Encore une soirée pluriel pour Marie
Récit érotique écrit par Frenchcokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2009 dans la catégorie Plus on est
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Encore une soirée pluriel pour Marie
<p>Samedi 7 février 2009, retour à l'Abyss
Nous commençons la soirée par un petit restaurant Coréen offrant une cuisine très parfumée. Nous dégustons une savoureuse fondue de viande préparée dans un wok.
Quand on arrive au Cupidon peu après 23 heures, il n’y a qu’un couple, surement un de mes contacts sur « Net… », « A-plusi… », Avec lequel j’étais convenu que l’on fasse connaissance au cours de la soirée.
Pendant que nous prenons un verre en attendant que la soirée commence, la serveuse passe son temps à regarder son écran d’ordinateur pour choisir la musique.
En un peu plus d’une heure, pendant que l’on sirote notre verre en discutant, quelques couples et hommes seuls finissent par arriver. Cependant l’ambiance est morne et les hommes présents semblent tout droit arrivés d’un monde rustique.
Dépités nous décidons de partir, ce que nous faisons sans attendre ni nous occuper du couple avec lequel nous devions nouer une complicité.
Décidés à rentrer, nous reprenons la voiture.
Je propose alors à Marie d’aller boire un verre à l’Abyss. Après réflexion elle accepte.
Lorsque nous arrivons, après minuit trente, il y a un couple au bar, un autre, bien entouré, dans un des salons coquins et une petite dizaine d’hommes qui se partagent entre le bar et le salon avec le couple. Tous sont beaucoup plus élégants et « appétissants » que précédemment.
Nous buvons tranquillement notre verre au bar sans être dérangés mais conscients des regards entendus qui se portent sur nous. Pendant ce temps les deux couples et deux ou trois garçons s’en vont.
Lorsque nous décidons d'aller faire un tour dans les salons coquins, tous les garçons nous suivent du regard mais nous laissent évoluer à notre guise.
Après avoir constaté qu'il n'y avait personne dans le premier salon, nous sommes allés dans l'autre petit salon, celui du fonds, tout aussi désert. Nous nous sommes regardés comme pour confirmer nos envies réciproques, puis nous nous sommes embrassés dans les bras l'un de l'autre.
Il n'a pas fallu longtemps pour que cinq ou six garçons entrent dans le salon. L'un, très jeune en costume noir et la tête rasée, est venu se coller à nous directement et a commencé à peloter doucement Marie. Un deuxième, une trentaine d'années, brun avec une petite barbichette de mousquetaire, s'est allongée sur la banquette derrière elle, encore debout dans mes bras, et a commencé à lui caresser les fesses au-dessus de sa jupe. Les autres garçons restaient en position d'observateur un peu à l'écart. Marie couverte par nos six mains avait l'impression que tous les garçons étaient sur elle. Elle me murmurait : « non pas tous, je ne veux pas qu'ils soient tous là ». Je la rassurai en lui précisant qu'ils n'étaient que deux tout en découvrant ses seins par mes caresses pour encourager nos deux compères.
Rassurée, Marie entreprit de s'installer confortablement sur la banquette, une fois allongée, nos deux complices se firent plus entreprenants. Le plus jeune, qui était resté debout, passa directement ses mains sous la jupe de Marie pour la relever rapidement. Il partit aussitôt à l'assaut de son entrecuisse, caressa un moment son mont de vénus au travers de son string, puis écarta la fine étoffe nerveusement pour plonger ses doigts dans sa chatte qu'il commença à caresser avec rudesse. L'autre, de son coté, avait relevé le caraco de Marie et lui embrassait et caressait les seins. Lui se montrait très doux avec elle et attentif à ses réactions. Après quelques minutes, il se releva, se mit à genoux près de ma femme, puis, déboutonna son jean qu'il baissa, découvrant ainsi une belle queue bronzée bien épaisse comme les aime mon épouse. Il attrapa sa main droite et l’attira vers sa bite qu’elle saisit à pleine main et commença à caresser délicatement. Pendant ce temps, le jeune avait retiré son pantalon et son caleçon et exhibait une longue bite plus fine qu'il branlait tout en continuant à malaxer avec maladresse la chatte de Marie. Impatient, il entreprit de mettre un préservatif. De leur côté, les quatre observateurs se branlaient en ne perdant rien du spectacle qui s'offrait à eux. Après quelques minutes, le plus jeune de nos complices semblait nerveux et n'arrivait toujours pas à bander correctement. Profitant de sa maladresse, l'autre alla se mettre à sa place, à genoux entre les jambes de Marie. Il dirigea sa grosse queue vers l'abricot gonflé de ma femme et y pénétra doucement écartant largement les lèvres de sa vulve. Il commença à la baiser doucement, avec délicatesse, faisant entrer et sortir son gros bâton des chairs intimes de cette chatte offerte. Dans cette position du missionnaire, Marie ne se sentait pas à l'aise. Je lui proposais de se relever pour qu'elle se fasse prendre en levrette, ce qu'il fit aussitôt. En position debout, plié en deux, le buste appuyé à la banquette, malaxant en même temps mon entrejambe au travers de mon pantalon, elle offrait sa croupe à son amant qui l'investit de nouveaux. Il la baisa longtemps, de plus en plus énergiquement, l'empoignant fermement par les hanches. Ses coups de boutoir faisaient râler et gémir ma femme en cadence. Parfois il claquait ses fesses du plat de la main ce qui la faisait sursauter. Le plus jeune, resté à côté, giflait aussi parfois ce beau cul tout en continuant à se branler pour entretenir son érection. Après quelques minutes de ce traitement, Marie succomba au plaisir. Je ressentis les soubresauts de sa jouissance dans tout son corps. Son partenaire du moment ne mit pas longtemps à la rejoindre dans l'extase.
Après quelques secondes pour reprendre ses esprits, il se retira du ventre de ma femme. C'est à peine s’il eut le temps de s'écarter que le jeune se mit à sa place derrière la croupe offerte. Sans préambule ni attention particulière, il embrocha Marie brutalement. Surprise, elle sursauta mais se livra à lui sans hésitation en s'empalant sur cette longue bite. Il se mit à la limer avec brutalité et maladresse. Il la labourait sans aucun égard pour elle. Sa nervosité et ses regards sombres trahissaient son envie de la baiser comme une chienne, de se branler dans sa chatte, de se vider les couilles dans ses entrailles. Elle ne résista pas longtemps à cet assaut brutal et succomba à un deuxième orgasme. Pendant qu'elle essayait de reprendre ses esprits, n'ayant pas encore jouit lui-même, il continuait à la baiser frénétiquement un long moment. Exténuée elle le fit sortir de sa chatte à deux reprises. A chaque fois, il la reprenait fermement par les hanches pour l'enfiler à nouveau. La troisième fois, je fis signe au jeune homme lui faisant comprendre que sa proie était épuisée et qu'elle en avait assez. Il eut presque l'air étonné, puis, la déception se lut à son expression.
Les quatre garçons restés en observateurs, sûrement dans l'espoir que leur tour viendrait, avaient l'air déçu également mais tous se montrèrent élégants.
Marie, consciente que le répit ne serait que de courte durée, préféra se rhabiller m’abandonnant à mon tour à ma propre déception.
Une fois remis de nos émotions, alors que nous nous préparions à quitter les lieux, son premier amant l'invita très gentiment à danser, puis, il la remercia après qu'elle eut décliné l'invitation.
De retour à la maison, tard dans la nuit, nous avons fait l'amour avec passion en nous racontant nos impressions respectives.
Nous étions finalement satisfaits de cette soirée, elle ravie d’avoir été bien baisée et moi heureux de l’avoir vue ainsi offerte.
Frenchcokin
Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.
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Nous commençons la soirée par un petit restaurant Coréen offrant une cuisine très parfumée. Nous dégustons une savoureuse fondue de viande préparée dans un wok.
Quand on arrive au Cupidon peu après 23 heures, il n’y a qu’un couple, surement un de mes contacts sur « Net… », « A-plusi… », Avec lequel j’étais convenu que l’on fasse connaissance au cours de la soirée.
Pendant que nous prenons un verre en attendant que la soirée commence, la serveuse passe son temps à regarder son écran d’ordinateur pour choisir la musique.
En un peu plus d’une heure, pendant que l’on sirote notre verre en discutant, quelques couples et hommes seuls finissent par arriver. Cependant l’ambiance est morne et les hommes présents semblent tout droit arrivés d’un monde rustique.
Dépités nous décidons de partir, ce que nous faisons sans attendre ni nous occuper du couple avec lequel nous devions nouer une complicité.
Décidés à rentrer, nous reprenons la voiture.
Je propose alors à Marie d’aller boire un verre à l’Abyss. Après réflexion elle accepte.
Lorsque nous arrivons, après minuit trente, il y a un couple au bar, un autre, bien entouré, dans un des salons coquins et une petite dizaine d’hommes qui se partagent entre le bar et le salon avec le couple. Tous sont beaucoup plus élégants et « appétissants » que précédemment.
Nous buvons tranquillement notre verre au bar sans être dérangés mais conscients des regards entendus qui se portent sur nous. Pendant ce temps les deux couples et deux ou trois garçons s’en vont.
Lorsque nous décidons d'aller faire un tour dans les salons coquins, tous les garçons nous suivent du regard mais nous laissent évoluer à notre guise.
Après avoir constaté qu'il n'y avait personne dans le premier salon, nous sommes allés dans l'autre petit salon, celui du fonds, tout aussi désert. Nous nous sommes regardés comme pour confirmer nos envies réciproques, puis nous nous sommes embrassés dans les bras l'un de l'autre.
Il n'a pas fallu longtemps pour que cinq ou six garçons entrent dans le salon. L'un, très jeune en costume noir et la tête rasée, est venu se coller à nous directement et a commencé à peloter doucement Marie. Un deuxième, une trentaine d'années, brun avec une petite barbichette de mousquetaire, s'est allongée sur la banquette derrière elle, encore debout dans mes bras, et a commencé à lui caresser les fesses au-dessus de sa jupe. Les autres garçons restaient en position d'observateur un peu à l'écart. Marie couverte par nos six mains avait l'impression que tous les garçons étaient sur elle. Elle me murmurait : « non pas tous, je ne veux pas qu'ils soient tous là ». Je la rassurai en lui précisant qu'ils n'étaient que deux tout en découvrant ses seins par mes caresses pour encourager nos deux compères.
Rassurée, Marie entreprit de s'installer confortablement sur la banquette, une fois allongée, nos deux complices se firent plus entreprenants. Le plus jeune, qui était resté debout, passa directement ses mains sous la jupe de Marie pour la relever rapidement. Il partit aussitôt à l'assaut de son entrecuisse, caressa un moment son mont de vénus au travers de son string, puis écarta la fine étoffe nerveusement pour plonger ses doigts dans sa chatte qu'il commença à caresser avec rudesse. L'autre, de son coté, avait relevé le caraco de Marie et lui embrassait et caressait les seins. Lui se montrait très doux avec elle et attentif à ses réactions. Après quelques minutes, il se releva, se mit à genoux près de ma femme, puis, déboutonna son jean qu'il baissa, découvrant ainsi une belle queue bronzée bien épaisse comme les aime mon épouse. Il attrapa sa main droite et l’attira vers sa bite qu’elle saisit à pleine main et commença à caresser délicatement. Pendant ce temps, le jeune avait retiré son pantalon et son caleçon et exhibait une longue bite plus fine qu'il branlait tout en continuant à malaxer avec maladresse la chatte de Marie. Impatient, il entreprit de mettre un préservatif. De leur côté, les quatre observateurs se branlaient en ne perdant rien du spectacle qui s'offrait à eux. Après quelques minutes, le plus jeune de nos complices semblait nerveux et n'arrivait toujours pas à bander correctement. Profitant de sa maladresse, l'autre alla se mettre à sa place, à genoux entre les jambes de Marie. Il dirigea sa grosse queue vers l'abricot gonflé de ma femme et y pénétra doucement écartant largement les lèvres de sa vulve. Il commença à la baiser doucement, avec délicatesse, faisant entrer et sortir son gros bâton des chairs intimes de cette chatte offerte. Dans cette position du missionnaire, Marie ne se sentait pas à l'aise. Je lui proposais de se relever pour qu'elle se fasse prendre en levrette, ce qu'il fit aussitôt. En position debout, plié en deux, le buste appuyé à la banquette, malaxant en même temps mon entrejambe au travers de mon pantalon, elle offrait sa croupe à son amant qui l'investit de nouveaux. Il la baisa longtemps, de plus en plus énergiquement, l'empoignant fermement par les hanches. Ses coups de boutoir faisaient râler et gémir ma femme en cadence. Parfois il claquait ses fesses du plat de la main ce qui la faisait sursauter. Le plus jeune, resté à côté, giflait aussi parfois ce beau cul tout en continuant à se branler pour entretenir son érection. Après quelques minutes de ce traitement, Marie succomba au plaisir. Je ressentis les soubresauts de sa jouissance dans tout son corps. Son partenaire du moment ne mit pas longtemps à la rejoindre dans l'extase.
Après quelques secondes pour reprendre ses esprits, il se retira du ventre de ma femme. C'est à peine s’il eut le temps de s'écarter que le jeune se mit à sa place derrière la croupe offerte. Sans préambule ni attention particulière, il embrocha Marie brutalement. Surprise, elle sursauta mais se livra à lui sans hésitation en s'empalant sur cette longue bite. Il se mit à la limer avec brutalité et maladresse. Il la labourait sans aucun égard pour elle. Sa nervosité et ses regards sombres trahissaient son envie de la baiser comme une chienne, de se branler dans sa chatte, de se vider les couilles dans ses entrailles. Elle ne résista pas longtemps à cet assaut brutal et succomba à un deuxième orgasme. Pendant qu'elle essayait de reprendre ses esprits, n'ayant pas encore jouit lui-même, il continuait à la baiser frénétiquement un long moment. Exténuée elle le fit sortir de sa chatte à deux reprises. A chaque fois, il la reprenait fermement par les hanches pour l'enfiler à nouveau. La troisième fois, je fis signe au jeune homme lui faisant comprendre que sa proie était épuisée et qu'elle en avait assez. Il eut presque l'air étonné, puis, la déception se lut à son expression.
Les quatre garçons restés en observateurs, sûrement dans l'espoir que leur tour viendrait, avaient l'air déçu également mais tous se montrèrent élégants.
Marie, consciente que le répit ne serait que de courte durée, préféra se rhabiller m’abandonnant à mon tour à ma propre déception.
Une fois remis de nos émotions, alors que nous nous préparions à quitter les lieux, son premier amant l'invita très gentiment à danser, puis, il la remercia après qu'elle eut décliné l'invitation.
De retour à la maison, tard dans la nuit, nous avons fait l'amour avec passion en nous racontant nos impressions respectives.
Nous étions finalement satisfaits de cette soirée, elle ravie d’avoir été bien baisée et moi heureux de l’avoir vue ainsi offerte.
Frenchcokin
Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.
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