Encore un bon moment passé en compagnie de Maria...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Encore un bon moment passé en compagnie de Maria...
Le séjour de Maria touchait à sa fin. Il ne se passait pas un jour sans que l’on invente de nouveaux supplices pour Maria. À nos moindres signes de lassitude, la jeune fille se débrouillait pour nous provoquer. Mais j’étais obsédé par l’envie d’obliger Maria de pisser devant nous. J’avais une véritable passion pour les filles accroupies soulageant leur vessie. Mon plus grand pêché est d’observer le jet jaillir de la fente.
Ce qui m’excitait le plus dans mes fantasmes vicieuses, c’était d’imaginer que la fille ou la femme, refusait devant moi. Prise honte ! Mais je finissais par me faire obéir. Toujours dans mon fantasme, sa révolte matée, la fille baissait sa culotte et s’accroupissait. Je lui fis ouvrir en grand le compas de ses jambes pour me montrer sa fente béante. Cette vision m’obsédait. J’en avais même parler à Manu. Il m’avait pris pour un détraqué.
Et je pensais bien réalisé mon rêve grâce à la gentille Maria. Capable de tout, si on mettait la manière.
Elle était assise entre nous. Manu lui avait sorti un sein et en mordillait le bout. Pour m part, j’avais mis ma main dans sa culotte, taquinant son bouton. Ivre de nos caresses, la coquine appuya sa tête sur mon épaule, les yeux mi-clos, elle respirait très fort. Pour ne pas rester en reste, elle se décida de serrer dans chaque mains nos sexes en érections et les branler lentement pour faire durer le plaisir. Quand je voulu appuyer le bout de mon index sur sa fente mouillée, elle eut un raidissement et serra les cuisses. Je lui demandais ce qui lui arrivait. Elle répondit qu’elle avait envie de pisser. Enfin elle se décidait ! Manu avait passé le message, pour mon plus grand plaisir.
Manu, après m’avoir fait un clin d’œil, la tira par le bout des nichons et il la força à s’accroupir devant nous. Elle protesta mollement en se tortillant. Manu lui insista, en faisant un petit bruit avec sa bouche.
- Allez, Maria, fait plaisir à Alain. Juste quelques gouttes après on te laisse tranquille.
Elle se ferma, en boudant, et essaya de repousser nos mains.
- Vous êtes agaçants à la fin, avec vos conneries !
- Sois chic Maria. Qu’est-ce que ça peut faire. Ton maillot est déjà mouillé ! Après tu iras te rincer dans l’eau.
Plus autoritaire, Manu commanda d’une voix rauque.
- Tu pisses dans ta culotte !
- Je n’ai pas envie de le faire. Enfin comme tu le désires !
- Allez fais-le ! Insista-t-il.
Nous décidâmes qu’une telle conduite méritait une punition. Manu lui pinça au gras du ventre. Je fis de même à l’intérieur des cuisses. Marquant la chair mat de la coquine. Qui se débattait en couinant. Ce qui nous rendit encore plus cruels avec elle.
- Vous me faites mal ! Lâchez-moi enfin, suppliait-elle larmoyante.
- Alors pisse. Commanda Manu, alors qui lui pressait la vessie.
Une ultime lueur d’arrogance traversa ses prunelles. Elle prenait un air supérieur. Elle nous jeta.
- Vous êtes des détraqués sexuels. Je vais pisser puisqu’il en faut si peu pour vous faire plaisir. Mais pas dans ma culotte !
Elle avança les fesses au bord de la serviette et regarda à droite et à gauche, avant d’écarter les cuisses pour bien exposer son sexe. Pour mieux reluquer, nous nous mirent avec Manu à plat ventre sur le sable. Appuyé sur les coudes. Le visage à seulement quelques centimètre de l’entrecuisse. Une bouffée de chaleur embrasait mon visage. Empilant un maximum d’images dans mon esprit pour mon plaisir solitaire du soir.
- Pas dans la culotte. Fit la voix geignarde de Maria. Il n’en est pas question !
Elle prit une profonde inspiration. Elle était toute rouge. De minuscules gouttelettes de sueur brillaient sur son nez. Elle rejeta la tête en arrière, les yeux fermés, comme quand elle s’abandonnait au soleil pour bronzer.
La coquine se laissa aller, en se mordant la lèvre, alors que son cousin écarta sa culotte. Elle eut un raidissement alors que sa fente rouge s’écarquilla. Un épais liseré de mouille laiteuse coulait de la chatte finissant la chute à l’anus. Je m’approchais un peu, pas assez à ma guise mais il ne fallait pas la brusquer, mes narines dilatées comme pour mieux capter les effluves qui sont échappé.
- T’es vraiment une cochonne Maria. Fit Manu avec une mine dégoûtée. J’ai jamais vu une fille de ton âge faire cela !
Il ordonna tout de même à sa cousine de tenir elle-même son slip écarté. Elle l’ouvrit sans hésiter, pas contente de s’exhiber.
- C’est une chatte de salope. Fis-je. Ce que tu montres là et jouissif !
-Quand on voit des trucs pareils, ajouta Manu, on a envie de t’obliger à faire des trucs dégueulasses.
Du bout de l’index, comme s’il tournait la page d’un livre, il écarta une petite lèvre sur le côté. Au dessus de la fente, le clitoris pointait son nez.
- On se rince l’œil, Maria. Et t’aimes ça. Ça te fait couler. Grosse cochonne !
- J’ai honte. Souffla-t-elle. D’une voix faible. Maîtrisant difficilement sa respiration oppressée.
- Je crois que je vais me soulager. Avoua-t-elle. Après une respiration sifflante entre les dents.
- Pas question. On a changé d’avis. Pour le moment, tu te retiens.
C’est alors que Manu promena un doigt autour du clitoris. Maria eut un bref rire énervé. Elle lui prit le poignet et le supplia.
- Arrête. Ça me fait des choses. Ça me donne trop envie…- Si tu pisses sans autorisation. On te lime le cul avec nos queues. Menaçais-je en prenant une voix dure.
Pour montrer que l’on ne plaisanter pas, je lui exhibais ma queue tendue.
- T’attends les ordres, sinon, je me branle dans ton trou du cul.
Et je lui enfonçais mon index dans le fion sans préliminaire. Il était moite. Maria se trémoussa en poussant un cri de souris. Manu en profita pour titiller l’orifice du méat de sa cousine avec son index.
- Je vais te boucher le trou comme ça. Tu ne pisseras pas avant qu’on te le dise.
- Vous me faites mal avec vos conneries.
- Si tu pisses, lâcha son cousin, on te ramone le cul jusqu’à ce que tu chies.
- Tu te souviendras de nous. Répliquais-je. Chaque fois que tu feras ton gros caca.
Des tremblements d’énervement agitaient ses cuisses. Néanmoins, elle restait docilement accroupie. Tenant sa chatte bien ouverte entre ses doigts, Manu appuya son doigt contre l’orifice urinaire.
- Voilà, on t’a bouché les deux trous. Comme ça, tu ne risques pas de nous pisser sur les doigts.
Maria nous avoua quelques heures plus tard, sur le chemin du retour, qu’elle n’avait jamais connu une telle sensation. C’était un mélange de gêne délicieuse et d’excitation violente. Comme un orgasme sans fin. Quand je fis tourner le doigt en elle, Maria dut se mordre au sang pour ne pas crier. Les vibrations de son urètre provoquaient des élancements voluptueux. Comme le plaisir qui accompagne la miction quand on s’est retenu trop longtemps.
Nous remarquâmes avec Manu que le clitoris de la jeune fille avait doublé de volume et dardait, violacé comme un gland minuscule.
Après quelques minutes d’attente le cousin donna enfin l’autorisation de se soulager.
- Juste quelques gouttes. Décidait Manu, alors qu‘il retira son doigt.
L’œil rivé à la chatte, je vis une grosse goutte jaune perler.
- J’ai honte. Fit Maria, d’une voix pitoyable, en lâchant une nouvelle goutte.
Elle roula dans la fente et alla se perdre jusqu’à mon doigt enfonçait dans le trou du cul.
- On va te branler. Tu verra c’est encore meilleur quand on a envie de faire pipi. Après tu pourras te soulager complètement.
Il fit tourner son doigt pour la faire suffoquer.
- Tu aimes ? S’intéressa-t-il.
- C’est bon. Répondit-elle.
- Alain va te frictionner le trou du de plus belle. Pour te chauffer la rondelle.
Alors que Manu la branler vivement. Provoquant des bruits juteux. Je branlais avec énergie son trou du cul. Tout en guettant les mouvements de piston du doigt de Manu.
- Je vais partir. Bredouilla la jeune fille, en grimaçant.
Manu comprit qu’elle était à deux doigt de jouir. Il retira son doigt d’un coup sec. Aussitôt, un jet fouetta le sable, éclaboussant mes joues.
- Vide toi. Gueula Manu. D’un affreuse voix de marlou. Comme une vache qui pisse !
- Vas-y… pousse !
La pisse jaillit avec violence. Une excitante odeur acide montait jusqu’à mes narines. Une envie de boire à la source me montait. Mais je le fis pas, pour ne pas passer pour un déranger. Manu quant à lui la branlait lui pressant la vulve sans douceur, pour en faire sortit le jus.
Maria, le regard fou, aspira une goulée d’air, alors que sa pisse coula avec plus de pressions. Je vis palpiter les chairs trempées, et comprirent que la fille jouissait en urinant. Manu lui barbouilla les chairs d’un mélange de pisse et de mouille.
Elle gémissait en remuant le cul, et pissait par secousses. Reprenant ses esprits, d’un geste rageur, elle recouvrit de sable la flaque mouillée entre ses pieds.
- Vous n’êtes que des dégueulasses !
Nous approuvâmes avec des rires idiots, sans quitter des yeux la chatte ouverte qui gouttait encore.
- T’es encore pire que nous. Ne faut pas te forcer beaucoup pour que tu fasses des trucs cochons.
- Tu recommencera ? Dis, Maria. Tu veux bien ? Ajoutais-je.
Gênée par nos visages collés à ses cuisses, elle se referma comme une huître. Elle se contenta de hausser les épaules.
-Je vous méprise, lâcha-t-elle, en enfouissant son visage entre ses genoux.
Un peu plus tard pour nous faire pardonner. Nous nous sommes arrêté chez le marchant de glaces, pour lui offrir une sucette glacée au chocolat…Avant de nous séparé, elle me donna sa culotte.
-Tu pourras te branler en pensant à moi.
Ce qui m’excitait le plus dans mes fantasmes vicieuses, c’était d’imaginer que la fille ou la femme, refusait devant moi. Prise honte ! Mais je finissais par me faire obéir. Toujours dans mon fantasme, sa révolte matée, la fille baissait sa culotte et s’accroupissait. Je lui fis ouvrir en grand le compas de ses jambes pour me montrer sa fente béante. Cette vision m’obsédait. J’en avais même parler à Manu. Il m’avait pris pour un détraqué.
Et je pensais bien réalisé mon rêve grâce à la gentille Maria. Capable de tout, si on mettait la manière.
Elle était assise entre nous. Manu lui avait sorti un sein et en mordillait le bout. Pour m part, j’avais mis ma main dans sa culotte, taquinant son bouton. Ivre de nos caresses, la coquine appuya sa tête sur mon épaule, les yeux mi-clos, elle respirait très fort. Pour ne pas rester en reste, elle se décida de serrer dans chaque mains nos sexes en érections et les branler lentement pour faire durer le plaisir. Quand je voulu appuyer le bout de mon index sur sa fente mouillée, elle eut un raidissement et serra les cuisses. Je lui demandais ce qui lui arrivait. Elle répondit qu’elle avait envie de pisser. Enfin elle se décidait ! Manu avait passé le message, pour mon plus grand plaisir.
Manu, après m’avoir fait un clin d’œil, la tira par le bout des nichons et il la força à s’accroupir devant nous. Elle protesta mollement en se tortillant. Manu lui insista, en faisant un petit bruit avec sa bouche.
- Allez, Maria, fait plaisir à Alain. Juste quelques gouttes après on te laisse tranquille.
Elle se ferma, en boudant, et essaya de repousser nos mains.
- Vous êtes agaçants à la fin, avec vos conneries !
- Sois chic Maria. Qu’est-ce que ça peut faire. Ton maillot est déjà mouillé ! Après tu iras te rincer dans l’eau.
Plus autoritaire, Manu commanda d’une voix rauque.
- Tu pisses dans ta culotte !
- Je n’ai pas envie de le faire. Enfin comme tu le désires !
- Allez fais-le ! Insista-t-il.
Nous décidâmes qu’une telle conduite méritait une punition. Manu lui pinça au gras du ventre. Je fis de même à l’intérieur des cuisses. Marquant la chair mat de la coquine. Qui se débattait en couinant. Ce qui nous rendit encore plus cruels avec elle.
- Vous me faites mal ! Lâchez-moi enfin, suppliait-elle larmoyante.
- Alors pisse. Commanda Manu, alors qui lui pressait la vessie.
Une ultime lueur d’arrogance traversa ses prunelles. Elle prenait un air supérieur. Elle nous jeta.
- Vous êtes des détraqués sexuels. Je vais pisser puisqu’il en faut si peu pour vous faire plaisir. Mais pas dans ma culotte !
Elle avança les fesses au bord de la serviette et regarda à droite et à gauche, avant d’écarter les cuisses pour bien exposer son sexe. Pour mieux reluquer, nous nous mirent avec Manu à plat ventre sur le sable. Appuyé sur les coudes. Le visage à seulement quelques centimètre de l’entrecuisse. Une bouffée de chaleur embrasait mon visage. Empilant un maximum d’images dans mon esprit pour mon plaisir solitaire du soir.
- Pas dans la culotte. Fit la voix geignarde de Maria. Il n’en est pas question !
Elle prit une profonde inspiration. Elle était toute rouge. De minuscules gouttelettes de sueur brillaient sur son nez. Elle rejeta la tête en arrière, les yeux fermés, comme quand elle s’abandonnait au soleil pour bronzer.
La coquine se laissa aller, en se mordant la lèvre, alors que son cousin écarta sa culotte. Elle eut un raidissement alors que sa fente rouge s’écarquilla. Un épais liseré de mouille laiteuse coulait de la chatte finissant la chute à l’anus. Je m’approchais un peu, pas assez à ma guise mais il ne fallait pas la brusquer, mes narines dilatées comme pour mieux capter les effluves qui sont échappé.
- T’es vraiment une cochonne Maria. Fit Manu avec une mine dégoûtée. J’ai jamais vu une fille de ton âge faire cela !
Il ordonna tout de même à sa cousine de tenir elle-même son slip écarté. Elle l’ouvrit sans hésiter, pas contente de s’exhiber.
- C’est une chatte de salope. Fis-je. Ce que tu montres là et jouissif !
-Quand on voit des trucs pareils, ajouta Manu, on a envie de t’obliger à faire des trucs dégueulasses.
Du bout de l’index, comme s’il tournait la page d’un livre, il écarta une petite lèvre sur le côté. Au dessus de la fente, le clitoris pointait son nez.
- On se rince l’œil, Maria. Et t’aimes ça. Ça te fait couler. Grosse cochonne !
- J’ai honte. Souffla-t-elle. D’une voix faible. Maîtrisant difficilement sa respiration oppressée.
- Je crois que je vais me soulager. Avoua-t-elle. Après une respiration sifflante entre les dents.
- Pas question. On a changé d’avis. Pour le moment, tu te retiens.
C’est alors que Manu promena un doigt autour du clitoris. Maria eut un bref rire énervé. Elle lui prit le poignet et le supplia.
- Arrête. Ça me fait des choses. Ça me donne trop envie…- Si tu pisses sans autorisation. On te lime le cul avec nos queues. Menaçais-je en prenant une voix dure.
Pour montrer que l’on ne plaisanter pas, je lui exhibais ma queue tendue.
- T’attends les ordres, sinon, je me branle dans ton trou du cul.
Et je lui enfonçais mon index dans le fion sans préliminaire. Il était moite. Maria se trémoussa en poussant un cri de souris. Manu en profita pour titiller l’orifice du méat de sa cousine avec son index.
- Je vais te boucher le trou comme ça. Tu ne pisseras pas avant qu’on te le dise.
- Vous me faites mal avec vos conneries.
- Si tu pisses, lâcha son cousin, on te ramone le cul jusqu’à ce que tu chies.
- Tu te souviendras de nous. Répliquais-je. Chaque fois que tu feras ton gros caca.
Des tremblements d’énervement agitaient ses cuisses. Néanmoins, elle restait docilement accroupie. Tenant sa chatte bien ouverte entre ses doigts, Manu appuya son doigt contre l’orifice urinaire.
- Voilà, on t’a bouché les deux trous. Comme ça, tu ne risques pas de nous pisser sur les doigts.
Maria nous avoua quelques heures plus tard, sur le chemin du retour, qu’elle n’avait jamais connu une telle sensation. C’était un mélange de gêne délicieuse et d’excitation violente. Comme un orgasme sans fin. Quand je fis tourner le doigt en elle, Maria dut se mordre au sang pour ne pas crier. Les vibrations de son urètre provoquaient des élancements voluptueux. Comme le plaisir qui accompagne la miction quand on s’est retenu trop longtemps.
Nous remarquâmes avec Manu que le clitoris de la jeune fille avait doublé de volume et dardait, violacé comme un gland minuscule.
Après quelques minutes d’attente le cousin donna enfin l’autorisation de se soulager.
- Juste quelques gouttes. Décidait Manu, alors qu‘il retira son doigt.
L’œil rivé à la chatte, je vis une grosse goutte jaune perler.
- J’ai honte. Fit Maria, d’une voix pitoyable, en lâchant une nouvelle goutte.
Elle roula dans la fente et alla se perdre jusqu’à mon doigt enfonçait dans le trou du cul.
- On va te branler. Tu verra c’est encore meilleur quand on a envie de faire pipi. Après tu pourras te soulager complètement.
Il fit tourner son doigt pour la faire suffoquer.
- Tu aimes ? S’intéressa-t-il.
- C’est bon. Répondit-elle.
- Alain va te frictionner le trou du de plus belle. Pour te chauffer la rondelle.
Alors que Manu la branler vivement. Provoquant des bruits juteux. Je branlais avec énergie son trou du cul. Tout en guettant les mouvements de piston du doigt de Manu.
- Je vais partir. Bredouilla la jeune fille, en grimaçant.
Manu comprit qu’elle était à deux doigt de jouir. Il retira son doigt d’un coup sec. Aussitôt, un jet fouetta le sable, éclaboussant mes joues.
- Vide toi. Gueula Manu. D’un affreuse voix de marlou. Comme une vache qui pisse !
- Vas-y… pousse !
La pisse jaillit avec violence. Une excitante odeur acide montait jusqu’à mes narines. Une envie de boire à la source me montait. Mais je le fis pas, pour ne pas passer pour un déranger. Manu quant à lui la branlait lui pressant la vulve sans douceur, pour en faire sortit le jus.
Maria, le regard fou, aspira une goulée d’air, alors que sa pisse coula avec plus de pressions. Je vis palpiter les chairs trempées, et comprirent que la fille jouissait en urinant. Manu lui barbouilla les chairs d’un mélange de pisse et de mouille.
Elle gémissait en remuant le cul, et pissait par secousses. Reprenant ses esprits, d’un geste rageur, elle recouvrit de sable la flaque mouillée entre ses pieds.
- Vous n’êtes que des dégueulasses !
Nous approuvâmes avec des rires idiots, sans quitter des yeux la chatte ouverte qui gouttait encore.
- T’es encore pire que nous. Ne faut pas te forcer beaucoup pour que tu fasses des trucs cochons.
- Tu recommencera ? Dis, Maria. Tu veux bien ? Ajoutais-je.
Gênée par nos visages collés à ses cuisses, elle se referma comme une huître. Elle se contenta de hausser les épaules.
-Je vous méprise, lâcha-t-elle, en enfouissant son visage entre ses genoux.
Un peu plus tard pour nous faire pardonner. Nous nous sommes arrêté chez le marchant de glaces, pour lui offrir une sucette glacée au chocolat…Avant de nous séparé, elle me donna sa culotte.
-Tu pourras te branler en pensant à moi.
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