhibe son gros gland devant les yeux de ma femme. Je l'avais écarté à plusieurs reprises, mais là, je le laisse offrir sa grosse bite à Marie qui s'en saisit sans hésitation et le suce à son tour. Pendant qu'il plonge sa queue au fond de sa bouche, il lui pétrit les seins et lui pince les mamelons. Lorsque que son tour arrive, c'est à dire quand la chatte de ma moitié est libéré par son bretteur précédent, il se relève, contourne la stèle et vient se placer entre ses jambes que je maintiens largement écartées. Dans un sursaut, elle se redresse, se relève, se tourne, se met en appui des avant-bras sur la stèle pour finalement lui offrir son cul. En levrette, il enfourne vivement son gland au plus profond de son intimité. Il la prend brutalement. C'est le troisième à posséder ma femme d'affilé, sans répit. Celui-ci la burine farouchement et très longtemps. Elle jouit bruyamment, à plusieurs reprises, puis finit par demander grâce. Alors que lui même n'a pas encore jouit, il se retire à contrecoeur puis s'éloigne.
Très excité par ce merveilleux spectacle, je suis le quatrième à la pénétrer quand mon tour arrive. Elle s'est replacée sur le dos ce qui me permet de bien voir son regard. Je la pilonne le plus longtemps possible, le plus fort possible, je la fais jouir puis je jouis à mon tour, violemment. Un black qui regardait depuis un moment nous tend de quoi nous essuyer. Je devine son envie mais j'imagine, à tort, que Marie n'en peut plus, aussi je le repousse gentiment. Il me dit qu'il sera ravit de participer au prochain round.
Quelques minutes plus tard, alors que nous redescendons vers le bar, Marie me confie qu'elle aurait aimé qu'il la baise aussi. Dommage !
Nous reprenons un verre puis nous rentrons épuisés. Sur le chemin du retour elle s'assoupit. Elle semble fourbue mais sereine. J'aime beaucoup ce moment où, satisfaits de nos ébats, on se retrouve dans le cocon de notre intimité.
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Il y a beaucoup plus d'hommes seuls que de couples présents. Marie n'a l'air ni surprise ni perturbée, au contraire son regard se porte de tous les cotés.
Dés que nous risquons un visite des coins câlins du sous sol, une quinzaine de garçons nous emboîtent le pas. Lorsque nous y parvenons, en dehors des garçons qui nous ont suivis, ils sont encore dépeuplés. Nous rebroussons chemin au grand dam des coquins.
Nous reprenons un verre au bar en attendant que les salons s'animent un peu.
Un peu plus tard Marie me dit qu'il y avait un gars assez mignon derrière nous pendant que nous buvions notre verre. A ma demande elle me le montre. Il n'est pas très grand, ses cheveux courts, les yeux clairs, il parait avoir moins de trente ans. Il semble un peu réservé. Alors qu'il la matte du coin de l'oeil, je propose à ma femme d'aller faire un tour dans les salons du haut.
Pour accéder aux coins câlins de l'étage, nous avons du mal à nous frayer un chemin parmi tous les mâles présents, cependant, Marie semble déterminée à atteindre le petit salon du fonds où se trouve la stèle. Dés que nous y parvenons, elle se tourne face à moi, m'embrasse et me palpe l'entrecuisse. Une douzaine de mâles nous entourent déjà dont son petit préféré. Je la sens prête à pousser plus loin notre petit jeu aussi je remonte son caraco d'une main et plonge l'autre sous sa jupe pour lui caresser ostensiblement la chatte. Des mains se tendent vers elle pour la toucher et la peloter. Je laisse faire. Spontanément elle s'allonge sur le dos en travers de l'autel se livrant ainsi aux nombreuses mains avides de la toucher. Très vite elle repère son préféré. Elle tend la main vers lui et ouvre rapidement son pantalon, sort sa queue et l'engloutie profondément dans sa bouche gourmande. En même temps, plusieurs mains avides se portent sur elle, malaxent ses seins et son ventre. Deux autres garçons entreprennent de m'aider à lui caresser la chatte. Elle suce son amant voracement. Parfois il lui tient la tête et oscille du bassin pour mieux baiser sa bouche. Sa bite fait des allers et retours entre ses lèvres. Ils y mettent tant d"ardeur que pendant un moment je crois qu'il jouit au fonds de sa gorge et qu'elle se délecte de son nectar. Après un moment, ils échangent quelques paroles puis elle se tourne vers moi pour me dire qu'il n'a pas de capote. Alors que j'en ai dans ma poche, je fais comme si je n'y pouvais rien. Du coup, pour s'approprier Marie, se la réserver, alors qu'il laisse sa verge fichée au fonds de sa gorge, il investit et monopolise autoritairement sa chatte de trois doigts qu'il plonge au plus profond d'elle pour la branler à défaut de la baiser. Les autres garçons sont un peu dépités et moi un peu agacé. Fermement je lui écarte la main et, en guise d'invitation, j'écarte bien la chatte de ma femme vers un des garçons qui la branlait avec moi. C'est un jeune d'environ 25 ans, il est très svelte de type nordique. Comprenant rapidement mon signe, il sort une capote et me la montre en quête d'assentiment. Je hoche positivement la tête. Il se prépare puis enfile mon épouse avec fermeté. Il la tient fermement par les hanches et la baise vigoureusement. Je vois sa longue bite pistonner l'intimité de ma chérie. A entendre ses soupirs, ses gémissements et sa respiration haletante, elle semble satisfaite du traitement qu'on lui inflige. Il la fait jouir plusieurs fois pendant qu'elle persiste à sucer goulûment son protégé. Comme j'ai très envie de la voir se faire baiser plusieurs fois, je passe discrètement à celui ci une capote. Son visage s'éclaire et il me remercie. Du coup, il semble impatient de changer d'orifice. Aussi, dés que le premier amant de Marie prend son pied puis finit par libérer sa vulve, il le remplace aussitôt. Moins en forme que le précédent, il la prend plus en douceur. Parfois il sort sa bite pour la branler et l'explorer avec ses doigts, puis il plonge à nouveau sa queue au fond de son ventre. Marie râle de plaisir.
Pendant ce temps, un copain du premier baiseur se rapproche à nouveau. Il monte à genoux sur la stèle et se place à cheval au dessus du visage de Marie. Il sort sa queue de son pantalon, d'une main se décalotte et exhibe son gros gland devant les yeux de ma femme. Je l'avais écarté à plusieurs reprises, mais là, je le laisse offrir sa grosse bite à Marie qui s'en saisit sans hésitation et le suce à son tour. Pendant qu'il plonge sa queue au fond de sa bouche, il lui pétrit les seins et lui pince les mamelons. Lorsque que son tour arrive, c'est à dire quand la chatte de ma moitié est libéré par son bretteur précédent, il se relève, contourne la stèle et vient se placer entre ses jambes que je maintiens largement écartées. Dans un sursaut, elle se redresse, se relève, se tourne, se met en appui des avant-bras sur la stèle pour finalement lui offrir son cul. En levrette, il enfourne vivement son gland au plus profond de son intimité. Il la prend brutalement. C'est le troisième à posséder ma femme d'affilé, sans répit. Celui-ci la burine farouchement et très longtemps. Elle jouit bruyamment, à plusieurs reprises, puis finit par demander grâce. Alors que lui même n'a pas encore jouit, il se retire à contrecoeur puis s'éloigne.
Très excité par ce merveilleux spectacle, je suis le quatrième à la pénétrer quand mon tour arrive. Elle s'est replacée sur le dos ce qui me permet de bien voir son regard. Je la pilonne le plus longtemps possible, le plus fort possible, je la fais jouir puis je jouis à mon tour, violemment. Un black qui regardait depuis un moment nous tend de quoi nous essuyer. Je devine son envie mais j'imagine, à tort, que Marie n'en peut plus, aussi je le repousse gentiment. Il me dit qu'il sera ravit de participer au prochain round.
Quelques minutes plus tard, alors que nous redescendons vers le bar, Marie me confie qu'elle aurait aimé qu'il la baise aussi. Dommage !
Nous reprenons un verre puis nous rentrons épuisés. Sur le chemin du retour elle s'assoupit. Elle semble fourbue mais sereine. J'aime beaucoup ce moment où, satisfaits de nos ébats, on se retrouve dans le cocon de notre intimité.
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