Toujours plus pour Marie !
Récit érotique écrit par Frenchcokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Frenchcokin ont reçu un total de 25 003 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2008 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 529 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Toujours plus pour Marie !
<p>Le samedi 8 juillet 2006 au Prélude.
Au fil de nos soirées Marie devient de plus en plus salope.
Dès notre entrée dans les salons câlins elle est comme une chienne en chaleur, et prend toutes les initiatives pour se faire baiser à la chaine.
En haut à droite, un grec (plus tard il nous payera un pot au bar) la suce goulûment puis la baise. Dés qu’il a finit il est remplacé, entre les jambes de Marie, par la même femme mure blonde à la langue douce des dernières fois. Elle plonge sa bouche sur la chatte de ma femme et la dévore.
Après l’avoir faite jouir, elle vient sur son coté gauche pour lui caresser et embrasser les seins. Marie glisse sa main entre ses jambes pour lui caresser la chatte.
Pendant ce temps un autre homme, type méditerranéen la tête rasée, s’empare de l’intimité de ma femme sans dire un mot. Il la branle brutalement un moment, puis, sort une queue bien épaisse qu’il prépare avant de l’enfiler dans l’abricot juteux de mon épouse. Il la fourre sans tendresse à grands coups de reins, d’autres garçons caressent les cuisses et la poitrine de Marie en attendant leur tour. Après quelques minutes le sabreur jouît et disparaît comme il était venu.
La chatte de ma femme n’est pas délaissée pour autant, un latino, qui avait déjà sorti sa bite et enfilé un préservatif, la pénètre sans difficulté tellement elle mouille. Lui, la baise énergiquement en lui caressant tout le corps. Pendant cela, je branle et gratte son clito. Elle est folle de plaisir. La belle bite du latino la remplit bien à fond, il la baise longuement la fait jouir violemment et succombe à son tour.
Nous redescendons au bar pour faire une petite pause. Le grec nous paye un pot et discute un moment avec nous.
Plus tard, nous remontons au premier étage. L’alcôve de gauche se libère aussi nous nous y installons immédiatement.
Trois hommes nous rejoignent aussitôt et entreprennent de tripoter Marie partout. Elle se livre à leurs caresses et se laisse débrailler. Un jeune, grand, brun bouclé, jean et chemise blanche, s’allonge à sa gauche puis, écartant jupe et string, part à l’exploration en profondeur de sa chatte. Elle tend son ventre vers lui pour l’encourager. Devinant son envie, il la relève et la fait se placer à quatre pattes. Il l’enfourne direct et la baise en levrette, pendant qu’ elle se fait peloter et malaxer fermement les seins et le cul par les autres. – Dés qu’il a terminé, un autre homme, un quadra trapu, vient se placer derrière ma femme pour profiter à son tour de cette moule offerte. Pendant qu’il la met, Marie branle puis suce le troisième garçon, un jeune un peu timide qu’elle fait rapidement jouir et qui se lâche sur mon pantalon.
Entre temps un grand métis nous a rejoint. Il prend la place du timide puis pelote Marie partout. Il sort une queue énorme qu’il branle doucement sous les yeux de Marie. Elle est épuisée et ne veut ni le branler ni le sucer.
Quand elle «flanche», enfin, sous les assauts de son partenaire du moment le métis essaye de l’attirer à lui mais elle résiste et vient se lover dans mes bras, couchée en chien de fusil. Le métis se place derrière elle et caresse gentiment tout son corps. Elle profite de ce câlin tranquille.
Après quelques minutes de repos, je glisse ma main le long de son ventre, puis, entre ses cuisses pour la caresser délicatement. Elle desserre doucement l’étreinte de ses jambes permettant aussi au métis de glisser sa main, par derrière, vers sa chatte. Il la soulève doucement la main épousant son pubis, elle se laisse guider et se retrouve naturellement à genoux, face à moi et lui derrière elle. Elle se penche vers moi pour m’embrasser, me sucer, et, en même temps, offrir sa croupe à ce nouvel étalon. Il n’a pas de mal à la pénétrer malgré sa taille, mais aussitôt elle se met à gémir de plaisir. Parfois, elle se relève, comme assise sur ses talons mais toujours bien plantée sur ce pieux vigoureux, lui se penche en arrière, en appui sur ses bras tendus, la queue bien dressée à la verticale. Alors, elle se met bien droite et s’empale avec frénésie sur cette bite immense.
Elle râle de plaisir longtemps jusqu’à l’extase. Je suis subjugué par tant de beauté.
Ce soir là, nous sommes de retour très tard chez nous, ravis mais exténués.
Frenchcokin
Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle travaille dans un ministère parisien rue de Varenne, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.
</p>
Au fil de nos soirées Marie devient de plus en plus salope.
Dès notre entrée dans les salons câlins elle est comme une chienne en chaleur, et prend toutes les initiatives pour se faire baiser à la chaine.
En haut à droite, un grec (plus tard il nous payera un pot au bar) la suce goulûment puis la baise. Dés qu’il a finit il est remplacé, entre les jambes de Marie, par la même femme mure blonde à la langue douce des dernières fois. Elle plonge sa bouche sur la chatte de ma femme et la dévore.
Après l’avoir faite jouir, elle vient sur son coté gauche pour lui caresser et embrasser les seins. Marie glisse sa main entre ses jambes pour lui caresser la chatte.
Pendant ce temps un autre homme, type méditerranéen la tête rasée, s’empare de l’intimité de ma femme sans dire un mot. Il la branle brutalement un moment, puis, sort une queue bien épaisse qu’il prépare avant de l’enfiler dans l’abricot juteux de mon épouse. Il la fourre sans tendresse à grands coups de reins, d’autres garçons caressent les cuisses et la poitrine de Marie en attendant leur tour. Après quelques minutes le sabreur jouît et disparaît comme il était venu.
La chatte de ma femme n’est pas délaissée pour autant, un latino, qui avait déjà sorti sa bite et enfilé un préservatif, la pénètre sans difficulté tellement elle mouille. Lui, la baise énergiquement en lui caressant tout le corps. Pendant cela, je branle et gratte son clito. Elle est folle de plaisir. La belle bite du latino la remplit bien à fond, il la baise longuement la fait jouir violemment et succombe à son tour.
Nous redescendons au bar pour faire une petite pause. Le grec nous paye un pot et discute un moment avec nous.
Plus tard, nous remontons au premier étage. L’alcôve de gauche se libère aussi nous nous y installons immédiatement.
Trois hommes nous rejoignent aussitôt et entreprennent de tripoter Marie partout. Elle se livre à leurs caresses et se laisse débrailler. Un jeune, grand, brun bouclé, jean et chemise blanche, s’allonge à sa gauche puis, écartant jupe et string, part à l’exploration en profondeur de sa chatte. Elle tend son ventre vers lui pour l’encourager. Devinant son envie, il la relève et la fait se placer à quatre pattes. Il l’enfourne direct et la baise en levrette, pendant qu’ elle se fait peloter et malaxer fermement les seins et le cul par les autres. – Dés qu’il a terminé, un autre homme, un quadra trapu, vient se placer derrière ma femme pour profiter à son tour de cette moule offerte. Pendant qu’il la met, Marie branle puis suce le troisième garçon, un jeune un peu timide qu’elle fait rapidement jouir et qui se lâche sur mon pantalon.
Entre temps un grand métis nous a rejoint. Il prend la place du timide puis pelote Marie partout. Il sort une queue énorme qu’il branle doucement sous les yeux de Marie. Elle est épuisée et ne veut ni le branler ni le sucer.
Quand elle «flanche», enfin, sous les assauts de son partenaire du moment le métis essaye de l’attirer à lui mais elle résiste et vient se lover dans mes bras, couchée en chien de fusil. Le métis se place derrière elle et caresse gentiment tout son corps. Elle profite de ce câlin tranquille.
Après quelques minutes de repos, je glisse ma main le long de son ventre, puis, entre ses cuisses pour la caresser délicatement. Elle desserre doucement l’étreinte de ses jambes permettant aussi au métis de glisser sa main, par derrière, vers sa chatte. Il la soulève doucement la main épousant son pubis, elle se laisse guider et se retrouve naturellement à genoux, face à moi et lui derrière elle. Elle se penche vers moi pour m’embrasser, me sucer, et, en même temps, offrir sa croupe à ce nouvel étalon. Il n’a pas de mal à la pénétrer malgré sa taille, mais aussitôt elle se met à gémir de plaisir. Parfois, elle se relève, comme assise sur ses talons mais toujours bien plantée sur ce pieux vigoureux, lui se penche en arrière, en appui sur ses bras tendus, la queue bien dressée à la verticale. Alors, elle se met bien droite et s’empale avec frénésie sur cette bite immense.
Elle râle de plaisir longtemps jusqu’à l’extase. Je suis subjugué par tant de beauté.
Ce soir là, nous sommes de retour très tard chez nous, ravis mais exténués.
Frenchcokin
Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle travaille dans un ministère parisien rue de Varenne, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.
</p>
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Frenchcokin
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...