Une soirée pluriel préparée pour Marie - histoire érotique

<p>Le samedi 2 septembre 2006, le Prélude.

Au cours de cette journée j’ai contacté, sur le net, quelques hommes « bien montés » séduits par les photos de Marie. Je leur ai proposé de nous retrouver au Prélude en leur précisant de n’en rien dire à Marie mais de l’inviter à danser ou de nous rejoindre dans les salons câlins.

Ce soir, on a diné dans un petit restaurant italien très sympa. Outre le cadre et l’assiette, un groupe de jazz nous a mis dans l’ambiance au rythme du boogie-woogie, les musicaux étaient plutôt bons et souvent drôles.

Nous sommes entrés au Prélude assez tôt, vers 23 heures. Il y avait déjà quelques hommes seuls mais nous étions le seul couple. Au premier coup d’œil je ne voyais pas un seul de mes complices.

Respectant notre protocole habituel, après un verre et une longue conversation pendant laquelle la boite s’était bien remplie, nous sommes allés à l’étage jeter un œil coquin. Nous y étions aussi les premiers mais nous avons vite été suivis par plusieurs hommes et un couple. Nous nous sommes assis sur une banquette en attendant que l’ambiance évolue. Marie semblait agacée par le manège des garçons qui tournaient en rond et elle ne cessait pas de lancer des injonctions ironiques. Comme je confirmais ses propos elle me lâchât : « tu ferais comme eux à leur place. ». D’un geste j’ai même dû refouler un homme ventru, pas rasé et assez négligé qui s’obstinait à vouloir s’installer tout près de nous.
Vu l’état de Marie, je me relevais avec l’intention de redescendre prendre un verre. Aussitôt debout, Marie m’a pris par la main et m’a entrainé vers un salon coquin.
Nous nous sommes allongés et, alors que je l’embrassais tendrement, un jeune homme, beur selon les apparences, beau mec, grand, brun, vêtu d’une chemise bleu et d’un jean s’est placé devant nous. Je ne l’identifie pas à ce moment là mais il s’agissait de Mounir, l’un de mes complices. Pour l’appâter, baissant son caraco, je dénude la poitrine dorée de ma femme, et, tout en suçant la pointe de ses seins, je relève doucement sa jupe pour découvrir ses superbes cuisses cuivrées, puis son string en dentelle noire qui épouse merveilleusement son pubis et, enfin, son ventre bruni par le soleil des vacances. J’arrête là mes investigations désireux de laisser à notre visiteur la primauté des premières caresses intimes. Il ne se fait pas attendre et pose délicatement sa main sur l’intérieur de la jambe gauche de Marie, juste au dessus du genou, puis remonte doucement vers le croisement de ses cuisses. Marie se laisse aller et je la sens se détendre. Pour l’encourager, en se cambrant un peu, elle tend vers lui son intimité. Enhardi par l’invitation silencieuse, Mounir glisse d’abord un doigt délicat sous la dentelle noire et explore ainsi quelques instants le fruit encore abrité. Enfin, de son autre main il écarte l’étoffe devenue gêneuse et investit de tous ses doigts la chatte de mon épouse. Elle répond à cette invasion par des râles et des souffles courts.
Ensuite arrive un métis habillé de noir. Il caresse un peu Marie et sort une petite queue.
Mounir en fait autant mais avec une grosse queue encore souple.
Dés son entrée dans le petit salon, Michel, un autre complice, s’allonge directement de l’autre coté de Marie. Il caresse un peu ses seins et sort une bite énorme très longue et aussi très épaisse comme les aime ma femme.
Elle nous caresse tout les quatre, deux par deux. Tous, nous lui caressons la chatte, l’excitation est telle qu’elle dégouline littéralement.
Réellement en chaleur elle se relève et se retourne pour se placer en levrette, le visage tourné vers Michel et moi, le cul tendu vers Mounir qui se contente, assisté du métis en noir, de la tripoter et de la branler en attendant de bander solidement.
Après quelques instants de ce traitement, elle se place debout les coudes appuyés sur le divan, la bite de Michel dans la main droite, et la mienne dans la main gauche. Nous la pelotons à huit mains avec excitation. Nous investissons sa chatte sans réserve.

Finalement, le métis en noir s’échappe, surement que nous sommes trop nombreux à son goût et qu’il se sent un peu délaissé par Marie.
Mounir enfile une capote mais ne bande pas encore assez pour la prendre vigoureusement. Michel qui s’en aperçoit se relève et viens se placer derrière elle, sa bite énorme bien tendue et « habillée ».
J’ai envie de voir Marie entre Michel et Mounir aussi je laisse ma place à ce dernier. Comme il ne bande toujours pas complètement, je susurre à Marie de le sucer pendant que Michel la baisera. Elle s’exécute docilement pendant que Michel plonge en elle puis entreprend de lui labourer la chatte consciencieusement. Il lui assène de grands coups de bite bien profonds qui lui arrachent de longs feulements de plaisir. Elle jouit à plusieurs reprises.

Arrive alors dans le petit salon un grand jeune homme chauve. Constatant que Marie n’est pas farouche, il prend la place de Mounir et s’allonge directement sous le visage de ma femme. En même temps il sort une bite plus grosse encore que les autres. Gourmande, Marie l’embouche immédiatement et le suce avec frénésie au rythme des coups de mandrin qui lui défonce la chatte. Ses gémissements sont remplacés par une respiration bruyante et profonde jusqu’à la jouissance de Michel.

Dés que Michel libère la chatte de Marie, le jeune chauve passe derrière elle et prend le relais. Malgré son format hors norme, il la pénètre brutalement et facilement. Il la baise longtemps, très longtemps et très vigoureusement et la fait jouir plusieurs fois. Lui se retient. Epuisée elle finit par demander grâce en s’effondrant sur le divan. Son amant la libère de son étreinte et nous laisse un peu d’intimité.

Au bout d’un moment, Michel revient à la charge mais elle le repousse gentiment. Elle n’en peut plus, elle veut que je la baise amoureusement.

Pendant que je la prends, un autre garçon arrive dans le salon. Beau mec, chemise bleu ciel rayé de blanc. Il se déshabille se place face à elle comme pour lui offrir le fruit défendu. Sans hésiter, naturellement, elle attrape sa grosse queue, le branle et le suce avec frénésie pendant que je la fourre.

Repus sexuellement par cette séance intense, nous retournons au bar prendre un dernier verre avant de rentrer.

Frenchcokin


Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle travaille dans un ministère parisien rue de Varenne, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.

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